Publié par Danièle Lopez le 1 juillet 2019

On peut penser ce que l’on veut de Monsieur Poutine mais il ressort de cet entretien, qu’il a absolument raison quant au progressisme obsolète que nous impose l’Europe de Bruxelles.

Le progressisme, c’est le socialisme. Il est l’exact contraire du traditionalisme et du conservatisme. Et il se trouve que les peuples européens sont fatigués de ce socialisme qui ne fait que les affaiblir et les appauvrir. Les résultats des dernières consultations électorales prouvent s’il en était besoin que les Européens sont plus traditionalistes, nationalistes et conservateurs que ne veulent l’admettre ces dirigeants à Bruxelles.

Ainsi, lorsqu’il dit : « la pensée libérale est devenue obsolète» car « elle est entrée en conflit avec les intérêts de l’écrasante majorité de la population des pays occidentaux ». Il ne fait que constater la réalité. Les populistes en Europe et aux États-Unis sont les grands vainqueurs de ces dernières années.

Et il loue la politique de fermeture des frontières aux migrants illégaux du président américain Donald Trump, en mettant en parallèle l’incommensurable erreur de Merkel d’accueillir sur notre sol les millions de migrants qui ont envahi l’espace européen grâce à Schengen.

Surtout qu’aucun pays européen n’applique, à ces migrants qui ne connaissent pas le sens du mot démocratie, les mêmes lois que pour les natifs du Vieux Continent. Puisqu’il est décidé, une fois pour toutes, que l’on ne peut pas leur appliquer nos lois puisqu’ils ne sont pas comme nous !

Et il dit :

[…] Cette idée progressiste présuppose que l’on ne peut rien faire. Que les migrants peuvent tuer, piller, violer en toute impunité du fait que leurs droits sont protégés […] Cette idée est devenue obsolète et est en conflit avec les intérêts de l’immense majorité de la population. […] Les progressistes ne peuvent plus désormais dicter aux gens ce qu’ils doivent faire comme ils ont tenté de le faire ces dernières décennies […]

Restons sur ce progressisme européen, aujourd’hui en total désaccord avec les peuples européens.

Bien sûr, il a, aussi, parlé du Venezuela. Et de l’ingérence de tous les pays dits « démocratiques » dans ce pays.

Il a pris pour « exemple, ce que nos démocraties occidentales ont tenté de faire en Libye et le résultat qui en a découlé. Il a, fort à propos, repris la récente déclaration de Monsieur Macron :

[…] Le président de la France a récemment déclaré que le modèle démocratique américain diffère considérablement du modèle européen. Par conséquent, il n’y a pas de normes démocratiques communes.

Et de poursuivre :

[…] Et nos partenaires occidentaux veulent-ils (NDLR : ont-ils voulu…) qu’une région comme la Libye ait les mêmes normes démocratiques que l’Europe et les États-Unis ?

Et il a donné cet exemple que nous, Français ayant vécu en Algérie, avec la connaissance parfaite de l’arabo-musulman d’Afrique du Nord, tentons de faire comprendre, depuis 57 ans, sans être entendus par nos dirigeants qui s’échinent à vouloir faire, de ces immigrés, de bons Français.

[…] Il est impossible d’imposer des normes démocratiques actuelles et viables Françaises ou suisses aux résidents nord-africains qui n’ont jamais vécu dans des conditions de Français ou d’institutions démocratiques suisses. Impossible, n’est-ce pas ? […]

Comme j’ai aimé cette assertion, non dénuée d’un certain humour, formulée interrogativement. Parce que nous savons que nous ne pourrons jamais faire, de ces musulmans, des clones de Français, de Suisses ou d’Américains.

[…] Ils ont essayé de leur imposer ça ; Ils ont essayé de leur imposer quelque chose dont ils n’avaient jamais entendu parler […]

Je n’irai pas au-delà de ce sujet dans cette interview.

Pour la bonne raison que, aujourd’hui, les Français européens sont plus inquiets de l’ampleur grandissante de l’islam rigoriste dans toutes les couches de la population musulmane que de l’avenir du pétrole Venezuelien.

Et je dois reconnaître que Monsieur Poutine a eu raison de relever cet aspect de notre démocratie.

Une démocratie qui demande aux Français non-musulmans de renoncer aux valeurs ancestrales de notre République, de notre Constitution et donc, de nos lois pour être en « adéquation » avec ces nouveaux venus, musulmans, qui ne reconnaissent ni nos valeurs ancestrales ni notre Constitution ni nos lois.

Cette démocratie française, telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui,  expose les non-musulmans à deux modes de vie : le mode Européen et l’autre, arabo musulman. A deux justices, l’une républicaine et l’autre coranique.

A la partition.

Ne dites pas non.

N’avons-nous déjà pas vu des jugements prévus des mois à l’avance dont les Cours de justice repoussent la date au prétexte d’un « ramadan religieux » ? Pour rester dans la « justice », comment peut-on ne pas condamner un violeur d’enfant, ou violeur simplement, au prétexte que sa religion et son mode de vie n’est pas celui qui est pratiqué en France ?

N’a-t-on pas, déjà, reculé devant leurs dogmes religieux dans notre vie de tous les jours ? Leur alimentation, leur habillement, leurs prières dans les rues, leur religion qui envahit notre espace culturel chaque jour un peu plus ?

Jusqu’à quelle extrémité nous condamnera cette pensée libérale, ce progressisme ?

A accepter, demain, que nous soyons poignardés par quelque farfelu musulman trop religieux qui n’aime ni les Juifs ni les Chrétiens comme le lui commande son coran ?

Certains diront que dans « sa logique », Monsieur Poutine s’assoit sur « les Droits de l’Homme ».

Mais, nous sommes aussi « des Hommes », n’avons-nous pas, aussi, des Droits ?

Pour quelle raison, au prétexte que nous avons eu une vie plus heureuse que d’autres venant de pays africains ou arabes, devrions-nous, aujourd’hui céder cette place que nous réservions à notre progéniture ?

Quelle faute avons-nous commise pour être punis de cette manière ? Sommes-nous coupables d’avoir étudié, travaillé, obéi et respecté nos lois ? Sommes-nous accusés d’avoir évolué positivement au cours des siècles par le labeur et l’abnégation de soi afin de transmettre à notre descendance la valeur du savoir et ses acquis ?

Pour quelles raisons nous accuse-t-on, aujourd’hui, d’être insensibles au malheur des déshérités ? N’avons-nous pas, selon les Ecritures ou simplement selon notre cœur aidé notre prochain ?

Et faudrait-il que, pour aider ceux qui ont beaucoup d’argent à y gagner, nous renoncions à un avenir normal pour nos enfants en obéissant à de monstrueux lobbies qui manipulent nos dirigeants en causant notre perte ?

La France se perd. Elle perd son authenticité, son identification. Elle laisse entrer ceux qui veulent la détruire. Et ils la détruiront.

Elle aurait dû prendre exemple sur Israël.

Ce petit pays, si fort, si loyal, si courageux, entouré de toute part par ces musulmans auxquels elle tient tête et devant qui elle ne pliera jamais.

Voilà le seul exemple de pays que l’Europe devrait suivre.

Mais elle reste aveugle et sourde au bon sens.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

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