Publié par Rosaly le 5 septembre 2019

Quand la fiction pourrait devenir réalité.

Le roman de science-fiction de l’écrivain américain Philip K. Dick « The Minority Report » publié en 1956 dans « Fantastic Universe » nous transporte à Washington DC en 2054, ville devenue cauchemardesque. Dans cette société du futur, les crimes ont été éradiqués grâce à un système de prévention, détection et répression le plus sophistiqué au monde. Dissimulés de tous, trois «mutants» extra-lucides connectés à une machine, appelés «précogs» (de précognition), dotés de capacités psychiques qui leur permettent de voir les crimes du futur, transmettent les images des crimes à venir aux policiers de la « Precrime » ce qui leur permet d’arrêter les suspects avant qu’ils ne puissent commettre des crimes.

Ce livre suscite la réflexion suivante sur la justice: est-il légitime d’incarcérer pour meurtre des personnes désignées par les « précogs » comme de futurs meurtriers, mais innocentes au moment de leur arrestation ?

Un film, adapté de ce roman, fut réalisé en 2002 par Steven Spielberg avec en vedette Tom Cruise, Colin Farrell et Max von Sydow.

Pourquoi ce préambule, se demanderont certains

Eh bien, cette dystopie pourrait devenir bientôt une réalité en Grande Bretagne, toujours à l’avant garde en ce qui concerne les idées les plus follement innovantes en matière de restriction des libertés individuelles dans le seul but de protéger les membres de la meilleure communauté qui soit et leur douce idéologie islamo-nazie.

En effet, selon The Guardian, The Tony Blair Institute for Global Change, créé par l’islamophile ancien premier ministre, a « suggéré » qu’une nouvelle loi soit promulguée autorisant à signaler les « groupes de haine » (en d’autres termes, les islamo-lucides ou islamo-réfractaires) afin qu’ils soient punis avant qu’ils ne deviennent violents et ce dans le noble but de lutter contre les très dangereux « extrémistes d’extrême-droite ».

« Avant qu’ils ne deviennent violents » , c’est-à-dire avant qu’ils ne se tournent vers la violence, même si rien ne laisse supposer qu’ils deviendront un jour violents.

D’après The Guardian, les auteurs du rapport de l’Institut Tony Blair « Narratives of hate: The spectrum of Far-Right Wordlviews in the UK » (Les récits de haine: le Spectre des visions du monde de l’extrême-droite au Royaume-Uni), à l’origine de ce projet de loi, « admettent que le fait d’établir un lien entre l’extrémisme violent et non violent suscite la controverse et met en péril la liberté d’expression ; il devient dès lors impérieux de protéger cette liberté fondamentale par des mesures appropriées ».

Cet habillage verbal de la vérité a pour but de duper le public et le rendre complaisant, car il n’existe aucun moyen de criminaliser une opinion, tout en protégeant la liberté d’expression. C’est du bluff !

Toujours selon The Guardian, « La loi […] désignerait les groupes de haine comme des organisations qui propagent l’intolérance et l’antipathie à l’égard de personnes de race, de nationalité, de religion, d’orientation sexuelle différentes ».

L’ironie de ce projet de loi c’est qu’il devrait s’appliquer en premier lieu à l’islam, dont le livre sacré pullule de discours de haine envers les non musulmans et propage l’intolérance et l’antipathie à leur égard, suscitant des pulsions meurtrières dans le coeur de certains de ses adeptes, immédiatement excusés par leurs problèmes psychiques. C’est fou le nombre de fidèles d’Allah, qui sont psychologiquement perturbés. Pourtant, nous bassine-t-on à longueur de discours, l’islam n’est que paix, amour, tolérance et apporte à ses adeptes la sérénité de l’esprit , la joie dans le coeur et la félicité. J’ai beau scruter à la loupe les pays musulmans, je ne vois aucun qui corresponde à ce bonheur idyllique. Ma loupe doit être défectueuse ou pire encore islamophobe.

L’Institut Tony Blair devrait être fermé pour incitation à la folie.

Pour les élites politiques et médiatiques, une analyse honnête de la manière dont les djihadistes utilisent les textes et les enseignements de l’islam pour justifier leurs actions et recruter des soldats d’Allah parmi « la population pacifique musulmane » ne sert qu’ à propager « l’intolérance et l’antipathie à l’égard de personnes de race, de nationalité, de religion, d’orientation sexuelle différentes ».

Une telle analyse est systématiquement liée aux groupes qualifiés de racistes par la bien-pensance, comme si l’opposition au meurtre de masse par les djihadistes et à l’oppression des femmes, des homosexuels, des non musulmans était synonyme de haine raciale. Dans l’aberrante société actuelle, caractérisée par une hallucinante inversion des valeurs, toute critique de l’islam est assimilée à de la haine raciale. A croire que l’islam, une idéologie politique pseudo-religieuse, est une race !

Cette bienveillance incroyable envers l’islam – dont le livre saint, le noble coran, regorge de sourates haineuses envers les non musulmans et d’appels à combattre les infidèles, à les soumettre, à réduire en esclavage et/ou à tuer les mécréants, à conquérir leur terre et les islamiser – est surtout motivée par la crainte des réactions violentes ou pires encore des fidèles de la douce religion d’amour, de tolérance et de paix et par l’absolue nécessité de protéger les intérêts britanniques à l’étranger. Cela vaut bien la restriction de quelques libertés et le sacrifice de quelques centaines ou plus de vies de citoyens ordinaires…

Le respect servile de la presse à l’égard de l’islam confine à l’autocensure afin de ne pas froisser les si délicates sensibilités musulmanes. En ce siècle de tous les paradoxes, vouloir défendre son pays, son peuple devient un crime de haine raciste, passible de prison. Critiquer une idéologie suprémaciste, belliqueuse, liberticide, prônant la soumission ou la mort des infidèles fait de vous un paria, un être dangereux à enfermer. Mettre en garde contre le danger qu’elle représente pour la survie de l’Occident et de ses peuples relève d’une phobie répugnante, à condamner sévèrement. Seuls les discours «amicaux» teintés d’une haine saine, sainte et amplement justifiée par la terrible et injuste «oppression» dont sont victimes les musulmans en Occident sont acceptés, voire encouragés par le lâche silence des Autorités : les premiers étant toujours les innocentes victimes, les seconds les ignobles oppresseurs.

Selon le mythe répandu par les médias, l’idéologie du terroriste Anders Breivik a été inspirée par les islamophobes et leurs critiques non justifiées de l’islam, de la violence du djihad, et de l’oppression des femmes conformément à la charia. Le fait que Breivik n’était pas vraiment un anti-djihadiste et appelait les Européens à s’allier avec le Hamas et al-Qaïda fut totalement occulté, car cela ne correspondait pas au narratif médiatique.

Savent-ils ces grands experts de l’islam, que les auteurs des attentats islamistes trouvent leur source d’inspiration et de légitimation de leur actes barbares meurtriers et de leur cruauté dans l’idéologie islamique basée sur leur livre saint, le coran ?

Il n’y a rien de comparable entre l’idéologie criminelle de Breivik et la juste opposition au djihad de la terreur, à l’immigration de masse musulmane en Europe, à l’introduction des lois de la charia en Occident et qualifier cette opposition d’acte criminel, même si les opposants n’appellent jamais à la violence, ni la tolèrent, relève d’un cynisme monstrueux, d’une hypocrisie totale. Il faut avoir l’esprit vraiment tortueux, malsain, irrigué de venin pour voir une corrélation entre l’idéologie criminelle d’un Breivik et la résistance pacifique de nos patriotes contre la destruction de nos peuples, de notre civilisation, de notre culture, de notre foi.

Si «l’idéologie du terroriste Breivik» est criminalisée, le communisme sera-t-il aussi mis hors la loi, puisque des centaines de millions de personnes furent assassinées en son nom par Staline, Mao, Pol Pot et autres sinistres et infâmes individus? Evidemment non! Ce projet de nouvelle loi n’est destiné qu’à museler ceux qui appellent à la résistance contre la violence djihadiste et à l’islamisation. Quiconque s’opposera à ce projet de loi sera inévitablement stigmatisé et traité de «raciste» et «d’islamophobe», et suspecté avec véhémence de faire partie de «l’extrême-droite».

Il est ainsi à redouter qu’il n’ y aura aucune opposition à la «recommandation» de l’Institut Tony Blair et bientôt, même les petits groupes de résistants au djihad de la terreur et à l’islamisation de la Grande Bretagne seront réduits au silence, sans que personne n’ose faire entendre sa voix pour les défendre. Que se passera-t-il alors? A quoi ressemblera cette nouvelle Grande-Bretagne, quand la réalité remplacera la fiction? Ce sera sans doute de loin beaucoup plus cauchemardesque que ce que l’auteur de “Minority Report” Philip K. Dick, n’aurait jamais pu imaginer.

« La nation qui a donné la Magna Carta (Grande Charte des Libertés) au monde est morte » Pamela Geller

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : «In the UK, you could soon be arrested for crimes you haven’t yet committed.» FrontPage Mag

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