Publié par Salem Ben Ammar le 22 août 2019
Photo Algérie 1891

Arrêtons de voir du racisme partout. En quoi est-ce raciste que de mettre des mots sur des situations qui empoisonnent le quotidien des Français ? Il faut rompre avec l’omerta entourant l’origine nationale ou ethnique des fauteurs de troubles.

Pourquoi ne pas leur renvoyer au visage le vent de haine de la France qu’ils font souffler ? Ce ne serait qu’un signe de lucidité et de courage politique – et ils le comprendraient parfaitement. Ce n’est pas leur témoigner une quelconque hostilité que de leur signifier que le pays des droits de l’homme n’est pas le pays du tout permis et du tout dû.

On reconnaît la grandeur d’un peuple à sa force. A sa capacité de se faire respecter. De faire respecter ses lois sans concession ni compromis.

En l’espèce, la France se montre trop laxiste et arrangeante avec les populations importées. Elle les ménage, les couve comme une mère-poule et les caresse dans le sens du poil, les flatte et loue leurs mérites comme si elles étaient un don du ciel. Comme si c’est eux, venant de pays où ils n’ont pas fait la preuve de leur excellence, qui vont sauver les Français de leur médiocrité. Eux une aubaine ? Eux une chance inouïe ? Les défenseurs de la cause migrationniste ne diraient pas ces bêtises s’ils étaient confrontés à la réalité.

La France a fait de leur progéniture des pourris-gâtés.

Elle n’était pas consciente que lesdites populations ne sont pas comme les Polonaises, Italiennes, Espagnoles, Portugaises, chrétiennes d’Orient ou d’Afrique, voire Chinoises. Pour en faire une composante à part entière de sa communauté nationale, il fallait d’autres méthodes.

De par son vécu colonial, la France aurait dû anticiper le péril qu’elle a transporté chez elle. Ces populations majoritairement illettrées et analphabètes ne sont pas les juifs pour lui apporter une plus-value intellectuelle, humaine, culturelle, économique et scientifique, elles sont héritières d’une culture archaïque, rétrograde et suprémaciste qui partout où elles s’installent, transforment leur milieu de vie en terres arides et paysages lunaires.

Qu’a fait l’Algérie de l’héritage que la France lui a légué à son départ ? Que pouvait-elle espérer de sa main-d’œuvre qui n’était pas capable de le faire fructifier ?

Que leur descendance aux 2ème et 3ème degrés soit française de plein droit, cela ne change rien à leur psyché, à leur substrat culturel et religieux transmis par leurs parents.

Ils ne se considèrent pas Français. Ils ne se sentent pas concernés par son destin politique ou humain. Pour eux, la France est un pays de kouffars, de mécréants qui a osé un jour leur infliger l’injure suprême de les coloniser. Et aujourd’hui, elle leur offre l’occasion rêvée de se venger de l’outrage qu’elle leur a fait subir.

Elle a créé elle-même les conditions favorables à leur mainmise, irréversible.

Des pans entiers de son territoire sont vidés de leurs habitants d’origine. Une sorte de nettoyage ethnique qui ne dit pas son nom. Les cités ouvrières des trente glorieuses sont devenues des cités “blédardes” où les mosquées ont remplacé les églises, les imams les curés et les kebabs les bars du quartier, où “l’on parle toutes les langues, comme dit Chevènement, sauf le français”.

Ils ne s’adaptent pas, ils façonnent leur nouvel espace de vie à l’image de leurs villages qu’ils ont laissé derrière eux. Si cela ne tenait qu’à eux, ils les auraient reconstruits à l’identique.

Ils ne sont pas venus pour s’enrichir et s’imprégner d’une nouvelle culture. Ni du savoir-faire qu’un jour ils pourraient transposer chez eux. La France, c’est la terre d’Allah à conquérir. Ils sont là pour tirer profit des opportunités que la France leur offre et qui sont aussi le piège qu’elle s’est tendu elle-même.

À cause de la générosité de son système social et sa politique nataliste avantageuse pour les familles nombreuses, la France s’est fait la meilleure alliée de ses ennemis.

La France a été incapable d’assumer son passé colonial, et d’établir un vrai bilan entre le sien et celui des occupants turcs et arabes. Elle a eu peur de se regarder dans le miroir du passé comme si elle avait honte de ce qu’elle fut. Alors que comparé au colonialisme arabe, la France peut être fière du sien. L’islam a imposé 1400 ans de sclérose civilisationnelle en dehors des éclaircies du colonialisme français (sauf dans le cas de la Tunisie où feu Habib Bourguiba avait su s’inscrire dans la continuité de la France).

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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