Associant «culture blanche» et racisme, Lilian Thuram a déclenché une vive polémique. Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, celle-ci témoigne d’une évolution du discours politique vers la reconnaissance d’une forme de racisme longtemps occultée.
Les tabous ne sont pas des dieux immortels. L’un des plus grands du monde contemporain est en train de mourir sous nos yeux. Celui du racisme anti-blanc. Il est clair à présent que ceux qui se croient autorisés à insulter les blancs reçoivent à présent leur volée de bois vert méritée.
Pour avoir poussé la balle trop loin, pour avoir notamment prétendu dans un journal italien que «les blancs se pensent supérieurs» le footballeur Lilian Thuram en aura fait les frais. Idem pour son ex-collègue Vikash Dhorasoo qui aura eu le malheur de surenchérir.
Au temps de l’antiracisme triomphant, la race était maudite, sa simple évocation valant réprobation.
Une grande partie à présent des intellectuels et du public ne craint plus de dénoncer de telles attitudes. C’est ainsi que le célèbre commentateur sportif Pierre Ménès n’a pas eu peur de raconter les malheurs de son fils dans un club de football amateur coloré. Il faut dire que les imprécations anti-blanches sont désormais quotidiennes. Cette semaine encore, une étrange Ligue de Défense des Noirs appelait en plein Paris à tuer les blancs et les Asiatiques en Afrique du Sud plutôt que les autres noirs sous les applaudissements d’un petit public conquis. On se souvient qu’il y a quelques mois l’auteur de ces lignes se faisait réprimander par un journaliste du Monde pour avoir publicisé la chanson d’un rappeur qui appelait à tuer les enfants blancs. Le tribunal réprimanda ensuite le raciste artistique de manière mesurée.
C’est qu’il y a encore quelques mois, les grands blancs pouvaient se permettre une séance d’autoflagellation au grand dam des petits pour plaire à ceux, si nombreux, qui raffolent l’anti-occidentalisme de posture. C’est ainsi que la présidente de France télévision promettait de chasser les blancs de plus de 50 ans du petit écran tandis que celui qui préside aux destinées de la République considérait que dans les banlieues, un mâle blanc ne devrait plus commander un rapport à un autre mâle blanc.
Je ne suis pas bien sûr qu’à présent les choses seraient dites avec autant de méprisante désinvolture. Il faut comprendre l’évolution de ce mépris et son déni pour comprendre pourquoi on touche enfin à la fin du tabou. Au temps de l’antiracisme triomphant, la race était maudite, sa simple évocation valant réprobation. La race n’existait pas, seul curieusement le racisme existait, et le racisme anti-blanc n’était même pas pensé.
Ce sont, comme souvent, les États-Unis qui donnent le la de l’outrance idéologique, l’Europe mimétique se mettant ensuite au diapason. C’est là-bas que le concept de camp racisé a vu le jour, imité ensuite en France par les groupes islamo-gauchistes, jusqu’à des mouvements comme l’UNEF.
La dénégation du racisme anti-blanc est consubstantiellement raciste.
L’itinéraire de Lilian Thuram précédemment cité a suivi cette triste évolution. Le footballeur, il y encore quelques années professait l’inexistence des différences chromatiques. Ensuite de quoi, il célébrait sur papier ses frères de couleur méritants dans Mes Étoiles Noires. Et le voilà, qui pratique à présent un essentialisme consubstantiel au racisme en considérant que les blancs, dans leur ensemble, s’estimeraient au-dessus de lui. C’est donc au stade terminal de cette outrance, que la réaction populaire, sous l’outrage, s’exprime désormais sans complexe.
Mais c’est l’histoire du déni du racisme anti-blanc qui en dit long sur ce mal. Disons d’ores et déjà qu’il apparaissait pour tout esprit libre que la dénégation de ce racisme-là était consubstantiellement raciste. Si l’on veut avoir une idée de l’équité, la manière dont le racisme est équitablement partagé dans le monde des humains en fournit un bon exemple.
Bien entendu que le racisme blanc existe, des terribles exactions du roi Léopold au Congo jusqu’au massacre par les Allemands du malheureux peuple herero en Namibie. Il est même tellement emblématique qu’il aura obéré tous les autres depuis huit décennies.
Dans mes Réflexions sur la Question Blanche , en 2011, à une époque où évoquer l’existence d’un racisme anti-blanc ne rendait pas forcément populaire dans les studios de télévision ou les salles de rédaction, je professais l’idée qu’il existait dans l’inconscient collectif européen une honte insoupçonnée de partager avec Hitler , l’Antéchrist des temps modernes, la même couleur de peau. Toute l’histoire de l’anti-occidentalisme, notamment la vision totalement négative et honteuse du colonialisme vient de là, et ce n’est pas un hasard si un enfant du siècle un peu léger a prétendu en Algérie que la France y aurait unilatéralement commis des crimes contre l’humanité.
Chaque individu doit lutter chaque jour contre le préjugé essentialiste, causé souvent par la peur ou la colère.
Il n’en demeure pas moins que le racisme n’est pas le monopole des blancs et que tous les autres peuples et ethnies le connaissent, y compris ceux qui en ont souffert, Noirs, Arabes et Juifs compris. Soutenir le contraire est un racisme. Chaque individu doit lutter chaque jour contre le préjugé essentialiste, causé souvent par la peur ou la colère.
Pendant des années, l’antiracisme professionnel de pacotille, colonisé par la gauche politique et atteint par cette névrose de l’antinazisme devenu fou aura donc considéré que la simple évocation du racisme anti-blanc était raciste et sentait l’extrême droite. C’était même la raison principale autant que saugrenue que se donnait SOS-Racisme pour ne pas agir, fusse dans les cas les plus violemment évidents.
Il était à l’époque inutile de demander à ces antiracistes diplômés où ils situaient la frontière de l’extrême droite, puisque ces bornés en assuraient eux-mêmes le bornage, ni de leur faire remarquer que c’était cette «extrême droite» qui, la première, avait découvert l’existence du goulag, puis de l’antisémitisme islamique, jusqu’au fait aujourd’hui difficilement contestable que l’immigration mal maîtrisée et mal intégrée n’était pas forcément une aubaine pour la France.
Mais aujourd’hui, les choses changent d’autant mieux qu’elles vont plus mal. Des organisations antiracistes comme la Licra ou l’OLRA ne craignent plus de poursuivre le racisme anti-blanc, et le fait d’être considéré comme extrêmement droitier par quelqu’un d’extrêmement gaucher ne prive plus forcément du goût du boire et du manger. Quelque chose est en train de changer.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié dans Figaro Vox.
Pourriez-vous s’il vous plaît expliciter “les terribles exactions du Roi Léopold II au Congo”?
@ Patrick B
Tapez “Roi Leopold” sur Youtube, vous serez effaré.
Quant aux Allemands, ils n’ont pas massacré que les Herero de Namibie… les doualas du Cameroun ont aussi gravement souffert de ces sauvages teutons.
Ce sont des images de propagande venant de jaloux qui n’ont jamais digéré pas plus aujourd’hui qu’hier que le Congo soit belge càd. qu’il leur soit passé sous le nez de leur convoitise, à commencer par les Anglais et les Français. Dans son livre “Léopold II, le plus grand chef d’Etat de l’histoire du Congo”, l’historien belgo-congolais Jean-Pierre Nzeza Kabu Zex-Kongo écrit p.17: “Néanmoins, le Roi-Souverain Léopold II mérite l’octroi de circonstances atténuantes parce qu’il n’est pas coupable du martyr des Autochtones. Lors de la mise en place de cette politique d’exploitation coloniale, rien n’indique qu’elle va engendrer confusion et incohérence dans les esprits donnant naissance aux dérapages barbares sur le terrain. Vu du palais royal de Bruxelles, personne ne devait mourir. Pourtant sur le terrain, c’est parti en vrille. L’analyse de l’attitude du Roi-Souverain Léopold II durant cette période tragique pour les Autochtones montre qu’il n’a pas démérité si l’on tient compte de nombreux handicaps (PB: les sociétés commerciales opérant sur place étaient hors contrôle, malgré des ordres clairs). Informé des monstruosités barbares à l’encontre des Autochtones (PB: Léopold était un baiseur impénitent mais également fervent catholique – ce n’est pas incompatible), le Roi-Souverain a tout fait pour faire cesser tous ces crimes horribles qui en définitive le desservait”. Ce livre est en tout passionnant et très courageux car il fournit quelques solides explications aux Belges et surtout aux Congolais basées sur des recherches non-biaisées systématiquement. L’auteur avait 11 ans lors de l’indépendance en 1960. Le livre n’est pas un plaidoyer pour la colonisation, ni pour les exactions faites au nom du Roi et non sous ses ordres, bien entendu. Mais il rend à César ce qui appartient à César. Lisez ce livre, vous en serez plus éclairé au lieu des regarder les vidéos “nonsense” de Youtube ou les idioties gauchistes sur un sujet que vous connaissez finalement très mal. Si l’on devait s’en tenir à Youtube pour s’informer sur DJ Trump, GW Bush ou l’Etat d’Israël, ce serait pareil: de la propagande anti à 99.99999%.
Patrick Boulechitey
Merci pour ce commentaire. Si certains ont besoin de taper sur un roi belge, qu’ils se concentrent sur Léopold III, là il y a matière.
Léopold II surnommé le roi bâtisseur a donné une identité à son pays. Il n’a pas à être diabolisé pour ce qu’il a fait. La critique de ce roi vient des socialistes qui se foutent de l’histoire au profit de leur idéologie répugnante.
Patrick Boulechitey: merci pour la mise au point, il faudra encore la répéter souvent.
pb, vous justifiez un racisme par un autre ?
vous détournez la question pour ne pas y répondre!
idem pour la colonisation, honnie s’il s’agit de celle d’antan, mais comprise voire souhaitée s’il s’agit de l’europe occidentale actuellement!
Non, je fais juste le point sur Léopold II ici.
Eh bien, même Atlantico dénonce les dérives de l’antiracisme !
https://www.atlantico.fr/decryptage/3578731/derives-de-l-antiracisme–lilian-thuram-la-maladresse-qui-la-cache-la-foret-des-decoloniaux-indigenistes-et-racises-assumes-barbara-lefebvre
Il en aura fallu du temps, pour qu’enfin et ouvertement le racisme anti-blanc soit enfin reconnu. Les digues, les murailles montées par la gauche et assumées par la droite, commencent à être sérieusement ébranlées. Personne, n’ose plus dire que l’immigration est une chance pour la France, sans se faire remettre en place. Seule question n’est-il pas trop tard?
Il n’est JAMAIS trop tard pour bien faire, même si avoir trop attendu complique souvent les choses .
Si ,vu les circonstances les pieds noirs sont partis en masse d’Afrique du nord
et la France bon gres mal gres a pu les integrer a son avantage, pourquoi la
pareille en sens inverse serait-elle impossible??
Le stylo de M. Goldnadel est un véritable scalpel qui extirpe les tumeurs malignes de la bienpensance et de l’antiracisme stipendié.
Bravo !
Cela n’a servi à rien que la gauche fasse tout pour salir “l’Homme Blanc” et le diaboliser…elle va avoir un BON RETOUR DE MANIVELLE ET ON VA BIEN LUI SERRER LA VIS …….
Il faut absolument arrêter avec ces fausses accusations concernant Léopold II proférées par les britaniques pour des raisons politico-économiques et reprises par la propagande bobo-gauchise. Certes il y a eu quelques abus mais bien moins que dans absolument toutes les autres colonies à la même époque et combattu l’esclavagisme Arabo-Swahili. En 60 ans La Belgique a hissé le Congo à la 1e place de l’Afrique: deux universités, hôpitaux, chemin de fer, aéroports etc.. Et tout a été détruit en 20 ans.
Si ke Thuram se contentait de taper dans un ballon – au lieu de jouer à l’intello qu’il n’est pas et qu’il ne sera jamais – ça nous ferait des vacances.
Quant à la “présidente de France télévision promettait de chasser les blancs de plus de 50 ans du petit écran”, elle est actuellement sur un siège éjectable : Il se dit que le petit maqueron rouge serait en train de faire du ménage dans la médiasphère. 👽
ya encore du boulot le CRAN est toujours là, le CRAB irait en prison
C’est une évidence que les noirs sont racistes.
Dans les années 1970 j’étais en Guyane Française. Tous les jours dans les rues de Cayenne, les blancs se faisaient traiter de “Sales blancs”.
Alors des leçons de Thuram, non merci !!!
“Antiracistes”, sexistes et… racistes anti belges!
… En lien avec les nombreuses agressions sexistes commises par les migrants partout en Europe… et le déni des “antiracistes” qui les accompagnent!
Récit sur Indymédia Nantes:
“Déroulement d’une soirée triste dans une maison occupée à Bure [NdT : En réalité, la Maison de Résistance a été achetée par le mouvement anti-nucléaire local et est gérée par une SCI composée du collectif Bure Zone Libre et du réseau Sortir du Nucléaire.].
Je ne sais pas comment écrire ce texte sans me laisser submerger par la tristesse. Mais je vais faire de mon mieux.
Le 31 août 2019, deux groupes dans lesquels je joue ont été invités à se produire à la Maison de Résistance à Bure. Depuis Liège, nous avions quatre heures de route aller et quatre heures retour.
J’étais vraiment excitée car je n’étais encore jamais allée dans ce lieu et nous allions jouer pour la sortie du fanzine Freakszine.
Je m’attendais à une belle fête et, à mon arrivée, j’ai commencé à jouer avec des gens qui improvisaient des chansons stupides pour rire. Je me suis sentie chez moi.
Quand le premier groupe dont je fais partie a commencé à jouer, je chantais du côté gauche. Les gens faisaient un pogo et laissaient à l’autre chanteur et à moi une certaine distance afin que nous puissions nous déplacer également. Une des personnes dansait trop près et m’a donné des coups de coude à plusieurs reprises en se rapprochant trop de moi. Je suis donc allée un peu plus loin et il est revenu deux fois en marchant sur mon câble (mon matériel perso) au point que j’ai dû remettre le micro en place. À un moment, son coude s’est trop approché de mes yeux et donc, à la fin de la chanson, je lui ai demandé de faire attention et de ne pas venir si près de moi.
Après ce concert, tout le groupe était content. J’étais près de la distro et le gars est venu me demander : « Pourquoi tu ne voulais pas que je fasse le pogo ? » Pendant que je lui répondais : « Je n’ai pas dit de ne pas faire ça, mais… », il est parti comme pour signifier que ce que j’avais à dire n’était pas important. Il est revenu aussitôt et a reposé agressivement la même question. Alors je lui ai répondu agressivement que c’était à propos de mon putain de câble et de son coude, et il est à nouveau reparti pendant que je parlais. Je lui ai dit que c’était une façon typiquement sexiste de réagir. Et là, le type est revenu me voir et m’a dit : « Alors tu es raciste ! »
J’étais choquée.
Il est parti, pour revenir ensuite et dire : « Désolé, je vais partir. » Il ne l’a pas fait. À la place, il m’a collée contre un mur en me traitant de RACISTE au moment où j’allais me chercher une bière avant de chanter avec le groupe suivant.
Les autres se préparaient sur la scène dans la pièce à côté de nous. Je lui ai dit qu’il était fou avec ce truc de me traiter de raciste dès que j’ouvrais la bouche pour dire que quelque chose n’allait pas dans son comportement. Il s’est approché très près de moi, comme s’il voulait me frapper. J’étais sûre qu’il allait le faire, mais j’ai décidé de rester et de lui faire face.
Au lieu de ça, il a craché trois fois sur le sol près de moi et, à chaque fois, il me disait : « Tu es raciste. »
Je lui ai dit : « Tu montres vraiment à quel point tu es un homme fort en faisant ça. » Là, il m’a giflée très fort et m’a poussée contre le mur. Il y avait du monde à côté, mes ami·es, à qui j’ai dit : « Hé, il m’a giflée ! »
Pendant que mes ami·es venaient pour prendre ma défense, je me suis précipitée dans la pièce voisine en comprenant ce qui allait se passer : les habitants de la maison sont venus le défendre et m’accuser d’être raciste !
Alors que mes ami·es tentaient de parler avec les gens, apparemment, gifler des filles, ça va, mais dire à une personne racisée qu’il s’est comporté comme un connard, c’est pas possible ! D’un coup, on était tou·tes racistes, alors que le gars, complètement bourré, frappait tout le monde, y compris ses colocs ou ses ami·es.
Certain·es d’entre nous ont essayé de discuter avec les personnes du lieu et, apparemment, le type est excusé parce qu’il est bourré, racisé et traumatisé, et à la Maison de Résistance il y a des gens qui disent que les Blancs (ils le sont tous eux aussi) n’ont pas à se défendre.
Cela m’a mise complètement hors de moi et j’ai foutu par terre leur savon, de la viande et du fromage qui traînaient dans la pièce, ainsi que des fanzines, tout en disant que ce n’était pas ce qu’ils proclamaient et que c’était violent.
J’ai vu le gars frapper mon ami, mon partenaire et une autre amie qui était venue avec nous, et elle n’est visiblement pas blanche. Puis j’ai vu un autre gars (blanc) se diriger vers mon partenaire en disant : « Tais-toi, je suis anti-Blancs. » J’ai demandé à tout le monde d’arrêter de discuter et de se dépêcher de partir !
G., l’organisateur, était en train de pleurer, alors je lui ai dit que ce n’était pas sa faute, mais qu’il ne devrait pas accepter que ces personnes puissent se comporter de la sorte.
Lui et d’autres habitants de la maison nous ont alors dit que ce n’était pas la première fois qu’il était violent. Et qu’ils étaient en colère contre lui, mais aussi qu’ils en avaient peur.
Ce n’est pas notre responsabilité si ce gars a eu une vie de merde et a été victime de discriminations. Cela ne lui donne pas le droit ni l’excuse de discriminer en retour et d’agresser d’autres personnes. Et être saoul est la pire des excuses possibles. Et dans ce cas, supposer que j’étais francophone et belge juste parce que le groupe est situé en Belgique pourrait aussi être qualifié de racisme.
Pendant que nous essayions de ranger les amplis, ce gars à qui on avait dit de partir est encore revenu vers moi, mais au lieu de me frapper, il a frappé la camionnette du groupe dans laquelle la chienne dormait. Elle a été terrorisée et a commencé à aboyer.
Devant tous ces faits, les habitants ont déclaré : « Nous n’avons rien vu ni rien entendu. »
Nous sommes parti·es vers minuit et avons dormi chez des ami·es après deux heures de route, avant de retourner à Liège le lendemain.
Une fois l’adrénaline de l’autodéfense partie, je ne pouvais plus respirer ni arrêter de pleurer en pensant mais WHAT THE FUCK, qu’est-ce qui se passe dans ce monde soi-disant anarchiste et activiste ! Ces gens font la guerre aux mauvaises personnes juste pour nous contrôler et pour qu’on se déteste les un·es les autres ; les gens inventent des histoires pour rabaisser les autres, des histoires fausses qui ne devraient pas exister, des mots faux, une rumeur qui devient de plus en plus grande… l’anarchie est morte !
J’ai des attaques de panique depuis que nous sommes parti·es et je déteste reconnaître que je suis faible.
Mais je veux parler de ce qui s’est RÉELLEMENT passé, comme beaucoup de gens pourront le confirmer, et dégager ce poids de mon cœur, qui m’empêche de respirer correctement depuis cette agression.
En appeler au racisme lorsque tu fais de la merde, que tu es sexiste et que tu es le premier à imposer de la discrimination violente dans un lieu, c’est vraiment, vraiment lamentable et irrespectueux.
Et nous ne comprenons pas que la plupart des habitants de la maison nous montrent que, pour eux, l’anti-racisme est une lutte plus importante que l’anti-sexisme.”
Quelle idée d’aller se donner en spectacle dans un “shit hole “….
Le plus dur, après avoir plané dans les visions oniriques des paradis artificiels des Bisounours après un shoot multiculturaliste, immigrationniste, gauchiste, alternatif rebelle, c’est bien connu, c’est la descente… et le retour à la réalité.
Maintenant cette musicienne a vu qui sont VRAIMENT ces soi-disant libertaires gauchistes “cools” et “rebelles” et leurs fréquentations immigrées présentées comme parées de toutes les vertus. Des naineux, comme disait l’islamiste “gilet jaune” qui insultait ainsi Finkielkraut. Ca va peut-être la guérir de son trip gauchiste, trop commun dans le milieu “artistique” qui se veut toujours rebelle… tant que ça ne coûte rien et reste des mots.
Injure publique raciale nationale ou religieuse
Loi 1881 : art. 23, 29 alinéa 2, 33 al. 3, 5 et 6 , il suffit de faire appliquer la loi, française de type “caucasien” blanche donc, je ne laisse rien passer, j’en suis à ma 23ième plainte pour injure raciste dans l’espace publique, cela me prend du temps mais l’on ne peut râler
en permanence sur le racisme anti-blanc et au prétexte de ne pas perdre son temps refuser de passer une heure dans un commissariat pour déposer une plainte, si nous étions plus nombreux à faire cette démarche, les flics et les juges commenceraient à bouger , et à faire remonter le phénomène jusqu’au ministère, alors peut être que les choses changeraient.