La presse est déjà remarquablement malhonnête en dissimulant au public que les deux membres Démocrates du Congrès américain, à qui Israël a interdit l’entrée, sont deux virulentes antisémites, et qu’elles militent pour la destruction d’Israël. Surtout, rien ne justifie qu’ils ignorent l’organisation néo-nazie qui a cofinancé leur voyage.
Dans un article publié dans la National Review, David French a parcouru le site internet de Miftah, l’organisation qui avait financé le voyage d’Ilhan Omar et Rashida Tlaib en Israël. Il a trouvé que “c’était comme éplucher un oignon du mal” : “une couche après l’autre d’antisémitisme vil”, et un “scandale national.”
Bien qu’il se présente comme une organisation pacifique vouée à la promotion des institutions démocratiques palestiniennes, Miftah entretient depuis des années des liens notables avec des sympathisants terroristes.
- Hanan Ashrawi, fondateur et président du conseil d’administration de Miftah, a minimisé les attentats terroristes palestiniens lors d’un entretien en janvier 2017 en déclarant “vous ne pouvez pas adopter le langage de la communauté internationale ou de l’occupant en décrivant quiconque qui résiste comme un terroriste.”
- Le site internet de Miftah décrit Wafa Idrees, une femme qui s’est fait exploser en janvier 2002, tuant une personne de 81 ans et blessant 150 Israéliens, comme l’une des quelques jeunes femmes qui ont choisi de “rejoindre les rangs du mouvement de résistance”.
- Enfin, Miftah a été contraint de se rétracter et de s’excuser en 2013 pour un article publié sur son site qui accusait le peuple juif d’utiliser “le sang des chrétiens dans la Pâque juive”. Rien à voir avec Israël ou le sionisme : du pur antisémitisme.
D’autres que David French ont fait le travail de recherche. Rien n’est plus facile, pour un journaliste honnête. Il est reste peu, je sais.
Elder of Ziyon, le blogueur considéré comme la voix la plus influente en Amérique pour dénoncer l’antisionisme, avait mâché le travail pour la presse. Il vient de le rappeler :
Miftah, qui devait être le guide touristique de @RashidaTlaib et @Ilhan, a publié un article néo-nazi qui se plaignait du contrôle juif sur les médias et de la façon dont il dépeint négativement les racistes blancs.
Rien sur le sionisme. De la haine purement antisémite.
Le journaliste Seth Mandel, du Washington Examiner, a expliqué, sur Twitter, que l’information sur ce groupe néo-nazi est si facile à trouver, que CNN, le New York Times et le Washington Post avaient forcément choisi volontairement de l’ignorer. Impossible de ne pas ajouter les médias français : aucun n’en parle.
Rien n’excuse en effet les journalistes de la grande presse de ne pas avoir fait leur élémentaire travail d’enquête. Le métier, ce n’est pas d’enterrer les informations qui ne collent pas avec un narratif écrit à l’avance. Et surtout pas d’ignorer des groupes néo-nazis parce qu’ils sont palestiniens.
Je ne pense pas que les journalistes qui ignorent l’antisémitisme et la dimension néo-nazie de cette affaire soient en position de donner des leçons de morale en matière de lutte contre les incitations à la haine – s’agissant de l’antisémitisme, ils en deviennent les facilitateurs.
Que ce soit Isabelle Hanne et Guillaume Gendron dans Libé ; Gilles Paris et Claire Bastier dans Le Monde ; A. Lechien et Jérémy Audouard sur RTBF ; Marc Henry dans Le Figaro ; Théo Mercadier pour La Croix ; Guillaume Lavallée de l’AFP ; Gaël Vaillant du JDD ; Alexandra Jaegy sur BFMTV ; Louis Rigaudière à RTL et bien d’autres, ces journalistes, moi qui suis juif, j’ai intérêt à beaucoup me méfier d’eux.
Leur inexcusable silence soutient tout simplement l’horreur antisémite.
Quoi, dès l’instant où l’antisémitisme ne vient pas des “nationalistes blancs” ou en France, de “l’extrême droite”, ils l’ignorent ?
S’ils ne se lèvent pas aujourd’hui en temps calme pour défendre les valeurs humanitaires les plus élémentaires, défendre la plus ancienne minorité opprimée au monde, ce n’est certainement pas eux qui me soutiendront contre cette déferlante haineuse contre ma race si demain elle explose encore.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Jean Patrick, les gens que vous citez, qui refusent de faire
leur travail de “journalistes”, sont donc des propagandistes:
en l’occurrence: de l’islam.
“Moi qui suis juif, dites-vous, j’ai intérêt à me méfier d’eux..
Ce n’est pas eux qui me soutiendront dans cette déferlante
contre ma “race”.
Ma question porte sur ce mot: être juif, est-ce faire partie
d’une “race” ou d’un peuple ?
Je crois que si vous adoptez le terme de race, vous justifiez,
d’une certaine manière toutes les recherches raciales qui
furent entreprises par les nazis, pour débusquer les Juifs:
traits physiques, correspondant, d’ailleurs, à des traits de
caractère forcément haïssables.
Les personnes de votre espèce m’em* profondément. Elles veulent imposer les mots que l’on doit choisir autrement dit non seulement ce que l’on doit penser mais aussi la façon de le penser. Alors si quelqu’un choisi le mot “race” ( je suis certain que l’auteur l’associe au mot “peuple”), dans le seul but de le dénigrer, ce ne peut être qu’un raciste. Alors je vous dis , en toute sérénité et connaissance de cause: écrivez plutôt dans un site comme oumma.com et allez vous faire fout*
@ C’estmoi
Je ne suis pas d’accord avec l’argument de Saskia mais il a parfaitement le droit de l’exposer. Un peu de tolérance, que diable !
Merci, Fleur de Lys, pour votre réponse intelligente et
pleine de tact.
Si vous êtes allée, ne serait-ce qu’une seule fois, en Israël,
vous pouvez comprendre ce que j’écrivais à Jean Patrick.
Il n’est que de se rendre à la Gare Centrale de bus, à
Jérusalem, pour VOIR qui sont les Israéliens, donc
les Juifs , là-bas ; l’extraordinaire variété des origines
de la population israélienne surprend, dans un premier
temps. Raison pour laquelle le terme utilisé par JPG me
semblait bizarre, dans ce cas précis.
Faisant une recherche rapide sur les Juifs indiens dont
le site Dreuz nous avait parlé, il y a quelque temps, j’ai
trouvé, sur jforum du 21 octobre 2013, un article sur les
Bnè Menashé ( descendants de cette tribu, apparemment).
“Ils sont consstitués de trois groupes ethniques, y est-il
dit: les Chin, les Kuki, les Mizo… Des tests ADN effectués
au sein du groupe, ne sont pas concluants”…
Je pensais donc qu’il était justifié de parler de “peuple
juif”, qui se réclame du même Livre saint, des mêmes
coutumes et rites, malgré les différences ethniques.
De rien Saskia, c’est tout naturel. En fait, je suis personnellement choquée ni par l’emploi de peuple ni par celui de race. Même si je sais, bien entendu, que ce dernier terme est connoté négativement en ce qui concerne les Juifs, comme vous l’avez rappelé. J’ai juste tendance à penser que l’idéologie de gauche dénature souvent des choses simples et qui ont un sens neutre pour les charger émotionnellement de façon a ce qu’on ne puisse plus rien dire. Et reéemployer les termes de race, genre, frontière, identité, assimilation, père, mère, chrétienté… font partie d’une forme de résistance, en quelque sorte.
Mais pour en revenir spécifiquement aux Juifs, le terme de peuple est sans doute plus approprié, celui qui me vient naturellement à l’esprit et qu’on nous enseigne dans la Bible. Pour être effectivement allée en Israël, j’ai pu noter les grandes différences physiques entre les gens selon leur pays d’origine. Mais curieusement, quand je les regardais, je ne voyais pas vraiment des Juifs mais des Israéliens. Comme si toutes ces différences avaient fini par se fondre pour forger un nouveau peuple, différent et en même temps frère du peuple juif en diaspora.
En effet, Fleur de Lys, l’idéologie gauchiste “dénature les
choses simples”, et il nous faut une belle énergie pour
rétablir ne serait-ce que les concepts naturels de père,
mère, frontière, etc…
Concernant le mot “race”, l’on a bien compris pourquoi
la gauche voulait l’enlever du vocabulaire, comme si, par
magie, l’on allait supprimer les différences physiques
entre les peuples, et donc le racisme.
Et, pour revenir au thème de l’article de Jean Patrick,
— que j’avais un peu laissé de côté—, je pense que le
projet des deux élues d’ extrême-gauche américaines
d’origine africaine correspond à d’autres , qui les ont
précédés, comme les “flottilles pour Gaza”: simples
provocations, destinées à démontrer la supposée
brutalité des Israéliens qui se défendent contre les
BDS et autres fans du Hamas.
Les enfants d’Israel se perçoivent comme les descendants d’Avraham, d’Isaac et de Jacob.
Les Juifs descendent de trois tribus (c.-à-d. trois fils de Jacob). Judah, Benjamin, et Levi.
Les Bnei-Menashé sont une tribu perdue d’Israel, retournée au bercail, comme leur nom l’indique, ils descendent de Ménassé, un des deux fils de Joseph : Joseph via ses deux fils Ephraim et Ménassé, compte pour deux tribus.
Malgré la diversité ethnique flagrante, la filiation commune à Jacob, appelé aussi Israel, fait bien des israélites, une race, si la race se définit au sens d’ancêtres communs.
Pinhas: Peut-être pas si “perdues” que ça, lesdites tribus.
Je suis en train de lire ” Fantômes d’islam et de Chine”, de
H. Didier. Sous-titré: “Le voyage de Bento de GoÏs”.
Ce n’est pas inintéressant. Ce missionnaire, avec un autre:
Matteo Ricci, envoyés jusqu’en Chine et en Inde moghole,
font part, dans leur récit, de leurs rencontres avec des
musulmans, bien sûr, mais aussi avec des juifs qu’il s’agit
de convertir… Mais c’était au 17ème siècle.
L’aspect gênant, dans cet ouvrage, est la constante
accusation d'”islamophobie” portée par l’auteur
contre le père Ricci, jésuite, qui nous apparaît,
aujourd’hui, vu ce qui se passe en Irak, par exemple,
déplacé. M. Ricci avait parfaitement saisi la visée
conquérante de l’islam. A son époque, l’on était
cultivé.
C’est dans les anciens dictionnaires que je recherche les définitions des mots, afin de court-circuiter mon cerveau de la mauvaise influence inconsciente de la réécriture politiquement correcte. Lorsque je parle avec mon vieil oncle et qu’il utilise son langage traditionnel, je me réjouis, et j’aimerai offrir cette retrouvaille avec l’authenticité à mes lecteurs.
Ainsi, avant, le dictionnaire disait :
Race : Ensemble des personnes appartenant à une même lignée, à une même famille. Synon. ascendance, descendance.
• La race des Atrides, vieille race.
• Que Bonaparte et sa race doivent tomber, c’est ce qui me paraît infaillible; mais quelle sera l’époque de cette chute (J. de Maistre, Corresp., 1808, p. 104).
• Aujourd’hui cette race, égale aux Rohan sans avoir daigné se faire princière (…) cette famille, pure de tout alliage, possède (…) sa maison de Guérande et son petit castel du Guaisnic (Balzac, Béatrix, 1839, p. 10)
Race : Ensemble de personnes qui présentent des caractères communs dus à l’histoire, à une communauté, actuelle ou passée, de langue, de civilisation sans référence biologique dûment fondée. Synon. ethnie, peuple.
Ce faisant, cela me permet de faire fulminer les défenseurs du politiquement correct qui nous lisent, et m’offre gratuitement ce délicieux régal d’être détesté par eux.
@Jean-Patrick Grumberg
Si vous aimez les vieux dictionnaires, je vous recommande particulièrement le Littré consultable en ligne.
Dans le cas qui nous intéresse : https://www.littre.org/definition/race
Jean Patrick, si vous le permettez, je vais profiter de votre
réponse à Pinhas, pour vous dire que, vu le grand nombre de
commentaires qu’a soulevés votre article, j’ai vérifié, de mon
côté, les sens du mot “race”.
Je pense que votre acception, présentement, correspond à
la 3ème définition de mon Petit Robert, 1979.
La première peut convenir, aussi: ” Famille, considérée dans
la suite des générations et la continuité de ses caractères…
V. Famille, sang” …
A propos de “sang”, je termine la lecture de “Histoire de
l’antisémitisme, de Mahomet aux Marranes”, par Léon
Poliakov.( 1961). Il semble que ce thème soit tjrs d’actualité.
Mais je découvre, avec stupeur, le caractère obsessionnel de
la “limpieza de sangre” (pureté du sang) qui a occupé les
esprits, pendant plus de 3 siècles, en Espagne et au Portugal.
L’auteur n’hésite pas à écrire, p. 280:
” Des hantises de cette espèce (préventions contre le “sang
juif”) précipitent la maturation des grandes crises historiques
et en gauchissent même le cours. Les interprétations raciales
de l’histoire, qui connurent au siècle dernier une singulière
fortune, ne furent qu’une obsession de même genre que la
“limpieza”: elles aboutirent à une croisade raciste , et la
guerre hitlérienne est impensable sans ce ciment”.
P. 281, L. Poliakov ajoute une citation de Mme H. Arendt:
“Que le racisme apparaisse en conséquence naturelle d’une
catastrophe, ou qu’il en devienne l’instrument, il est tjrs
étroitement lié au mépris du travail, à la haine des limitations
territoriales, à un déracinement généralisé, et à une foi activiste
en sa propre élection”.
Cette observation est, de mon point de vue, d’une brûlante
actualité.
Rashida Tlaib: «Ma grand-mère voulait cueillir des figues avec moi. Je me suis effondrée en lisant cela et je m’inquiète tous les jours pour la sécurité de ma famille depuis que j’ai gagné»
Pour quelqu’un qui serait très inquiet et qui a la possibilité d’enfin la voir…
C’est ça le problèmes avec les “palestiniens” c’est qu’ils trainent leur m* partout où ils vont. Je me demande qui a pu voter pour ce genre d’individu.
@ Cestmoi
Il n’y a pas plus de ‘Palestine’ que de ‘problème palestinien’. Ce qu’il y a, c’est un mythe palestinien créé dans les années 1960 pour des raisons purement politiques, comme en ont témoigné nombre de leaders arabes, entre autres :
Hafez Assad (ex-Président syrien) : « Il n’y a pas de peuple «palestinien», il n’y a pas d’entité «palestinienne».
Zahir Muhsin, ancien membre du comité exécutif de l’OLP : «Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un État «palestinien» n’est qu’un moyen de continuer notre lutte contre l’État d’Israël pour l’unité arabe. En réalité aujourd’hui il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les «Palestiniens», les Syriens et les Libanais. Seulement, pour des raisons politiques et tactiques, nous parlons aujourd’hui de l’existence des «Palestiniens» pour nous opposer au sionisme. »
Le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies en 1956 : «Tout le monde sait bien que la «Palestine» n’est rien d’autre que la Syrie du sud.»
Le roi Hussein de Jordanie : «Il n’y a aucune distinction entre la Jordanie et la «Palestine».
Ahmed Shuqeiri (ex-président de l’OLP) : « La «Palestine» ne fut jamais rien d’autre que la Syrie du sud.»
Le professeur Philip Hitti, historien arabe, en 1946 : «L’Histoire ne reconnaît pas d’entité «Palestinienne», absolument pas.»
Awni Bey Abdul Haadi, leader arabe en Israël pré-étatique en 1937 : « Il n’y a pas de pays tel que la «Palestine». «Palestine» est un terme que les Sionistes ont inventé. Il n’y a pas de «Palestine».
Et le compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 : «La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes dans vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région sont rares et chichement peuplés. Une seule ville arabe fut construite en Terre d’Israël : Ramleh. Toutes les autres sont des villes juives rebaptisées par eux.”
Merci pour votre commentaire.
On pourrait aussi dire que les palestiniens étaient les philistins. Un peuple qui a disparu !
Non ! Il n’y a jamais eu de peuple “palestinien” ! Vous devriez lire le livre de Guy Millière, “Comment le peuple palestinien fut inventé”.
Le terme “palestinien” pour désigner les Arabes de la région a été ctéé par le KGB et les services secrets égyptiens dans les années 60 pour délégitimiser l’état d’Israël et rejeter les Juifs à la mer, et a été employé pour la première en ce sens par le terroriste en chef Yasser Arafat (yemach shmo).
Pour les Romains, un philistin était un barbare, pas une nationalité.
@ Sam
Rien à voir non plus avec les Philistins, ces “Peuples de la mer” probablement originaires du nord de la Grèce ou de la Crète, qui ont envahi l’Egypte, puis Canaan (l’actuel Israël) au XIIIe siècle BC. Les bas-reliefs égyptiens qui les représentent ne révèlent aucun caractère levantin. Les “peuples de la mer” n’ont pas disparu, ils se sont fondus dans les populations environnantes après avoir perdu leur autonomie et leur identité.
Les pseudo-palestiniens actuels, eux, sont des Arabes émigrés en Israël pré-étatique depuis les années 1920, dont les noms révèlent l’origine : El Misri (l’Egyptien), Chalabi (Syrien), Mugrabi (Nord-Africain), etc… Même le nom du terroriste George Habash révèle son origine abyssinienne/éthiopienne.
Fathi Hammad, ancien ministre du Hamas, dans une vidéo datant de 2012 : ‘Grâce soit rendue à Allah, no racines à nous autres ‘palestiniens’ de Gaza ou du reste de la ‘Palestine’ sont arabes et nous pouvons le prouver : nous venons d’Egypte, d’Arabie saoudite, du Yémen ou d’ailleurs au Moyen-Orient.”
Le délit de diffusion de fausse nouvelle existe en France:
-art.27 loi du 29 juillet 1881
– art 322.14 du Code Pénal et loi 92-685 22 juillet 1992
– Loi 2018-1202 du 22 decembre 2018 lutte contre la manipulation de l’information.
Jurisprudences:
La ” nouvelle ” doit etre fausse , mensongére, erronnée, inexacte , dans la matèrialité du fait et les circonstances . Il suffit que la fausse nouvelle ait étè succeptible de troubler la paix publique .
Il est grand temps qu’ un collectif d’avocats tenaces prennent le taureau antisémite-antisioniste par les cornes, et assignent les journalistes que vous nommez pour répondre de leurs délits.
Excellente idée. Les recours collectifs fonctionnent aux USA, mais en France ?
La Loi Hamon de 2014 transpose le systeme americain de Class-Action pour la protection des consommateurs contre les fraudes commerciales en France . Ici nous sommes devant un délit de Presse donc ce sont d’ autres outils legislatifs qui s’ appliquent . Ceci dit c’ est aux avocats concernés , par le sujet du matraquage anti-Israel et de ses consequences sur la securité des français juifs de prendre la dècision d’ assigner les journalistes . Souvenez vous de l’ affaire Al Dura diffusée par france 2 et le dénommé enderlin. Ce fut long et parsemé d’embuches . je vous connaissait de Causeur , vous etes aussi sur Dreuz ?
qui a planqué les réserve le carburent (essence ) dans le désert pour les tanks des S.S. du Général ROMMEL ////// et bien les MUSULS ……..
que sont elles allé faire en israel? voir combien les musulmans et chrétiens étaient des citoyens de seconde voire de dernière zone?
Ces deux représentantes “démocratiques” du Congrès US ont émis des remarques antisémites et soutiennent le mouvement BDS qui prône le boycott d’ Israël.
Quel pays au monde aurait accepté d’accorder l’entrée sur son territoire à des gens qui lui sont notoirement hostiles et dont le but est de soutenir un mouvent néo-nazi .
Pour Madame Tlaib le prétexte était de rendre visite à sa grand-mère âgée . Si cela avait été le seul motif de sa venue pourquoi ne pas l’avoir fait en privé au lieu de faire toute cette publicité si ce n’est pour critiquer une fois de plus Israël.
Si mes informations sont exactes , ces dames auraient aussi prévu de visiter les mosquées situées sur l’Esplanade du Mont du Temple en compagnie d’un représentant de l’Autorité Palestinienne en dépit de l’opposition d’Israël .
Il y a eu beaucoup de visites de diplomates et de représentants de gouvernements étrangers en Israël qui ont dans leur majorité respecté le protocole et la loi israélienne .
Les rares fois qu’il y a eu un désaccord , celui-ci a été réglé de façon discrète et rapidement ( comme lors de la visite de M. Chirac ).
Le cas de ces deux représentantes et la publicité faite à propos de leur visite et finalement de leur renoncement est unique à ma connaissance.
M. Grumberg,
Depuis quelques jours, tous les médias, TV, radios, journaux, etc, reprennent en boucle que le président Trump aurait proposé de racheter le Groenland, Est ce une fake news ou un joke de la part de mister Trump ????
Oui cette info est en plus présentées de manière trompeuse.
Ce serait les USA qui rachèteraient le Groënland et non le président Trump.
D. Trump aurait évoqué cette option. Mais aucune demande n’a été formulée.
Donc une info. sur quelque chose qui n’existe pas.
Les Etats-Unis ont acheté la Louisiane à la France, et ils ont acheté une île aux Pays-Bas (les Iles Vierges, le fief de la famille Pelosi !). Apparemment, ils envisagent d’acheter le Groenland. La démarche n’est pas nouvelle.
Pourquoi comme réprésentant du Parlament des USA faut-il avoir un financier pour rendre visite à la grande-mère?
Le titre dit “cofinancé”. Ces dames avaient prévu des activités antisionistes et antisémites en marge de leur visite officielle.
Pour l’héritage ?