La compétence du GIEC : l’évolution thermique prévue, et l’évolution réelle, des hautes latitudes ! Lire Marcel Leroux, professeur de Climatologie à l’université Jean Moulin. Il dirige le Laboratoire de climatologie, risques, environnement (CNRS-UMR 5600). Évolution thermique prévue et évolution thermique réelle : Un aspect très hypothétique est l’augmentation considérable présumée (et prophétisée) de la température dans les hautes latitudes qui pourrait atteindre 10-12 °C, paradoxalement en hiver de chaque pôle.
Ces fortes valeurs influencent amplement la tendance thermique moyenne globale prévue parce que les régions tropicales ne devraient que faiblement changer. Mais pour quelles raisons physiques les hautes latitudes devraient-elles se réchauffer autant ? Remarque-t-on dans ces latitudes un contre-rayonnement terrestre plus intense surtout en hiver au moment même où il n’y a pas d’insolation ? Doit-on supposer, contre toute logique, qu’il y a bien plus d’effet de serre près des pôles, où le contenu en vapeur d’eau est moindre, les eaux froides qui bordent les glaces étant en outre des puits considérables de CO2 ?
L’accroissement présumé de la température, qui ne peut résulter de phénomènes in situ, proviendrait-il de transferts méridiens intensifiés alors que l’on sait pertinemment que, en période chaude, ces transferts sont au contraire considérablement ralentis (mode de circulation générale lente (Leroux, 1993)) ?
Est-ce parce que le refroidissement lors des périodes glaciaires a été plus intense dans les latitudes polaires, qu’inversement le réchauffement devrait y être aussi nettement plus marqué ?
Est-ce, surtout, parce que les modèles climatiques reposent sur le modèle tricellulaire de circulation générale (Le Treut, 1997), et notamment sur l’existence supposée d’une cellule polaire ? Ce concept irréaliste fait “rebrousser chemin” à l’air polaire (de l’air froid qui s’élève !) dès la latitude 60°, nord ou sud. Il ne traduit pas la réalité des échanges méridiens, qui seraient ainsi très rapidement interrompus et il a été officiellement rejeté par la communauté scientifique en 1951. Mais sait-on que la cellule polaire n’existe pas et que, dès son apparition en 1856, le schéma tricellulaire de Ferrel (et sa cellule qui “tourne à l’envers” des principes thermiques) a été critiqué, et que la cellule de Hadley n’est que partiellement représentative de la réalité ?
Cela n’empêche pas De Félice (1999), du Laboratoire de météorologie dynamique (LMD) et de la Société météorologique de France (SMF) d’avouer “trois cellules méridiennes dans chaque hémisphère, cellule de Hadley, cellule de Ferrel et cellule polaire”. Cela n’empêche pas non plus Joly, du Centre national de recherches météorologiques (CNRM), de suivre le dogme plus que centenaire et de confondre la perception statistique et la perception synoptique des phénomènes, en attribuant encore l’existence de “l’anticyclone des Açores” (qui “n’existe” qu’à l’échelle des moyennes de pression) à la branche subsidente de la cellule de Hadley (Le Monde, 25 mai 2001, p. 19).
Un tel concept est physiquement inconcevable (Leroux, 1996). L’ouvrage de Triplet et Roche (1988, 1996) de l’École nationale de la météorologie ne comporte pas de schéma de circulation générale, pas plus que celui de Sadourny (1994), alors directeur du LMD dépendant du CNRS !
En dépit de cette situation “inimaginable” (si l’on n’est pas climatologue), le schéma de circulation générale utilisé par les modèles est précisément le schéma tricellulaire qui ne restitue absolument pas la réalité des échanges méridiens. L’accroissement supposé des températures polaires n’apparaît être qu’un artefact résultant de ce concept erroné et notamment de l’existence supposée de la “cellule polaire” qui n’est qu’une fiction ! Cette critique sur l’inadaptation des modèles a déjà été faite : “Les modèles climatiques actuels n’intègrent pas de façon correcte les processus physiques qui affectent les régions polaires” (Kahl et al., 1993), mais apparemment rien n’a changé, en dépit de l’importance cruciale des hautes latitudes dans l’impulsion de la circulation générale. Lenoir (2001) a retracé l’histoire de “l’idée fixe” du sur-réchauffement des pôles : elle provient de l’affirmation de Svante Arrhenius selon laquelle “l’effet de ces changements sera maximum au voisinage des pôles”, où il prévoit alors une hausse de 4 °C… C’était en 1903 !
Cet étrange entêtement figure dans le dernier rapport du GIEC qui avance la “justification” suivante : “La neige et la glace reflètent la lumière solaire, ainsi moins de neige signifie que plus de chaleur provenant du Soleil est absorbée, ce qui entraîne un réchauffement […]” et ainsi “il est prévu un réchauffement de parties du Nord Canada et de la Sibérie supérieur à 10 °C en hiver” (UNEP-WMO, 2002, sh. 5). (Absurde !) Il s’agit, bien entendu, du Soleil polaire d’hiver ! Ceci a été, c’est évident, approuvé par les “experts” du GIEC !
Évolution thermique réelle : L’évolution thermique réellement observée dans les hautes latitudes n’est pas du tout celle prévue par les modèles, qui ne l’ont pas annoncée, qui sont incapables de la restituer et, bien évidemment, qui ne l’expliquent pas. L’Antarctique ne montre pas de changement notoire : les courbes des températures moyennes observées (Daly, 2001) ne révèlent strictement aucune tendance. En revanche, l’Arctique occidental se refroidit et cette évolution apporte le démenti le plus flagrant aux prévisions des modèles : le refroidissement a atteint 4 à 5°C (– 4,4°C en hiver et – 4,9°C en automne), pendant la période 1940-1990 (Kahl et al., 1993), donc déjà presque la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 !
Ce refroidissement est confirmé par un réchauffement aussi net dans la couche 850-700 hPa (+ 3,74 °C, entre 1 500 et 3 000 m) qui traduit l’intensification résultante des échanges méridiens venus du sud, au-dessus des anticyclones de basses couches (anticyclones mobiles polaires ou AMP) qui quittent le pôle Nord.
Rigor et al. (2000) confirment la tendance au refroidissement sur la période 1979 à 1997, au-dessus de la mer de Beaufort et sur la Sibérie orientale et l’Alaska, en automne (– 1° C par décennie) et en hiver (– 2 °C par décennie). En raison de l’importance des hautes latitudes dans l’impulsion de la circulation générale, le refroidissement de l’Arctique et particulièrement de sa partie occidentale où prennent naissance la majorité des AMP, est un fait climatique majeurt mais il est totalement, et délibérément, ignoré par les modèles.
L’évolution récente du temps et la multiplication des événements météorologiques sont considérés comme preuve de l’évolution climatique annoncée par les modèles. La “dramatisation” qu’il faut “récupérer” devient un argument majeur du scénario effet de serre. Qu’en est-il vraiment ? Modèles et évolution du temps.
Les modèles ont d’abord prévu (dans le premier rapport du GIEC en 1990) un temps plus clément !
“Les tempêtes aux latitudes moyennes […] résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur […] comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement […] les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles.” (GIEC, 1990, Météo-France, 1992.) C’est ce que confirment Planton et Bessemoulin (2000) de Météo-France : “Le changement climatique simulé par les modèles numériques se traduit généralement par une réduction du gradient nord-sud de température dans les basses couches de l’atmosphère […] elle a pour effet d’atténuer la variabilité atmosphérique associée aux dépressions car les instabilités au-dessus de l’Atlantique Nord sont fortement conditionnées par l’intensité du gradient de température.” Une augmentation de la température devrait ainsi se traduire par des AMP moins vigoureux, une décroissance des échanges méridiens d’air et d’énergie (circulation lente) et, dans les latitudes tempérées et polaires, par une diminution des gradients de température et de pression, ainsi que par un contraste thermique moindre entre les flux. Comme le montre à l’échelle saisonnière la moindre rigueur du temps estival, comparé à la violence du temps hivernal, point n’est besoin de modèles pour déduire cela (Leroux, 1993). Un scénario “chaud” annonce donc une plus grande clémence du temps.
Ce n’est pourtant pas ce qui est observé, le temps lui-même contredisant ces prévisions. Est-ce pour cela que, bizarrement, on annonce maintenant (par simple opportunisme ?) exactement l’inverse de ce qui avait été prévu en 1990 (et confirmé ci-dessus), avec des prévisions catastrophistes dont la presse se fait amplement l’écho, sans s’étonner de ce revirement ! Est-ce que ce sont vraiment les modèles qui prévoient maintenant cette évolution du temps ? Voici ce qu’en dit le GIEC : “La fréquence et l’intensité des conditions météorologiques extrêmes telles qu’orages et ouragans pourraient changer. Toutefois, les modèles ne peuvent pas encore prévoir comment. Les modèles qui sont utilisés pour les changements climatiques ne peuvent en eux-mêmes simuler ces conditions météorologiques extrêmes.” (UNEP-WMO, 2002, sh. 5.)
Ecir : “Marcel Leroux nous a quitté. Il laisse notamment un ouvrage de référence “La dynamique du temps et du climat” paru chez Dunod (Masson Sciences). Dans cet ouvrage, il développe longuement les “processus de la circulation générale des masses d’air”, avec la description de l’action des Anticyclones Mobiles Polaires (AMP) dont les déplacements vers la zone tropicale entrainent la formation des dépressions et les divers types de temps, c’est-à-dire le climat à l’échelle synoptique. Une vision parfaitement claire, très loin des théories obsolètes des écoles norvégiennes ou autres théories reposant uniquement sur des modèles refusant la réalité du terrain et l’observation quotidienne des phénomènes météo. Une bête noire pour tous les hiérodules du temple IPCC. À lire absolument ! Une pensée aussi pour Jaques Durand du CNRS, également disparu, qui a tenu longtemps un excellent blog qui fut une révélation pour beaucoup de ceux que la propagande de l’église de climatologie laissait plus que dubitatifs”. http://pensee-unique.fr/3.
(à suivre : Climatologie : C’est clair : les modèles ne peuvent pas prévoir l’évolution du temps.)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Bonjour à vous, je suis triste que les commentaires sur les textes du Père Arbez soient fermés. Si c’est vraiment pour les raisons évoquées, je trouve que l’attitude de certains est inacceptable d’autant plus que ses textes ne prennent absolument aucune position politique et invitent toujours à une sérieuse réflexion religieuse et/ou philosophique sur le fond des Ecritures Saintes, et ce que l’on soit d’accord ou pas, ne fût-ce que par respect pour le prêtre et ce qu’il représente. Dommage qu’il faille en arriver là.
Pour ce qui est du texte sur le GIEC, l’auteur enfonce le clou dans le cercueil de cette imposture et a bien raison !
Permettez moi d’utiliser l’occasion qui m’est fournie par le texte ci-dessus signé Patrick Boulechitey.
Moi aussi je déplore la (necessaire) décision que vous avez dû prendre au sujet des commentaires faisant suite aux enseignements et réflexions dont le Père AR ARBEZ nous gratifiait dans vos colonnes
La grande majorité des lecteurs de DREUZ partagent certainement ce regret.
Recevez je vous prie mes salutations les meilleures.
Mish-mash incompréhensible.
Des références d’il y a 30 ou 40 ans, comme si on n’avait fait aucun progrès? Allons…
Très intéressant article au contraire en ce qu’il montre que des connaissances fondamentales sont volontairement ignorées par le GIEC, qu’il se contredit d’un rapport à l’autre sans fait scientifique nouveau, que les observations faites à postériori montrent qu’il s’est continuellement trompé, etc.
Des progrès depuis ces vingt dernières années? Pas tant que ça!
Jean 3.8
“Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit”.
Les météorologues pourraient s’inspirer de ce texte.
La terre à été donnée en responsabilité par Dieu à l’homme, pour la cultiver et l’entretenir.( lire le livre de la Genèse )
L’homme petit à petit la transforme en poubelle, ce n’est ni plus, ni moins que de couper la branche sur laquelle on est assis.
Que certaines références soient toujours les mêmes vous dérangent. On peut donc tout remettre en question. 1+1 faisait 2 il y a déjà 30 ou 40 ans et c’est pareil aujourd’hui. Les 10 Commandements sont toujours d’actualité alors même que certains sont bétonnés dans les lois depuis Abraham. Ne vous en déplaise, certaines références restent effectivement difficilement contestables, même avec l’avènement du relativisme.
@ AD1683
30 ou 40 ans, c’est moins qu’une virgule dans l’Histoire de l’univers.
L’auteur va à l’encontre de tout ce que j’ai appris en météorologie.
Du coup je me demande comment expliquer la formation du (des) courant’s) Jet qui se trouve(nt) a la jonction entre cellule polaire et cellule de Ferrel…. sans cellule polaire ?
Peut etre est ce expliqué dans le livre de M. Leroux ?
Dans toute science, il y a des chercheurs qui vont à contre-courant. On peut trouver des astrophysiciens qui doutent de la réalité du big bang, des biologistes qui ne croient pas à l’évolution, des physiciens qui considèrent que des pans de la relativité générale ou de la mécanique quantique sont peu crédibles, des climatologues qui remettent en question les rapports du GIEC, etc.
M. Marcel Leroux fait partie de ces chercheurs à contre-courant. Sa découverte majeure, l’AMP (anticyclone mobile polaire), n’a pas du tout convaincu ses collègues. Le point majeur qui prête le plus fortement flanc aux critiques est sa croyance que les modèles numériques de prévision actuels sont fondés sur les concepts de front polaire, de dépression et d’anticyclone. Ils sont en fait fondés sur les équations fondamentales de la dynamique des fluides, les forces agissant dans l’atmosphère. Les concepts explicatifs qu’il décrit ne sont utilisés que par les présentateurs météo qui les trouvent utiles pour décrire le temps à un public non spécialisé. Voir le lien :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anticyclone_mobile_polaire
M. Leroux est décédé il y a 10 ans. Si vous cherchez son nom sur Google, vous verrez qu’en-dehors des cercles climato-sceptiques dont il s’était fait le champion, son nom n’est pour ainsi dire jamais mentionné, ce qui montre bien le faible impact scientifique qu’il a eu dans son propre domaine de recherche.
Et après une question, une tentative de réponse partielle (d’un non spécialiste de la chose):
**********Ce concept irréaliste fait « rebrousser chemin » à l’air polaire (de l’air froid qui s’élève !) dès la latitude 60°, nord ou sud. *********
Bien sur que de l’air froid peut s’élever !
Le froid ca peut etre également du chaud, tout dépend de l’unité choisie.
De l’air a -10°C est chaud, il est en fait a +263°K
Vu comme cela, quoi de plus étonnant que de le voir s’élever quand il rencontre de l’air plus froid a -50°C par exemple (+223°K)
De plus, il faut bien remplacer l’air polaire très froid au sol qui est éjecté par la force centrifuge par de l’air d’altitude initialement plus chaud donc moins dense et moins soumis a la dite force centrifuge.
Rien ne me choque dans le concept de cellule polaire.
Malgré mes diplômes, je ne trouve absolument aucune utilité de lire des articles pareils parce que franchement, n’étant pas expert en climatologie, j’y comprends que dalles. Et ceux qui les publient majoritairement pas plus.
Chaque camp peut ensevelir l’autre sous une avalanche de textes imminemment doctes qui se contredisent joyeusement et ce n’est pas au vulgum pecus non féru dans le domaine, où d’éminents spécialistes sont incapables de se mettre d’accord, de braire “oui-han, oui-han, oui-han, c’est VRAI !” et “oui-han, oui-han, oui-han, c’est FAUX !”
Pour mettre à mal la Sainte Climathéologie hystérique, castratrice et culpabilisatrice, devenue une vulgaire idéologie d’attaque antioccidentale, inutile de revêtir les habits de Trissotin, qui-sait-tout-du-climat.
@Aspirine
À vous entendre, moins on en sait en science, plus on est à même de mettre à mal la science du climat. En résumé : plus on n’y comprend que dalle, mieux c’est pour le moral (au moins ça rime). Vous avez un joli pseudo, qui me rappelle que je dois aller prendre une aspirine de toute urgence.
Je doute qu’Einstein ait l’outrecuidance de s’exprimer dans le domaine de la médecine (ou de poser un diagnostic).
C’est le privilège des semi-mini-savants de dimanche.
Vous voulez transformer Dreuz au café de commerce ? Cela conviendrait mieux à vos aspirations “scientifiques” ? Où puisez-vous vos connaissances ? Dans Readers Digest ? Où dans “La climatologie racontée à ma fille” ?
@aspirine
“Je doute qu’Einstein ait l’outrecuidance de s’exprimer dans le domaine de la médecine (ou de poser un diagnostic).”
C’est pourtant ce que tout le monde fait ici… auteurs d’articles et commentateurs. Tout le monde sait tout sur le climat et peut en remontrer aux scientifiques du GIEC, qui ont pourtant étudié ce sujet toute leur vie. Mais vous avez raison, Einstein ne serait sûrement pas climato-sceptique.
Aspirine,
Sans aller aussi loin que votre ire compréhensible, je voulais juste vous signaler ceci :
Je suis scientifique et pas climatobobologue mais je constate qu’il y a une église de climatholique qui prétend que la température de la terre va s’accroitre jusqu’à notre perte.
Sera-ce demain, dans huit jours, six mois, un an ou un siècle ? On ne sait pas mais nous allons tous y passer, c’est certains car nous sommes des gros abrutis qui dégageons du gaz carbonique en veux-tu en voilà !
J’observe juste que ces gens ne sont pas foutus de dire le temps qu’il fera demain ou samedi avec un peu de justesse.
J’observe même parfois qu’ils ne sont pas foutus de dire le temps qu’il fait en ce moment … et parfois qu’ils se plantent quand ils relatent le temps qu’il a fait hier.
Alors, pas besoin d’être docteur en toutes sciences pour voir que ce sont des charlots marchands d’une mauvaise soupe frelatée !
Nous savons tous que cette immense escroquerie mondiale sert d’autres desseins et c’est en cela que ce sujet à sa place sur les sites résistants.
Bien à vous.
PS : question personnelle, votre époux est-il aspirant de marine ?
Gérard PIERRE est en forme les amis, quelle verve !
Çà m’asperge le moral d’une eau puisée dans quelque coin secret d’Auvergne.
Merci !
Les petits hommes que nous sommes vont scruter les vents polaires puis les températures à telle ou telle altitude pour faire des prévisions météo et s’en ébahir, malgré que TOUS les scientifiques savent pertinemment qu’aucune prévision météo n’est valable au-delà de 5 jours – tout le reste n’étant que pure estimation et projection via une banque de statistiques, sans une once de probité.
Analyser ces vents pour en déduire des températures terrestres à court ou long terme, c’est comme si on calculait scientifiquement la vitesse des chevaux à partir de l’étude d’un fer-à-cheval rouillé trouvé dans une brocante.
Ce que le GIEC se garde bien de dire, c’est que 7 volcans sur 10 se trouvent sous les océans, et que des volcans sous-marins en activité – invisibles depuis la terre ferme – il y en a un sacré nombre. Une seule éruption volcanique sous-marine réchauffe massivement des milliards de m² d’eau, et la variations des températures de ces courants marins vous changent ensuite un printemps, un été, un automne ou un hiver sur le continent voisin sans vous demander la permission, selon qu’il y ait des éruptions… ou pas.
C’est le phénomène El Niño bien connu.
Ajoutons à cela que ce bon vieux soleil brûle à 6000°C en surface, et bien davantage en son centre, et produit lui aussi d’énormes variations, et on comprend aisément que les terriens sont pris en sandwichs entre ces deux énergies (soleil + océans) qui peuvent aussi bien faire chauffer la banquise et le carnaval de Rio que les refroidir, selon leurs activités respectives à la hausse et à la baisse. Le réchauffement en cours peut donc radicalement s’inverser dans les jours ou semaines à venir pour laisser la place à une période glacière, même si Claire Nouvian dit le contraire.
Ce mensonge mondialisé d’un réchauffement supposé “anthropique” est dont bien une énorme fake news pour laquelle même un gourou baba-cool new-age du fin fond du Nevada ne se serait pas risqué, tellement elle est ridicule.
Mais c’est cette idée-là que véhicule le GIEC afin de servir de support au matraquage fiscal (taxe carbone, taxe transition énergétique, taxe sur les maillots de bains et les machines à glaçons, etc.) de tous les gouvernements – dont l’UE, en tête de peloton – qui ont flairé le filon, peu importe que cet anthropisme soit avéré ou pas, pour nous faire tous passer à la caisse et nous vider les poches.
À présent il faut chercher à qui profite ce crime, et les faire fusiller si besoin.
Plus c’est gros, plus ça passe. On a perdu le marxisme et le catholicisme, il fallait les remplacer,,,
Les Guignols Incompétents En Chaleur avaient dans leurs rang un animal très fort en maths: un certain Wanatabe.
Après avoir pondu des théories fumeuses il collait les constantes APRES avoir secrété ses formules pour les faire coller à la réalité. C’est le principe de l’archer qui tire des flèches sur les planches et dessine les cibles après.
Après quelques années ses prévisions subtiles avec les résultats observés. Mais les GIEC s’en foutent, leurs but est d’émouvoir mais pas de démontrer en accord avec la Raison!
@ Richard C.
Leur but n’est pas d’émouvoir mais de terrifier les populations, afin de les mettre sous pression pour pouvoir les taxer encore et encore. Comme la pire espèce des communistes, il vient en plus vous jurer qu’ils dominent le monde (à la COP21, ils ont SIGNÉ qu’ils vont faire baisser le climat mondial de 2°c d’ici 50 ans ! 🙂 ) , et que vous n’avez pas le droit à la parole, ni même celui de penser autrement.
Cette méthode brutale n’est pas nouvelle, elle était déjà pratiquée à l’époque des romains.