Publié par Rosaly le 14 août 2019

Ô vous qui croyez ! Ne prenez pas pour alliés les juifs et les chrétiens. Ils sont alliés entre eux et, si vous les prenez pour alliés, vous deviendrez un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

Coran 5, 51

Le 8 juillet dernier, des djihadistes islamistes violèrent sauvagement une Chrétienne syrienne de 60 ans avant de la lapider à mort. Son calvaire fut d’une cruauté à glacer le sang des plus insensibles.

Depuis le début de la guerre, Suzanne Der Karkour s’occupait des champs d’oliviers et des arbres fruitiers de la propriété familiale, tout en enseignant l’arabe aux enfants de son village. Une fois retraitée, elle poursuivit son travail bénévolement auprès des jeunes du village de Kneye pour les aider à obtenir leur brevet et baccalauréat.

Quand, le 9 juillet au matin, personne ne vit Suzanne dans ce petit village de Yaqoubiya situé dans le gouvernorat d’Idleb en Syrie, le prêtre inquiet demanda à ses paroissiens de partir à sa recherche. Ils trouvèrent son corps atrocement mutilé et ensanglanté gisant à terre dans son champ, adjacent à sa maison.

L’autopsie révéla que Suzanne fut violée et torturée pendant 9 heures, avant d’être lapidée à mort par ses bourreaux. Tradition islamique : lapider la femme ou la petite fille après l’avoir violée. N’est-elle pas la tentatrice, la seule coupable de son malheur ?

Les monstres responsable de cette atrocité seraient des membres du groupe djihadiste al-Nusra, lié à al-Qaïda, groupe soutenu par l’Administration d’Obama, qui qualifia ces être immondes de « combattants de la liberté ».

Parmi ceux qui la violèrent et la lapidèrent à mort, il y avait d’anciens étudiants et voisins musulmans de Suzanne, devenus membres d’al- Nusra. Jamais, Suzanne, dont le cœur était pur et plein de bonté envers son prochain, n’aurait pu imaginer qu’un jour, elle verrait dans les yeux de ses anciens étudiants et voisins une telle sauvagerie, une telle dépravation, une telle haine. Cette meute de prédateurs humains, avides de sang, qui lui firent subir les pires outrages avec une sauvagerie, une cruauté inimaginables de la part d’un être humain , digne de ce nom, ne lui laissèrent aucune chance. Ces lâches «combattants de la liberté» s’attaquèrent en bande à une femme seule sans défense, comme ils savent si bien le faire.

D’ origine arménienne, Suzanne était probablement une descendante de ces Arméniens déportés en Syrie, qui survécurent au génocide des Chrétiens perpétré par les Jeunes Turcs au cours de la première guerre mondiale. Dans la tentative d’exterminer le plus grand nombre possible de Chrétiens, les Turcs massacrèrent environ 1.5 million d’Arméniens, 300.000 Assyriens et 750.000 Grecs.

Mais quel est donc ce dieu qu’ils adorent, qui se repaît de violences, de souffrances, se désaltère du sang d’innocents et s’enivre de l’odeur de la mort ? Certainement pas le D.ieu d’amour des Juifs et des Chrétiens, mais le dieu des démons.

On ne peut qualifier ces monstres d’animaux, ce serait une insulte envers ces créatures, plus humaines que ce dieu qu’ils glorifient en violant, torturant et lapidant une femme innocente. Que ressentit-elle lors de ces heures interminables entre les mains dégoûtantes de ces cafards humains répugnants, qui l’un après l’autre la déchirait et la blessait à sang avec une implacable cruauté ?

Poussèrent-ils leur cri de guerre «Allahou Aqbar» en souillant encore et encore Suzanne l’infidèle ?

En martyre, elle a rejoint le ciel et ses milliers de frères chrétiens, morts dans les arènes de la barbarie islamique. Quel média officiel parlera de Suzanne, de ce « trophée de guerre » pour les barbares de l’islam, devenue une ancre dans le ciel pour l’humanité ? Personne, car selon la légende médiatique, l’islam, c’est pas ça !

Ces tueurs ignobles, autrefois étudiants, amis ou voisins de Suzanne appartiennent à la troisième catégorie de musulmans, appelés les « dormeurs ». Ces derniers apparaissent comme des « modérés », mais se transforment en « radicaux » quand les circonstances leur deviennent favorables.

La question se pose alors : un non musulman peut-il faire confiance à son voisin ou ami musulman les yeux fermés ?

Quand les égorgeurs de l’EI entrèrent dans la ville syrienne de Hassaké, provoquant par là un exode massif de Chrétiens, de nombreux musulmans considérés comme « normaux » rejoignirent les rangs de l’EI et se retournèrent instantanément contre leurs voisins chrétiens de longue date, devenus soudainement leurs ennemis.

Ce changement s’opéra à chaque fois que des groupes terroristes islamistes entraient dans une ville.

Les témoignages suivants proviennent de non musulmans, la plupart des chrétiens réfugiés, ayant fui ces régions d’Irak et de Syrie qui tombèrent sous le joug de l’EI.

Ces « modérés » , ces « non violents » montrèrent leur véritable visage quand le “saint” djihad enflamma leur ville.

Georgius, un habitant de l’ancienne ville chrétienne de Ma’loula en Syrie raconta comment des voisins musulmans, qu’ils connaissaient depuis toujours , se transformèrent en monstres, semblables à ceux qui violèrent et lapidèrent Suzanne, quand les mercenaires d’al-Nusra envahirent la ville en 2013.

« Nous connaissions nos voisins musulmans depuis toujours. Oui, nous savions que la famille Diab était radicale, mais jamais nous n’aurions pensé qu’elle nous trahirait. Nous partagions nos repas, nous sommes tous des frères humains. Quelques membres de la famille avaient quitté la ville plusieurs mois auparavant et nous pensions qu’ils avaient rejoint al- Nusra, mais leurs femmes et leurs enfants étaient toujours ici. Nous nous occupions d’eux. Puis, deux jours avant l’attaque lancée par al- Nusra, la famille quitta soudainement la ville. Nous ne savions pas pourquoi. Et puis, nos voisins conduisirent nos ennemis parmi nous. Georgius vit un jeune membre de la famille Diab, armé d’une épée, guidant des djihadistes étrangers vers les maisons des Chrétiens. Nous ne comprenions pas : nous avions d’excellents relations. Jamais, nous n’ aurions imaginé que nos voisins musulmans allaient nous trahir. Tous, nous lui dirent: « svp, laissez cette ville vivre en paix, nous n’avons pas besoin de nous entre-tuer. Mais ce fut un bain de sang. Il guida les islamistes d al – Nusra pour nous éradiquer, nous les Chrétiens de la ville. Certains musulmans que nous fréquentions étaient de braves gens, mais jamais plus je ne ferai confiance à l’un d’eux à l’avenir. »

Une adolescente chrétienne de Homs, Syrie raconta aussi son histoire :

« Nous sommes partis, car ils voulaient nous tuer. Ils voulaient nous tuer, parce que nous somme Chrétiens. Ils nous appelaient les Kafirs, les infidèles. Même les petits enfants nous insultaient. Nos propres voisins se retournèrent contre nous. A la fin, nous pûmes nous échapper à travers les balcons, car nous n’osions pas nous enfuir par la route. J’ai gardé le contact avec quelques amis chrétiens restés là bas, mais je suis incapable de parler à mes anciens amis musulmans. Je le regrette, je n’ai plus confiance. »

A la question :

« qui menaçait et chassait les Chrétiens hors de Mossoul en Irak ? » un réfugié chrétien répondit :

« Nous quittâmes Mossoul à cause de l’arrivée des djihadistes de l’EI dans la ville. Les musulmans sunnites de Mossoul accueillirent les djihadistes de l’EI, les saluèrent et participèrent à la chasse aux Chrétiens. Ces gens étaient nos voisins, oui nos voisins et ils nous ordonnaient d’un air menaçant de quitter la ville. Où devions-nous aller ? Les Chrétiens n’avaient aucun soutien en Irak. D’ autres infidèles comme les Yézidis, par exemple, considérés comme hérétiques, subirent la même trahison de la part de leurs voisins musulmans. »

En parlant de l’invasion de son village par les égorgeurs de l’EI, un Yézidi de 68 ans raconta :

« Les djihadistes non irakiens étaient des Afghans, des Bosniaques, des Arabes et même des combattants américains et britanniques. Mais les pires massacres furent perpétrés par des gens vivant parmi nous, nos voisins sunnites. Les tribus Metwet, Khawata et Kejala étaient nos voisins, mais elles rejoignirent l’EI, prirent les armes , et dénoncèrent aux tueurs de l’EI les familles Yézidis. Ils leur permirent de conquérir la ville. »

Lors d’une interview, on demanda à une femme Yézidi comment elle expliquait la trahison de ces gens, avec lesquels elle avait grandi, qui soudainement rejoignaient l’EI et s’en prenaient sauvagement à son peuple, elle répondit :

« Je ne peux vous répondre de manière précise, mais cela doit avoir un rapport avec leur religion. La raison est leur religion. Ils nous demandaient constamment de nous convertir, mais nous refusions. Cela doit être religieux. »

Ce phénomène n’est pas limité à l’EI en Syrie et en Irak. Au Nigéria – une nation qui ne partage pas grand chose avec la Syrie et l’Irak, hormis l’islam – une attaque djihadiste détruisit 5 églises et fit de nombreuses victimes chrétiennes. Elle fut facilitée par des « musulmans locaux », qui auparavant entretenaient des liens amicaux avec les Chrétiens de la région.

Les musulmans de la ville accompagnaient les djihadistes de Boko Haram et leur indiquaient les églises et les magasins appartenant aux Chrétiens, qui étaient ensuite détruits par les terroristes islamistes. Dans un cas, un musulman demanda aux membres de Boko Haram de ne pas brûler une certaine église, non par altruisme, mais tout simplement parce que sa maison était adjacente à l’église et aurait aussi pu prendre feu. L’église fut épargnée.

Ce phénomène n’est pas non plus lié à un quelconque de ces griefs musulmans actuels, que ce soit l’existence d’Israël, les caricatures soi disant blasphématoires ou la difficulté de trouver un emploi, ces raisons mentionnées par les têtes pensantes occidentales pour rationaliser, justifier, minimiser la haine musulmane envers les kafirs.

L’anecdote suivante, qui remonte à plus d’un siècle, tirée du livre de Sir Edwin Pears : Turkey and its people (London: Methuen and Co, 1911, p.39) est éloquente :

« … Une nuit mon mari rentra à la maison et dit que les sultan avait ordonné de tuer tous les Chrétiens de notre village, et que nous devions tuer nos voisins. J’étais furieuse et lui dit que je me fichais de savoir qui donnait cet ordre, car il avait tort. Ces voisins avaient toujours été gentils avec nous … mais mon mari les tua, il les tua de ses propres mains. »

Il s’agit dans les cas ci-dessus de musulmans appartenant au troisième groupe, les « dormeurs » qui se dissimulent entre « modérés » et « radicaux » et dont l’allégeance peut changer instantanément et sans aucune hésitation.

D’aucuns pourraient objecter, que la délation et la collaboration avec l’ennemi furent aussi monnaie courante en Europe pendant la deuxième guerre mondiale. Des citoyens de confession juive furent dénoncés aux occupants allemands par leurs voisins, leurs amis… Ces ignobles traîtres n’agissaient pas pour des motifs religieux, mais tout simplement par haine et/ou par cupidité, afin de s’approprier des biens de leurs victimes, livrées à la Gestapo.

Les musulmans eux sont motivés par leur idéologie pseudo religieuse : l’islam et cela dure depuis 14 siècles entre périodes d’accalmie et période de guerre.

Quelques sourates, choisies au hasard, descendues directement du paradis d’Allah, remplies d’amour, de tolérance et de paix à l’égard des Juifs, des Chrétiens et des mécréants, ces souillures à combattre, à conquérir, à soumettre et/ou à tuer en raison de leur foi :

Les viols des femmes faites prisonnières est permis, même en présence de leurs maris : « Vous sont interdites vos mères, filles, soeurs… et parmi les femmes, celles qui ont un mari, sauf si elles sont vos captives de guerre ». (sourate 4.23-24)

« Dis : « Puis-je vous informer de ce qu’il y a de pire, en fait de rétribution auprès d’Allah ? Celui qu’Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le ?agut, ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit » (sourate 5, verset 60)

« Les infidèles parmi les gens du Livre, ainsi que les Associateurs iront au feu de l’Enfer, pour y demeurer éternellement. De toute la création, ce sont eux les pires. » (sourate 98, verset 6)

« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la ?alat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (sourate 9, verset 5)

« Les Juifs disent : «Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ? (sourate 9, verset 50)

« Ô vous qui croyez ! Les associateurs ne sont qu’impureté: qu’ils ne s’approchent plus de la Mosquée sacrée, après cette année-ci … » (sourate 9, verset 28)

« Allah a maudit les infidèles et leur a préparé une fournaise pour qu’ils y demeurent éternellement, sans trouver ni alliés ni secoureur. » (sourate 33, versets 64-65)

« Ceux qui ne croient pas et meurent mécréants recevront la malédiction d’Allah, des anges et de tous les hommes. » (sourate 2, verset 161)

« Les pires bêtes, auprès d’Allah, sont ceux qui ont été mécréants et qui refusent toujours de croire . » (sourate 8, verset 55)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • « Une chrétienne syrienne violée et assassinée à Idlib » (SOS Chrétiens d’Orient)
  • « When and why muslim friends betray » Raymond Ibrahim (FrontPage Mag)

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