Nous voyons bien que le monde évolue vers une impasse. Un seul fait suffit à illustrer cette dérive : une centaine de personnes possèdent à elles seules la fortune détenue par la moitié de l’humanité.
Le « progrès » aboutit à cette lugubre équation dans laquelle 100 = 3 milliards et demi. Un seul homme dispose de l’énergie consommée par plusieurs millions.
Le système mis en place après la guerre, et surtout après l’effondrement du bloc soviétique, a donné naissance à un monstre. Une humanité dont la tête ne cesse de diminuer et dont le corps croît de manière démesurée.
L’humanité actuelle ressemble à ces monstres préhistoriques dont une minuscule tête surplombait un corps gigantesque. Cette disproportion, cette croissance inversement proportionnelle de la tête et du corps, vouait mathématiquement ces êtres à la mort.
La poignée d’individus qui est parvenue à s’emparer des richesses de la planète, possède un cerveau identique à celui des milliards de personnes qu’elle prétend dominer. A une nuance près : leur cerveau n’étant plus soumis aux contraintes des réalités, à la nécessité de résoudre les problèmes auxquels chaque homme doit faire face pour sa survie, un tel cerveau perd en puissance et entre dans un processus d’abêtissement. En un mot, comme le montre la littérature, le cinéma, les faits-divers, l’hyper-caste dominante est soit peuplée de crétins, soit d’êtres dont l’intelligence n’a développé qu’une seule et unique fonction: la volonté de dominer et d’instrumentaliser les autres. L’hypertrophie de cette volonté de puissance, les enivre à un tel point qu’ils en deviennent aveugles et sourds, L’hyper-caste pense être l’unique source et l’unique cause de l’immense richesse qu’elle possède. Carlos Ghorn est la parfaite illustration de ce processus mégalomaniaque qui frappe les hyper-dirigeants. Progressivement il s’est convaincu que le groupe Renault-Nissan, c’était lui. Qu’il était donc normal qu’il s’attribue une part de plus en plus grande de la valeur ajoutée créée par des centaines de milliers d’hommes et qu’il s’affranchisse de toute limite.
Le sentiment de toute puissance est tel, que les membres de la Caste en arrivent à se prendre pour des Dieux. N’ont-ils pas lancé un programme de recherche dont l’objectif est l’immortalité ?
Qui contrôle ces nouveaux idolâtres qui pratiquent le culte d’eux-mêmes, ces « fous » dont certains sont d’ores et déjà plus riches que de nombreux Etats ? Qui mettra un terme à ce processus dont les dysfonctionnements sont de plus en plus évidents et dramatiques? Qui sortira l’humanité du culte du « Veau d’Or » dans lequel elle a tendance à s’enfermer?
Le corollaire de ce culte est l’affaiblissement du politique dans les régimes démocratiques et partant, la disparition programmée de la démocratie libérale.
L’économie livrée à elle-même, c’est-à-dire aux pulsions délirantes d’une oligarchie mégalomaniaque, impose de plus en plus ses règles à l’ensemble du corps social et ce pour le profit exclusif du minuscule club de la Caste des « surhommes »
Ces infirmes, sourds et aveugles, à la cervelle étroite, ivres d’eux-mêmes, ont créé de puissantes associations.
Une décision prise par l’un de ces individus, au sein de ces « clubs » peut avoir des conséquences incalculables pour la vie, de millions d’hommes, de femmes, d’enfants.
Qui possède le pouvoir de dissoudre ces associations de malfaiteurs dont le sinistre G7 est l’archétype ? De limiter la puissance infernale de cette hyper-mafia ?
Les peuples, y compris ceux appartenant à la plupart des démocraties occidentales, ayant été écartés des pouvoirs décisionnels, la société fonce dans la nuit, à toute vapeur, à l’image de la locomotive sans machiniste qu’évoque Zola dans la Bête humaine.
Cependant, il semble possible de mettre un bémol à ce sinistre tableau.
La plus grande des démocraties a pris conscience du danger que représente le monisme économique fou. Elle tente de rééquilibrer les pouvoirs. De rendre à la politique, au sens noble du terme, sa fonction.
Le président Trump incarne ce réveil. Parviendra-t-il à faire entrer l’économie dans le cadre démocratique, c’est-à-dire dans le cadre des Lois démocratiquement adoptées par la nation en redonnant au peuple le pouvoir de décider ?
Rien n’est moins évident.
La Caste qui pensait s’être émancipée de toute limite, vit très mal le coup de sifflet de Trump. Elle a de puissants alliés, à commencer par les grandes dictatures, en tout premier lieu la Chine et l’Iran.
Elle a d’autres soutiens. Les organismes internationaux tel l’ONU et l’UNESCO, de très nombreuses ONG… Plus étonnants, elle peut compter sur la propagande fanatique d’une gauche dévoyée, corrompue, mondialisée, auto-proclamée « progressiste » dont la dernière trouvaille idéologique est l’écologie politique (à ne pas confondre avec l’écologie) qui réduit l’homme à son être animal, voire à son substrat biologique.
Le grand balancier de l’Histoire est en train d’amorcer le mouvement inverse.
On sent les frémissements d’un réveil des peuples.
Ce qui est de nouveau en jeu dans ce combat planétaire qui se produit à l’occasion de chaque grande crise, n’est rien d’autre que l’espace civilisationnel dont les bases ont été posées par la Bible.
Ces bases reposent elles-mêmes sur un principe fondamentale évoqué pour la première fois dans la Genèse : l’homme est par définition libre et responsable de ses actes.
L’homme et la femme ont été créés à l’image de Dieu. Ce qui signifie qu’ils sont sacrés. Qu’on ne peut les utiliser comme des objets ou les « gérer » comme des animaux.
Il faut combattre les adeptes du bio-pouvoir qui appréhendent l’humanité comme une masse indifférenciée inscrite dans la logique du vivant.
Les hommes doivent re-apprendre à devenir les citoyens de nations libres et souveraines.
La liberté individuelle n’a de sens qu’au sein d’un peuple constitué en corps politique et social.
C’est ce qu’enseigne le récit biblique de la sortie d’Egypte. Le peuple Juif né en se libérant de ses fers. Il se constitue collectivement par l’adoption de lois transcendantes qui expriment l’intérêt général.
La myriade de normes produites par l’Union européenne, qui ne répond qu’à la satisfaction des intérêts particuliers des groupes de pression, est un puissant facteur de dissolution de l’Etat de droit.
État de droit-Peuple-Nation-Homme libre responsable, demeurent les quatre piliers des démocraties libérales, dont l’existence est menacée par le règne des oligarchies absolues, ces aigles à tête de moineau.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Rien de nouveau sous le soleil, puisque aux temps antiques, cela était déjà ainsi. J’ajouterai que 10 pour cent de l’humanité étaient des êtres humains libres, le reste étant réduit en esclavage………comme aujourd’hui……….
Très bon article mais je pense que vous allez vous faire traiter de gauchiste par les plus subtils d’entre nous …
Charles Gave appelle ces “surhommes” les hommes de Davos, j’aime bien le terme.
“l’écologie politique (à ne pas confondre avec l’écologie)”
Ça fait plaisir de lire ça de temps en temps, peu de gens font encore la nuance.
En dénonçant les «riches», M. Touati donne bel et bien l’impression qu’il dénonce le capitalisme!
Les milliardaires sont bien obligés de dépenser leur argent ou de l’investir. S’ils vivent dans une dimension différente des gens «ordinaires» de la classe moyenne, c’est parce qu’ils doivent se protéger des envieux et des gauchistes bourrés de haine.
Je n’ai pas l’impression qu’ils dominent le monde, ni qu’ils sont assez intelligents pour décider quoique ce soit.
Cette vision de M. Touati m’apparaît un peu parano.
@ Magali
Moi aussi je suis déçu par cet article de Mr Touati (en tant qu’avocat fiscaliste, il y des données factuelles sur l’économie de marché qu’il ne peut certainement pas ignorer) très axé sur le socialo-gauchisme.
La “matière” qu’il apporte est hautement discutable.
Mais en lisant sa conclusion: “la myriade de normes produites par l’Union européenne, qui ne répond qu’à la satisfaction des intérêts particuliers des groupes de pression, est un puissant facteur de dissolution de l’Etat de droit”, je comprend où il veut en venir.
L’UE s’est crue capable de fédérer des nations, mais au final c’est elle qui les détruit et qui les fait disparaître.
@ Potus
Je n’ai pas compris l’article comme une condamnation de la richesse mais comme une dénonciation des oligarchies et technocraties complices (capitalisme de connivence) contre les intérêts du peuple. C’est aussi une défense du libre échangisme authentique défendu par Trump contre un multilatéralisme qui appauvrit les classes moyennes et enrichit les grands groupes apatrides. Et c’est une dénonciation des normes et règlements dictés par des lobbies mondialistes contre l’entrepreunariat national. Bref, le refus d’une caste hors sol bien à l’abri des richesses de la diversité mais bien nourries de celles des confits d’intérêts et petits arrangements.
@ Fleur de Lys
J’ai compris exactement la même chose que vous. Nous sommes d’accord.
@ Magali Marc
L’article de monsieur Touati ne dénonce pas le capitalisme mais ces dérives. Aucun système n’est parfait et le capitalisme, qui est ce qu’on a eu de mieux jusqu’à maintenant, a aujourd’hui de gros défauts qu’il est possible de corriger (contrairement aux défauts du socialisme).
Il ne dénonce pas les riches, mais les rentiers.
Ceux qui ne produisent plus forcément rien de bon mais sont maintenus par les subsides d’État quand ils font n’importe quoi et que leurs finances vont mal. Dans une société libérale on devrait laisser ces entreprises disparaitre (destruction créatrice).
Ceux qui vivent du copinage avec les politiques comme les neuf milliardaires progressistes amis de Macron qui possèdent tous les organes de propagande de France (lire médias mainstream).
Ceux qui ne produisent plus rien de bon parce que leur seule préoccupation est la satisfaction des actionnaires, ce qui peut rapporter plus d’argent que n’importe quelle production (les 2 ne vont pas forcément de paire).
J’ai vu un labo pharmaceutique près de chez moi qui a une unité de production minable et chère gérée tout aussi mal que les administrations françaises. Quand on soulève les nombreux problèmes et les expose aux responsables, ceux-ci répondent que ce n’est pas grave tant que les actionnaires ne le voient pas et sont contents …
Pour que le capitalisme soit bon, il doit être libéral et donc soutenir l’entreprenariat et la prise de risque sans jamais soutenir la rente et les rentiers.
Google, Facebook, Microsoft (pour ne citer qu’eux) sont des sociétés toxiques qui cherchent à influencer la politique pour coller à leur vision (progressiste) du monde et sont les pires ennemis de la démocratie et de la liberté (ils le disent parfois eux-mêmes et le montrent tous les jours). Ils servent d’organes d’influence, toujours au profit de la gauche progressiste. Tout lecteur de Dreuz a pourtant eu maintes fois l’occasion de s’en rendre compte.
Rien n’est blanc ou noir (ça c’est le logiciel de gauche). Dire que tous les riches sont très biens et les pauvres tous des fainéants jaloux est absurde. Il y des cons et des gens biens partout.
Je vous invite, vous et tous ceux que ça intéresse, a écouter ce qu’en dit Charles Gave qui en parle beaucoup mieux que moi (il va être difficile de le traiter de gauchiste celui là !).
“Charles GAVE : le capitalisme de copinage tue notre économie” (10mins) :
https://www.youtube.com/watch?v=MY1KeklYmTc
“Capitalisme de Connivence et Libéralisme” :
https://www.institutdeslibertes.org/capitalisme-de-connivence-et-liberalisme/
@ Potus
Oui, tout ce que vous écrivez est exactement le cœur du problème des sociétés progressistes et non libérales.
Excellent! Sidney Touati a atteint le centre de la cible: “UNE CENTAINE DE PERSONNES POSSÈDENT À ELLES SEULES LA FORTUNE DÉTENUE PAR LA MOITIÉ DE L’HUMANITÉ” Analyse ultra pertinente. La partie positive est plus faible mais elle est plus difficile et je n’aurais pas su faire mieux
“L’humanité actuelle ressemble à ces monstres préhistoriques dont une minuscule tête surplombait un corps gigantesque. Cette disproportion, cette croissance inversement proportionnelle de la tête et du corps, vouait mathématiquement ces êtres à la mort.”
Après toutefois leur “négligeable” présence sur cette planète pendant des dizaines (sinon centaines) de millions d’années…
Nous, en tant qu’espèce, on est pour l’instant très très très loin du compte. Et je doute sérieusement que nous arrivions à une telle longévité historique.
Ce texte est basé sur plusieurs postulats qui ne sont que.. des postulats.
L’avantage d’un postulat est qu’il n’a pas à être démontré, l’inconvenient est qu’il peut-être faux.
Par exemple :
“A une nuance près : leur cerveau n’étant plus soumis aux contraintes des réalités, à la nécessité de résoudre les problèmes auxquels chaque homme doit faire face pour sa survie, un tel cerveau perd en puissance et entre dans un processus d’abêtissement. ”
Les postulats ici :
1 – il y a un lien entre richesse et intelligence : ha bon ?
2 – la richesse rend bête : les problèmes sont différents mais si la richesse rend incompetent dans certains domaines, comme changer le papier peint de la chambre des enfants par exemple, on ne peut rien en conclure de fondamentale sur une incompétence generale et substantiellement liée à la richesse.
3 – la richesse détenue est immuable: en fait des gens deviennent riches puis pauvre et inversement, ainsi va la vie.
De plus, M. Touati donne l’exemple G7, les membre du G7 sont des gens puissants, pas obligatoirement riche, quoi qu’en voyant l’extraordinaire efficacité d’un Donald Trump, on peut se demander s’il ne vaut pas mieux avoir des gens riche au pouvoir!
Pour être plus précis, l’efficacité extrême du President Américain est plus lié à sa morale (pas ses goûts, ce qui n’est en rien un argument contre lui, contrairement à ce qu’ont l’air de croire certains “journaliste”) qu’a sa richesse, et en cela je rejoins M. Touati dans son affirmation selon laquelle l’absence de morale peut tuer une société démocratique.
L’avantage des textes de M. Touati est que si on est d’accord, c’est un plaisir de le lire et si on est pas d’accord c’est un plaisir d’argumenter, tout bénéfice donc.
Magali Marc
Peut-être vivez-vous dans une bulle.
Élie
“De plus, M. Touati donne l’exemple G7, les membre du G7 sont des gens puissants, pas obligatoirement riche,…”
Les riches et les puissants n’entretiennent-ils pas d’étroites relations, voire une connivence ?
Donald Trump était très riche avant de devenir Président et sa richesse lui a certainement permis de mener campagne électorale. Mais lorsque l’on considère les résultats concrets qu’il a engrangés pour son pays jusqu’ici, je ne crois pas qu’un enrichissement personnel soit sa motivation. Si tel était le cas, il n’aurait pas eu besoin de devenir Président pour consolider sa richesse et aurait fort bien pu continuer tranquillement ses affaires ni vu ni connu. Il y a des gens riches et égoïstes, c’est évident. Mais il y a aussi des gens riches avec un cœur généreux et qui désirent donner sens à leur vie. De même, il y a des gens pauvres et généreux et des gens pauvres et égoïstes. La richesse (matérielle) est une menace pour l’orgueil et peut mener à la ruine de l’âme si elle est mal utilisée mais elle n’est pas nécessairement un mal en soi. Il y a des exemples bibliques d’hommes de foi très riches. Un seul exemple Abraham.
Et la Bible nous laisse aussi quelques précieux conseils au sujet des richesses. Voici un conseil de type économique:
“Opprimer le pauvre pour augmenter son bien, C’est donner au riche pour n’arriver qu’à la disette.” Proverbe 22: 16. Un enrichissement personnel au détriment de la collectivité produit en définitive misère et pauvreté.
Un autre conseil concerne la véritable valeur de notre vie, et celle-ci ne dépend pas de nos biens selon Jésus:
“15 Puis il leur dit: Gardez-vous avec soin de toute avarice; car la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, fût-il dans l’abondance.” Luc 12: 15
Dans ce passage, ce n’est pas la richesse que Jésus condamne mais l’avarice. C’est notre attitude par rapport à nos biens qui peut être néfaste et ce n’est pas la longueur de notre vie ni la quantité de nos biens qui comptent mais la qualité et destination de celle-ci.
Enfin, richesse et pauvreté peuvent être deux fléau susceptibles de produire la mort spirituelle et la Bible conseille de nous en remettre à Dieu aussi dans ce domaine:
“Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m’est nécessaire.
9 De peur que, dans l’abondance, je ne te renie Et ne dise: Qui est l’Éternel? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, Et ne m’attaque au nom de mon Dieu.”Proverbes 30: 9
en ce qui nous concerne en France une seule issue sortir de l’Europe pour sortir de ce carcan; et échapper à l’oligarchie qui la contrôle. Les Anglais l’on bien compris. Malgré toutes les tentatives de contrecarrer la volonté du peuple britannique. Comme ça était fait en France alors que le référendum avait dit majoritairement non. Ils semblent désormais fermement déterminés à sortir avec ou sans accord. Pour être enfin libres.
il certain qu’ils vont faire des émules.
Comme prévu, la moitié des commentaires ne parle que “des riches”. Aucun rapport avec le fond de l’article qui parle de capitalisme de connivence. Sujet apparemment méconnu de beaucoup de libéraux qui ne comprennent pas que c’est la philosophie qu’ils défendent (le libéralisme) qui est la solution à cette dérive du capitalisme qu’est le copinage et la rente (notions qui devraient être une aberration pour tous les libéraux). Il n’est en aucun cas question d’opposer riches et pauvres. On est ici très loin de toute idée de la gauche mondiale actuelle qui est d’ailleurs celle à qui profite le crime.
L’affirmation selon laquelle 100 riches possèdent plus que 3,5 milliards d’humain est sans fondement. Un rapide calcul permet de comprendre la supercherie de l’annonce. Les 2153 milliardaires de la planète possèdent ensemble 8700 milliards de patrimoine. Divisé par 3,5 milliards, cela correspondrait à un patrimoine moyen de 2500 dollars par individu, bien moins que la réalité (patrimoine moyen global estimé entre 40000 et 60000 dollars selon les sources et entre 10000 et 20000 dollars pour les 50% les plus pauvres). On sait par ailleurs qu’une bonne partie du patrimoine des plus pauvres est volontairement sous-estimé dans de nombreux pays (voir le Mystère du Capital) pour de basses raisons politiques. A fortiori, les 100 plus riches ne peuvent pas posséder autant de patrimoine que la moitié de la population. C’est une fake news, tout simplement.
L’équation n’est pas lugubre, mais le mensonge oui.
Hum…
Les calculs basant ces “1% les plus riches possèdent blablabla” sont souvent fortement sujet à caution et teintés d’idéologie (exemple de critique) et s’intéressent plus aux inégalités qu’à la pauvreté réelle, mais de là à prétendre que, non, les top fortunes de la planète n’ont pas vu leur revenu exploser lors des dernières décennies, et qu’elles ne dominent pas outrageusement la répartition, est d’une mauvaise foi à toute épreuve, même les sites les plus libéraux le reconnaissent (tout en déniant – et je pense globalement comme eux – que cela soit un problème de principe) : https://www.contrepoints.org/2014/02/09/153911-46-de-la-richesse-pour-le-1
La question de fond de l’article n’est pas la richesse, ou les inégalités, mais le fait qu’une certaine élite vive complètement sur un nuage et s’arroge le droit de décider de ce qui est bon pour la planète, alors qu’ils ne comprennent en réalité rien à la vie des gens qu’ils prétendent dominer (ses moyens financiers lui donnant les capacités d’imposer cela)
Où lisez-vous que les top fortune n’ont pas vu leurs revenus augmenter ? Il suffisait de dire la vérité simplement au lieu de répéter une fake news.
Dites, vous allez changer de ton rapidement, vous commencez à me courir les haricots avec vos “fake news”, surtout venu d’un mec qui annonce sans honte que le patrimoine moyen d’un africain dans sa hutte de terre ou sa cage à poule urbaine sans eau ni électricité serait de 10000 dollars, ce qui indique qu’il ne connait strictement rien à la réalité du mode de vie de la majorité de l’humanité.
Contentez vous de ce qui est écrit, c’est plus simple.
Le patrimoine moyen des 3,5 milliards d’individus “les plus pauvres” est bien quelque part entre 10000 et 20000 dollars par tête. Ils détiennent ensemble 1/6e du patrimoine total de l’humanité, la moitié “la plus riche” en détenant 5/6e.
Ca ne veut pas dire que, dans ces 50%, il n’y a pas encore une extrême pauvreté (11% des habitants du monde), mais grâce à Dieu, on a bon espoir qu’elle disparaisse d’ici quelques décennies.
Je le répète, affirmer que 100 individus sont aussi riches que 50% de l’humanité est une fake news que pas une seule statistique ne peut étayer. Les 100 plus riches possèdent au mieux 3% du patrimoine mondial.
Si on compare notre monde actuel à l’époque où la richesse des rois et des puissants dépassait l’entendement, jamais le monde n’a été aussi égalitaire qu’aujourd’hui.
“Contentez vous de ce qui est écrit, c’est plus simple.”
Houla la Montgolfière…
“Je le répète, affirmer que 100 individus sont aussi riches que 50% de l’humanité est une fake news que pas une seule statistique ne peut étayer.”
Je vous ai donné un lien vers le site libéral le plus connu français, qui n’est clairement pas sur la ligne Oxfam (et qui d’ailleurs à clairement démonté les calculs pourris d’Oxfam dans toute une série d’articles), se basant sur le Crédit Suisse (clairment une ONG gauchiste, n’est ce pas), lien que vous avez fait semblant de ne pas lire, pourri de votre fatuité totalement déplacée.
On peut déjà, à la simple lecture de ce passage, se rendre compte que, niveau à peu près et tordage des chiffres, vous ne valez guère mieux que ceux que vous prétendez dénoncer : 3.2 milliards d’ADULTES ont un patrimoine inférieur à 10k$, et vous vous prétendez que 3.5 milliards d’individus (donc tous les enfants des 3.2 milliards précédemment cités) auraient un patrimoine supérieur aux dits 10K$ ? On peut aussi relever cette afirmation de votre part : “Les 2153 milliardaires de la planète possèdent ensemble 8700 milliards de patrimoine.” : hormis que les seuls 200 premiers en possèdent à eux seuls en possédaient en 2013 6300 milliards, le 200ème ayant une fortune de 6.7 milliards de dollars. Cela ne fait confirmer que, ne vous déplaise, une infime minorité de la planète détient bien une part astronomique du total et, surtout (parce que dans l’absolu, on s’en bat les joyeuses de leur fortune), qu’ils prétendent diriger la vie et la destinée de toute l’humanité et qu’ils utilisent cette fortune pour forcer les peuples à accepter les points de vue que cette nomenklatura décrète être les seuls valides.
Au lieu de pérorer “fake news” en vous accrochant aux “100 premières fortunes” (comme si le fait que ce ne soit pas 100 fortunes mais 1% de la population terrestre, sachant qu’au sein de ce % la répartition est tout aussi peu homogène vu que ledit pourcent commence à 753.000$ de patrimoine et se termine avec Bezos, à 154 milliards en 2019 => qu’en réalité, on est dans les poussières de pourcent possédant dans les 40% du patrimoine mondial), si vous commentiez un peu le fond de l’article, l’orgueil de cette nomenklatura qui prétend tout savoir mieux que tout le monde ?
Grandissez un peu, il y a tellement de choses à développer sur ces questions, si tout du moins vous vous dispensiez de prendre vos interlocuteurs pour des débiles profonds…
Les estimations de Crédit Suisse sont différentes d’autres sources. Personne n’évalue précisément le patrimoine mondial. Les estimations en moyenne conduisent aux chiffres que je vous ai donné, 1/6e pour les 50% les plus pauvres, 5/6e pour les 50% les plus riches, et à peu près 3% pour les milliardaires, soit l’équivalent de plus ou moins 10k milliards de patrimoine dans un total d’environ 300k milliards de patrimoine mondial (les chiffres plus précis donnés plus hauts à propos des milliardaires sont ceux de Wikipedia).
1% de l’humanité, c’est 75 millions d’individus. Par ailleurs, il y aurait entre 18 et 42 millions de millionnaires selon les sources. Dans le fameux 1%, tous ne sont pas millionnaires, les pauvres !
Imaginer qu’ils se mettent tous d’accord pour diriger l’humanité est ridicule. Croire que le propriétaire d’un 3 pièces à Paris acquis il y a 40 ans, membre du fameux 1% mondial du seul fait qu’il a le tort immense d’être propriétaire de ce bien, complote pour diriger le monde relève du délire.
Vous vous trompez de cible. L’idéologie et le pouvoir des globalistes fonctionne autrement. A refuser de comprendre correctement votre sujet, vous renoncez trouver la bonne solution. Vous garantissez votre échec. Ca vous énerve…
Je conteste simplement l’accroche de l’article qui est définitivement une fake news, pas le fond qui est un autre débat. L’auteur s’est probablement cru malin en essayant de retourner la fake news à l’envoyeur Oxfam. Mais il ne fait que la propager.
Bon, l’orgueilleux me fatigue, on va retourner aux faits exacts. J’ai fait l’erreur de vous surestimer et m’imaginer que sans en revenir auxdits faits et en restant général (parce que je n’avais pas le temps de rechercher lesdits faits exacts), vous seriez capable de remettre les pieds sur terre, mais vous venez de démontrer dans ce commentaire (en parlant du proprio d’un appart à Paris, comme si celui ci avait quoi que ce soit à voir avec un “top richest” type patron de Facebook et ses tentatives d’orienter la pensée des utilisateurs de son réseau social, ou en venant sortir des sources “Wikipedia”, la pseudo encyclopédie bien pensante), donc revenons à votre “fake news”.
Ce “100 personnes possèdent autant que 50% les plus pauvres” est une version plus calme du rapport Oxfam 2019, qui annonce lui que ce serait 46 personnes et pas 100, rapport Oxfam dont j’ai relevé dés mon premier commentaire qu’il était à prendre avec des pincettes. Ce rapport a été allègrement, et avec raison, critiqué, non pas parce qu’il aurait été une “fake news” mode GIEC, mais parce sa méthodologie était tirée par les cheveux. TOUS les critiques de ce rapport reconnaissent que les données qui ont été utilisées pour faire les calculs sont véridiques (donc que les patrimoines utilisés pour lesdits calculs sont bien justes), mais que la méthodologie d’Oxfam, qui aboutit à calculer qu’un étudiant en médecine endetté par ses études serait plus pauvre qu’un paysan du Sahel possédant qq pauvres chèvres et un are de terre quasi stérile.
Résultat, ce que TOUTES les critiques de cette étude (ces, Oxfam en est à sa quatrième version, toutes ont été critiquées de la même manière) reprochent n’est pas de mal calculer la richesse du top 100, pas plus que de mal calculer la pauvreté réel des pauvres du tiers monde, mais de gonfler artificiellement le montant des pauvres, au point d’en aboutir à un résultat complètement crétin qu’une grande partie des personnes les plus pauvres du monde sont des personnes dans les pays riches ayant un niveau d’endettement élevé parce qu’ils ont une hypothèque, ou que les USA compteraient une plus large part des personnes les plus pauvres au monde que la Chine :
A aucun moment, qui que ce soit, même pas les critiques les plus virulents, ne reproche à Oxfam d’avoir inventé des chiffres, juste de créer artificiellement des pauvres pour dénier la réalité qui ne convient pas à ces idéologues gauchistes : que la grande pauvreté disparait à la vitesse grand V de la planète. Ce qu’Oxfam cherche à faire croire, ce n’est pas que les “top richest” seraient plus riches que ce qu’ils sont, mais qu’ils se seraient accaparés la richesse produite en n’en laissant que les miettes au reste de la planète, comme si le fait de s’enrichir se faisait forcément au détriment de quelqu’un d’autre.
Ceci étant rappelé, quand on regarde la courbe si dessus, et qu’on en enlève les “faux pauvres”, genre l’étudiant endetté ou la personne possédant une hypothèque, faux pauvres relativement faciles à repérer dans la courbe vu qu’ils correspondent à 2 zones uniquement (Amérique du Nord et Europe), on ne baisse ledit nombre de pauvre que de 25%, les 75% restant étant des “vrais” pauvres ne possédant quasiment rien. Le fait qu’ils se portent infiniment mieux qu’il y a 30-40 ans (l’extrême pauvreté dans le monde a été divisée par 4 entre 1981 et 2013, le nombre de personnes concernées a diminué d’un milliard entre 1990 et 2013 alors que la population mondiale augmentait) ne change strictement rien au fait que leur patrimoine est à la limite du ridicule absolu pour une immense majorité d’entre eux : le fait de ne plus mourir de faim une année sur 2 ne fait pas pour autant de vous un nabab, comme je vous le disais précédemment, si vous étiez un minimum sorti dans votre vie de votre confort d’occidental vous connaîtriez ce qu’est la vie d’un paysan africain ou asiatique, ou même d’un travailleur asiatique, vivant avec toute sa famille dans une pièce sans électricité).
Ces 25% enlevés ne modifient qu’à la marge le rapport “plus riches – plus pauvres” et aboutit à ce que l’on passe éventuellement des “46 personnes possédant autant blabla” (voir les “8 personnes”, comme Oxfam avait osé dans la version 2017) à “quelques centaines”, disons “quelques milliers” pour être large, vu que les “pauvres” artificiellement créés ne sont en rien des riches qu’on aurait masqué mais plutôt des classes laborieuses déplacées un cran plus bas (un étudiant en médecine ou une famille hypothéquant sa maison ne risquant pas de déplacer des masses le curseur si on s’intéresse à leur patrimoine réel sans en retirer les dettes, vu que ledit patrimoine ne se compte certainement pas en millions) et que si on les retire, cela ne change guère le contenu des “50% les plus pauvres”. C’est d’ailleurs flagrant quand on regarde la courbe ci dessus, en particulier la zone “North America” : l’intégration des dettes n’arrive à faire apparaitre qu’un pauvre petit triangle dans le dernier décile, suivi d’une quasi disparition de la zone dans les déciles 2 à 5, pauvre petit triangle qui ne représente au final que bien peu de choses dans la partie gauche du graphe, qui correspond aux “50% les plus pauvres”.
=> Non, ne vous déplaise, cette affirmation “les 100…” n’est pas une fake news, au pire une exagération (probablement bien involontaire) de l’auteur, qui ne change STRICTEMENT RIEN à l’article que vous tentez de dévaloriser en vous attaquant à ce point. Qu’est ce que cela change que ce soit les 1000, voir même les 10.000, personnes les plus riches qui possèdent autant que les 50% les plus pauvres, et pas les 100 ? Qu’est ce que cela change au fait que ces 10.000 (qui ne couvrent donc même pas la totalité de la classe politique du G7 que dénonce l’auteur) profitent bien du fait qu’ils ont des moyens financiers outrageusement supérieurs (*) pour tenter d’orienter le monde dans la direction qui les intéresse, faisant fi des aspirations légitimes des peuples ?
Rien, absolument rien, alors arrêter de faire chier votre monde avec votre fake news. Ne parlons même pas de votre orgueil bien déplacé : vous me traitez ouvertement d’imbécile, voir de complotiste, alors qu’il est flagrant dans cet échange que vous ne maîtrisiez absolument pas votre sujet (la Wikipedia, mon D. …), et surtout qu’aller traiter de complotiste quelqu’un qui relève que les “top riches” (ou “top dirigeants”, comme vous voulez) de la planète vont globalement tous dans le même sens, que ce soit sur la façon de régir les relations internationales, l’escroquerie écologique, … est une évidence tellement criante qu’il faut vraiment avoir été bercé trop près d’un mur pour prétendre ne pas la voir… Quand on intègre en prime que ceux ci, en sus des leviers de pouvoirs, possèdent la quasi totalité des moyens d’informations…
(*) rappelons quand même que Jeff Bezos, qui est loin, très loin même, d’être le milliardaire qui m’indispose le plus possède en fortune personnelle l’équivalent du PIB de la Hongrie (129 milliards d’euros), mais surtout qu’il est à la tête d’une société qui chaque année fait dans les 150 milliards de chiffre d’affaire, il faut vraiment avoir été fini au vitriol pour ne pas considérer que c’est un sujet d’importance. Le passé a connu des fortunes dépassant cela (dans les faits, Bezos n’est actuellement que la 7ème fortune de l’histoire), quand bien même elles se sont constituées moins vite, mais jamais il n’a vu des sociétés en arriver à dépasser le PIB de la quasi totalité des pays de la planète. Les exemples passés des “United Fruit Company” et consorts, qui étaient des nains en comparaison des GAFA et consorts, indiquent en prime le genre de dérives possibles qu’il faut appréhender.
PS comme vu avec la modération, et en particulier maintenant que j’ai pris le temps de clarifier les choses au sujet de la “fake news” : si vous continuez à insulter gratuitement un auteur, vous prenez la porte. Etant donné que vous auriez tout à fait pu entamer la discussion sur le mode “ce chiffre de 100 est exagéré, pour telles raisons” plutôt que de hurler à la fake news en prenant tout le monde de haut, Dreuz fait déjà preuve de patience avec vous, évitez d’en abuser. A bon entendeur.
Monsieur, “l’hyperclasse dominante” a l’intelligence et la cupidité
sans limites de prédateurs sans foi ni loi— que ce soit dans le
domaine de l’économie: après la 2de guerre mondiale, les peuples
ont été ASSERVIS sans s’en rendre compte, à la manière du Meilleur
des Mondes ( Orwell), avec castes et sous-castes: l’instillation du
désir de consommer et l’abrutissement programmé, déculturant,
servant le projet à merveille; ou que ce soit dans le domaine sexuel:
scandales à répétition donnant à voir des milliardaires se faisant
livrer des jeunes filles, comme d’autres ( dans les basses castes) se
font livrer des pizzas.
Le “Culte du Veau d’Or” est sans doute le culte le plus pratiqué — et
consensuel— dans le monde: c’est à qui se prostituera, pour ce cher
argent: quel spectacle! Nul besoin , en tout cas, de dialogue inter-
religieux: entre oligarques et esclavagistes, c’est l’entente (très)
cordiale.
D. Trump est sans doute un bon président pour son pays. Les
Américains ont eu un sursaut à temps.
En France, nos compatriotes se complaisent, majoritairement,
dans les fêtes, les congés, le bien-être au bord du gouffre”islam-
en-France”. Aucun attentat de masse ne provoque de sursaut:
la propagande veille, assène, injecte le poison de la bienveillance,
de la repentance.
Aux européennes, il n’y a PAS EU de débat.
Aucun sujet vital n’a été abordé.
Aucun Salvini à l’horizon.
La notion d'”Etat de droit” profite donc à une immigration massive
d’illégaux africains coranistes auxquels sont attribués, sur-le-champ,
tous les DROITS, y compris celui d’agresser, de violer, de tuer (cf
articles de l’IPJ) impunément. L’hôpital psychiâtrique remplace la
prison, commodément.
Quelques immigrés serviront sur les chantiers: tout le monde sera
satisfait: l’on a tellement besoin de “logements sociaux”…
Enfin, dans un livre que je termine, ces jours-ci, de J.B. Tavernier,
voyageur et diplomate français du 17ès en Orient, est mentionnée
l’histoire d’un prince du Tonquin dont les sujets étaient las d’être
esclaves. Le Prince voulut tuer son peuple. Un conseiller lui remontra
qu’il lui serait plus utile de le laisser vivre “afin d’en tirer beaucoup
d’avantage”.
“Une centaine de personnes possèdent à elles seules la fortune détenue par la moitié de l’humanité”
Cette phrase fait partie du titre et est présentée comme un fait. Deux questions :
1) Ce fait est-il réellement prouvé (source à l’appui ?) ou n’est-ce qu’une commode légende urbaine ? Pourquoi 100 et non 200 ? Pourquoi la moitié et non pas le tiers ou le quart ?
2) Que veut dire cette phrase de toute façon ? Au départ, j’avais l’impression de lire “une centaine de personnes possèdent à elles seules la moitié de la fortune de l’humanité”, mais finalement ce n’est pas ce qui est écrit. Il faut plutôt comprendre “une centaine de personnes possèdent à elles seules TOUTE la fortune détenue par UNE moitié de l’humanité”. Oui, mais quelle moitié ? Celle qui est la plus riche ? Ou la plus pauvre ? Ou dans le milieu ?
Tout ce que je veux montrer, c’est que l’article se fonde sur un postulat qu’il faut croire sur parole et qui est si maladroitement énoncé qu’on n’en connaît pas la signification réelle de toute façon. Autrement dit, c’est du vent.
En ce qui me concerne, il n’existe pas de quantité fixe de richesse sur cette planète. richesse que devrait se partager l’humanité de façon la plus équitable possible. En réalité, une entreprise qui réussit crée de la richesse qui n’existait pas auparavant. Même s’il était vrai que 100 personnes ont autant d’argent que la moitié la plus pauvre de la planète (par exemple), ils ont créé leur propre richesse, sans la voler à quiconque.