Des Républicains ont contre-attaqué la « brigade » d’Alexandria Ocasio-Cortez en rappelant tout ce qui confirme ce que Trump a dit à leur sujet. Les Représentantes Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), Ayanna Pressley (D-MA), Ilhan Omar (D-MN) et Rashida Tlaib (D-MI) s’en prenaient durement à la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, quand le président Trump a décidé de s’impliquer dans le débat interne du Parti Démocrate, écrivant dans plusieurs tweets que les membres de la brigade d’AOC peuvent toujours quitter les États-Unis si elle ne sont pas satisfaites.
Cette intervention de Trump a provoqué, comme l’a souligné JP Grumberg, une crise de nerfs des médias gauchistes. Des accusations de racisme et de xénophobie ont été lancées contre Trump une fois de plus. Mais certains Républicains et Conservateurs se sont portés à la défense du Président :
- La «Trump War Room» (la page Facebook de l’équipe électorale pour réélire Trump en 2020)) a repris la vidéo montrant Ilhan Omar qui refuse de condamner l’attaque terroriste d’Antifas contre les employés de l’ICE.
- Ryan Saavedra, du site conservateur le Real Daily Wire, montre sur sa page Facebook le clip auquel fait référence Trump où l’on voit la Représentante Démocrate Ilhan Omar (MN) rire en parlant d’ISIS et d’Al-Qaïda – des groupes terroristes islamiques qui tuent des Américains, des alliés des Américains et des Juifs.
- Saavedra ajoute que lhan Omar a défendu les attaques terroristes contre Israël, a plaidé pour la clémence envers des hommes reconnus coupables d’avoir tenté d’adhérer à ISIS, a voté contre l’abolition de l’assurance-vie des terroristes, a demandé la libération d’un membre des Frères musulmans et a diabolisé les soldats américains qui ont tué des terroristes.
- Ilhan Omar a décrit l’attaque du 11 septembre comme étant le fait de « certaines personnes qui ont fait quelque chose ».
- Liz Harrington du Republican National Committee a rappelé que Rashida Tlaib soutient le mouvement BDS, son principal collecteur de fonds dirige un groupe sur Facebook qui fait la promotion du négationnistes de l’Holocauste, et elle est amie avec un militant du « droit au retour palestinien » qui traite Israël d’entité terroriste.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Marc Davis, paru sur le site de Townhall , le 16 juillet. Davis pense que les Américains ne vont pas accorder leur confiance aux quatre membres gauchistes de la «brigade» et que les Démocrates ne peuvent que perdre à ce petit jeu.
On aime ou on n’aime pas, mais les tweets de Trump se passent d’explication
Commençons par quelques éléments qui ne sont pas exactement des bulletins de nouvelles : Le président Donald Trump ne communique pas les idées conservatrices de la même manière qu’un William F. Buckley ou un Charles Krauthammer. Il préfère les coups du bagarreur de ruelle au scalpel du chirurgien lorsqu’il s’en prend à ses critiques. C’est précisément pour ce style qu’il a gagné, et cela va probablement lui être utile pour sa réélection en 2020.
Que ce soit contre ses principaux opposants de 2016, la condamnation constante des médias depuis son arrivée au pouvoir ou les attaques spécifiques qui surviennent jour après jour, il s’est emparé des outils à sa portée, non seulement pour exprimer son désaccord avec ses adversaires, mais pour les frapper, et les faire réfléchir à deux fois avant de recommencer.
Parfois ça marche, parfois non. Mais cela ne changera pas.
C’est pourquoi il est important que les gens censés être intelligents essaient de comprendre ce qui se passe, non seulement lorsque le président lance un raid de tweets avant l’aube, mais aussi lorsque les réactions ne sont pas à la hauteur.
Quiconque a prêté une attention même superficielle à Donald Trump a remarqué que quand il s’en prend à quelqu’un, son intervention peut contenir un mélange de haute précision et de provocation de cour d’école.
C’est ce qui a conduit à « Lyin’ Ted » (NdT: « Ted le menteur », à l’époque où Ted Cruz rivalisait avec Trump pour la nomination républicaine), « Sleepy Joe » (NdT: pour Joe Biden dont les discours sont incohérents et ennuyeux) et « I like people who were not captured ». (NdT: pour John McCain qui avait été fait prisonnier au Vietnam).
Il a fait des références désobligeantes à la taille de Marco Rubio, au visage de Carly Fiorina et à la stabilité mentale de Nancy Pelosi. C’est comme ça qu’il s’y prend. Tout le monde est libre de l’aimer, de le détester, de le tolérer ou de l’ignorer, mais après quatre ans de Trump en tant que candidat puis président, il n’y a plus d’excuse pour mal le caractériser. Nous savons tous que nous vivons une époque de guerre des mots. Tout le monde saute à Defcon 1 pour un maximum d’effet dans cette ère de bribes d’informations et de moments viraux sur l’Internet.
Trump, à sa manière, a maîtrisé l’art de maximiser l’efficacité d’une telle communication sans perdre sa base, parce que la base sait que son style de bagarreur n’est que cela – un style, une méthode, une façon de faire valoir son point de vue.
Le but de la salve Twitter « Qu’elles retournent d’où elles viennent » était de souligner les loyautés diverses des congressistes qui bénéficient actuellement du label affectueux de « la brigade ».
Trump met en lumière le fait qu’Alexandria Ocasio-Cortez veut se battre pour les immigrés illégaux au détriment des intérêts des Américains, que Ilhan Omar met l’accent sur les réfugiés somaliens et Rashida Tlaib sur ses racines palestiniennes. Il trouve dérisoire ces points de vue auxquels manque une vision globale de l’Amérique.
Sa suggestion n’est pas de les bannir, contrairement aux hurlements des médias malhonnêtes. Sa proposition consiste à leur demander d’appliquer les solutions qu’elles ont choisies aux populations pour lesquelles il pense qu’elles se battent, afin d’apprendre à quel point ces stratégies sont indésirables en Amérique, puis de revenir, et de corriger le tir.
C’est un classique de Trump. « La brigade » le sait. Les médias le savent. Les Républicains nerveux qu’on harcèle pour qu’ils le condamnent le savent.
Pourtant, nous sommes toujours ensevelis sous les hurlements de racisme qui servent de réflexe à la « brigade », accompagnés d’une analyse selon laquelle Trump s’est vraiment fait du tort cette fois-ci.
Les hurlements sont sans fondement, l’analyse est stupide.
Je m’attends à ce que les Démocrates lancent l’accusation de racisme ; c’est tout ce qu’ils savent faire.
Je suppose que je ne devrais pas m’attendre à mieux de la part des médias qui ont juré de le détruire.
Mais alors que les réseaux d’information s’interrogeaient sur la question de savoir s’il fallait dire « les critiques ont qualifié les tweets de racistes » (ce qui est vrai) ou « les tweets étaient racistes » (ce qui est faux et malveillant), on ne s’est pas suffisamment intéressé à savoir s’il y avait une raison valable d’y croire.
Il n’y en a pas. C’est un président qui aime les partisans de toutes les races et qui s’en prend aux critiques de toutes les races. Ses batailles portent sur la politique, les politiques et les croyances fondamentales.
Ceux qui le soutiennent ne se soucient pas moins de l’affirmation bâclée selon laquelle ces critiques viennent d’autres pays (vrai seulement pour Omar). Mais au milieu d’une cohue et parfois incohérente ruée vers les candidats à la présidence de 2020, la gauche a clairement choisi de maximiser ce moment comme une preuve supplémentaire que Trump est taillé dans le même tissu que le Ku Klux Klan et le Troisième Reich.
Ce n’est que du bruit insignifiant.
La représentante Ayana Pressley, membre de la « brigade », a donné une conférence de presse lundi en qualifiant la tactique de Trump de « distraction » et en lançant un appel de pas « mordre à l’hameçon ». Il est difficile d’imaginer un exercice plus grandiose pour tomber dans un piège qu’une conférence de presse de quatre femmes qui font part de tous les griefs qu’elles peuvent faire valoir durant une demi-heure de télévision gratuite.
Au cours de ce moment de gloire, nous avons entendu Ayana Pressley refuser de reconnaître la présidence de Trump, l’appelant simplement « l’occupant de la Maison Blanche ». La Représentante Ilhan Omar a exprimé sa répugnance pour « les ordures qui sont sorties de sa bouche ». Que quelqu’un m’explique en quoi Trump a été si méchant avec elles.
La gauche l’appelle Hitler, l’accuse de viol et attaque sa famille. Il réagit à sa façon, mais l’indignation n’est réservée qu’à sa manière à lui de répliquer.
Personne ne va changer d’avis. Trump ne perdra pas sa base à cause de cette histoire, et les Démocrates n’obtiendront pas de nouvelles vagues d’appuis.
Les attitudes des deux côtés sont recuites et nous allons les mâcher jusqu’en novembre de l’année prochaine.
Donc, comme ni le président ni ses détracteurs ne sont susceptibles de se détourner de leurs habitudes familières, nous tous, qui sommes témoins du spectacle, devrions au moins savoir ce qui se passe, et ce qui ne se passe pas.
En ce moment, Trump recourt à une manœuvre qu’il avait utilisée avec beaucoup d’efficacité lors de ses batailles dans les secteurs privé et public, tandis que ses ennemis demeurent dans leur zone de confort qui consiste à utiliser le dernier moulin à vent pour tenter, enfin, de convaincre l’Amérique que Trump est au mieux illégitime, et au pire un dictateur raciste.
Mais comme quiconque y prête attention le remarquera s’il a des yeux pour voir, Trump ne choisit pas les cibles par race, mais par les positions qu’elles prennent en opposition à son programme. Ceux qui se dressent sur son chemin peuvent ressentir la chaleur d’un millier de tweets, et certains d’entre eux peuvent contenir des inexactitudes et des mots indélicats.
Mais l’idée que ces tweets sont issus d’une animosité raciale n’est une invention d’ennemis aux abois.
Conclusion
Trump semble pousser l’Establishment du Parti Démocrate dans la direction où ils ne voulaient pas aller : « Des membres Démocrates du Congrès ont craché certaines des choses les plus ignobles, les plus haineuses et les plus dégoûtantes jamais dites par un politicien à la Chambre ou au Sénat, et pourtant elles s’en sortent avec une accolade du Parti Démocrate » a-t-il tweeté, faisant probablement allusion aux représentantes Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), Ayanna Pressley (D-MA), Rashida Tlaib (D-MI) et Ilhan Omar (D-MN).
« D’horribles cris anti-Israël, anti-USA, pro-terroristes et l’usage public du mot F…ing, parmi beaucoup d’autres choses terribles, et voilà que les Démocrates pétrifiés courent se réfugier vers les collines » a-t-il poursuivi. « Pourquoi la Chambre (des Représentants) ne vote-t-elle pas de réprimande pour les choses dégoûtantes et haineuses qui ont été dites ? Parce qu’elles sont de la gauche radicale et que les Démocrates craignent de les affronter. Triste !»
Les Démocrates sont coincés : ils n’ont pas le choix que d’appuyer la brigade des anti-américaines, antisémites !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources:
- https://townhall.com/tipsheet/mattvespa/2019/07/15/squad-presser-n2550089
- https://townhall.com/columnists/markdavis/2019/07/16/love-it-or-hate-it-theres-no-reason-not-to-understand-trumps-tweets-n2550104
Magali, excellent article.
Les cris d’orfraie de Nancy Pelosi et consorts, taxant à tort Donald Trump de racisme et de xénophobie sont curieux et révélateurs d’une idéologie de gauche pernicieuse qui sévit également en Europe. Toute personne qui a la chance d’être intégrée dans un pays occidental démocratique a tout d’abord le devoir impératif d’apprendre à bien le connaître, de respecter ses lois et usages et de contribuer à sa construction et sa puissance et non à le miner. Donald Trump, même s’il ne s’exprime pas de la façon la plus raffinée, a raison. Ses propos ne sont pas xénophobes ni racistes : ils expriment son credo et sa fierté légitime d’être citoyen de la première puissance mondiale.
David Pasder
Bien dit DAVID
D. TRUMP est un HOMME un VRAI un homme ENTIER non cousu de fil blanc
toujours prêt pour la bagarre et c’est ce que j’aime de cet homme, il fait ce qu’il dit et, a un coté PATRIOTIQUE qui ne fait pas défaut, il a a cœur la grandeur de son pays les USA et je crois qu’il ira au bout de cet idéal envers et contre tous. Il ne lâchera pas le morceau et c’est pour cela que nous voterons encore une fois pour lui.
LONGUE VIE MONSIEUR TRUMP and GOD BLESS AMÉRICA
Vous êtes une bénédiction pour les USA.
les “journalistes” américains mais encore plus les français s’en donnent à coeur joie, ne retenant qu’une partie des phrases de trump;
ce gars qui refuse de se plier au politiquement correct …
De plus, pour être naturalisé, il faudrait obligatoirement : jurer fidélité et obéissance au lois du pays dans lequel on veut s’intégrer et chanter l’hymne national en public.
pour moi Trump est le Albert Einstein de la politique car il respect en totalité son livre
* * Art to the Deal * * car il maîtrise les médias , il maîtrise le message , il montre a tous les démocrates actuel et ceux du futur comme ils sont dangereux + son coup de génie est le silence complet de la campagne a la chefferie démocrate car les médias ne montre que les 4 folles donc biden et les autres reçoivent rien en contribution bref tout ce passe entre Trump et ses 4 débiles donc les démocrates modérer ne ce reconnaîssent pas avec ses fanatiques idéologique gauchiste
Cette nouvelle incartade des média contre Trump qui qualifient sans ambages ses propos de “racistes” révèle qu’ils sont non pas de gauche, mais bien radicalement “d’extrême gauche” ; il suffit d’écouter TVA pour le réaliser : chaque reportage sur Trump est un réquisitoire goebelien d’extrême manipulation de l’INFORMATION.
Pour vomir autant de merdes sur un Président étranger, il faut avoir un bien sombre perception de son métier de JOURNALISTE et se croire tout permis.
Il faut criminaliser la désinformation DÉLIBÉRÉE comme celle de TVA et de ses empoisonneurs de démocraties.
Regardez l’article servi a la sauce gauchiste France Presse publier dans le Journal de Montreal
Pour France Presse pourriture l’antisémite haineuse Ilhan Omar est presqu’une sainte et elle est présenter comme une victime de Donald Trump
« Je suis convaincue que c’est un fasciste »: l’élue démocrate Ilhan Omar
Émailler de phrases gauchistes comme partisans du milliardaire républicain, ”l’ancien homme d’affaires de New York” ,le milliardaire septuagénaire
La séquence a suscité l’indignation dans le camp démocrate.
« C’est ignoble. C’est lâche. C’est xénophobe. C’est raciste. Cela souille la fonction présidentielle », a réagi la sénatrice démocrate Kamala Harris,
Ici encore France Presse pourriture : La réaction est, pour l’heure, la même qu’à chaque polémique aux accents xénophobes déclenchée par ”l’ancien homme d’affaires de New York”
Une autre voix, celle d’Anthony Scaramucci, qui fut éphémère directeur de la communication de la Maison-Blanche, s’est fait entendre.
Jugeant les tweets présidentiels « racistes et inacceptables », il l’a mis en garde
https://www.journaldemontreal.com/2019/07/18/pour-lelue-democrate-ilhan-omar-trump-est-un-fasciste
Merci POUR votre commentaire ♡♡♡ ET j ‘ A P P R O U V E 🔊🥁🥁🥁🥁🥁
“Tout le monde est libre de l’aimer, de le détester, de le tolérer ou de l’ignorer” ….
JUSQU’À QUAND????
Ça s’appelle La liberté d’expression .
Il faut diffuser les vidéos dénonçant les prises de position anti-américaines et anti-Israel de ces 4 égéries en boucle afin que cela rentre dans la tête des gens et qu’il n’oublient pas …
Ces 4 écervelées sont des racistes anti-homme blanc. Je ne serais pas étonné qu’elles soient féministes et lesbiennes. C’est la mode. Manque plus que la Michèle obanania, la femme de l’autre, pour compléter le tableau..
Tous les média parlent de la rudesse des propos de D. Trump, mais il faut entendre ce que disent les démocrates, là on assiste à un lynchage perpétuel qui allie mensonges, insultes et une vulgarité à toute épreuve.
C’est très bien comme ça. Trump met en évidence l’imbécilité et la vulgarité démocrate.
Ces crétins démocrates en sont encore à réciter leur mantra d’empeachment.
Entre les insultes et des programmes ridicules, ils vont finir par imploser !
Et pendant ce temps là, il fait de plus en plus étouffant pour le clan clinton; quel bonheur !
Les democrates sont tombes si bas que cela va etre tres dur de remonter la pente. Les usa ont une chance d etre sauve si ils gardent leurs valeurs des peres fondateurs. Accroches a dieu le pere, le fils et le st esprit. Gog bless america.
D. Trump a raison de mettre les projecteurs sur ces quatre personnes d’extrême gauche et obliger les autres démocrates à les soutenir. Poussant ainsi tout le parti démocrate vers l’extrême gauche .Il libère des espaces, qui peuvent en partie le soutenir. Bien joué.
Trump est un génie politique et de communication, il pousse l’adversaire de plus en plus dans un coin comme un boxeur d’où il ne pourra plus s’en sortir, génial. Les Demos vont être bientôt KO debout pour longtemps. Le proverbe arabe se prête bien ici, “les chiens aboient (les Demos et les médias aux ordres), la caravane passe (Trump).
Bonjour
Donald Trump a réussi à battre tous ses adversaires aux Primaires durant les débats grâce à son style combattant et très franc, des fois assez cru mais très efficace.
De même lors de la campagne présidentielle de 2016 en sus des débats tête à tête avec la perdante du parti démocrate Hi.Cl il a réussi à faire passer ses messages et le contenu de son programme politique grâce à Twitter lui offrant des dizaines de millions de lecteurs tels que moi, quoiqu’aujourd’hui Twitter nous rend la vie difficile à suivre Donald Trump dans ses Twitts..et bien sûr le Président Donald John Trump est le plus grand champion de campagne présidentielle depuis la naissance des États-Unis d’Amérique…Ses Rallyes à travers les États-Unis sont toujours pleins jusqu’au toit des stades et des dizaines de milliers de ses fans sont dehors regardant leur leader national sur des écrans géants..et ce soir il sera dans un nouveau Rally en Caroline du Nord , Greenville, NC 7PM Easter Time..à voir sans hésiter!
Quand on compare le magnétisme naturel de Donald J Trump aux candidats si pathétiques que le parti démocrate américain à offrir à la nation..les démocrates, pour sauver leur honneur, devraient se déclarer forfait et renter chez eux, la tête basse car une belle raclée ils prendront l’an prochain s’ils ne se désistent pas..
Le siècle Donald Trump a commencé en 2017 et depuis tout a changé…
Amitiés
je t’aime et amitié a toi aussi …. bref 100% d’accord
Elie COHEN, combien vous visez juste en parlant du “magnétisme naturel de Trump” !
Tous les commentaires ci dessus démontrent qu’en tout cas pour les lecteurs de Dreuz
il est inutile “d’expliquer les explications”..quant au comportement du champion de la parole libre et percutante…Combien de pays actuellement déstabilisés par des gouvernements inefficaces souhaiteraient pouvoir compter sur un tel leader !..
Oui, l’Amérique a été gâtée par la Providence qui lui a fait ce cadeau.
Il a fait des références désobligeantes à la taille de Marco Rubio, au visage de Carly Fiorina et à la stabilité mentale de Nancy Pelosi. C’est comme ça qu’il s’y prend. Tout le monde est libre de l’aimer, de le détester, de le tolérer ou de l’ignorer
Trump a ses défauts et ses qualités contrairement aux gauchistes qui s’imaginent n’avoir que des qualités ce qui le rend sympathique auprès d’une large couche de l’électorat ..ceux que les péris intellos et les intellos gauchistes prétentieux appelle avec mépris les petits blancs raciste déclassés sans éducation et sans diplôme …comme disait Hillary Clinton le panier de pitoyables
Et quand Trunp avait récupérer cette énorme gaffe… ces mêmes intellos gauchistes et leur médias ont commencer a parler de Trump le populiste
Les chroniqueurs et journalistes des médias gauchistes qui cherchent a imposer le politiquement correct en jouant aux vierges offensés ne se gênent pourtant pas eux pour l`attaquer sur son physique le qualifiant de clown orange en faisant allusion aux cheveux de Trump qui s’en moque éperdument
Avec cette mafia journalistique gauchiste mondialiste anti nation au service d’un gauche minoritaire criarde et tapageuse qui accuse tout ceux qui demande le respect des lois sur l’immigration ou qui se questionnent sur les politiques d’immigration massives et d’islamisation organiser par la gauche politique d’être des xénophobes racistes…les gens préfèrent maintenant se taire et placer leur X a la bonne place le jour du scrutin…c’est ce que l’on appelle la majorité silencieuse qui s’exprime de plus en plus contre ces gauchistes criards et radicaux dont la voix est amplifier par les médias anti Trump
Avec Obama les médias l’avait facile … pour se faire sanctifier de son vivant par les journalistes, Obama le mou leur baisait les pieds et en échange de quoi les journalistes oubliais de parler des expulsions d’Obama et des politiques néfastes d’Obama allant même jusqu’as les présenter comme étant des politiques qui devaient être appuyer par l’Amérique
La proximité entre Obama et les journalistes était indécente et depuis le départ d’Obama les médias gauchistes et leur journalistes ne s’en sont jamais remis
Tout comme dans une école le meilleur prof est souvent celui qui n’as pas d’amis parmi les élèves et ici je ne fait allusion a Brigitte la maitresse d’école de Macron…le couple fusionnel comme on dit a France Presse
C’est vrai il y as encore quelque journalistes honnêtes mais de plus en plus dans les médias ils sont remplacer par des activistes de gauche a la sémentique gauchisante fielleuse comme ceux de France Presse qui pour ignorer que Trump est le président des Etats Unis d’Amérique lui accole toute sorte de surnoms péjoratifs comme
Le milliardaire
Trump le milliardaire New-Yorkais
Trump le milliardaire républicain
Trump le magnat milliardaire
Trump le populiste milliardaire
Trump le magnat populiste de l’immobilier
Trump le magnat milliardaire populiste de l’immobilier
Les Demos bavent et ils vont baver encore longtemps avec Trump. Leurs attaques personnelles et racistes anti-blanc contre Trump ne touche pas Trump, mais cette racaille, qui s’auto-proclame “l’élite et la crème de la crème du monde donneurs de leçon”, quand c’est un ramassis d’ordures qui sentent mauvais.