Publié par Gaia - Dreuz le 20 août 2019

Sur les réseaux sociaux, des femmes dénoncent par des photos et vidéos une atteinte à leur liberté.

Sur les images, toujours la même scène. Une Iranienne, foulard jeté sur les épaules et chevelure au vent, brave en pleine rue la foule des badauds en déclamant, tel un poème frondeur, son refus de porter le voile obligatoire.

Le geste, hautement symbolique, fait couler de l’encre sur la Toile iranienne depuis maintenant deux ans: relayé par le biais de photos et de vidéos publiées sur les réseaux sociaux sous le hashtag #WhiteWednesday, il consiste à dénoncer une des nombreuses atteintes à la liberté des femmes qui minent leur vie depuis l’instauration de la République islamique, en 1979. Parfois, quelques paroles furtives accompagnent les images: «Non au foulard obligatoire!», «Rendez-moi ma liberté!», «La voix des femmes ne sera pas réduite au silence!», «Nous ne nous soumettons pas aux lois rétrogrades»…

À l’origine de cette minirévolution numérique: une activiste …

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