Mercredi 7 août, un homme a poignardé à mort quatre personnes et blessé deux autres à Garden Grove et Santa Ana, dans le Comté d’Orange en Californie.
Les crimes ont apparemment commencé comme des vols et se sont transformés en une série de coups de couteau, selon la police, qui, mercredi soir, essayait d’amener l’homme à expliquer ce qui s’était passé.
Le lieutenant Carl Whitney de la police de Garden Grove a déclaré que le mobile semblait être le vol, ainsi que la colère et la haine. La police a déclaré que rien n’indiquait que les attaques étaient motivées par des motifs raciaux.
Il s’agit d’actes de violence commis au hasard – le suspect ne connaissait aucune des victimes”, a déclaré Whitney lors d’une conférence de presse.
50 ans de destruction des valeurs humaines
Je vais vous expliquer ce qu’il se passe.
La gauche a travaillé pendant cinq décennies à la destruction des piliers traditionnels de la société humaine et des repères stabilisateurs de notre civilisation, et maintenant cette société folle et inhumaine qu’ils ont créée au nom des minorités et du progrès est en train de nous détruite.
Je vais vous expliquer ce qu’il se passe.
Il était un temps où nous avions un sens. Nous avions un père et une mère qui nous disaient quel était le sens de la vie, un Dieu qui nous aimait et une communauté qui nous ressemblait et qui avait besoin de nous.
Il était un temps, si quelque chose nous arrivait, un grand nombre de personnes nous venait en aide. Aujourd’hui, la grande majorité des gens peuvent à peine compter sur leurs proches.
Je vais vous expliquer ce qu’il se passe.
Dans la plupart des familles, on a l’impression que personne ne se soucie plus de vous. Les gens n’ont plus de véritable communauté, et Dieu n’existe plus. Vous les croisez dans la rue. Ils courent, ils s’activent. Vers quoi courent-ils ? Quel est exactement leur but ? Ils ne le savent pas eux-mêmes.
Une société éviscérée
Nous avons créé une société qui n’offre presque rien de ce qui rend les gens vraiment heureux. La famille, la communauté, l’appartenance spirituelle – ce sont les fondements traditionnels du bonheur humain – sont en train de disparaître rapidement sous les coups répétés de l’idéologie progressiste.
Avec la destruction de la famille, de l’église, de la Nation, de la communauté et du pays, les raisons pour lesquelles les gens ont toujours existé risquent de disparaître aussi. Le résultat est prévisible, il est déjà visible dans les grandes métropoles : perte de sens, isolement, dépression, anxiété, découragement, abus de drogues, suicides, crimes et violence.
Lorsque nous parlons de la violence, personne ne parle plus jamais des causes profondes. Sujet tabou, non progressiste.
Par paresse d’esprit, refus de réfléchir, envie rapide de désigner un bouc-émissaire commode qui ne se défendra pas, tout est mis sur le dos de la consommation, du matérialisme. Rien, strictement rien n’est dit sur les vraies causes. Pourquoi certains sont-ils tombés dans l’excès matérialisme ? Quelle alternative ont-ils, lorsque tout le reste a été maudit ?
Qu’est-ce qui a changé ?
Les politiciens et les “experts” posent toutes les mauvaises questions. Trop d’armes ? (Nous avons toujours eu des armes). Trop d’injustice ? (La société n’a jamais autant aidé les faibles, les modestes, les défavorisés, et porté attention aux minorités) Les jeux vidéo et les films violents ? (Ils l’ont toujours été). Faut-il plus de lois ? (On en a plus qu’on ne peut en garder la trace, et il est loin le temps ou nul ne pouvait ignorer la loi tant elle est volumineuse et que les réglementations l’ont supplantée).
Les institutions mises au rebut
- Ce qui a fondamentalement changé, c’est que nous avons écarté ceux qui réglementent les institutions sociales qui ont aidé les gens à comprendre leur valeur et leur place dans ce monde depuis des milliers d’années. Leur déclin ne se reflète pas seulement dans l’augmentation des fusillades de masse, mais plus généralement dans une foule de statistiques qui révèlent une épidémie de désespoir.
Par exemple, le taux de décès dus à la drogue. Par exemple, le taux de suicide. Par exemple, le nombre de personnes vivant seules. Par exemple, la courte durée des mariages, contractés de plus en plus tard. Par exemple, le refus d’avoir plusieurs enfants. Par exemple, la baisse du niveau et la hausse des échecs scolaires.
- Ce qui a changé, c’est la mort de la famille et le déclin de la foi.
Les enfants nés hors mariage sont passés de 20 % en 1985 à plus de 40 % en 2013.
Les statistiques sur la criminalité suivent presque exactement la même tendance.
Le nombre de membres de l’Église est passé de 70 % en 1998 à 50 % aujourd’hui.
En Europe, les églises et les familles se sont vidées, les salles de shoot et les prisons, se sont remplies.
Ces statistiques du désespoir montrent ce qui arrive quand les gens sentent qu’ils n’ont aucune place, aucun but et plus aucune valeur évidente.
Isolement poussé
La technologie exacerbe le phénomène d’isolement en nous permettant de rencontrer les gens depuis notre ordinateur et notre smartphone, et en nous encourageant à nous isoler pour le faire.
La technologie permet aux gens de vivre leur vie complètement seuls.
Les gens s’assoient devant leurs jeux vidéo, devant Facebook et Instagram, et ils se livrent à leurs fantasmes sociaux, sexuels, politiques ou létaux. Ils regardent de la pornographie sans fin, s’isolent dans des bulles idéologiques qui renforcent leur haine, leur ressentiment, et leurs idées désespérées. Ils crachent en ligne ce qu’ils ont peur de dire en face parce que le face-à-face n’est plus “politiquement correct”.
Antidote
Le remède à cette infusion toxique est de rencontrer d’autres personnes d’une manière bénéfique à l’épanouissement de l’homme : rencontrer des hommes, des femmes, des gens qui ne pensent pas comme nous, des gens à qui parler.
Le remède, ce sont les institutions qui ont satisfait la condition humaine depuis des millénaires : la famille, la communauté et la foi. Retrouver ces institutions que la gauche a détruites. Si nous les perdons, nous les tuons, nous nous tuons.
Les êtres humains ne sont pas conçus pour l’isolement. Ils ne sont pas conçus pour l’incroyance. Ils ne sont pas faits pour l’absence de but. Ils ne peuvent pas vivre sans désir de bâtir, de construire, de travailler, et de s’exprimer dans le travail. Ils n’aiment pas vivre sans frontières, sans pays, sans langue à eux, sans valeurs communes.
Nous avons besoin de liens profonds et significatifs.
Nous avons besoin d’une famille, d’une communauté.
Nous sommes infiniment attirés par la vie et l’amour des autres.
Nous avons besoin de personnes et d’institutions pour nous aider à naviguer dans le monde, pour nous aider à voir que nous avons un but, pour découvrir ces buts, pour les nourrir et en comprendre l’importance, pour nous aider à les poursuivre, et à les atteindre.
Nous avons besoin d’institutions humaines, pas d’institutions bureaucratiques ou politiques, et encore moins des réseaux sociaux, pour nous aider à comprendre ce qui est bien et ce qui est mal.
Nous avons besoin de rejeter l’infini désespoir du relativisme absolu où tout se vaut et inversement et plus rien ne veut rien dire, ce relativisme imposé par les idées progressistes, afin de retrouver un sentiment de clarté morale qui nous aidera dans les moments difficiles ou désespérés auxquels nous sommes tous confrontés.
La gauche a supprimé les structures sociales fondamentales qui ont permis à l’humanité de s’épanouir, et nous nous étonnons que de mauvaises choses se produisent.
Nous savons tous très bien ce qui arrive quand les enfants grandissent dans des familles monoparentales : augmentation du suicide, de la consommation de drogues, du décrochage scolaire, des grossesses chez les adolescentes et des troubles mentaux.
Nous nous doutons bien qu’il arrivera la même chose aux enfants des familles homosexuelles.
Nous savons ce qui se passe lorsque les collectivités se détériorent : l’isolement, la solitude, la perte de sens, et le déclin des normes sociales.
Quand nous détruisons l’église, l’institution même qui a été le fondement de nos valeurs, de notre moralité pendant des milliers d’années, le désespoir, l’immoralité, le relativisme et le mal s’installent.
Quand nous rejetons les valeurs judéo-chrétiennes qui ont été le fondement de la morale, du droit et de la justice, quelles valeurs remplaceront la morale, le droit et la justice ? La théorie du genre ? La punition des blancs ? Le véganisme ? L’islam ? La religion écologique ? La 5G et l’ordinateur quantique ?
Quand nous détruisons nos racines, notre civilisation et nos repères culturels qui ont construit et organisé notre société, nos valeurs communes, notre langue et notre inconscient collectif, et laissons les progressistes tout détruire, le rejet, la haine, la méfiance, le désespoir et le vide prennent le contrôle.
Combinez tout cela, et nous avons exactement ce qui se passe.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Excellente analyse! J’aurais pu l’écrire. Pas aussi bien, certes, mais c’est exactement ça, le constat que le vrai fléau, c’est la gauche et tout ce qui vient de la gauche. Tout ce qu’elle produit est mortifère à tous les niveaux dans tous les domaines depuis toujours. En fait, la gauche et son idéologie produisent les effets exactement inverses de ce qu’elles prétendent désirer ou promouvoir, tout cela toujours au nom du “Bien”, à défaut de Dieu. On a envie de lui dire: “Stop, ne touche surtout à rien, sinon tu vas encore tout casser”. Par contre, je serais beaucoup moins indulgent que l’auteur en ce qui concerne sa tentative de comprendre les gens qui se laissent séduire par les idées de la gauche: “Par paresse d’esprit, refus de réfléchir, envie rapide de désigner un bouc-émissaire commode qui ne se défendra pas, tout est mis sur le dos de la consommation, du matérialisme”. Vous êtes vraiment trop gentil.
@Patrick Boulechitey
“le vrai fléau, c’est la gauche et tout ce qui vient de la gauche. Tout ce qu’elle produit est mortifère à tous les niveaux dans tous les domaines depuis toujours.”
Si la gauche n’existait pas, il faudrait l’inventer. Quel merveilleux bouc émissaire elle fait !
M. Grumberg, ce que vous décrivez la est effrayant de vérité, c’est un texte à faire lire à toute la jeunesse qui a été manipulée depuis des années et dont un bonne partie ne s’intéresse pas ou plus au vraies valeurs de la famille, de la foi, et vie dans une société uniquement axée sur la consommation à tout va, dernière console de jeux, dernier model de TV, dernier film sortie en salle, etc… et naturellement pour les plus nantis, les vacances presque toute l’année, c’est un peu ce que je constate autour de moi, c’est la fin de notre civilisation.
Je vais faire suivre votre texte comme une bouteille à la mer dans l’espoir que quelques uns l’ouvriront et surtout ouvriront les yeux.
Nous connaissons tous, à moins de vivre seul sur une île perdue au milieu de nulle part, des collègues, des voisins, des parents qui sont profondément de gauche.
Si des millions d’électeurs ne votaient pas pour des partis de gauche, celles et ceux qui restent profondément attachés aux valeurs de la société judéo-chrétienne n’assisteraient ( maujo) pas à la destruction méthodique de notre civilisation.
Vous êtes vraiment trop gentil (*) M. GRUMBERG, car les responsables – mais pas coupables – de ce gâchis, de cette auto-destruction, sont autour de nous, parmi les nôtres.
Un électeur sur deux, ce sont ces braves gens qui refusent de voir à quel point la perte des valeurs morales décrites dans l’article est nocive pour chacun d’entre-nous et que ce poison génère une société de pantins ridicules, des bipèdes constamment surveillés, épiés, traqués, soumis, hyper taxés…. mais contents.
(*): Patrick Boulechitey
Bien d’accord avec vous,je le constate aussi autour de moi.
Le pire dans tout ça est que ces “bonnes gens” constatent par ailleurs que tout part en vrille.
DésEducation Nationale,lavage de cerveau permanent,ou plus simplement neurones déficients ?
En France ça dure depuis les fameuses (fumeuses) “Lumières”,quel massacre.
Espérons que le “réveil des peuples” ne soit pas un feu de paille.
Magnifique article de JPG qui devrait être enseigné dans les lycées, collèges et universités (mais qui y serait censuré dans les tentacules de la gauchosphère).
Même Raymond Devos voyait venir cela, il y a plus de 20 ans :
https://www.youtube.com/watch?v=6UrxVhT18PU
Ils ont remplacé DIEU par Satan le dieu de ce monde…..mais plus pour bien longtemps
https://lesobservateurs.ch/2019/08/08/la-pieuvre-soros-nouveau-rappel-des-centaines-dorganisations-soutenues-par-ce-criminel/#comment-298048
Le progressisme dont Jupiter se vante est un processus de destruction distillé à petites doses par le N.O.M pour changer les peuples,pour soumettre les peuples par le terrorisme intellectuel et annihilation de la liberté de penser !! Soros
Macron, Merkel , le pape et d’autres sont là pour rétablir l’age des ténèbres sur la terre
Exactement.
L’éducation, l’éducation, l’éducation.
Jean-Patrick Grumberg, félicitations pour cet article …(de foi).
“Il n’y a plus aujourd’hui, comme il y avait dans les sociétés précédentes, de modèles (‘le Philosophe’, ‘le Chrétien ou le ‘Rationaliste’) auxquels nous puissions nous identifier ou nous opposer ; maintenant, nous sommes tout ce qu’on veut – c’est à dire n’importe quoi. N’importe-quoi, c’est à dire rien, et il n’est pas donné à tout le monde de s’en contenter… Les seuls buts que nous offre notre société consistent à acquérir et dépenser : à condition de vous en donner la peine, de la part de la droite ; parce que vous le méritez de toute façon, de la part de la gauche.” (*)
Aiguillonnés par la gauche et ses lendemains qui devaient chanter, nous nous sommes débarrassés des contraintes représentées par les classes sociales, la religion, la famille et la patrie.
Et ce faisant, nous avons perdu l’ambition et ses corollaires : le goût du risque et de l’effort ; le sentiment de nos devoirs envers les enfants que Dieu nous a confiés ainsi que la confiance en l’autorité de nos parents ; la rigueur morale qui nous permettait de contrôler nos impulsions ; la sérénité, la joie que nous donnait l’espoir d’une justice parfaite dans l’autre monde ; et la solidarité et le courage pour défendre notre pré carré et notre culture.
Et l’art, qui naît de contraintes que nous avons également rejetées, est également défunt.
Le bilan, on commence à le percevoir, est effroyable.
(*) (Robert Bolt, extrait de la préface de sa piece “A Man for all Seasons” – ma traduction).
Ce carnage est vraiment une histoire de fou qui sort de l’ordinaire. Le forcené est d’origine hispanique. Il a 33 ans, se déplace en auto et n’a aucune arme au départ.
1) La scène commence par un banal cambriolage. Parmi le butin figure une collection de longs poignards, dont il se servira plus tard.
2) Il se rend ensuite dans une boulangerie, dont il vide le tiroir caisse. Aucune violence envers la propriétaire de l’endroit qui assiste à la scène sans dire un mot.
3) Puis il revient à l’endroit du cambriolage, où malheureusement les deux habitants viennent d’arriver. C’est là que le voleur semble vraiment perdre les pédales. Il les poignarde à maintes reprises, les laissant pour morts.
4) Puis il quitte les lieux pour commettre un vol dans une entreprise qui encaisse les chèques, tout en utilisant ses poignards pour tenir les clients en respect.
5) Nouveau vol dans un bureau d’assurance. Cette fois, il en profite pour poignarder une employée qui lui fait face. Elle devrait survivre.
6) Puis il se rend faire le plein dans une station service et poignarde le pompiste qui voulait se faire payer. Lui aussi devrait survivre.
7) Nouveau vol dans un restaurant Subway où il poignarde à mort un client, apparemment pour le simple plaisir de la chose.
8) Nouveau vol dans un magasin 7-11. Il poignarde à mort le gardien de sécurité qui
tentait de le maîtriser, et lui prend son arme de service.
9) En sortant, il voit la police qui le tient en joue, et dépose gentiment toutes ses armes sur le sol.
Bilan: 4 morts et 2 blessés. Toutes les victimes sont d’origine hispanique, à l’exception des deux personnes cambriolées.
La scène serait rocambolesque si elle n’était pas tragique. De toute évidence, les meurtres n’étaient pas prémédités. Le type semble être devenu fou furieux lorsqu’il a réalisé à quel point il était facile de tuer avec les longs poignards.
Louis Morin, et vous pouvez ajouter ceci : les médias mainstream vont accuser TRUMP.
Zachary Castaneda, membre de gang hispanique (peut-être illégalement entré en Amérique, qui sait), était une brute dangereuse ayant déjà commis de multiples violences et qui n’aurait jamais dû sortir de prison. Il a bénéficié de la loi # 109 “Public Safety Realignment Act” qui permet de remettre en circulation les condamnés supposés non dangereux avant la fin de leurs sentences – simplement parce que la Californie est débordée par le nombre croissant de prisonniers et que ses prisons sont surchargées.
C’est un exemple de la politique gauchiste traditionnelle des deux côtés de l’Atlantique : on suscite l’immigration, on accueille n’importe qui y compris la racaille afin de gagner des électeurs, laissant ainsi la violence s’installer dans la population (les politiciens, eux, sont protégés par des services de sécurité armés jusqu’aux dents et de hauts murs autours de leurs résidences), et lorsque le nombre de condamnés explose, on les remet en liberté.
Les victimes, ce n’est pas grave, il y aura des bougies et des fleurs à leur intention, et puis on passera à autre chose.
Le Chef de la Police de Garden Grove a fait appel aux politiciens pour remédier à la situation : “Je vous supplie de reconsidérer votre politique concernant le système de justice pénale. Le mouvement de balancier en faveur des criminels est allé trop loin, de sorte qu’il est devenu quasiment impossible de protéger nos populations contre la multiplication des actes de violence dans nos communautés.”
Pas d’illusions à se faire, les gauchistes des deux côtés de l’Atlantique resteront sourds à ce genre d’appels désespérés.
Merci pour les précisions !
Très bonne analyse e monsieur Grumberg
Quand nous rejetons les valeurs judéo-chrétiennes qui ont été le fondement de la morale, du droit et de la justice, quelles valeurs remplaceront la morale, le droit et la justice ? La théorie du genre ? La punition des blancs ? Le véganisme ? L’islam ? La religion écologique ? La 5G et l’ordinateur quantique ?
Nous y somme déjà
Au niveau de la famille par exemple
On enlève les mots pères et mères sur les certificats de naissance
Une famille n’est plus constituer d’un père et d’une mère…mais de 3 papas et de 2 ou 3 mamans ou les enfants sont trimbaler d’un endroit a l’autre par la garde partager
Doivent s’identifier comme parent 2 ..parent 4 etc
Ensuite la nouvelle famille solo parental ( différent de la famille mono parentale ) qui est constituer d’un enfant et d’une femme qui ne veux pas d’homme dans sa vie et l’inverse
Et si vous vous questionnez sur l’absence d’un père ou d’une mère dans la vie d’un enfant c’est que vous manquez d’ouverture et que vous êtes borner ……je me le suis fait dire
Elle est aussi constituer chez les LGBT de 2 ou 3 papas pas de maman….ou de 2 mamans pas de papas etc
Ensuite le comble du ridicule chez une certaine gauche activiste minoritaire LGBT ce sont les gays for Islam
La gauche se bat pour les toilettes transgenre et si une journée vous vous sentez plus femme que homme vous pouvez utiliser la toilette réserver aux femmes et l’inverse
Et si vous ne savez plus de quel genre vous êtes vous vous identifier par X
L’extrême gauche se bat pour la punition de l’homme blanc et sa purification par l’Islam
L’ultra gauche écolo recommande de ne plus faire d’enfant pour sauver la planète …mais seulement dans les pays occidentaux
Il est intéressant de constater que ceux qui divisent les gens selon leur couleur de peau, genre, orientation sexuelle ….c’est toujours la gauche qui se prétend unificatrice .
La gauche se charge de détruire tout les repères de la société au nom du progressisme
Pendant ce temps les gens marchent par dizaines de milliers dans les rues ,les endroits publiques comme des zombies les yeux rivés constamment sur leur smartphone
Ils ne regardent plus a peu près personne ,ne vous disent plus bonjour… même pas bonjour au caissier ou a la caissière d’un commerce tellement ils sont concentrer les yeux rivés
sur leur sapré bidule
Et justement,
Les Juifs viennent de célébrer Ticha Béav.
Jour de deuil, suite à l’expérience des 12 explorateurs: les Juifs s’étaient éloignés de Dieu, ils ont alors eu les pires malheurs.
Cet épisode de la Torah montre que l’homme s’égare quand il s’éloigne de Dieu et de Ses Écritures.
Une réponse dans la première lecture de ce jour.
Livre d’Osée 2,16b.17b.21-22.
Ainsi parle le Seigneur :
Mon épouse infidèle, je vais l’entraîner jusqu’au désert, et je lui parlerai cœur à cœur.
Là, elle me répondra comme au temps de sa jeunesse, au jour où elle est sortie du pays d’Égypte.
Je ferai de toi mon épouse pour toujours, je ferai de toi mon épouse dans la justice et le droit, dans la fidélité et la tendresse ;
je ferai de toi mon épouse dans la loyauté, et tu connaîtras le Seigneur.
Quelque part entre le désenchantement du monde de Kant et l’arraisonnement d’Heidegger, votre analyse me ramène au temps de mes études. Je ne pensais pas alors que ces philosophes pouvaient à ce point avoir raison. Douloureux à lire votre article mais bien dans cette lignée de vérité.
La mort de Dieu fait suite à la mort des dieux et déesses (lesquelles sériaient bien le masculin et le féminin) écrasés par un Dieu voulu totalitaire plutôt que source des dieux et déesses, retour du bâton ? Il me semble qu’on a depuis extrêmement longtemps perdu une conception de base, laquelle servait de référence, laquelle ne reste qu’à l’état de trace (dans l’alphabet fondamentalement resté incompris par exemple), laquelle ne peut qu’être ignorée de la “science” moderne…
En écho au texte de JPG, je me demandais bien ce que j’aurai pu dire. Voilà, c’est fait. Je ne suis pour ma part pas nostalgique du monde de la pédagogie noire, monde de la suprématie des adultes égard aux enfants, monde de l’enseignement robinet-bidon… Suis heureux d’avoir découvert l’approche de Carol Dwerck qui met en opposition l’état d’esprit fixe et l’état d’esprit en développement…
Dans quelle mesure le Je s’affichant comme une unité, laquelle à mes yeux ne peut être de ce monde, ne serait pas source d’erreur…
@ Josick
Personne ne parle d’une suprématie des adultes égard aux enfants. L’enfant n’est certainement pas l’adversaire de l’adulte, et vice-versa.
Tout enfant sur cette terre (à part peut-être 1 sur 1 million) a besoin d’un modèle, d’un guide, et d’une autorité.
Si vous enlevez cela, vous obtenez des gosses révoltés, des casseurs black-bloc, des banlieues qui flambent, et maintenant des post-ados instables, extrémistes vegan, no-border et dégenrés radicaux. Le tout à la fois.
Ouvrez les yeux. Et après on reparlera de l’esprit fixe et l’esprit en développement juste pour voir lequel des deux se développe dans la bonne voie.
Ce n’est même pas une question de pédagogie: c’est tout simplement la marche du monde et le coeur de la nature humaine depuis des millénaires.
Autrefois, qu’un enfant ouvre la bouche et c’était un coup de casquette… On est passé d’un extrême à l’autre, de l’enfant complétement mis sous la table, à l’enfant roi. Ne me faites donc pas dire ce que je n’ai pas dis…. et n’oubliez pas le mot “état” pour qualifier l’état d’esprit fixe… Ce concept s’apprécie à la lecture de celui qui l’a développé…
Parait que l’enfant doit être orthopédié… oui mais avec respect…
Les enfants qui ont pris des coups de casquette ont maintenant 40-50-60 ans et sont extrêmement fiers de s’être pris ces coups de casquettes et de faire partie de cette génération-là, et j’en fais partie.
Ensuite, le socialo-gauchisme a infesté, gangrené et broyé l’Education Nationale de haut en bas, et on en est arrivé là.
Arretez! Louis Morin, le gauchiste, vous fera remarquer que :”Si la gauche n’existait pas, il faudrait l’inventer. Quel merveilleux bouc émissaire elle fait !”
Et bien, moi, Louis Morien, je vomis les socialos-gauchistes!
J’oubliais…..
Les morts et blessés devraient vous remercier Louis Morin!?
Vous ne vous rendez même pas compte que vous confirmez ce que je dis.
@rico, je repose ce que j’ai posté il y a plus d’une heure et qui semble s’être évanouie dans la nature…. Cela arrive ! Cela me permet d’ajouter un lien !
@Rico, j’ai maintenant 62 ans et cette relation à sens unique m’a empêché de dénoncer le fait que préscolaire, la mauvaise bonne jouisseuse (ma mère étant constamment alitée) m’avait pris, retenu et utilisé corporellement pour assouvir sa jouissance sexuelle. Bloqué sentimentalement, la mémoire m’en est brutalement revenu à 22 ans.
En 6ième, le prof d’anglais directeur de l’école catholique (curé défroqué gauchiste) nous a interdit d’aller voir les traductions à la fin du livre, devoir lui poser des questions si on ne comprenait pas, ce que évidemment mon, notre conditionnement nous empêchait de faire. J’ai respecté la consigne constatant vexé en fin d’année que tous, sauf moi, allait consulter le dictionnaire. Ainsi mon apprentissage de l’anglais a été saboté et je restais une vie durant prisonnier de cette #FranceARayerDeLaCarteMondiale, (France qui a basculé de la coercition, au sans contrôle) tentant sans succès de m’échapper… et finalement découvrant des racines extrêmement profondes. cf. mon commentaire https://www.dreuz.info/2019/08/05/a-ceux-qui-pretendent-que-les-evangiles-ne-sont-pas-fiables/comment-page-1/#comment-745948
Très beau texte, une analyse fine et implacable. Merci.
TRES JOLI cet article de JPG. Et surtout PUISSANT car les vérités fondamentales qu’il nous assène, sont exprimées dans un langage simple et efficace !..
Je transfère ‘à gogo’, pour faire partager mon plaisir. Merci.
Julien Green (1900 – 1998): La Bible est une lettre personnelle adressée à chacun de nous par Dieu.