Publié par Jean-Patrick Grumberg le 22 juillet 2019

La jeune autiste effarouchée par le climat Greta Thunberg, idolâtrée par la gauche déicide, est invitée mardi à l’Assemblée nationale par des parlementaires, 

Il est temps de rappeler quelques vérités bien senties sur cette triste victime de ce camp pour qui la fin justifie les moyens, et d’expliquer qui est vraiment Greta.

Un psychiatre allemand a lu le livre de Greta Thunberg, et a observé que chez elle, tout est fanatisme : “Le caractère utopique des revendications”…. “l’incapacité à dialoguer et à faire des compromis”.

Le professeur Wolfgang Meins, neuropsychologue et professeur de psychiatrie, a écrit un article récemment publié sur le site libertaire allemand Achgut.com, qui examine Greta Thunberg, ses parents, et le mouvement Vert qu’elle a aidé à propulser. Le titre de l’article est : Greta et ses parents – pas hystériques, mais fanatiques.

Le professeur Meins a lu le livre en allemand de Thunberg : Szenen aus dem Herzen* et il pense que Thunberg et son mouvement sont tous des “fanatiques climatiques” et non des “hystériques climatiques”. Il met en garde également les politiciens pour qu’ils prennent le fanatisme pour ce qu’il est.

Enracinée dans son trouble obsessionnel-compulsif, l’autisme

Meins écrit qu’une caractéristique particulière des fanatiques est leur “incapacité à s’engager dans le dialogue et le compromis”, ce qui les conduit à considérer les gens comme “ennemis extérieurs” qui doivent “potentiellement être combattus par des moyens agressifs et destructeurs”.

Meins attribue le fanatisme climatique de Greta Thunberg à un trouble obsessionnel-compulsif et à son autisme.

Son handicap, écrit Meins, est enraciné dans le fait qu’en tant qu’autiste d’Asperger, elle a tendance à se concentrer très fortement sur un domaine d’intérêt particulier. Les personnes atteintes du syndrome d’Asperger montrent peu de compassion et d’intérêt pour les autres”.

Cela signifie que “vous êtes immunisé de la souffrance de vos semblables”, par exemple de celle “des personnes qui deviendraient chômeurs à la suite de l’interdiction de tous les vols” comme le réclament les Verts afin de faire baisser le thermomètre.

Des convictions fortement émotionnelles dominent, et déterminent en permanence sa façon de penser

Meins écrit :

Les fanatiques du climat sont unis par une idée supérieure, c’est-à-dire des convictions fortement émotionnelles qui dominent de façon absolue et déterminent constamment leur pensée. Par exemple cette idée que l’apocalypse induite par le CO2 est irrévocablement imminente, à moins que nous ne prenions des contre-mesures immédiates et radicales à tout prix.

Dans le cas de Greta, des idées supérieures de ce genre se sont développées grâce à une petite distraction, basée sur un thème connexe :

Lors d’une leçon à l’école à l’automne 2014, elle voit un film sur la pollution des océans. Elle éclate en larmes pendant le film. A midi, elle est assise à la cafétéria devant son hamburger, qu’elle ne touche pas. A partir de ce moment, si j’interprète correctement les déclarations vagues de la mère, elle ne mangera plus que du végétalien, voire plus rien du tout.”

“Les élites rendent presque toujours hommage aux fanatiques”

La particularité de Greta et de ses fans, c’est qu’ils sont courtisés par une grande partie de l’élite occidentale, et surtout par l’élite allemande.

On n’entend presque rien de critique de la part de ces cercles, dit M. Meins.

C’est probablement la première fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que ces élites rendent presque unanimement hommage à une fanatique et encouragent même souvent Greta et ses partisans.

En ce qui concerne le Parti SPD et en particulier les “élites” liés à la CDU, Meins part du principe que “le caractère totalement utopique des exigences pour un changement radical de la politique climatique, maintenant et tout de suite, leur est parfaitement clair”. Il les accuse d’avoir lâchement refusé “d’ouvrir la porte du fabuleux royaume de l’apocalypse climatique”. Leur peur d’être poussés au suicide politique à cause de “l’embarras de l’argumentation, des pièges des médias qui agissent sur cette question” est écrasante.

“Pas besoin de s’inquiéter de la dictature écolo-totalitaire et des interdictions”

Meins écrit encore :

En lisant le livre de Greta, “vous apprenez à comprendre exactement comment fonctionnent les fanatiques du climat.”

“Par exemple, ils affirment qu’il ne faut pas s’inquiéter des conséquences politiques, économiques et sociales de certaines réglementations et interdictions brutales, voire encore mieux, il ne faut pas s’inquiéter de la dictature écolo-totalitaire et de la prohibition qui en découle. Pourquoi s’en soucier, puisqu’il n’y a pas d’alternative à de telles mesures, sinon nous allons “brûler” ou périr.

Greta, exploitée comme jadis les freaks du cirque

Il est regrettable qu’une adolescente autiste soit ainsi manipulée par le camp du bien, mais je ne suis pas surpris : ils sont prêts à tout pour faire avancer leur idéologie. Voir ainsi exposée cette ado m’a immédiatement fait penser au chef d’œuvre Freaks, la monstrueuse parade, qui montre la misérable vie de personnages difformes, de nains et de monstres, exposés dans un cirque.

Je ne suis pas le seul à penser ainsi, mais il faut un immense courage pour le dénoncer.

Ainsi, le journaliste danois Mikael Jalving a qualifié le livre de Greta d'” horrifiant”, car il révèle comment Greta et sa sœur ont été victimes de la violence psychologique de leur mère, une célèbre chanteuse d’Opéra.

Dans le quotidien danois BT, Jalving parle de Greta comme d’une “pauvre chose”, piégée dans une “famille qui se désintègre”. “Le livre est un appel à l’aide”, a-t-il conclu.

Le quotidien Aftenposten.no est à peine plus complaisant. La journaliste Ingunn Okland s’en prend à Malena Ernman, la mère de Greta, et écrit :

Malena Ernman, la mère de Greta

La mère de Greta Thunberg ébranle sa fille. Ce livre de Malena Ernman ne sert ni la lutte contre le changement climatique ni le cas de la fille.

Greta Thunberg est devenue une icône pour le jeune mouvement écologiste. En même temps, sa mère a contribué à faire de sa santé et de ses motifs une affaire publique. Dans le livre, au titre inspiré de [Ingmar] Bergman, Scenes from the Heart, Malena Ernman donne une image dramatique de la vie intérieure de la famille.

On ne sait pas si le conseiller de Greta, Kevin Anderson, qui veut réduire la population mondiale à un demi-milliard – du moins c’est ce qu’il a dit en 2000 – se soucie un seul instant que sa protégée est ainsi exhibée, manipulée, utilisée, pour cette grande cause nihiliste destinée à l’extinction de la race humaine pour la sauver.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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