Publié par Rosaly le 1 septembre 2019

Lors d’une entrevue accordée au périodique Tempi.it, le père Jésuite a affirmé que les droits humains des migrants aux frontières de l’Italie et du Mexique sont violés.

«Quels sont exactement les droits humains des migrants et quels sont exactement les droits humains de ceux qui vivent dans les pays d’accueil ? Ils sont identiques pour tous. L’important, c’est d’être reconnus comme des êtres humains égaux à tous les autres êtres humains.

Le défi n’est pas seulement l’accueil, mais l’intégration, qui signifie recevoir la contribution apportée par les migrants, qui est supérieure à celle qu’ils reçoivent de leur pays d’accueil.

Les Italiens devraient garder en mémoire leur expérience : ils sont venus en Amérique latine et aussi dans mon pays le Venezuela, ils ont été accueillis, ils sont devenus partie intégrante de la Société, et aujourd’hui, ils ne sont pas considérés comme «des gens différents.»

En Europe, il est nécessaire de reconnaître la contribution des migrants aux Sociétés européennes qui les reçoivent, et les remercier.

Celui qui habite dans un territoire déterminé n’a pas le droit de repousser les migrants, car personne ne possède un droit absolu sur ce territoire. Ils n’en sont pas les propriétaires, les biens de la Terre appartiennent à tous. Je ne vois aucun conflit de droits entre ceux des migrants et ceux des personnes habitant déjà dans le pays, mais l’occasion d’un dialogue humain, pour créer une fraternité universelle à travers ces mouvements de population motivés par les guerres, les persécutions, la pauvreté, la recherche d’une vie meilleure.»

Ce discours, débordant de bons sentiments, qui doit faire le bonheur des camarades communistes, rappelle étonnamment les émouvantes plaidoiries en faveur de l’immigration d’un autre Jésuite : le Pape rouge fasciné par le vert de l’islam.

«Ils viennent apporter une contribution, qui est supérieure à celle qu’ils reçoivent de leur pays d’accueil.»

Est-il sérieux ? Vit-il dans le monde réel ou au pays du rêve où « tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil ?»

Pourquoi feint-il d’ignorer que les flux migratoires, qui déferlent sur Occident, sont majoritairement composés de musulmans ? Pourquoi préfère-t-il rester dans une trompeuse généralité diplomatique ? Craint-il des réactions «pas très catholiques» ?

Ces migrants contribuent avant tout à la progression de l’islam en Occident, tout en profitant avec une délectation sadique des avantages sociaux des pays d’accueil, qu’ils considèrent comme un cadeau d’Allah.

En Allemagne, 75 % des migrants seront chômeurs de longue durée ou à vie et vivront de l’aide sociale. Là, où je partage son optimisme sur leur contribution, c’est au niveau démographique. Et les familles polygames, en principe interdites, mais tolérées, seront les plus grandes contributrices à l’épanouissement de la Société allemande, du moins dans le domaine des naissances, qui aboutira in fine, si rien ne change, au remplacement de la population indigène. Quoi de plus normal, puisque la terre appartient à tout le monde, selon le Père Sosa, quitte à remplacer un peuple par un autre. Une substitution fraternelle ? Non, Père Sosa, cela s’appelle un génocide «soft» des plus sournois, piloté par nos propres élites ethnomasochistes et xénophiles.

En Suisse, plus de 80 % des migrants somaliens vivent de l’aide sociale et leur contribution à la criminalité fait le délice du peuple suisse.

Le Père Sosa ne connaît rien ou prétend ne rien connaître au sujet de la doctrine islamique de conquête de la Maison de la Guerre, une idéologie néfaste, liberticide, mortifère, non seulement pour les peuples occidentaux, mais aussi pour le Christianisme et cela devrait le concerner, lui le soldat de Jésus.

Il vit dans le passé, à une époque où la plupart des pays occidentaux utilisaient un système d’immigration basé sur différents critères, afin de s’assurer que l’immigration était bénéfique au pays d’accueil. Sous ce système, les migrants qui n’apportaient aucun avantage au pays, étaient porteurs de maladies dangereuses transmissibles ou avaient des antécédents criminels, découverts après enquête, étaient refoulés sans état d’âme.

Aujourd’hui, c’est l’inverse : selon le point de vue faussement humaniste de Sosa, personne ne devrait être refusé et toutes les frontières supprimées. Qu’importe le nombre de vies fauchées par ces migrants, décrits comme des anges, la hausse des viols, des vols, des agressions à l’arme blanche, ils ont le droit humain de venir, de s’installer, d’apporter leur contribution généreuse et «islamiquement fraternelle» au pays d’accueil en y créant le chaos, en semant la mort, la souffrance, et leur hôte a le devoir de les remercier.

Le Père Sosa est un loyal partisan du Pape de l’islam, dont les suppliques en faveur d’un Occident «portes ouvertes» sans frontière et d’une immigration musulmane de masse se multiplient.

Le prélat croit également qu’il existe un «plan élaboré aux États-Unis pour forcer le pape François à démissionner» et le remplacer par un Pape, qui ne suivra pas le chemin tracé par son ami Bergoglio.

«Il y a des gens à l’intérieur et à l’extérieur de l’Eglise, qui souhaiteraient la démission du Pape François, mais le Pontife n’a aucune intention de le faire. Je pense que la stratégie finale n’est pas tant de «forcer» le Pape François à démissionner, mais plutôt d’influencer l’élection du prochain Pontife, créant ainsi les conditions [nécessaires] pour que le prochain pape mette fin à la voie indiquée et suivie par François.»

«La terre appartient à tout le monde»

N’est-ce pas là une malhonnêteté intellectuelle, voire dangereuse, que de le laisser croire ? Se demande-t-il comment les migrants musulmans vont interpréter ces paroles ? Gonflés d’orgueil, car persuadés d’être supérieurs aux non-musulmans, dixit Allah, ils s’arrogent tous les droits quand ils s’installent dans un pays occidental, aidés en cela par les collabos de l’islamisation, imposent peu à peu leurs lois islamiques, leurs coutumes, leurs mœurs du VIIe siècle. Ils contribuent avant tout à la régression des Sociétés occidentales dans lesquelles ils s’incrustent, les déstabilisent et y créent le chaos.

Quand l’islam s’installe dans une nouvelle nation, son but n’est pas de s’adapter à la structure de la Société d’accueil et de devenir simplement une religion parmi d’autres, comme le pensent naïvement les Occidentaux. Oh que non ! Son objectif est de devenir la religion dominante, car l’islam est supérieur à toutes les autres religions. Une fois un territoire conquis par l’islam, soit par la violence, soit pacifiquement, ce que nous vivons aujourd’hui, les musulmans sont persuadés que cette terre leur appartient pour l’éternité. Ainsi Israël, l’Espagne et les Balkans, autrefois sous la domination musulmane, sont en tête de liste dans leur agenda pour leur reconquête. Les pays gouvernés par les kafirs sont connus sous le nom de Dar-al-Harb, «le domaine de la guerre». En d’autres termes, tout territoire non musulman, peu importe qui le gouverne (humanistes, athées, chrétiens, juifs, hindous, bouddhistes, etc.) est un territoire à conquérir, à reconquérir et à soumettre.

En décembre 1997, le cheikh Yousef al-Qaradawi, chef spirituel des Frères Musulmans, déclarait dans une interview que la loi islamique classait les Juifs et les Chrétiens dans trois catégories : les non-musulmans «protégés», vivant dans les pays islamiques (dar al-islam), c’est-à-dire les dhimmis, les non-musulmans des pays de la trêve provisoire, et les non-musulmans des pays de la guerre (harbis).

Pour chacune de ces catégories, précisa le cheikh, la loi islamique a institué des règlements différents. Le cheikh a ainsi résumé en quelques mots la théorie du djihad qui réglemente les relations des musulmans avec les non-Musulmans. Selon cette théorie, les habitants des pays de la guerre (Dar Al-Harb) sont tous des infidèles et doivent être combattus, car ils s’opposent à l’instauration de la loi islamique dans leur pays.

Ennemis d’Allah, ils n’ont aucun droit, leur personne et leurs biens deviennent licites (mubah) pour n’importe quel musulman.

Au gré des occasions, ils peuvent être pris en esclavage, rançonnés, pillés ou assassinés. On leur fait la guerre pour islamiser leur territoire qui doit, selon la volonté d’Allah, appartenir à la communauté islamique. S’ils résistent, la loi islamique prévoit la déportation des hommes ou leur massacre et l’esclavage des femmes et des enfants.

Dans un article intitulé «Comment l’islam classe les pays», al-Muhajiroun, journal islamiste londonien, précisait :

«Une fois l’État islamique instauré, aucune personne dans le Dar Al-Harb n’aura d’inviolabilité, ni pour sa personne ni pour ses biens, et par conséquent n’importe quel musulman dans de telles circonstances peut aller dans le Dar Al-Harb et s’approprier les biens du peuple, à moins qu’il n’y ait un traité avec cet État. S’il n’y a pas de traité, les musulmans individuellement peuvent aller dans le Dar Al-Harb et même s’emparer de femmes pour en faire des esclaves.»

En 2003, Yusuf al-Qaradawi, alors basé à Londres, déclara : «Il a été déterminé par la loi islamique que le sang et les biens des peuples de Dar-Al-Harb ne sont pas protégés».

Aux yeux des musulmans, le dhimmi est coupable d’exister, il doit racheter son existence par des tributs, des «services», des flatteries. Les expressions de son identité doivent être humbles, cachées, il n’a point d’histoire, de culture, ni de civilisation, et doit se faire pardonner son génie en le mettant au service de son oppresseur. Admirable idéologie ! Cela explique l’attitude arrogante et suprémaciste d’un grand nombre de migrants musulmans envers leurs pays d’accueil. Ils ne leur sont en rien redevables, bien au contraire, les pays hôtes doivent leur être reconnaissants, les respecter et contribuer financièrement à leur entretien.

Très brève leçon d’histoire : Egypte, Irak, Iran

Avant l’arrivée de l’islam, l’Egypte était chrétienne et l’Irak, aussi appelé Assyrie, était majoritairement chrétien. La religion de la Perse, aujourd’hui l’Iran, était le zoroastrisme. Les populations conquises par les arabo-musulmans devinrent des dhimmis soumis au Pacte d’Omar ou se convertirent à la «religion» de leurs nouveaux maîtres.

Et cela se répète de nos jours !

L’affirmation du Père Sosa risque de renforcer le sentiment d’impunité, de légitimité des migrants musulmans dans l’appropriation de ce qui ne leur appartient pas. Les conquêtes arabo-musulmanes au fil des siècles firent disparaître à tout jamais dans le néant de brillantes civilisations.

Si, par le plus étrange des hasards, le Père Sosa n’est pas au courant de cette si «fraternelle philosophie islamique», les musulmans eux sont instruits par leurs «pieux imams modérés». Il a raté là une magnifique occasion de se taire !

Sa déclaration humaniste dangereuse dans sa maladresse s’apparente curieusement à celle d’al-Qaradawi à l’attention des musulmans.

Cela implique :

. Que n’importe qui peut décider de s’approprier de la terre d’un autre, voire de le chasser pour s’y installer, puisqu’elle appartient à tout le monde ;

. Que n’importe qui a le droit de venir chez vous, de profiter des acquis sociaux obtenus après des décennies de lutte, sans y avoir jamais contribué, de réclamer, voire d’exiger des droits, de prendre possession de vos biens, car ils appartiennent à tous et à vous, il ne resterait que le devoir de les accueillir le sourire aux lèvres et de les remercier de venir vous spolier de vos biens, de vos droits, de vos libertés, de votre pays.

En outre, quand il dit «tout le monde» inclut-il aussi les égorgeurs de l’EI, les djihadistes terroristes de Boko Haram, d’Al-Qaïda, les Frères musulmans, les barons de la drogue, les criminels de droit commun et autres délinquants infiltrés dans les flux de migrants musulmans, la crème de la crème de l’Humanité ?

La terre, dont le Père Sosa parle, qui appartient à tout le monde, est bien entendu la terre des riches nations occidentales, égoïstes, fermées sur elles-mêmes, en déliquescence morale absolue.

«Les Italiens devraient garder en mémoire leur expérience…»

Que l’on cesse de comparer l’immigration intra-européenne du passé à l’actuelle invasion musulmane. Cela devient lassant. Que des jésuites, réputés pour leur niveau intellectuel élevé et leur grande culture, puissent s’abaisser à utiliser un tel argument fallacieux pour justifier l’immigration de masse musulmane, cela porte atteinte à leur crédibilité.

«Le populisme est dangereux»

Questionné sur les mouvements politiques modernes, le Père Sosa a déclaré, sans surprise, que le populisme était dangereux, alléguant qu’il s’agissait d’une idéologie totalitaire.

«Il existe différents populismes, ainsi que différents souverainismes, que l’on retrouve dans le fondamentalisme, le terme «souverainisme» désignant la croyance en des Etats-nations indépendants.

Le populisme dissimule diverses formes d’autoritarisme sous prétexte de représenter le peuple. Cela nécessite beaucoup de discernement politique, a-t-il déclaré, ajoutant que cela représentait un «concept idéologique».

Une chose est une idée politique, une autre est une idéologie

Et quand sous prétexte de défendre la démocratie, on impose la censure, on glisse peu à peu vers le délit de blasphème, interdisant toute critique de l’islam, afin de plaire aux 57 pays musulmans de l’OCI, ne tue-t-on pas à petit feu la liberté d’expression, l’une des précieuses valeurs démocratiques, au motif hypocrite de lutter contre les discours de haine ?

Quand on magouille au niveau des dirigeants de l’UE pour faire tomber un gouvernement, un ministre, un politicien, qui refuse de se plier aux diktats très peu démocratiques du politiquement correct, de la pensée unique, imposés par la toute puissante UE, n’est-ce pas dangereux pour la liberté et la démocratie ?

Quand les résultats des élections ou des référendums ne vont pas dans le sens des politiques décidées à l’avance par l’UE sont rejetés, la démocratie est-elle respectée ?

Ce qui s’appelle désormais «démocratie» se réduit à la légitimation des politiques décidées par l’UE et ses caniches, sans tenir compte de la volonté des peuples, et cela entraîne une régression immorale et cynique de la démocratie d’une extrême gravité.

L’UE doit freiner la souveraineté nationale pour tuer les populistes…

«L’UE doit mettre un terme à la souveraineté nationale en matière financière en créant «un budget eurozone» afin de «tuer» les politiques populistes au sein de la zone euro»

Pierre Moscovici, responsable des affaires économiques au sein de la branche non élue de l’UE, a déclaré qu’il fallait «plus de progrès dans l’intégration européenne» pour écarter le populisme, qu’il a qualifié de «menace majeure pour nos démocraties, pour les démocraties libérales, pour l’état de droit et pour les valeurs européennes.»

Un bel exemple de démocratie, qui doit plaire au Père Sosa !

Les propos de ce dirigeant jésuite sont dangereux, car ils sont encore nombreux à lui faire confiance et à le suivre dans ses divagations humanistes communistes. C’est un guide aveugle, qui a choisi d’ignorer les réalités des problèmes liés à l’immigration actuelle en Occident. Ce chef religieux, indigne de sa fonction, dans ses délires humanistes à la sauce communiste, semble avoir malheureusement relégué aux oubliettes toutes les victimes du djihad islamiste et du suprémacisme islamique non seulement en terre d’islam, mais aussi en Occident.

Le respect des droits humains des uns ne doit pas se faire au détriment des droits humains des autres. Encourager, soutenir, favoriser l’immigration musulmane en Occident, revient à souhaiter l’éradication du christianisme, à renier le Christ, dont il est supposé être le fidèle serviteur, le soldat loyal.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • « Jesuit Chief: No Country Has the Right to Turn Away Migrants » by Thomas D. Williams (Breitbart)
  • « Refugee reality: Germany admit: 75% of refugees face long- term unemployment and life on social benefits » (Express Co. UK)
  • « Black Pope: there is a plan to have Pope Francis resign » (ChurchMilitant.com)
  • « Islamic State finds success infiltratin its terrorists into refugee flows to West » (Washington Times)
  • « Juifs et chrétiens sous l’islam -Dhimmitude et marcionisme » par Bat Ye’Or (extraits)

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