
La décision visant les militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes : Ilhan Omar et Rashida Tlaib, qui attaquent régulièrement l’État hébreu, a été conforme à l’analyse de la situation par Donald Trump.
Des responsables du parti démocrate au Congrès ont dénoncé la décision visant les militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes Ilhan Omar et Rashida Tlaib comme une attaque raciste et xénophobe !
Ilhan Omar et Rashida Tlaib sont des habituées des attaques anti-sionistes contre l’État d’Israël.
Ilhan Omar, entrée mineure aux États-Unis, réfugiée de Somalie, est résolument antiaméricaine. Et Rashida Tlaib est la première antiaméricaine d’origine palestinienne du parti démocrate à siéger au Congrès.
C’est pourquoi Donald Trump a pu dire à ces élues démocrates musulmanes antiaméricaines au Congrès de retourner dans les pays d’où elles viennent, où elles seraient plus libres de dénigrer leur pays et où elles seraient aussi beaucoup plus heureuses de pouvoir manifester très librement contre l’État d’Israël.
Les élues démocrates antiaméricaines Rashida Tlaib et Ilhan Omar sont donc Persona non grata. Les autorités israéliennes ont annoncé devoir interdire à ces élues islamo-gauchistes pro-palestiniennes d’entrer en Israël en prévention des troubles provoqués par leur soutien à la campagne de boycott de l’État hébreu.
Ilhan Omar et Rashida Tlaib sont les premières activistes musulmanes pro-palestiniennes élues au Congrès. Elles avaient décidé de fomenter des troubles politiques dans les territoires palestiniens soi-disant occupés, alors que leur visite s’inscrivait délibérément dans la trajectoire d’activistes contestataires militantes en faveur de boycott anti-israélien. Ces élues musulmanes pro-palestiniennes utilisent la scène internationale pour créer des troubles en apportant leur soutien aux associations BDS qui appellent au boycott d’Israël.
La décision visant les militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes, Ilhan Omar et Rashida Tlaib, qui attaquent régulièrement l’État hébreu, a été prise en totale conformité à la loi israélienne permettant d’interdire l’entrée sur le sol israélien aux partisans du mouvement “Boycott, Désinvestissement, Sanctions.”
Ce mouvement BDS appelle au boycott économique, culturel ou scientifique d’Israël afin de protester contre la gouvernance sécuritaire des territoires palestiniens par l’État d’Israël.
Bien informé des risques de fomenter des troubles politico-insurrectionnels dans les territoires soi-disant occupés, Donald Trump a jugé qu’Israël ferait preuve d’une grande faiblesse s’il autorisait les activistes militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes Rashida Tlaib et Omar à monter leur coup médiatique : “Elles haïssent Israël et tout le peuple juif et il n’y a rien qui puisse être dit ou fait pour les faire changer d’avis”, a tweeté le président des États-Unis. “Elles sont une honte !” Donald Trump s’oppose régulièrement à ces deux élues démocrates antiaméricaines, à qui il avait conseillé de “retourner d’où elles viennent”.
Aux États-Unis, les propos des deux élues font souvent polémique. En février, Ilhan Omar avait dû s’excuser après avoir affirmé que le soutien américain à l’État hébreu était alimenté par des financements de l’AIPAC, le principal lobby pro-israélien aux États-Unis. La Chambre avait adopté une résolution condamnant les discours de “haine”, sans nommer Ilhan Omar, l’élue démocrate antiaméricaine d’origine palestinienne.
“Scandaleux !” “La décision israélienne d’interdire aux élues du Congrès Rashida Tlaib et Ilhan Omar de (fomenter des troubles en) Palestine est un acte d’hostilité contre les représentants du peuple américain”, a déclaré Hanane Achraoui, membre du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Quand Trump a dit à ces militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes élues démocrates du Congrès de “retourner” d’où elles viennent, des responsables démocrates ont dénoncé une attaque raciste et xénophobe : “Tellement intéressant de voir les élues “progressistes” démocrates du Congrès (…) désormais dire haut et fort et de manière perfide à la population des États-Unis, la plus grande et la plus puissante nation de la Terre, comment notre gouvernement doit être dirigé”, a tweeté le président, estimant que ces élues étaient “originaires de pays dont les gouvernements sont dans une situation totalement catastrophique, les pires, plus corrompus et ineptes au monde (si même ils possèdent un gouvernement qui fonctionne)”.
“Pourquoi ne retournent-elles pas dans ces endroits totalement défaillants et infestés par la criminalité dont elles viennent pour aider à les réparer”, a poursuivi le Donald Trump, sans donner de nom. Il faisait très vraisemblablement référence à ces jeunes élues du Congrès comme Alexandria Ocasio-Cortez de New York, Ilhan Omar du Minnesota, Ayanna Pressley du Massachusetts ou encore Rashida Tlaib du Michigan.
Et d’ajouter : “Et ensuite elles reviennent et nous montrent comment il faut faire… Ces endroits (de merde ?) ont vraiment besoin de votre aide, il faut y aller vite. Je suis sûr que Nancy Pelosi sera très contente de vous trouver des voyages gratuits”, a-t-il relevé. La démocrate Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants, a justement été l’une des premières à réagir à cette série de longs tweets : “Je rejette les commentaires xénophobes de@realDonaldTrump qui sont destinés à diviser notre nation” (unité mise en danger par les activistes islamo-gauchistes pro-palestiniennes Rashida Tlaib et Ilhan Omar). “En tant que membres du Congrès, le seul pays pour lequel nous prêtons serment, c’est les États-Unis”, a ajouté l’activiste islamo-gauchiste pro-palestinienne Ilhan Omar. “Je lutte contre la corruption dans notre pays”, a insisté de son côté l’activiste islamo-gauchiste pro-palestinienne Rashida Tlaib, accusant Donald Trump d’attaquer de façon “dégradante” les populations issues de l’immigration : “C’est à cela que ressemble le racisme !”
“Nous sommes ce à quoi ressemble la démocratie”, (???) a renchéri Ayanna Pressley sur Twitter !
En tant que marchands hypocrites de morale de gauche à deux balles, des candidats à l’investiture démocrate dans la course à la Maison-Blanche ont critiqué Donald Trump. “Le racisme et la xénophobie n’ont pas leur place en Amérique”, a tweeté l’ancien vice-président Joe Biden, lui-même mis en cause. La sénatrice Elisabeth Warren a condamné “une attaque raciste et xénophobe” et la sénatrice Kamala Harris a tweeté :
“Nommons l’attaque raciste du président exactement par ce qu’elle est : antiaméricaine !”
Le président des Etats-Unis, bien informé, a prévenu les dirigeants d’un pays allié, en l’occurrence Israël, des risques de troubles provoqués par la venue des deux activistes musulmanes pro-palestiniennes.
Il s’agit d’élues démocrates (islamo-gauchistes) qu’il stigmatise depuis des semaines, Rashida Tlaib (Michigan) (musulmane) d’origine palestinienne, et Ilhan Omar (Minnesota), (musulmane) née au Soudan.
Gilles Paris : “Donald Trump a créé une nouvelle fois un précédent le 15 août”. Ben voyons !
Les deux femmes (musulmanes) revendiquent leurs critiques virulentes de la politique conduite par l’État d’Israël dans les territoires palestiniens (soi-disant) occupés par l’État hébreu. Un feu vert préalable leur était indispensable compte tenu de l’adoption par la Knesset, en 2017, d’une disposition légale qui interdit l’entrée de personnes (hostiles à Israël) appelant au boycott de l’État hébreu et des “colonies israéliennes”.
Vous avez compris ? L’État de droit a triomphé des manœuvres des activistes militantes BDS islamo-gauchistes pro-palestiniennes Rashida Tlaib et Omar à monter leur coup médiatique : “Elles haïssent Israël et tout le peuple juif et il n’y a rien qui puisse être dit ou fait pour les faire changer d’avis”. “Elles sont une honte !” a tweeté Donald Trump, le meilleur président des États-Unis depuis des décennies.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
quel culot ces israéliens d’interdire à des antisémites de cracher sur eux chez eux!
Ce refus de les laisser entrer est d’une pertinence absolue, RIEN A AJOUTER.
BON DIMANCHE
Docteur Thierry Ferjeux Michaud-Nérard.
votre article est d’une justesse chirurgicale et précise, ceci pour faire référence à votre métier.
Je vis aux États Unis depuis 19 ans, et je ne comprends toujours pas comment ces Anti-Américaine ont put être élus……
je suis moi même devenu Américain depuis 2011, lorsque j’entends des gens qui vivent dans le pays ou ailleurs et critiquer les USA, je bondis.
J’abonde évidemment dans votre sens et bravo à Bibi et au gouvernement Israélien de les avoir refusés.
Ces femmes ne représentent rien aux US, elles ont étés élus dans des circonscriptions à forte densité Musulmane, voilà pourquoi.
Heureusement que nous avons un Président comme Donald Trump, je suis fier d’avoir voté pour lui et je voterais encore pour son prochain mandat.
G.od bless America.
” Ces femmes ne représentent rien aux US, elles ont étés élus dans des circonscriptions à forte densité Musulmane, voilà pourquoi.”
Mais que valent alors les musulmans américains, si, lorsqu’ils sont majoritaires, élisent de telles personnes ?
Ni plus ni moins que les musulmans d’Europe, sauf que chez nous en Amérique ils doivent dissimuler plus soigneusement leur objectif aux yeux du public – qui n’est malgré tout pas dupe.
Comment ne pas s’attendre à autre chose après les encouragements que leur avait fournis M. Obama à coups de déclarations mensongères sur l’islam telles que celles-ci :
“L’Islam a prouvé maintes fois, en paroles comme en actes, ses principes de tolérance religieuse et d’égalité raciale ;
L’islam a toujours fait partie de l’Amérique ;
Ceux qui insultent l’islam ne seront pas tolérés ;
La musique la plus suave à mes oreilles est celle du muezzin appelant les musulmans à la prière ;
Nous sommes redevables à l’islam du rôle qu’elle a joué dans l’avancement de la justice, du progrès, de la tolérance et de la dignité humaine ;
Hier comme aujourd’hui, l’islam est à l’avant-garde de l’innovation et de l’éducation, etc…”
Tout cela dans la ligne d’Angela Merkel, Emmanuel Macron ou Theresa May.
Pardon : “comment s’attendre à autre chose…”
Je crains fort que ces deux abruties n’aient atteint leur but : faire parler d’elle dans le monde entier et discréditer davantage les états-unis et leur président tout en stigmatisant à nouveau Israël. Elles ont gagné !
En quoi ont-elles discrédité les Etats-Unis, le Président Trump et stigmatisé Israël – c’est plutôt l’inverse !