Joe Biden est le candidat Démocrate que les médias croient capable de battre Donald Trump ! Je lui souhaite bien du courage..
Un jour, un ami Démocrate m’a dit que les électeurs Démocrates ont un meilleur QI que les Républicains. J’avais regardé quelques statistiques et études, et bien entendu, la moitié lui donnait raison, l’autre disait le contraire. Maintenant que je vois de près les débilités du candidat largement en tête pour les Démocrates, je me demande si, QI ou pas QI, les électeurs Démocrates ont toute leur tête…
Quant aux journalistes du Monde qui soutiennent Biden, après ce que vous allez lire, vous saurez à quoi vous en tenir sur leur santé mentale !
Je vous présente donc quelques-unes des plus belles gaffes de Joe Biden.
- Dans l’Iowa, devant un public de Noirs américains, Joe Biden lance : “Les enfants pauvres sont aussi brillants et talentueux que les enfants blancs”.
- Après les fusillades d’El Paso et de Dayton, il a évoqué “les événements tragiques survenus aujourd’hui à Houston et aussi dans le Michigan”.
- En 2006 dans le Delaware: “Nous choisissons la science plutôt que la fiction, nous croyons en la vérité plutôt qu’aux faits.”
- “Allez à Joe 30330”. (A la fin du dernier débat, Biden a voulu encourager ses partisans à taper “JOE” par SMS à un numéro pour lui envoyer de l’argent, mais il a oublié la partie sur les SMS et a dit de façon absurde “allez à Joe 30330”.
- Biden dans le New Hampshire : “Je vous aime, Vermont !”
- “Non, je ne devient pas fou”. (Joe Biden a dû rassurer ses partisans au sujet de sa santé mentale, après avoir peiné à se rappeler si c’était sur le campus du Dartmouth College qu’il avait prononcé un discours quelques heures auparavant. “Je veux être clair, je ne deviens pas fou. Je ne sais pas si c’était à l’école de médecine, que j’ai parlé. Mais c’était sur un campus.”
- Le même jour, Biden a spéculé publiquement sur ce qui se serait passé si l’ancien président Barack Obama avait été assassiné après son élection – son directeur de campagne et les commentateurs politiques tentent encore de comprendre où il voulait en venir…
- A propos de Barack Obama : “il est propre et articulé”.
- “Martin Luther King a été assassiné à la fin des années 70” (Il a été assassiné le 4 avril 1968)
La plus grosse pour la fin…
L’histoire de guerre racontée par Joe Biden : Le Washington Post n’a pas pu s’empêcher de lui consacrer un article spécial.
Le contexte
Joe Biden a raconté une scène de guerre aux 400 personnes rassemblées dans une salle de réunion, l’histoire d’un général quatre étoiles qui avait demandé au vice-président de l’époque – Joe Biden donc – de se rendre dans la province de Konar en Afghanistan, une incursion dangereuse dans un “pays maudit” pour reconnaître l’héroïsme remarquable d’un capitaine de marine et lui remettre une médaille d’argent.
Après son récit, la salle est restée silencieuse…
C’est la vérité de Dieu”, avait dit Biden en racontant l’histoire. “Ma parole en tant que Biden.”
“Sauf que presque tous les détails de l’histoire étaient incorrects” rapporte le Washington Post.
- D’après des entretiens avec plus d’une douzaine de soldats américains, leurs commandants et les responsables de la campagne de M. Biden, il semble que l’ancien vice-président ait mélangé des éléments d’au moins trois événements réels, et ait fabriqué une histoire de bravoure, de compassion et de regret qui n’a jamais existé.
- Biden s’est rendu dans la province de Konar en 2008 en tant que sénateur américain, et non en tant que vice-président.
- Le militaire qui a effectué le célèbre sauvetage décrit par Biden était un spécialiste de l’armée de terre âgé de 20 ans, et non un capitaine de marine.
- Ce soldat, Kyle J. White, n’a jamais reçu de médaille d’argent, ni aucune autre médaille, épinglée sur lui par Biden.
- Lors d’une cérémonie à la Maison-Blanche, six ans après la visite de M. Biden, le président Barack Obama lui a remis une médaille d’honneur, la plus haute distinction du pays pour bravoure.
En l’espace de trois minutes, conclut le Washington Post qui est pourtant prêt à toutes les bassesses de Fake News pour faire perdre Trump, “Biden a eu le temps, le lieu, l’acte héroïque, le type de médaille, la branche militaire et le grade du récipiendaire faux, ainsi que son propre rôle dans la cérémonie.”
Qui se ressemble s’assemble. Les journalistes sont devenus des clowns et Biden est digne d’un cirque.
Si Biden est le candidat, je peux vous garantir que ce sera l’une des deux ou trois plus jolies histoires de la campagne. Et j’espère qu’il sera le candidat Démocrate !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
je l’adore ce joe biden ….. lorsqu’il sera chef des démocrates alors Trump va la démolir en un rien de temp
Ne parlez pas de ses gaffes au contraire faites ses louanges sinon il risque de ne pas être élu chef des démocrates ! Ce serait vraiment dommage.
Joe B. a une tête à clac.
Je me demande si ces gaffes ne le rendent pas sympathique à la fin.
Donc il s’est trompé sur le «temps, le lieu, l’acte héroïque, le type de médaille, la branche militaire et le grade du récipiendaire faux, ainsi que son propre rôle dans la cérémonie. » Mais il a bien dit que c’est la vérité qui compte (un soldat a effectué un sauvetage en Irak et a été décoré) et non pas les faits! («truth against facts»)
Le sondage le plus récent de Rasmussen Reports montre que M. Biden commence l’automne avec un soutien de 33 % des électeurs probables démocrates. La (sotte et agaçante) Sénatrice du Massachusetts, Elizabeth Warren, arrive loin derrière avec 19 %, suivie de près par le Sénateur du Vermont, le socialiste Bernie Sanders, avec 16 %.
Même avec ses gaffes, si je n’avais pas le choix, je préférerais Biden à FauxCahontas et à ce faux-c-l de Sanders.
Si Biden est effectivement choisi comme candidat présidentiel des Démocrates pour 2020, Trump devra faire attention – dans un débat avec lui – de le traiter avec respect et de ne pas l’humilier. Trump n’aura aucun mal à le contredire et à lui demander pourquoi il veut être président?
Autres perles :
“J’étais vice-président pendant la tuerie de Parkland”. En 2018 ?
“Je suis contre les chargeurs qui contiennent plus d’une balle.” Déjà, les chargeurs contiennent des cartouches, pas des balles, et puis à quoi servirait un chargeur s’il fallait en changer chaque fois qu’on tire ?
Et si c’était là l’esprit même de la gauche : une tension désorganisatrice qui s’oppose à la droite, aux conservateurs exprimant une tension vers l’unité ?
Noter que j’ai comme postulat que l’unité n’est pas ce monde. On ne peut donc que soit tendre vers elle, soit faire comme si elle se désorganisait, cet ensemble pouvant alors étre représenté comme un croissant avec donc ses deux pointes, alias les deux cornes d’un bovidé.
D’un côté l’on est en tension vers l’unité. Ce fut la France de mon enfance. Au centre, entre les deux pointes des cornes, il n’y a rien, mais cela figure quand même l’unité. De l’autre côté, c’est la dissociation de cette unité invisible. Enfermé dans cet aspect, pour en sortir, c’est comme une quadrature du cercle à résoudre. Donc les gauchistes, de vivre un tel enfermement.
Ce modèle se présente finalement comme un croissant, croissant salvateur car il permet alors de comprendre ; croissant qui prête alors à sourire et confirme qu’au coeur de ce qui représente la dégénérescence, l’on peut trouver son contraire…
Enfin dans cette histoire il y a au moins quelque chose de vrai c’est qu’un jour, Joe Biden s’est rendu dans la province de Konar, et qu’il aurait pu sans problème demander un permis de résidence, il a le Q.I suffisant, pour y habiter.