Donald Trump est constamment accusé d’être raciste.
Cette accusation est un classique des Démocrates et perd de plus en plus de sa force auprès du public, même si les médias s’en font généreusement l’écho. Cela ne veut pas dire qu’il faille laisser dire sans réagir.
Pourquoi Trump n’est pas raciste ?
Est-ce parce qu’il est une personnalité publique depuis trente ans, et que personne ne l’a jamais accusé d’être raciste – je veux dire, personne avant qu’il ne devienne président ? Non
Est-ce parce qu’il a de nombreux amis Noirs ? Qu’il a beaucoup travaillé pour améliorer leur situation personnelle et qu’en conséquence, leur taux de chômage est au plus bas ? Non.
Est-ce parce que plus de noirs ont voté pour lui que pour le candidat Républicain à la présidence en 2012, Mitt Romney ? Non plus.
Alors pourquoi ? Parce que des personnalités noires se sont publiquement exprimées en son soutien ? Pas plus.
Mais alors, pourquoi ?
Pour une raison simple. L’auteur de ces lignes suit de près le candidat et la présidence Trump depuis 2015. Et je ne l’ai jamais entendu prononcer une seul parole raciste. Jamais.
Et il se trouve que je ne suis pas le seul.
Le célèbre auteur de best sellers politiques et historiques (25 millions d’exemplaires vendus – aucun auteur au monde n’a vendu autant de livres non-fiction que lui) et journalist Bill O’Reilly vient de déclarer :
Alors que j’effectuais des recherches pour mon prochain livre “Les États-Unis de Trump”, nous n’avons pas trouvé un seul exemple où le président discutait de la couleur de la peau d’une manière péjorative ou faisait la promotion d’une domination des blancs caucasiens.
Pas de propos raciste, pas de comportement raciste, pas de décision, d’actes ou réglementations racistes, cela veut dire, pas raciste. Mais aucune réalité n’arrête jamais les médias dans leurs délires.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
je suis une fouille merde et avant de louanger quelqu’un je fait beaucoup de vérification et c’est vrai que j’ai chercher partout ….. et je n’ai rien trouver contre Trump a ce sujet concernant le racisme car pour lui tu es Américain si tu passe le Pays en premier peu importe tes origines + c’est un signe distinctif fréquent chez les Newyorkais que voir , vivre , cohabiter , travailler avec tout les ethnies du monde entier bref Trump est fier de son Pays et le monde en général ne le comprend pas car le Patriotisme est maintenant critiquer dans tout les universités … vive Trump
Depuis les primaires de 2015, et que Trump est devenu le candidat des républicains, ce n’est que du Trump bashing. Les médias sont idiots, déjà, ça saoule le téléspectateur, qu’on soit américain, français, espagnol ou chinois, il est “normal” d’en avoir marre d’entendre parler en mal du président des USA : avec les médias (à l’exception de la fox) tout est négatif, le tableau est plus que noir, tout ce qu’il dit est mauvais, mal, à connotation raciste ou je ne sais quoi…Heureusement que les gens (hormis les moutons de Panurge) ont un minimum de discernement pour voir que Trump n’est pas si diabolique que ça (et à cela je rajouterai que l’esprit du Malin s’est emparé de la gauche un peu partout sur terre…, vu les coups tordus, les mensonges, les magouilles, l’hypocrisie, la méchanceté et la violence dont ils font preuve dans chaque nation). Et vraiment, je souhaite, pour le bien des Etats-Unis, qu’il soit réélu en 2020, le combat s’annonce âpre car même si les candidats démocrates sont des canulars ambulants, ils font des dégâts comme c’est pas possible, Trump devra user de toute son intelligence, sa finesse, être un fin stratège et surtout demander l’aide de Dieu pour qu’il réussisse dans sa tâche !
Ce que la gauche appelle raciste, c’est à 98% un patriote, un homme qui aime son pays, qui veut protéger son capital économique et humain (c’est à dire sa culture et le spirituel). On a ici un peu plus d’expérience dans l’Europe décadente donc on connait le problème. C’est un des rares domaines dans lequel l’Europe a de l’avance par rapport aux US
De toute façon il est parfaitement légitime d’être raciste, et parfaitement illégitime de le pourfendre chez les autres ou de s’en défendre. Être raciste c’est simplement être conscient d’une réalité naturelle : les différences entre les races. Être raciste signifie donc simplement être réaliste, avoir conscience de cette réalité. On ne choisit pas d’être raciste car on ne choisit pas d’avoir un esprit réaliste et rationnelle capable de prendre conscience de cette réalité : un raciste perçoit la réalité, l’analyse correctement et ne peut se voiler la face parce qu’une idéologie morale, actuellement dominante suite au traumatisme causé par le nazisme, n’accepterait pas cette réalité.
Cela n’a rien à voir avec la “haine”, accusation machinale et irrationnelle qu’envoie toujours les pseudo-antiracistes. Il n’y a pas besoin de haïr qui que ce soit pour être “raciste” (je n’ai jamais ressenti de haine envers une personne d’une autre race que la mienne pour cette seule raison, la bienveillance et le respect de l’être humain, quelque soit sa race, m’habite en général, tout en étant parfaitement “raciste” par définition, par ma seule conscience de la différence). Le racisme, au sens propre et étymologique du terme, c’est simplement “savoir la différence”, la considérer et ne pas se la nier. Il s’agit simplement d’avoir les yeux ouverts et d’analyser raisonnablement et non idéologiquement (moralement) ce que l’on voit.
Maitriser les bases de la biologie, de la génétique et de la théorie de l’évolution ça aide aussi beaucoup à comprendre le comment de cette réalité, et le caractère inéluctable de ces profondes différences raciales, qui sont parfaitement héréditaires, génétiques, mais cela n’est pas forcément donné à tout le monde.
Je ne peut pas m’opposer rationnellement à la réalité biologique de ce bas monde : je ne suis pas Dieu ni la déesse Nature, je n’ai pas créé le monde ni ses lois biologiques. Ce n’est pas moi qui suis responsable de cet état de fait : je ne suis pas coupable de réalité naturelle. Je suis “raciste” pour le simple fait d’être conscient de cette réalité qui me dépasse. On ne peut donc pas me reprocher d’être simplement capable de la voir et de la rapporter telle qu’elle est. Il n’est donc pas légitime de me reprocher d’être “raciste”.
La race c’est comme le feu, c’est très dangereux, ça brule, mais ça existe. On ne peut pas supprimer son existence. Et nier son existence par peur de ses dangers est encore plus dangereux que de la comprendre et de la maitriser, on courre systématiquement vers l’incendie dévastateur, inéluctable un jour ou l’autre si on ne comprend pas ses lois naturelles les plus élémentaires. Maitriser la notion de race, ses caractéristiques, ses lois, est aussi dangereux si on en fait un usage malveillant, mais peut être prodigieusement bénéfique si on fait un usage bienveillant. Pour éviter les catastrophes, on a donc pas le choix : on ne peut pas nier l’existence de la race, on doit la maitriser, et on doit en faire bon usage. Maitriser cette notion est essentielle à la survie de tout peuple, quel qu’il soit, qui se définie essentiellement par sa race, la plupart des paramètres sociétaux en étant la conséquence. Ne pas vouloir maitriser cette notion c’est aussi devenir la victime toute désignée de ceux qui en font des usages malveillants (qui n’a pas remarquée que beaucoup d'”anti-racistes” sont en fait des racistes anti-blancs fanatiques, ou des antisémites ?)
Avant de “traiter” quelqu’un de raciste , il faut se poser la question essentielle :
POURQUOI les gens deviennent racistes ?………………
Les gens ne naissent pas racistes !!!!!!!!!!
Toutes causes à effet .
Il me semble que Trump est plutôt un patriote civique.
Racisme, dans sa vie personnelle il a partagé sa vie avec une afro-américaine, Kara Young, est ce suffisant, je n’en sais rien, mais avouez que pour un raciste c’est une surprise.
Il a nommé pendant son mandat des personnalités afro-américaines à des postes haut-placés de la Défense et dans l’administration : Lorna Mahlock femme noire générale du corps des US Marines, Charles Brown un vétéran de l’USAF au niveau d’un CEMA (chef d’état major des armée), un Ben Carson neurochirurgien républicain fait partie de son gouvernement, il promeut la carrière de la très dynamique Kimberley Klacik pour relever le cloaque démocrate de Baltimore.
Il ne semble pas marquer de dégoût lorsqu’il serre la main d’un homme noir ou fait la bise à une femme noire.
En fait, ce que ne supportent pas les démocrates et les gauchistes c’est qu’un conservateur puisse ne pas être raciste( alors qu’ils le sont bien davantage en essentialisant toutes les différences)alors ils le démonisent.
A ce titre, ils en ont fait autant avec la juge Amy Coney Barrett qui a adopté deux enfants orphelins haïtiens.
L’argument du racisme, comme celui de l’antisémitisme est l’arme nucléaire anti conservateurs que brandissent tous les extrémistes de gauche.
La seule faiblesse de Trump est sans doute sa personnalité polarisante sur d’autres sujets où il n’est pas politiquement correct et dès le départ tout a été fait pour le détruire.Et cela malheureusement lui coûtera, peut-être, sa réélection, ce qui n’est pas encore dit.
Il aurait eu une personnalité plus “rangée ” et “intellectuelle “comme un Ron Paul, peut-être cela eut il changé la donne.
Pour Trump, et je suis un métis d’islandais et d’ultra -marin, alors pour ce qui est du racisme de Trump, cet argument on le ressort toujours pour tout candidat, dans le monde occidental qui, sans être raciste est simplement patriote et attaché un tant soit peu à l’identité de son pays.
Le problème n’est ni ethnique ni racial, ni même religieux, même s’il faut reconnaître que cela reste marqué dans les cultures anglo-saxonnes plus communautaristes et ségrégationniste (pourtant on ne peut pas dire que
les cadres démocrates, socio-démocrates et socialistes montrent l’exemple d’un joyeux mélangisme!à part ke maire gauchiste de New York M.de Blasio), mais il est profondément politique, anticonservateur anti souverainiste, anti patriotique et rien d’autre, le camp prétendument progressiste est avant tout un camp clientéliste et globaliste.
Je ne sais pas quelle sera la solution pour lui faire clouer son bec sur le front du racisme, peut-être alors l’élection d’une femme noire conservatrice comme une Kimberley Klacik voire lesbienne comme Candace Owens, ou encore une femme homosexuelle, paraplégique hispanique.
Voilà où le délire multiculturel et ses conséquences multi conflictuelles conduisent de grands pays.
C’est désespérant.