Publié par Guy Millière le 20 août 2019

Une fois de plus cette année en France et partout en Europe, des centaines de milliers de moutons ont été égorgés.

Dans des abattoirs parfois. Dans d’autres lieux aussi. Dans des baignoires d’appartement. Dans des cours de résidences. La plupart des égorgeurs n’étaient pas des bouchers professionnels ou du personnel d’abattoir, non. Ils étaient des hommes ordinaires. Ils utilisaient des couteaux de cuisine. Les moutons égorgés souffraient, hurlaient, tentaient de se débattre. Des enfants et des familles assistaient souvent au spectacle, et les petits garçons savaient que quand ils seraient un peu plus grands, ils feraient le même geste que les hommes et égorgeraient à leur tour.

Cette barbarie abjecte est pratiquée pour un motif religieux. L’islam l’ordonne. Qu’elle soit pratiquée dans le monde musulman est, en soi, répugnant. Qu’elle puisse être pratiquée dans des pays non musulmans est inadmissible. Comment est-il possible de prétendre refuser la souffrance animale et accepter ce qu’on fait ainsi subir à des centaines de milliers de moutons ? Les organisations de défense des animaux sont très silencieuses sur le sujet. Craignent-elles d’être “politiquement incorrectes” ou d’être condamnées par la justice pour “racisme islamophobe” ? Sans doute, et ce n’est pas de leur part une preuve de courage. Qu’on dise que cette pratique est tolérée par respect pour une religion n’est pas recevable. Une religion qui prône des pratiques irrespectables n’a pas à être respectée.

Le monde occidental devrait souligner fermement qu’il a des règles et que ceux qui veulent vivre en Occident doivent respecter ces règles, sans exception. Et il devrait ajouter que ceux qui refusent ces règles n’ont pas leur place en Occident. Le monde occidental ne souligne pas ses règles et ne dit pas que ceux qui veulent vivre en Occident doivent respecter ses règles, ou partir. C’est tout particulièrement le cas en France et ailleurs en Europe. L’attitude ainsi adoptée porte un nom : la soumission. Or, c’est cette attitude que l’islam exige des non musulmans dans les territoires qu’il conquiert.

La soumission à l’islam se manifeste en Occident sur de nombreux plans et ne se limite pas à l’égorgement barbare et abject de centaines de milliers de moutons. Il prend la forme de l’acceptation du voile, et parfois du voile intégral, celle de l’intimidation des professeurs qui renoncent à enseigner certains sujets, que ce soit en histoire, en géographie ou en sciences de la vie, celle d’interdiction graduelle de toute critique de l’islam ou celle de la censure de l’information lorsqu’il s’agit de rapporter certains faits survenant dans le monde musulman.

Mais la soumission à l’égorgement barbare et abject de centaines de milliers de moutons, qui plus est chaque année, est particulièrement grave pour des raisons qui excèdent la souffrance animale : elle signifie acceptation en Occident de ce que tout homme musulman peut égorger au couteau, totalement imperméable à la souffrance qu’il inflige. Elle signifie banalisation du geste d’égorgement. Elle signifie imperméabilisation plus large à la souffrance, puisque les enfants et les familles assistent, et peuvent regarder un animal hurler de douleur et le sang couler comme si ce qui se passait était une fête (et de fait, la joie est souvent lisible sur les visages).

Le monde musulman est un monde particulièrement violent où la cruauté barbare est monnaie courante. Il est le principal vivier du terrorisme international (si on enlève des statistiques du terrorisme les attentats musulmans, le nombre d’attentats dans le monde chute vertigineusement).

Tolérer dans le monde occidental des pratiques violentes, cruelles et barbares contribue à y installer la violence et la cruauté barbare importée du monde musulman. Nul ne doit être étonné ensuite du nombre d’attaques au couteau, souvent mortelles, qu’on constate en France et ailleurs en Europe. Des gouvernements dignes de ce nom devraient sortir de la soumission avant qu’il ne soit trop tard. Il est déjà très tard.

Une interdiction totale des égorgements de l’Aïd El Kébir devrait s’imposer dans tout le monde occidental. Le fait qu’elle ne soit pas imposée montre qu’il est peut-être trop tard.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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