Publié par Jean-Patrick Grumberg le 20 août 2019
Pamela Geller lors d’une conférence organisée par le club des Jeunes Républicains de New York. Votre serviteur, tout à gauche sur la photo.

J’ai fait un saut de puce Los Angeles-New York pour rencontrer la grande Pamela Geller, et assister à sa conférence, organisée par le club des jeunes Républicains de New York.

J’ai également eu de longues discussions, invité à dîner chez le formidable auteur Tuvia Tenenbom et sa femme, et échangé des idées avec mon syndicat professionnel.

Lors de l’interview, bien trop court à mon goût, mais le temps a manqué, car nous l’avons laissé filer à évoquer nos expériences personnelles – Pamela Geller a répondu à trois des questions qui me trottent dans la tête ces jours-ci.

  • Dreuz : Comment se porte l’Islam dans l’Amérique de Trump ? Je croise les doigts, j’ai constaté qu’il n’y a pas eu de vagues d’attentats islamistes comme lorsqu’Obama était président.

Pamela Geller :

Les tentatives du président de limiter la migration musulmane en provenance de plusieurs pays qui sont des points chauds du jihad ont été bloquées par des juges militants de gauche.

Entre-temps, Trump n’a pas fait grand-chose pour remettre en question la culture profondément enracinée du déni de la menace du jihad dans nos services de renseignement et d’application de la loi, de sa nature et de son ampleur.

  • Que pourrait-il se passer en 2024 après le second mandat de Trump ?

Si Trump est réélu en 2020 et peut accomplir une plus grande partie de son programme, toute la culture politique pourrait être transformée d’ici 2024.

Sinon, si les Démocrates gagnent en 2024, ils poursuivront leurs efforts pour faire des États-Unis un État socialiste autoritaire.

  • Est-ce que l’immigration va engloutir notre pays ?

Si elle n’est pas contrôlée, elle détruira notre caractère national.

  • Que se passe-t-il à New York, avec ce maire communiste (Bill de Blasio) ? La ville est sale, elle sent mauvais, il y a des travaux partout, les rues sont saturées et on ne peut plus circuler.

De Blasio fait tout ce qu’il peut pour ramener New York à ses jours les plus sombres et les plus dangereux, lorsque Dinkins était maire.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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