Ce serait un puissant briseur du mythe réchauffiste, l’auteur climato-sceptique qui parviendrait à démontrer combien l’adjectif cartésien et la notion même de rationalité sont inapplicables à l’Église de climatologie. Les prophéties alarmistes du GIEC nous délivrent de l’usage habituel des mots cartésien, méthodique et logiquement cohérent.
Une grave erreur de langage serait ainsi effacée et, d’autre part, on verrait disparaître ces tics de langage réchauffistes du GIEC superflus et l’invocation du patronage cartésien à propos de tous les rapports du GIEC impliquant une suite de croyances contre les idées.
Le GIEC, le fabricant du mythe réchauffiste est, avec une quasi-unanimité, considéré à la fois comme un modèle de renoncement à toute rigueur intellectuelle et comme le négateur du rationalisme scientifique moderne. Les opinions du GIEC, à vrai dire, doivent être démasquées et révélées.
La première opinion du GIEC relève d’un examen du système de croyances du GIEC, à défaut de preuve, utilisé par le GIEC dans son idéologie scientiste. C’est dire que le GIEC se doit de conforter les hypothèses de l’Église de climatologie et les mythes auxquels elle est arrivée, cela compte tenu des problèmes qui se posent à l’époque de l’infantilisme climatique de Greta. Le système de croyances du GIEC implique le rejet sectaire des résultats obtenus par d’autres chercheurs climato-sceptiques qui disposent, eux, des informations vraiment scientifiques et rigoureuses sur l’évolution du climat.
La seconde opinion du GIEC soulève la question du rationalisme dans les sciences du climat.
Le GIEC peut difficilement être rangé parmi les institutions rationalistes s’il néglige obstinément toute information contraire à ses hypothèses et toute vérification scientifique critique pour elles. Rigueur dans la méthode et rationalisme doivent donc, normalement, aller de pair dans les sciences. Mais il reste que les adeptes irrationalistes de l’Église de climatologie peuvent manifester une grande capacité d’organisation pseudo-logique dans l’exposé de leur doctrine réchauffiste, au moins quant à la forme.
Inversement, si des chercheurs climato-sceptiques rationalistes peuvent sembler travailler dans un désordre apparent, il faut savoir que ce désordre n’a de réalité que psychologique. Des dogmatiques sectaires peuvent être d’une exemplaire méticulosité dans l’argumentation, sans jamais être rationnels.
Le GIEC peut adhérer à un irrationalisme global et mal défini, comme on adhérerait à n’importe quelle évocation métaphysique ou religieuse ou encore par conformisme social, comme ce qui a pu se produire quand régnait le scientisme du XIX ème siècle qui a pu être décrit comme une suite d’explosions irrationalistes. Que le GIEC soit le nouveau prophète de type moderne de l’Église de climatologie, c’est incontestable. Reste à savoir dans quel sens il faut entendre cette expression de prophète, et quelle est la fonction de prophète que doit remplir le GIEC dans l’ensemble de la culture moderne. Cette fonction de prophète ne coïncide pas avec la rigueur scientifique moderne, ni même à la rigueur intellectuelle.
Si le GIEC est le prophète de l’Église de climatologie, c’est qu’il a la mission d’assumer ce qu’il y a de moderne dans le remplacement de la culture antireligieuse moderne et du marxisme athée.
Si le GIEC est bien le prophète moderne de l’Église de climatologie, c’est qu’il est désormais au centre du scandale réchauffiste actuel et au centre de la propagande réchauffiste dominante. C’est dire que l’existence même des chercheurs climato-sceptiques rationalistes, c’est-à-dire les défenseurs d’une science indépendante de l’idéologie et étrangère à la religion, est hostile aux méthodes idéologiques de l’Église de climatologie. Dans l’idéologie du GIEC, le conflit ou la comparaison entre la science du climat et l’idéologie réchauffiste ne peuvent pas être conçus, puisque ce que le GIEC entend par science, c’est la croyance réchauffiste. Après la naissance de l’Église de climatologie contre la science du climat, qui lui est en grande partie étrangère, l’idéologie réchauffiste dominante a subi un tour radical dans le refus du savoir issu la science. Le XVIII ème siècle des lumières est le premier moment où la différence entre science et idéologie est perçue comme une nécessité absolue et comme un fait culturel fondamental.
La méthode requise pour la pratique de la science du climat est distincte du mode de croyance traditionnel propre à la religion réchauffiste de l’Église de climatologie. Le grand Newton a souligné l’incompatibilité de ces façons de penser : “Mon but n’est pas d’expliquer les propriétés de la lumière à l’aide d’hypothèses, mais de les exposer et de les démontrer par la raison et par les expériences.”
Il a ajouté : “Je n’imagine point d’hypothèses… Je n’ai pu encore déduire des phénomènes la raison des propriétés de la gravité et je n’imagine point d’hypothèses. Car tout ce qui ne se déduit point des phénomènes est une hypothèse et les hypothèses métaphysiques, ni celles des qualités occultes, ne doivent pas être reçues dans la science expérimentale.” Ces déclarations du grand Newton sont la répétition des principes de Galilée. Pour Newton comme pour Galilée, il ne s’agit pas de condamner les hypothèses, au sens d’explications plausibles, quoique non encore entièrement vérifiées. (J.F. Revel)
Les recherches de Newton sont elles-mêmes remplies de telles hypothèses, sans lesquelles la science n’existerait pas. Mais le caractère hypothétique d’une interprétation peut tenir à ce qu’elle se situe à la frontière de la connaissance des faits, telle qu’elle est au moment où le savant les interprète.
Mais elle peut tenir, au contraire de la science, à ce que la spéculation ignore, volontairement ou non, ou même refuse, de considérer les faits. C’est la deuxième sorte d’hypothèses, les hypothèses gratuites que pointe Newton, comme l’indique l’emploi des mots “forger de toutes pièces”, “fabriquer arbitrairement”. Ce qui est à la base de la critique, c’est la distinction entre hypothèse scientifique et hypothèse gratuite. (J.F. Revel) Le problème est de se demander pourquoi et comment le GIEC a adopté la méthode de l’Église de climatologie qu’il l’a lui-même pratiquée, puisqu’il avait pour son propre compte renoncé d’emblée à toute ambition scientifique au profit de la méthode religieuse scientiste.
C’est la méthode qu’il a lui-même inventée et qu’il a réussi à imposer dans ses rapports fumeux pour les médias dominants, afin de créer un nouveau type d’idéologie réchauffiste pour rendre compte de la nouvelle négation religieuse du savoir, selon les préceptes de l’Église de climatologie !
(librement inspiré de J.F. Revel, “Descartes, inutile et incertain“)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard : c’est fort joli ce que vous écrivez. Pourtant, moi, l’imbécile que je suis désire, que vous me donniez des faits, rien que des faits. En vous lisanlt je n’arrive pas à comprendre pourquoi FACTUELLEMENT le GIEC est-il le fabricant subventionné du mythe réchauffiste moderne ?
“En vous lisant je n’arrive pas à comprendre pourquoi FACTUELLEMENT le GIEC est-il le fabricant subventionné du mythe réchauffiste moderne ?”
Peut-être parce que cet article se contente d’affirmer la chose sans preuve ? Mais c’est un site climato-sceptique ici, alors il faut s’y faire.
Parce qu’il y a suffisamment de preuves irréfutables fournies par les travaux des véritables experts internationaux qui prouvent les arrangements et les mensonges de cet organisme politique sous tutelle de l’ONU…cliquez Vincent Courtillot par ex. François Gervais et beaucoup d’autres
Je dois donner raison à Norma. Étant moi même ingénieur de formation j’ai l’habitude de démonter une hypothèse erronée par des faits. De plus ce qu’on appelle aussi rigueur scientifique est de pouvoir être clair et concis. Tout ce que je lis ici est la mise en application de ce que vous reprochez au GIEC et un article de plusieurs dizaines de lignes pour ce qui pouvait être résumé en une ligne: “Le GIEC ne se base pas sur des faits, mais sur une thèse considérée comme acquise”. Cela s’appelle parler pour ne rien dire en language courant. En somme une diatribe qui à l’instar prétendument de ceux que vous attaquez ne se base sur aucun fait.. Perte de temps pour vos lecteurs…
c’est vrai que les prophètes de malheur du climat assombrissent l’horizon comme l’ont fait dans le passé des courants de type apocalyptique ou aujourd’hui certains mouvements sectaires…
mais je ne suis pas sûr que la référence à la période des Lumières soit opérante.
Les Lumières se sont démarquées de certaines confusions, certes, mais il n’est pas certain que la science et l’idéologie aient bien été distinguées, vu les résultats par la suite dans la société.
@ Abbé Alain René. Voici une interview fort intéressante du professeur Furfari, qui est un ami personnel et aussi accessoirement Président des Eglises Evangéliques belges: https://www.rtbf.be/lapremiere/article/detail_samuele-furfari-prof-de-geopolitique-de-l-energie-a-l-ulb?id=9513203
Inutile de dire qu’il a été vivement critiqué pour avoir osé prendre position contre la prophétesse Greta …
Il y a eu la grande peur de l’An 1000, aujourd’hui on nous martèle la grande peur du Réchauffisme. La science a progressé, mais la propagande s’appuie sur le goût de l’irrationnel et l’envie de certains de croire à des foutaises millénaristes.
Le GIEC n’est pas une instance que scientifique, c’est , ce qui fait sa puissance mondiale, une instance dans l’ONU “politico-financièro-scientifique” suscitée au début et tenue par Al-Gore le “Poulidor” de la présidentielle américaine reconverti en protecteur phare écolo-apocalypse CO2.
Du Blabla pour rien. Aucun fait.
Et les faits rapportés par un autre, vous savez le vacancier alpin, sont ridicules.
Ce n’est pas la peine de nous monter les photos de vacance du troll dans les Alpes italiennes qui nous déclare :”la terre ne se réchauffe pas. Il a neigé dans les Alpes”.
-Ah bon ? Mais toute cette neige , petit troll, tu l’as apportée dans ton sac à dos et tu l’as étalée ?
– Non
– Elle est arrivée seule alors ?
Petit Troll ne sait pas que pour qu’il neige quelque part , il a fallu une forte chaleur sur la mer et les lacs pour faire évaporer les centaines de milliers de tonnes d’eau vers le ciel et la faire traverser des milliers de km avant de retomber sur les Alpes .
Petit Troll ne va pas prendre des photos lorsqu’un morceau de calotte glacière grand comme la Corse se détache de l’Antarctique, il nous montre pas les photos des glaciers alpins prisent au début du siècle. Non seulement un peu de neige tombée dans les Alpes, rien sur les fontes exceptionnelles cet été au Groenland. Seulement ces photos de vacances.
La terre se réchauffe et n’importe qui peut le constater. le dérèglement climatique existe bel et bien.
Est-il du à l’homme et seulement à lui , là est la question.
Peut-on l’endiguer ?
Doit-on s’y préparer ? encore une question intéressante
Perso, Je ne pense pas que le réchauffement soit du à l’homme seul.
Mais je pense qu’il faut sérieusement revoir la gestion de l’eau et de l’énergie.
SVP, Soyez un peu sérieux vous discréditez Dreuz et les combats plus sérieux contre l’anti-sémitisme , le terrorisme, le remplacement sont du même coup eux aussi discrédités.
“Soyez un peu sérieux vous discréditez Dreuz et les combats plus sérieux contre l’anti-sémitisme , le terrorisme, le remplacement sont du même coup eux aussi discrédités.”
C’est aussi exactement ce que je pense. Mais il faut se rendre à l’évidence : même si Dreuz se décrit comme un site chrétien américain conservateur pro-israélien, il est aussi devenu un site climato-sceptique.
Pas vraiment non. Dreuz n’est pas devenu climat-sceptique.
A) nous n’avons jamais douté que le climat existe : des Iles Vierges à Rungis, le climat est différent.
B) le réchauffement climatique, comme explique JPG, a quatre volets : 1- la Terre se réchauffe-t-elle ou pas. Pas certain du tout. 2 – l’homme est-il responsable d’un réchauffement ? Si la Terre se réchauffe, c’est conforme à son cycle historique. 3 – Le CO2 est-il la cause du réchauffement ? Le C02 est nécessaire à la vie, donc cela semble peu probable. 4 – L’homme peut-il refroidir la Terre ? Vous avez déjà vu la taille des océans ? Alors laissez-moi rire !
C) Dreuz a été créé en 2007. Ses premiers article contre les bouffonneries du réchauffement datent de … 2007 !
“Dreuz n’est pas devenu climato-sceptique.”
Vous voulez dire qu’il l’est depuis sa création ? D’accord, j’admets que je me suis trompé sur ce point. Mais ça ne ne fait que renforcer mon argumentation : par souci de transparence, Dreuz devrait se définir comme un site chrétien, américain, conservateur, pro-israélien et climato-sceptique (ou climato-réaliste si vous aimez mieux ce terme).
Pour ce qui est du paragraphe B :
B1 est une opinion minoritaire même chez les scientifiques climato-sceptiques. Une majorité d’entre eux admet l’évidence, c’est-à-dire que la planète se réchauffe.
B2 est à moitié vrai. Il est certain que la planète a toujours eu (et a toujours) des périodes naturelles de réchauffement et de refroidissement, mais en quoi cela empêcherait-t-il l’humanité de contribuer aujourd’hui au phénomène ?
B3 sonne vraiment bizarre. Le CO2 est nécessaire à la vie, mais il peut aussi induire un réchauffement par effet de serre. L’un n’empêche pas l’autre, car les deux n’ont rien à voir. Penser le contraire est comme dire qu’un joli légume (ou qui sent bon) ne peut pas goûter mauvais.
B4 est aussi bizarre. Les océans ont jadis pu être considérés comme immenses, mais ce n’est plus le cas. Il n’existe plus aucun recoin océanique non pollué par les plastiques et des milliers d’autres substances d’origine humaine. Par contre, nonobstant la taille des océans, il est vrai qu’il est beaucoup plus facile pour l’homme de réchauffer la Terre que de la refroidir. Une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre pourrait tout au plus limiter l’ampleur du réchauffement.
Vrai que ce texte n’est pas très scientifique! Pour ceux qui veulent des précisions: ouvrir le lien
https://laphysiqueduclimat.fr Très complet et compréhensible par toute personne ayant eu des cours de sciences corrects.
Réchauffement oui
Du uniquement à l’home
Non
Gardons nos forêt et nos océan poumons de la terre
FECAN PHYSICIEN