
Source : Leparisien
Un jeune homme de 18 ans a été arrêté jeudi, suspecté d’avoir agressé sexuellement deux femmes et une mineure de 14 ans dans le parc du château de Fontainebleau en juin dernier.
Les victimes peuvent respirer. Jeudi, les policiers ont interpellé un jeune homme, âgé de 18 ans, soupçonnés de trois agressions sexuelles, toutes commises dans et aux abords du parc du château de Fontainebleau, en juin dernier. Déféré vendredi au tribunal de la ville impériale, le parquet a demandé son placement en détention provisoire en attendant son jugement lors des comparutions immédiates lundi prochain. Le juge des libertés et de la détention (JLD) devait prendre une décision dans la soirée.
« Le caractère sériel des faits était particulièrement inquiétant », précise une source proche de l’enquête. Entre le 16 et le 27 juin, ce réfugié Afghan s’en est pris à deux femmes et une adolescente, âgées entre 27 et 14 ans, dans le parc du château ou dans la rue du château.
Le suspect, âgé de 18 ans, a évoqué « des pulsions »
« Il s’approchait des victimes et leur parlait en mélangeant l’anglais et le français. Il essayait de les embrasser tout en essayant de les caresser sur les cuisses, les fesses et le sexe à travers les vêtements », décrit un enquêteur, qui évoque « des pulsions », pour justifier le passage à l’acte. À chaque fois, le mode opératoire est le même, seule l’horaire change puisque les agressions ont lieu entre 8 heures et 20 heures.
Les policiers du commissariat, munis d’une description faite par les victimes, ont multiplié les patrouilles ces dernières semaines pour essayer de repérer un éventuel suspect. En vain.
Les gardiens du château sont également mis dans la boucle. « Nous ne pouvons pas sécuriser l’ensemble du parc notamment la partie de l’autre côté de l’avenue des Cascades, détaille Isabelle de Gourcuff, l’administratrice générale du château qui ajoute : Les jardins et le parc s’étalent sur 110 ha, dont 80 ha pour le parc ouvert tout le temps. » Cette partie du domaine, avec notamment le Grand canal, accueille de nombreuses personnes qui viennent pique-niquer, se reposer dans la journée et aussi la nuit.
Reconnu par l’une de ses victimes
Finalement, jeudi à 7 h 50, l’une des victimes appelle le commissariat. Son agresseur présumé se trouve devant elle dans le même parc. Les policiers arrivent rapidement sur place et après une rapide course-poursuite à pied l’interpellent.
Le suspect, hébergé dans le centre de réfugié de la Croix-Rouge à lacaserne Damesme , était totalement inconnu de la justice. « Cela fait trois ans que la caserne accueille des réfugiés et nous n’avons jamais eu de souci jusque-là », constate un policier.
Une seule solution, et les autres comprendront aussi : le violer bien au fond par 15 types bien costaux jusqu’à ce qu’il ai l’anus complètement défoncé, déchiré et plein de sang, et le foutre dehors avec, cerise sur le gâteau, un bon coup de pied au cul.
Je garanti à tous mes amis dreuziens que les viols en France chutent de 90 %.
Mais là, quand il passera devant un juge forcément rouge, il sera acquité pour “ignorance des codes culturels de notre pays”*.
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* Comment être immigré, violer une française mineure, et être acquitté car tu ne connais pas “les codes culturels” de notre pays. Pour connaître le mode d’emploi, clique ici (garanti sans virus, c’est là une page d’un de mes propres site)
oryx, même sanction pour le juge rouge et ensembles dans la même cellule avec un garde ……. bien monté !!
Je confirme pleinement !!!
🙂
la moitié des migrants en liberté sont des violeurs en puissance, les renvoyer systématiquement dans leur pays et ne pas perdre son temps à la juger puisqu’ils n’ont pas les mêmes codes culturels, ça nous fera des économies de juges, d’avocats, de médecins, d’assistants (es) sociales, de séjours en prison, etc…
Mais malheureusement vous rêvez !
J’ai une autre solution : les emasculer et les renvoyer dans leurs Pays d’origine
Si tu les émascules, il faut les garder en les envoyant dans un Conservatoire de Musique.
🙂
Je ne suis pas homo, loin de là, mais j’aime énormément la musique des castrats. Enfin, comme maintenant on ne castre plus d’office, on appelle ces voix contre-ténors, ténors …
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Pour notre culture sur ce sujet :
Les castrats
Chanteurs qui subissaient la castration avant la “mue” afin qu’ils conservent le registre aigu de leur voix. L’opération de la castration (ablation des glandes génitales) n’arrêtait pas la croissance qui se déroulait normalement mais le développement du larynx était, par contre, stoppé. Sous l’influence des chants d’eunuques, fort répandus dans le monde islamique, l’Espagne va favoriser le chant des castrats.
Au XVIe siècle, les femmes n’étant pas admises à chanter dans les églises, elles sont remplacées par des castrats. Les enfants sont recrutés entre 8 et 12 ans – avant la puberté – dans des familles pauvres rétribuées. La castration est effectuée en Italie, soutenue par les gens d’église.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, ces voix connaissent un très grand succès auprès du public, surtout en Italie, auprès du public amateur d’opéra.
C’est en 1770 que le pape Clément XIV interdit la castration et permet aux femmes de chanter dans les édifices religieux. Au XVIIIe siècle, le plus célèbre des castrats est Carlo Broschi dit Farinelli. Le dernier castrat Alessandro Moreschi mort en 1922. Les castrats disparaissent définitivement au début du XXe siècle.
Il y a une dizaine d’années, dans les caves du Vatican, ont été retrouvés des disques en cire. Ces disques contenaient les enregistrements des interprétations d’Alessandro Moreschi qui a été le dernier castrat. C’est le seul témoignage enregistré (entre 1902 et 1904) existant au monde.
un afghan: il ne connait pas les codes français, il sera donc excusé!
mais quand les femmes françaises se révolteront donc? quand toutes les familles seront touchées?
patphil, chez les muzz ce sont les hommes qui prennent la défense des femmes ( contre les Français, évidemment ) alors pourquoi les Hommes Français n’en feraient pas tout autant ( je parle de defendre leurs femmes ) ???
D’ordinaire on confisque l’arme du crime… “ya plus qu’à”.