Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 11 août 2019

L’éminent télé-évangéliste climatologue et glaciologue Jean Jouzel veut imposer une révolution dans nos modes de vie, au nom de l’Église de climatologie. Il a froid dans le dos depuis qu’il a ausculté la banquise durant cinquante ans. Jean Jouzel, télé-évangéliste climatologue du GIEC, est une figure incontournable de l’Église de climatologie dans la propagande du réchaufisme planétaire contre le réchauffement climatique.

Julie Rambal, Le Temps : “Croyez-vous encore à la possibilité de limiter le réchauffement climatique ?

Jean Jouzel : “De nombreux pays ont du retard par rapport à leurs engagements dans l’Accord de Paris sur le climat. Ces engagements sont insuffisants et nous emmènent vers un réchauffement d’au moins 3 degrés d’ici à la fin du siècle (où sont les preuves pour dans 100 ans ?), quand il faudrait le limiter à 1,5 degré par rapport aux conditions préindustrielles, soit un demi-degré de plus qu’aujourd’hui. Nous souffrons d’un manque de solidarité (pour une contrainte) internationale alors que l’universalisme (stalinien) est nécessaire.

“Depuis les élections américaine et brésilienne, qui sont associées à de nouvelles augmentations de gaz à effet de serre, c’est une catastrophe ! (Ben voyons !) Les riches trouveront toujours des endroits où il fait bon vivre, mais les pauvres (qui devront payer des taxes anti-CO2 !) risquent de s’appauvrir encore plus.

“Il y a 10 ans, quand les climatologues évoquaient des températures (moyennes) supérieures à 50 degrés en Europe après 2050, les gens souriaient. Cet été, dans le Sud de la France (la canicule) a atteint 46 degrés (ce qui n’a rien à voir avec des températures moyennes, mais pour le sermon du télé-évangéliste, tout est bon !) Les conséquences de telles hausses “seraient” (Jouzel n’en sait rien) importantes : acidification de l’océan liée aux émissions de CO2, baisse de la biodiversité, diminution des précipitations, sécheresses à répétition, augmentation des risques de feux de forêt, appauvrissement des ressources, et flux migratoires importants liés à (Macron et à) toutes ces difficultés. Le niveau des mers “pourrait” (Jouzel n’en sait rien) monter de près d’un mètre d’ici à 2100, et de 2 à 3 mètres à la fin du siècle suivant ! (Même pas peur !)

“À l’échelle du millénaire (???), la calotte glaciaire du Groenland “pourrait” (Jouzel n’en sait rien) disparaître complètement, ce qui représenterait 7 mètres supplémentaires d’élévation ! (Même pas peur !)

“Pour atteindre l’objectif d’un réchauffement limité à 1,5 degré d’ici à 2050, il faudrait diviser par deux nos émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030, et que chaque investissement actuel soit déjà marqué du sceau de la lutte. Je commencerais par réformer les règles de l’OMC, qui sont l’épine dorsale du capitalisme, “en imposant une taxe carbone mondiale” permettant la transformation rapide de nos systèmes de production et l’abandon des combustibles fossiles. Mais (surtout les autres) devront faire preuve de sobriété individuelle.

“En limitant les déplacements (des autres) à l’autre bout du monde ! Car la sobriété ne consiste pas à faire les mêmes choses avec moins d’énergie, mais à (imposer aux autres des sacrifices pour) faire moins.

“Il faut (imposer) cette transition dès maintenant, car le réchauffement climatique est irréversible !

“(C’est) d’abord une injustice climatique ! C’est la jeune génération qui en subira les conséquences dès la seconde moitié du siècle, avec des régions où il sera quasi impossible de s’adapter. (Ben voyons !)

“C’est un monde que nous devons éviter en termes de civilisation. (???) Je ne crois pas à une fin de civilisation à l’échelle de la décennie, mais à une situation dramatique “dans cent ans” si nous ne faisons rien d’ici à 2050. Les collapsologues (les télé-évangélistes de la fin du monde) tirent toutes les conséquences du réchauffement climatique à leur extrême, sans base scientifique sérieuse, (comme) les données du GIEC qui sont alarmantes. Prêcher la fin du monde peut s’avérer dangereux en incitant les gens à penser : Foutu pour foutu, autant continuer ! Le GIEC reconnaît que le premier paramètre à l’origine de l’augmentation des gaz à effet de serre est “la croissance de la population“. Mais nous pouvons être 10 milliards sur terre en 2050 et réussir à limiter le réchauffement grâce à une transformation complète de notre système, tout comme nous pourrions n’être que 4 milliards et ne pas y arriver en se comportant comme les Américains actuellement !

“La mobilisation citoyenne est primordiale. Pour ma part, je me consacre au Pacte Finance Climat, un projet de banque européenne subventionnant à taux privilégié toute initiative s’inscrivant dans la lutte, et à la Marche pour le Climat. Plus nous serons nombreux, plus nos gouvernements comprendront l’urgence de la situation. La mobilisation des jeunes (avec Greta) me donne de l’espoir, et je souhaite inviter ceux qui rentrent sur le marché du travail à s’emparer de la transition énergétique qui nécessite recherche et inventivité.

“Ceux qui s’élèvent contre cette jeunesse (avec Greta, veulent) se persuader que le réchauffement climatique n’est pas leur problème parce qu’ils ont peur de changer leurs habitudes ou qu’ils ne seront plus là en 2050. C’est très réactionnaire et d’un égoïsme inouï de continuer à promouvoir notre civilisation accro à l’énergie fossile, l’avion, la voiture, la consommation, qui émet du CO2 sans compter ! (Ben voyons !)

“Si l’on continue d’accroître nos émissions jusqu’en 2050, on “pourrait” (Jouzel n’en sait rien) même atteindre 5 degrés de plus à la fin du siècle. Ce serait catastrophique. (Même pas peur !) Maintenant que la canicule a fait un pic de 46 degrés en Europe, personne ne peut (plus avouer) son climato-scepticisme. (???) 

Moralité : “Ce sont des climato-égoïstes“, dixit l’éminent télé-évangéliste climato-glaciologue Jouzel !

Hélène Combis, France culture : “Un rapport spécial du GIEC : l’humanité épuise les terres” (Le Monde), “Rapport du GIEC, les experts ressuscitent les remèdes de grand-mère pour sauver l’agriculture” (Huffington post), “Rapport du GIEC : (manger moins !) l’assiette idéale pour sauver la planète” (Le Soir)… Le GIEC a rendu un rapport spécial le 8 août pour dénoncer (et condamner) la surexploitation des ressources !

“Depuis 1979, les scientifiques et les modélisateurs du climat (dénoncent et condamnent) l’impact des activités humaines sur le réchauffement de la planète. Le météorologue américain Jule Gregory Charney, par ses travaux, avait démontré (où sont les preuves ?) que la multiplication par deux de la concentration en CO2 dans l’atmosphère “entraînerait” (il n’en sait rien) une hausse de la température terrestre comprise entre 1,5 et 4,5°C. C’est en 1988 qu’un groupe d’experts se constitue dans le cadre du G7, sur décision de l’ONU et de l’Organisation Météorologique Mondiale (pour manipuler les opinions), sur l’impulsion de deux dirigeants, la très-atlantiste Margaret Thatcher (qui voulait fermer les mines de charbon toujours très déficitaires en Grande Bretagne) et Ronald Reagan… deux acteurs phares de l’ultralibéralisme (et de l’affairisme) économique !

Un aveu de taille : “Nous ne comprenons pas complètement les gaz à effet de serre ni comment ils vont opérer, mais il est de notre devoir d’agir (contre les syndicats des charbonnages britanniques !). On nous dit qu’un réchauffement de 1°C par décennie “dépasserait” (personne n’en sait rien) de beaucoup la capacité de notre habitat naturel à faire face. Un tel réchauffement “pourrait” (on n’en sait rien) entraîner une fonte accélérée de la glace et une augmentation conséquente du niveau de la mer de plusieurs pieds au cours du prochain siècle”. Margaret Thatcher à la Royal Society (Académie des Sciences britannique) en 1988 !

“Les climato-sceptiques voient une coïncidence entre la création du GIEC par Margaret Thatcher, “la dame de fer”, en guerre, entre 1984 et 1985, contre les syndicats des mineurs du charbon (qui se soldera par le démantèlement de tous les puits du Royaume-Uni et par la crise morale et économique des mineurs.)

“Les scientifiques (partisans) du GIEC (doivent) recenser les travaux scientifiques (favorables au mythe du) réchauffement climatique et fournir un état des lieux (édulcoré) des connaissances (partisanes). Aujourd’hui, le GIEC regroupe des scientifiques (partisans de gauche) de 195 pays, la quasi-totalité des pays.

“Au mois de novembre 2009, la crédibilité des rapports du GIEC a été mise en doute par l’affaire dite du “Climategate”. 15 jours avant le Sommet du climat de Copenhague, des hackers ont piraté un millier de messages sur les serveurs de l’unité de recherche climatique (CRU) d’Est Anglia, au Royaume Uni. Leur but était de convaincre l’opinion publique que les scientifiques du GIEC truquaient les chiffres pour faire coïncider les courbes avec les prédictions les plus pessimistes et parvenir à un consensus de façade. Ils alléguaient aussi qu’existait “une tentative d’entrave de publications de travaux climato-sceptiques“. En pleine polémique, en déc. 2009, le climatologue (partisan) Gilles Ramstein intervenait dans le débat : “J’ai confiance dans cette somme de travail. Je pense que par rapport à l’enjeu du réchauffement climatique, le “Climategate” paraît un épiphénomène de l’histoire au regard de ce pourquoi le GIEC (manipulateur et partisan) tire l’alarme !

Conclusion du GIEC “sur les sols et le changement climatique” : “l’agriculture mise en cause !”

Urgence écologique et climatique : nous y sommes ! Dernier sermon du GIEC : Les pauvres doivent faire pénitence, se priver de voiture et manger moins ! Ils doivent semer et préserver la biodiversité (pour les riches en jets privés) dans les jardins pour leur environnement. Quand les clowns LREM de la république des homards se goinfrent sur le dos des contribuables surtaxés anti-CO2, les pauvres doivent manger le moins de viande possible, rouler à vélo ou aller à pied, faire un potager bio et naturel sur le toit des immeubles du 93 !

Valeurs Actuelles, François d’Orcival : “On roule sur la tête ! La Mairie de Paris et les Verts pavoisent. Finies les restrictions, les fermetures provisoires, la circulation alternée ou différenciée, maintenant on passe aux choses sérieuses : on interdit ! Depuis ce lundi 1er juillet, la direction de l’ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris est chargée des contrôles à l’intérieur de la capitale et des barrages à sa périphérie : 800 000 véhicules immatriculés en Île-de-France porteurs du macaron infamant Crit’Air 4 (et au-delà) sont dorénavant interdits de circuler de jour (aux heures de travail). Justification : la pollution de l’air.” Et la pollution des esprits !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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