Publié par Guy Millière le 7 août 2019

La presse française et européenne ne déçoit jamais.

Les gauchistes démocrates (tous les candidats à l’élection présidentielle, à de rares exceptions près, parlent comme des gauchistes), et la presse de gauche américaine ont trouvé immédiatement le vrai coupable des deux tueries de masse qui viennent d’avoir lieu aux Etats-Unis : Donald Trump et sa “rhétorique incendiaire”. Et ils ont trouvé le dogme qui arme la main des coupables : le “suprématisme blanc”.  Ils ont aussi trouvé la solution : éjecter Trump de la Maison Blanche par tous les moyens, et le remplacer par un gauchiste démocrate qui interdira les armes à feu. La presse française et européenne prend tout cela pour argent comptant (elle aime les gauchistes démocrates, et se délecte en lisant la presse de gauche américaine qu’elle copie docilement.  

Il y a un seul problème :  pas un seul élément dans ce que disent les gauchistes démocrates et dans ce que dit la presse de gauche américaine n’est vrai.

  • Donald Trump n’a pas une seule fois incité à la violence, et nul ne pourrait trouver une phrase chez lui qui réfute ce que je viens d’écrire. Il n’a aucune “rhétorique incendiaire”.  Il n’a pas une seule fois tenu un propos raciste.  Sauf à considérer que le crime, la délinquance, le terrorisme et l’incitation à la haine constituent une race, bien sûr (et des gens qui n’étaient pas criminels et le deviennent, selon ce type de non raisonnement débile et malsain, changent sans doute de race en fonction de leurs actes, et passent d’un seul coup de la race “innocent” à la race “coupable”). Dans tous ses discours (et j’en ai écouté beaucoup), Trump ne cesse de dire que tous les Américains, quelle que soit leur ethnie et leur religion, font partie du même peuple. Les seuls politiciens qui s’efforcent de diviser les Américains entre ethnies sont les gauchistes démocrates.
  • Le “suprématisme blanc” rassemble tout au plus deux ou trois mille personnes dans un pays de trois cent trente millions d’habitants (ce qui, à l’échelle de la France, ferait quatre ou cinq cent individus), et les personnes en question vocifèrent, mais ne sont en général pas violentes : elles sont marginales et appartiennent à des groupuscules en voie d’extinction telle le Ku Klux Klan (créé par le parti Démocrate et longtemps soutenu par lui). On ne les rencontre jamais dans les réunions publiques de Trump (j’ai assisté à nombre d’entre elles) où on rencontre essentiellement des Américains attachés à leur pays, paisibles et fraternels. Les seules violences dans les réunions publiques de Trump ou à leur proximité viennent de gens de gauche haineux et excités.
  • Depuis le jour de l’élection de Donald Trump en novembre 2016, une véritable rage s’est emparée de toute la gauche américaine, qui a refusé de reconnaitre le résultat des élections et qui s’est comportée de manière putschiste, totalitaire, souvent criminelle (des enquêteurs travaillent sur plusieurs dossiers en ce moment), tandis que Trump et les Républicains n’ont cessé d’agir dans le cadre des institutions et en conformité avec les procédures démocratiques. La gauche américaine a créé ainsi un climat délétère aux allures de rudiments de guerre civile. Si la gauche américaine veut remplacer Trump, qui respecte les institutions, elle dispose d’un moyen simple, qui existe aux Etats-Unis depuis longtemps et fait partie des institutions : le suffrage universel. Le ramassis de candidats lamentables et plus extrémistes et répugnants les uns que les autres qui se présentent aux élections primaires démocrates n’ont sans doute aucune chance de l’emporter, mais il en est ainsi parce qu’ils sont lamentables, extrémistes et répugnants, pas parce que le suffrage universel a été aboli aux Etats Unis.

L’interdiction des armes à feu ne sera pas promulguée, et tenter de la mettre en œuvre provoquerait, pour le coup, une guerre civile. Tout Américain attaché aux valeurs américaines dira, à juste titre, que ce ne sont pas les armes qui tuent, mais les criminels (il y a toujours eu des armes à feu aux Etats-Unis, il n’y a pas toujours eu des tueries de masse). Tout gauchiste démocrate dira que ce sont les armes à feu qui tuent, comme s’il n’y avait personne pour les actionner (tout en disant immédiatement après que ce sont des “suprématistes blancs” qui les actionnent). Les Européens qui accusent les armes à feu ont un regard très sélectif sur la réalité. Les tueurs de masse du Bataclan ont agi avec des armes de guerre dans un pays où le port d’arme est interdit et où même les policiers venus sur place n’avaient pas les armes requises pour riposter. Le tueur de Nice a utilisé un camion poids lourd : je n’ai entendu personne demander l’interdiction des poids lourds. Les tueurs de masse qui agissent aux Etats-Unis choisissent le plus souvent les zones où les armes à feu sont interdites (gun free zones) parce qu’ils savent que nul ne les arrêtera avant plusieurs minutes. La police américaine met entre deux (Dayton) et vingt minutes (El Paso) pour réagir et mettre un tueur hors d’état de nuire. Souvent quand ce n’est pas dans une gun free zone qu’un tueur agit, c’est un citoyen armé qui l’élimine.  A Dayton, ce n’était pas une gun free zone. A El Paso, c’était une gun free zone.

  • Les Etats-Unis ne sont pas décadents. Ils sont et resteront la première puissance du monde et ils sont un pays où la moitié de la population reste attachée aux valeurs fondamentales du pays. Ils sont un pays où une politesse et une fraternité qui ont disparu en Europe existent encore. Ils sont un pays où l’esprit d’entreprise est très vivant et où ceux qui possèdent des armes savent que chaque être humain doit avoir le droit de se défendre et est porteur des valeurs permettant de démarquer le bien du mal. Malheureusement, il existe une autre Amérique qui gangrène le pays, et qui est l’Amérique de gauche. Cette Amérique-là est celle qui se comporte de manière putschiste, totalitaire et souvent criminelle, celle qui a créé un climat délétère aux allures de rudiments de guerre civile, celle qui ne respecte pas les institutions et les procédures démocratiques.

Cette Amérique-là a transformé des villes superbes en poubelles émétiques, exemples San Francisco et Los Angeles. Elle a ravagé les écoles et les universités en y remplaçant la connaissance par des discours totalement biaisés suintant de haine envers la civilisation occidentale et envers l’Amérique. Elle a laissé proliférer la violence, le crime et la consommation de drogue. Elle soutient l’immigration illégale dans le pays, immigrants illégaux criminels compris, et a fait que dans certaines zones du pays, on peut avoir la sensation qu’on n’est plus aux Etats-Unis, mais dans un pays du tiers-monde. Elle demande l’ouverture totale des frontières (donc l’invasion du pays) et a créé les villes sanctuaires où les immigrants illégaux criminels prolifèrent, et où le crime explose. Elle a remis en liberté des malades mentaux dangereux. Elle a détruit les familles en subventionnant massivement les mères célibataires. Elle est hostile aux religions fondatrices du pays, judaïsme et christianisme, mais pas du tout à l’islam, dont elle apprécie le pouvoir destructeur. Elle ne cesse d’insulter et d’agresser les blancs parce qu’ils sont blancs et tout particulièrement les hommes blancs. Elle attise sans cesse une atmosphère de conflit racial qui est totalement absente chez les Républicains (si un Républicain tenait le millième des propos haineux d’un gauchiste démocrate, ce serait immédiatement un scandale planétaire). Elle ne pousse pas les minorités ethniques à s’intégrer ou à s’assimiler, mais les pousse vers le ressentiment. Elle ne cesse d’inciter à la haine, et les agressions physiques contre des hommes blancs parce que ce sont des hommes blancs deviennent fréquentes, a fortiori les agressions contre des gens affichant leur soutien à Donald Trump. Elle a disséminé un rejet absolu du capitalisme et du développement économique au nom de la lutte contre le “dérèglement climatique”, qui a pris ces derniers temps une tournure apocalyptique et conduit à des propos assimilant les entrepreneurs à des criminels contre l’humanité. Elle a développé un culte de la violence gratuite qui se retrouve massivement dans des films et des jeux vidéo depuis que Hollywood a basculé nettement à gauche. Elle soutient des groupes fascistes tels les “antifa”.

Quiconque regarde en face ce que sont les récents tueurs de masse voit qu’ils sont en général Démocrates, pas du tout conservateurs, qu’ils peuvent user de thèses apocalyptiques, qu’ils peuvent aussi développer des attitudes de rejet total de l’immigration (à rebours, là, des positions des gauchistes démocrates, mais en réaction au soutien de ceux-ci à l’immigration illégale et à l’abolition des frontières), qu’ils sont nettement anti-capitalistes, qu’ils viennent de familles décomposées où le père est absent, qu’ils ne vont jamais à l’église, que le système scolaire leur a appris la haine, qu’ils sont jeunes et souvent adeptes de jeux vidéo violents. Cela fait des récents tueurs de masse des produits de l’Amérique de gauche (y compris dans le rejet total de l’immigration, car si les Démocrates ne soutenaient pas l’immigration illégale et l’invasion du pays, et n’avaient pas créé les villes sanctuaires et fait exploser le crime, les choses se passeraient autrement) : l’Amérique de gauche contre laquelle Trump se bat au nom des valeurs fondamentales du pays.

Accuser Trump est s’en prendre à un homme qui, très précisément, se bat contre tout ce qui produit les tueurs de masse.

Soutenir les gauchistes démocrates, c’est soutenir toute la gangrène qui produit les tueurs de masse.

Que la presse française et européenne prenne pour argent comptant ce que disent les gauchistes démocrates, et qu’elle copie docilement la presse de gauche américaine est davantage que consternant et montre que la destruction de l’Europe est très avancée, bien plus avancée que la destruction des Etats-Unis.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

PS Barack Obama ayant fait publier un communiqué insidieux et accusant implicitement Trump, il importe de souligner qu’il y a eu nombre de tueries de masse quand lui, Barack Obama, était Président, et que le glissement du parti Démocrate vers le gauchisme s’est nettement accentué entre 2008 et 2016 parce qu’un certain Barack Obama a tout fait à cette fin. Les tueurs de masse d’aujourd’hui sont les fruits pourris des années Obama. Les gauchistes démocrates sont ses disciples qui, simplement, poussent l’ignominie un peu plus loin (ce qui peut les conduire à dire qu’il était trop modéré). Les journalistes de la presse de gauche américaine sont ses disciples aussi et eux aussi poussent l’ignominie un peu plus loin.

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