Publié par Manuel Gomez le 31 août 2019

La Slovénie poursuit la construction d’une barrière d’une hauteur de 2,50 m sur plus de 210 kilomètres, soit les 2/3 de sa frontière avec la Croatie.

Les travaux ont débuté, le long de la rivière Kopla, entre les villages de Zilje et Zunici.

Une première barrière avait été déjà érigée près de la frontière hongroise, entre les villes de Metlika et Vinica. Sa construction a débuté en 2015.

Cette année plus de 7000 migrants ont traversé cette frontière, entrant ainsi illégalement dans l’espace Schengen. Plus de 56% qu’à la même période l’an dernier.

La majorité de ces migrants est originaire du Pakistan, de l’Afghanistan, du Bangladesh, de l’Algérie et du Maroc, mais il ne s’agit, pour eux, que d’une étape vers l’Italie et l’Autriche.

En Grèce, six migrants sont morts dans un accident de circulation en tentant d’échapper à un contrôle de police près de la frontière gréco-turque, dans le nord du pays, à environ 60 kms, sur la route reliant les villes d’Alexandroupolis et Thessalonique.

Le véhicule, qui contenait 16 migrants clandestins, a dérapé et s’est renversé. Les deux passeurs, un bulgare et un algérien, ont pris la fuite mais ils ont été appréhendés un peu plus tard.

Nous n’avons pas d’informations sur les origines des victimes.

Le nombre des migrants clandestins qui arrivent en Grèce via la Turquie, malgré les accords passés et les milliards versés, a connu une hausse de 30% depuis le début de l’année 2019.

Au risque de me répéter, je maintiens qu’il ne sert à rien d’ériger des murs et des barrières aux frontières européennes ni à l’enclave espagnole de Melilla et Ceuta, au Maroc, cela n’empêchera pas les migrants clandestins de nous envahir et de faire ainsi la fortune des « mafias » de passeurs de toutes nationalités.

Il suffirait d’installer une force armée internationale tout au long des frontières subsahariennes, munie de drones et de satellites qui détecteront avec une grande facilité les caravanes de migrants, organisées par les passeurs, qui se déplacent dans ces zones désertiques et inhabitées au sud de la Libye et du Maghreb Nord Africain (Tunisie-Algérie-Maroc) pour éradiquer enfin l’immigration clandestine.

Et cela coûterait nettement moins cher que Frontex et la protection inutile de cette passoire qu’est l’espace Schengen.

Situation pour le moment insoluble mais qui, tôt ou tard, verra l’éclatement de l’Union Européenne sur ce problème primordial, si l’on n’y prend garde !

A Barcelone (Espagne), des patrouilles citoyennes s’organisent pour tenter de diminuer les agressions et les vols visant plus particulièrement les touristes étrangers.

Mercredi dernier le consulat des Etats-Unis a lancé une mise en garde visant les ressortissants américains contre les risques de délits violents et leur a conseillé d’éviter de porter des montres et des bijoux de valeur.

Depuis le début de l’été, 8 homicides ont été comptabilisés et une fonctionnaire sud-Coréenne est morte des suites de ses blessures, après un vol violent.

Selon les autorités policières, les vols ont augmenté de 28% entre 2016 et 2018 et la tendance à la hausse se poursuit avec un bond de 31% au cours du premier semestre 2019.

Cette augmentation de la criminalité est due essentiellement à l’afflux de « mineurs clandestins non accompagnés », plus de 6000, au moins, sont arrivés depuis début 2018, en provenance du Maroc.

Des affiches et des banderoles en plusieurs langues sont brandies dans la seconde ville d’Espagne afin de mettre en garde les touristes : « Pickpockets, pickpockets, Barcelone est pleine de pickpockets ».

Les Catalans craignent que leur ville ne se transforme progressivement en une ville sud-américaine en quelques années.

Le gouvernement et le président Pedro Sanchez sont mis en cause pour le laxisme dont ils font preuve devant cette invasion incessante.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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