L’Union Européenne se trouve présentée souvent comme une instance portant au plus haut les valeurs des droits de l’homme et de la démocratie.
Pour ce qui concerne les droits de l’homme, elle ne cesse de pratiquer l’apaisement vis-à-vis du terrorisme islamique, et va parfois, lorsqu’il s’agit du terrorisme “palestinien” jusqu’à le financer.
Pour ce qui concerne la démocratie, elle est porteuse d’une défiance qui vient peu à peu asphyxier la démocratie pour la remplacer par une dictature technocratique à penchants totalitaires inavoués.
Les peuples européens sont invités à voter pour élire des députés à un parlement européen sans pouvoir, tandis que les décisions qui comptent sont prises par des commissaires non élus censés exécuter les ordres venus du Conseil européen, constitué des chefs d’Etat et de gouvernement qui se réunissent derrière des portes closes, et qui suivent une ligne directrice tracée il y a plusieurs décennies, définie comme devant conduire à un “avenir radieux”.
J’ai déjà souligné la pertinence des analyses de l’ancien dissident Vladimir Boukovski, qui a comparé la construction européenne à la construction du socialisme en Union Soviétique, et prédit que les résultats en Europe seraient les mêmes qu’en Union Soviétique. J’ai traité du sujet dans un livre appelé Comment meurt une civilisation, publié il y a dix mois et toujours disponible.
Les tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne acceptent que les peuples européens, outre les inutiles élections à l’inutile parlement européen, votent pour des consultations référendaires qui concernent la construction européenne, mais à la condition que la réponse soit celle qu’ils ont décrétée à l’avance.
Quand la réponse est différente, cela signifie à leurs yeux que le peuple consulté s’est trompé. Dès lors, ils considèrent que le peuple qui s’est trompé doit voter à nouveau (une deuxième, voire une troisième fois) jusqu’à ce qu’il vote comme il aurait dû voter la première fois. Ils peuvent aussi demander au gouvernement du pays concerné et à ses élus de ne tenir aucun compte de l’avis du peuple consulté. Deux fois (au Danemark en 1992-93, en Irlande en 2001-2002) des peuples ont dû revoter et ont fini par voter comme il faut. Deux fois, en France et aux Pays-Bas, en 2005-2007, le gouvernement et les élus n’ont tenu aucun compte de l’avis du peuple.
Dans le cas du Brexit au Royaume-Uni, le peuple britannique est considéré par les tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne comme s’étant trompé il y a trois ans en votant en faveur du Brexit (sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne). Des pressions incessantes ont été exercées depuis par l’Union Européenne pour qu’un nouveau référendum soit organisé et que le peuple britannique vote enfin correctement. Pour s’assurer que les Britanniques soient appelés à voter à nouveau, et votent comme il faut une prochaine fois, des relais ont été actionnés au Royaume-Uni (appelés les Remainers) pour faire peur aux électeurs et leur dire que s’ils quittent l’Union Européenne un noir et immense châtiment les attend qui pourrait signifier la ruine et le chaos pour le pays. Le gouvernement de Theresa May, mandaté par le parti conservateur pour respecter la volonté du peuple et pour mener à bien le Brexit, n’a pas organisé de nouveau référendum, mais a néanmoins cédé aux pressions de l’Union Européenne, et accepté les conditions dégradantes posées par cette dernière, conditions qui auraient réduit le Brexit à un simulacre, puisque si la Chambre des communes avait accepté les conditions en question, le Royaume-Uni aurait été condamné, pour pouvoir continuer à commercer avec les pays de l’Union Européenne, à subir tous les diktats de celle-ci. Theresa May a vu son acceptation des conditions exigées par l’Union Européenne rejetée trois fois par la Chambre des communes. Le parti conservateur, apparaissant ainsi très faible et en train de trahir ses engagements, a été massivement rejeté par les Britanniques lors des élections européennes du mois de mai, et, pour éviter de disparaitre, a remplacé Theresa May par Boris Johnson, qui a dit, lui, qu’il ne céderait rien, respecterait la volonté du peuple et mènerait le Brexit à son terme, sans fléchir.
Il a promis en ce cadre que le Royaume-Uni sortirait de l’Union Européenne le 31 octobre, comme cela est prévu depuis les lendemains du référendum. Aussitôt, les relais trouvés au sein de la Chambre des communes pour faire peur aux Britanniques et sensibles aux pressions exercées par l’Union Européenne ont montré qu’ils étaient prêts à bloquer Boris Johnson.
Celui-ci a décidé de suspendre la Chambre des Communes, comme la loi britannique l’y autorise, ce jusqu’à quinze jours avant le 31 octobre.
Avant que la suspension ait lieu, les relais trouvés au sein de la Chambre des communes (relais qui, il faut le préciser, ne sont hors de cela d’accord sur rien) ont réuni des majorités contre Boris Johnson à trois reprises et leur vote signifie que le Brexit est censé désormais ne pas pouvoir se produire sans un accord aux conditions posées par l’Union Européenne (conditions pourtant rejetées par la Chambre des communes au temps de Theresa May), que faute d’accord, un délai supplémentaire sera demandé à l’Union Européenne, censé faire que le Brexit ne pourra avoir lieu que, au mieux, trois mois après le 31 octobre, et que des élections anticipées ne pourront avoir lieu à la mi-octobre, comme l’avait envisagé un instant Boris Johnson pour sortir de ce qui prenait des allures d’impasse. La majorité conservatrice à la Chambre des communes tenait à une seule voix, et un élu opportuniste a quitté les conservateurs pour rejoindre un groupe hostile au Brexit, ce qui fait que Boris Johnson n’a plus de majorité.
La situation est absurde. Sans majorité Boris Johnson ne peut décider quoi que ce soit et ne peut gouverner. Même s’il démissionne, des élections sont censées ne pas pouvoir avoir lieu, et la Chambre des communes refusera sa démission. Il refuse (à juste titre, car cela le réduirait à être un clone de Theresa May et achèverait de détruire le parti conservateur) d’accepter les conditions posées par l’Union Européenne et de demander un délai supplémentaire. Le blocage semble complet.
Une possibilité est que Boris Johnson demande à la Chambre des Communes de voter la confiance à son gouvernement : le résultat serait une défaite pour Boris Johnson, qui ne recevrait pas un vote de confiance, devrait démissionner (il ne serait, la, plus possible à la Chambre des communes de refuser sa démission), et se trouver remplacé par un autre gouvernement qui, s’il n’obtient pas la confiance, ne pourrait être formé, ce qui conduirait obligatoirement à de nouvelles élections qui permettraient sans doute, au vu des sondages, à Boris Johnson et à un parti conservateur renouvelé (les vingt et un relais “conservateurs” trouvés au sein de la Chambre des communes ont été exclus du parti) de l’emporter. On verra vite si Boris Johnson choisit cette issue. Cette issue est appuyée par le parti Brexit, créé par Nigel Farage avant les élections européennes du mois de mai, et qui est devenu à l’époque le premier parti britannique.
Les faits sont là en tout cas : a) les Britanniques ont voté il y a trois ans pour quitter l’Union Européenne, et leur vote n’a toujours pas été respecté. Ils se sont “trompés” aux yeux des tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne. b) plutôt que respecter la décision des Britanniques, l’Union Européenne ne cesse de les menacer s’ils persévèrent. Les Britanniques refusent majoritairement le fonctionnement dictatorial de l’Union Européenne et veulent retrouver leur souveraineté: l’Union Européenne ne tente pas de leur faire de meilleures propositions, mais menace de les punir s’ils ne baissent pas la tête c) les relais de l’Union Européenne au sein de la Chambre des communes violent la volonté du peuple britannique (et leur mandat d’élus s’ils sont du parti conservateur) et provoquent au sein de la Chambre des communes une crise sans précédents, d) les sondages montrent que si des élections ont lieu et si Boris Johnson conduit un parti conservateur promettant de mener effectivement le Brexit a bien, allié au parti Brexit de Nigel Farage, il l’emportera, ce qui explique pourquoi les relais susdits font tout pour que les élections n’aient pas lieu, et pour contraindre Boris Johnson à demander un délai et à se soumettre aux conditions posées par l’Union Européenne.
Le peuple britannique s’est rebellé. Boris Johnson a montré qu’il écoutait le peuple. Les tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne, une fois de plus, montrent leur mépris et leur aversion pour un peuple européen, et montrent qu’ils sont prêts à écraser la volonté d’un peuple qui n’obéit pas.
Les dictatures à penchants totalitaires se conduisent ainsi.
Par la faute de l’Union Européenne, le Royaume-Uni se trouve plongé dans la crise la plus grave qu’il ait connu depuis la guerre civile qui a ravagé le pays au dix-septième siècle. L’Union Européenne, entre autres mesures punitives, menace même de rétablir une frontière entre l’Irlande du Nord et le reste de l’Irlande (backstop) et de ressusciter ainsi un conflit en Irlande.
Dans un autre pays d’Europe, les tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne entendent montrer à un peuple qui n’obéit pas que ce peuple n’est plus souverain, et qu’il a des maitres qui siègent à Bruxelles. Ce pays est l’Italie. Matteo Salvini est l’homme politique le plus populaire d’Italie aujourd’hui, car il a osé, en tant que Ministre de l’intérieur, s’opposer à la submersion du pays par une immigration incontrôlée. Il a démissionné pour provoquer des élections anticipées et en finir avec les tensions croissantes qui l’opposaient au Mouvement Cinq Etoiles avec lequel il gouvernait. Si ces élections avaient lieu aujourd’hui, son parti, la Ligue, gagnerait haut la main. Pour éviter cela, les tenants du pouvoir au sein de l’Union Européenne ont poussé le parti de gauche italien soumis à Bruxelles et dirigé par Matteo Renzi, le “Parti démocrate”, à s’allier au Mouvement Cinq Etoiles. Le Parti démocrate a été très nettement rejeté par les Italiens aux dernières élections, précisément parce qu’il était soumis à Bruxelles et imposait au pays des conditions inacceptables et la submersion migratoire. Le mouvement Cinq Etoiles, lui, a été porté par un vote protestataire de gauche contre tout ce qu’incarne le Parti démocrate, et il est présentement en perdition parce qu’il est réticent face à ce qu’a fait Salvini depuis quatorze mois. Aux fins d’éviter la chute, le Mouvement Cinq Etoiles s’allie au Parti démocrate qu’il n’a cessé de combattre. Donc : un parti rejeté et un parti en perdition s’allient sous pression de Bruxelles pour que des élections n’aient pas lieu. Et l’invasion migratoire dont les Italiens ne veulent pas va pouvoir reprendre. On peut difficilement se moquer davantage du peuple italien. Pour écarter Matteo Salvini, et pour écraser la volonté d’un peuple qui n’obéit pas, l’Union Européenne est prête à tout.
La dictature européenne montre son visage sordide et insupportable d’une manière de plus en plus nette.
Un soulèvement plus vaste des peuples européens arrêtera-t-il la dictature européenne avant qu’il ne soit trop tard. Est-il déjà trop tard ?
Je l’ai déjà dit. Je dois le répéter. La mort des civilisations européennes semble en marche.
Quand des sursauts se dessinent, ils sont écrasés.
La dictature européenne hait les peuples qui prétendent rester souverains. Elle déteste les peuples qui sont attachés à la démocratie et à leur propre civilisation. Elle veut des peuples asservis et conduits vers l’euthanasie.
Elle déteste Donald Trump, bien sûr. Elle déteste Jair Bolsonaro, cela va de soi. Elle déteste Binyamin Netanyahou, nul ne doit s’en étonner. Elle reste neutre face au soulèvement de Hong Kong. Elle a des préférences : les dirigeants gauchistes du parti démocrate américain qui proposent de broyer les Etats-Unis, des dirigeants latino-américains façon Maduro, Mahmoud Abbas, Ali Khamenei, Xi Jinping.
Elle se dit “anti-fasciste”, bien sûr. N’est-il pas évident qu’elle est “anti-fasciste” ? Vous pensez le contraire. Vous ne voyez pas en quoi ceux qu’elle déteste sont “fascistes” ? Vous voyez bien davantage de traits fascistes chez ceux qu’elle préfère ? Attendez-vous à être punis vous aussi.
Et ne vous y trompez pas : ce qui arrivera à Boris Johnson et Matteo Salvini dans les prochaines semaines sera crucial et concernera le futur de toute l’Europe. Ou bien Boris Johnson l’emportera, et Matteo Salvini aussi, et un mince espoir subsistera, ou bien ce ne sera pas le cas, et la dictature et l’euthanasie auront gagné.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
PS : Il ne cesse de se dire dans les grands médias qu’une sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne sans soumission aux diktats de l’Union Européenne serait un cataclysme pour l’économie et la société britanniques. Rien n’est plus faux. J’y reviendrai si nécessaire. Il serait plus exact de dire que ce serait un désastre pour l’Union Européenne et que cela pourrait révéler davantage l’imposture que la dictature européenne incarne. Contrairement à ce que disent les marxistes, l’Union Européenne n’est pas au service d’un capitalisme mondial, mais au service de la perspective d’une dictature technocratique mondiale et se libérer d’une dictature technocratique, déréglementer, défiscaliser, donne des ailes à une économie. L’Union Européenne a bien davantage besoin du Royaume-Uni que le Royaume-Uni n’a besoin de l’Union Européenne.
Un gouvernement Salvini en Italie serait un autre désastre pour l’Union Européenne. Et une Italie libérée du carcan européen pourrait retrouver un second souffle dont elle aurait un urgent besoin.
Avez-vous remarqué que les grands médias français ou allemands ne disent strictement rien des accomplissements de Donald Trump, Jair Bolsonaro, Binyamin Netanyahou et préfèrent trainer ces remarquables dirigeants dans la fange.
Savez-vous pourquoi Boris Johnson et Matteo Salvini sont populaires, et pourquoi Macron et Merkel ne le sont pas du tout ? Pour Macron en France, vous connaissez sans doute la réponse.
Belle analyse!
Jam Buty, combien de personnes, hélas, lisent cet article et voient la vérité” vraie ” en face ????? elles se contentent des infos ” à la botte ” comme bfm….. cnews …. la une …. la deux…. la trois !!!! etc. Et, satisfaites de ces fausses infos, vont voter !!!!
Savez-vous que la Belgique franqueufeune dispose à présent de sa chaîne info LN24 ? Accrochez-vous, les présentateurs sont des anciens de RTL-TVI, de BEL-RTL et de la RTBF. Deux des chroniqueurs sont…Laurette Onkelinx (la louve des P$, la Pompadour des latrines) et Louis Michel (l’antisémite Big Loulou, eurodéputé et géniteur de Monsieur Patate, ancien PM belge qui vient juste d’être nommé Président du Conseil de l’UE à 50.000 balles par mois, alors qu’il ne parle même pas l’anglais). Tout ça pour dire que c’est pas demain la veille que ce pays sera informé en proportion avec les impôts écrasants dont il doit s’acquitter afin de payer des strapontins à tous ces petits marquis.
Oui, c’est d’une tristesse, je déteste cette chaîne qui est un copié-collé de LCI. Mais, beaucoup de belges francophones, comme moi, ne sont pas dupes. On sait que cette chaîne est un bourrage de crânes.
J’ai vu la chaine, et l’ai écouté cette LN24, Un désastre !
j’ai compris son message et j’ai changé de chaine, me disant : à ne plus fréquenter… Enfin bref, du brol politico-fantastique à la belge,
un météore, une passade de vieux ringards : Laurette et Louis en vedettes, quel spectacle ?
Pauvre monde triste monde
J’ai changé de chaine mais elle me pèse toujours.
C’est que ces prostitué(s) sont puissant(e)s, ils raflent tous les boulots,
Ils elles hantent de multiples chaines; pesant non ?
Heu, question communication, beaucoup de choses à dire!
Laurette Louis des globalistes, sans aucun doute !
Des fossoyeurs de la civilisation européenne, sacrifiés sur l’autel de leur égo surdimensionnés.
Bref des ordures qui adorent croquer la pomme.
Et elle est grosse cette grosse pomme européenne !
Ils n’ont aucun problème avec l’islam, ils connaissent…
On est bien représenté !
Voici une bonne description qui a été faite sur la situation de l’Europe d’aujourd’hui.
Cependant, nous nous devons tous, pro-européens comme anti-européens de reconnaitre que le concept de l’Europe est une bonne chose car pour la première fois, l’Europe qui a connu des guerres durant des siècles du fait des nationalismes est depuis 1945 un continent en paix. 75 ans sans folie meurtrière en Europe, c’est du jamais vu depuis l’Antiquité!!
il n’en demeure pas moins que l’analyse de cet article est juste. Nous nous devons de repenser l’Europe et le temps presse car l’inaction entrainera à court terme l’éclatement de l’Europe et fera revivre aux générations futures les horreurs du passé.
Solutionner ce problème demande de revoir l’Europe jusqu’à son concept puis d’établir des nouvelles règles entre tous les pays concernés. Malheureusement l’Europe a grandi trop vite. La chute de l’URSS, bien que nous l’avions souhaité, a entrainé la course justifiable mais désordonnée des pays de l’est vers l’Europe. Les pays de l’Est se sont affranchis d’une dictature pour rejoindre une dictature de technocrates!!
Comment les 28 états membres pourront ils repenser le concept de l’Europe et s’entendre sur le mécanisme tout en respectant leurs peuples?
Quelqu’un a t-il la solution? Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain!!
G. B. (Montréal)
Si bien vu, clair et net. Guy Millière, vous êtes génial.
comme toujours !!!
Bonne analyse!Au Canada…on a les memes problemes!les medias mainstream pros mondialiste empeche le parti du PCC(anti-mondialiste et fervents defenseurs des politiques de Trump) de Marc Bernier de participer aux debats televises…ils ont peur des repercusions!…on es mal foutus.!.le reste des autre partis qui se disent de droite ou de gauche font le jeu du nouvel ordre mondial!
Même comportement des médias français avec François Asselineau, président de l’UPR, seul parti politique français partisan depuis sa création, à la sortie de l’Union européenne, de l’Euro et de l’Otan pour lui redonner son indépendance face à la dictature des commissaires européens et des grands financiers qui veulent diriger le monde.
Super article dont l’analyse est juste et pertinente, et sans mensonges. Tout est contrôlable.
Il vient à point en ce qui me concerne, parce qu’un spammeur, imposteur et détenteur de la même et incroyable mauvaise foi, que celle de l’idéologie qu’il soutient, ne me lâche pas les baskets (j’ai cessé de lui répondre).
Un pseudo « jp », en miniscule, quelle bonne idée !
Parce que j’avais fait ce commentaire exactement le : 8 septembre 2019 à 17:41
« La preuve que l’UE est dangereusement totalitaire :
– Vous y êtes entrés ?
– Voyez ce qui arrive quand on essaye d’en sortir ! »
Dans l’article récent de Dreuz :
https://www.dreuz.info/2019/09/07/lue-cest-labaissement-et-linfeodation-de-la-france-a-lallemagne-de-merkel/comment-page-1/#comment-757372
…m’a demandé fielleusement de lui donner ma définition du totalitarisme.
Je ne voulais pas lui donner l’explication des dictionnaires, pensant, que cela aurait été insuffisant et qu’il m’aurait fallu faire un long exposé, qui soit relatif, précisément à l’attitude l’UE.
En fait je ne faisais que le même constat que Mr Millière, en une phrase lapidaire…Mais ce personnage fat, a insisté lourdement, laissant insinuer que : totalitarisme et UE, était incompatible.
Lol, Voilà que le hasard vient me servir. Cet article de Mr Millière, lui répond involontairement, avec l’intelligence qu’on lui connait et sa capacité de comprendre les évènements politiques. Donc avec une crédibilité dont je n’aurais pu prétendre.
@jp,
La voilà votre réponse, lisez la minutieusement, vous en avez grand besoin.
C’est pour cela que j’emploie toute mon énergie pour informer mon entourage et les gens que je rencontre afin que la Suisse ne signe pas d’accord-cadre institutionnel avec l’UE. Ce serait la fin de notre système fédéraliste
Mauron – Genève
@Mauron
Vous informez, prévenez votre entourage.
Je fais de même.
L’ennui, c’est que beaucoup ne veulent pas entendre. Ils veulent poursuivre leur petit train-train sans s’encombrer la tête avec “tout ça”.
C’est déprimant. Et grave.
Merci Monsieur Millière. Les événements politiques qui secouent en ce moment l’Italie (ou je vis) et l’Angleterre seront déterminants pour l’avenir de l’Europe mais je doute que le grand public en ai pleine conscience. Il s’agit d’un combat de titans entre les forces mondialistes et la dictature de l’UE qui usurpent le pouvoir, qui possèdent le fric et la plupart des médias mais s’opposent à la volonté des peuples qu’ils veulent s’assujettir. L’issue de cette confrontation est encore incertaine. Concernant l’Italie, selon ce que nous rapportent nos médias, il semblerait que Donald Trump ait misé sur le mauvais cheval en supportant le traître Conte plutôt que Salvini. Il semblerait qu’il n’ait pas été bien conseillé sur ce coup là. Il me semble que l’Italie fasse les frais d’intérêts économiques supérieurs qui opposent les USA à la Chine et que Conte ait servi de “monnaie d’échange” dans ces tractations? Je ne suis pas sûr que Donald Trump ait bien saisi les enjeux. S’il soutient à juste titre Boris Johnson il aurait mieux valu qu’il soutienne aussi à fond Salvini pour aider les peuples européens à se libérer du joug de Bruxelles. Dommage. Mais il semblerait que Salvini n’ait pas dit son dernier mot. Espérons …
Bonjour M. Guy Millière,
Tout d’abord, ravis de vous retrouver sur Dreuz.info, après trois semaines de vacances. Et donc: bienvenue à bord / Welcome on board.
Au sujet de l’U.E., entièrement d’accord avec vous.
Maria Clara Groppler (09.09.2019): Voici un exemple tout récent pour compléter votre analyse ci-dessus. Notez bien le nom de cette jeune “humoriste” de 20 ans (mettre “humour” entre guillemets). Son nom ne vous dira rien, et moi non plus, car elle est connue seulement dans les milieux gauchistes en Allemagne, militante verte et écolo (ça promet …).
Selon la chaîne RT à Berlin, cette jeune “humoriste” a dit dans un de ses spectacles qu’il faudrait faire “bombarder la Saxe au napalm, et notamment Dresden, car c’est le secteur qui a voté le plus pour l’AfD en Allemagne de l’Est (…)” !
Pour moi, c’est sans commentaire, ohne Kommentar. [Inutile de perdre son temps avec ce genre de pétasse]. – Comme d’habitude, aucun commentaire dans la presse mainstream en Allemagne, sauf sur RT Deutsch et Junge Freiheit.
Je ne sais pas si vous lisez un peu l’allemand: lire l’article: “Komikerin sorgt für Empörung” sur le site RT Deutsch (= “une humoriste déclenche un tollé”).
Un sujet intéressant pour tous qui s’intéressent à l’Allemagne en général:
“War die DDR-Regierung wirklich links gerichtet ?”, s’interroge M. Willy Wimmers, un journaliste sur RT Berlin (= le régime de RDA était-il vraiment à gauche ?). Vaste sujet, en effet, en liaison avec les 70 ans de la RDA en octobre prochain. Je vous rassure tout de suite, je n’ai jamais soutenu le régime est-allemand de l’époque lorsque j’étais étudiant à Berlin (West-Berlin) dans les années 1980 (et donc avant 1989-1990). Mais tout n’était pas négatif non plus. C’est toute la difficulté lorsqu’on traite ce sujet de faire la part des choses.
Sinon, excellents articles de Guy Millière / Jean-Patrick Grumberg (vous visez juste et bien – pour moi, c’est parfait).
Bien à vous tous,
F.R. (Paris / Berlin)
Je retiens les deux passage suivant du texte de Mr Millière :
“Avant que la suspension ait lieu, les relais trouvés au sein de la Chambre des communes (relais qui, il faut le préciser, ne sont hors de cela d’accord sur rien) ont réuni des majorités contre Boris Johnson à trois reprises…”
“Aux fins d’éviter la chute, le Mouvement Cinq Etoiles s’allie au Parti démocrate qu’il n’a cessé de combattre. Donc : un parti rejeté et un parti en perdition s’allient sous pression de Bruxelles pour que des élections n’aient pas lieu. ”
Ces agissements, alliance d’opposants ou d’ennemis pour faire des alliances “contre nature” m’ont fait penser à plusieurs références biblique :
” Ce jour même, Pilate et Hérode devinrent amis, d`ennemis qu`ils étaient auparavant.” Lu 23:12
“Mais il y a dans les cieux un Dieu qui révèle les secrets, et qui a fait connaître au roi Nebucadnetsar ce qui arrivera dans la suite des temps. Voici ton songe et les visions que tu as eues sur ta couche….
La tête de cette statue était d`or pur; sa poitrine et ses bras étaient d`argent; son ventre et ses cuisses étaient d`airain; ses jambes, de fer; ses pieds, en partie de fer et en partie d`argile.
….
Et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d`argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile.
Tu as vu le fer mêlé avec l`argile, parce qu`ils se mêleront par des alliances humaines; mais ils ne seront point unis l`un à l`autre, de même que le fer ne s`allie point avec l`argile.” Dan 2: 28, 32-33, 42-43.
Les gouvernements des nations font des alliances de connivence et on comprend aisément qui les contrôle.
Mais gloire à Dieu toute choses sont entre Ses mains et c’est Son Royaume qui triomphera:
” Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui ne passera point sous la domination d`un autre peuple; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement.” Dan 2:44
@ Elcondor972. Intéressante démonstration. A se demander si les peuples désireux de se débarrasser de ce mélange de fer et d’argile ne vont pas appeler d’eux-même à un régime de fer final … à l’insu de leur plein gré …
La statue de Daniel, les pieds ? Faits de fer et d’argile, statue qui décrit les royaumes anciens et ceux du 20ème siècle, l’UE étant le dernier empire ? Heurtée par une pierre,… Le Brexit?
Pour mon camarade gigobleu, le lien vers une vidéo allant dans le même sens:https://michelledastier.com/7-preuves-que-nous-sommes-dans-la-fin-des-temps/
@ Trodafekt. Merci Trodafekt. En échange, voici ce que le camarade gigobleu écrivait en janvier dernier au sujet de la prophétie: https://actubible.wordpress.com/2019/01/28/comprendre-lactualite-a-la-lumiere-de-la-bible-et-des-progres-de-la-technologie/
A mon avis la pierre ne peut-être le brexit car Daniel a clairement défini qui représente la pierre .
Le brexit, le frexit (peut-être?), l’ itaxit, ou ‘autrexit’ ne seront que des événements qui vont amener ces royaumes au nombre de 10 comme dans la prophétie de Daniel. A moins que la bête ne soit pas européenne…
J’ai un doute quand même, cela ressemble de plus en plus à l’assemblage fer-argile…. Appelé à craquer sous un projectile, les “xit” forment peut-être le projectile, quant au Lanceur, je suis d’accord, nous connaissons Son Nom Glorieux. La Parole se “descelle” progressivement,… Mais de façon plus rapide ces temps-ci (2 renards vus pour la première fois dans les ruines du kottel au mois d’Août, en lien avec Lamentations de Jérémie). Redressons la tête car nous voyons ces signes.
Le (self-serving) Fixed Term Parliament Act de 2011, dont Jacob Rees-Mogg juge à juste titre qu’il va à l’encontre de l’esprit des institutions, ne permet pas au premier ministre de dissoudre le parlement s’il perd un vote de confiance dont il aurait pris l’initiative. Ledit parlement ne peut y être dissous qu’à l’issue d’un vote de censure organisé par l’opposition, ou avec l’accord des deux tiers des députés.
Lesquels députés, dans la mesure où ils ont trahi aussi bien les intérêts du pays que leurs engagements électoraux, ne sont pas pressés de retourner devant leurs électeurs.
Les bonnes nouvelles, c’est que lesdits électeurs sont de plus en plus favorables à une sortie sans accord préalable, puisque les 2/3 des Anglais, représentant 86 % de la population du Royaume-Uni, veulent sortir de l’Union européenne, et qu’aussi bien Nigel Farage que Donald Trump tiennent Boris Johnson par les c… :
Nigel Farage parce qu’il peut faire s’évaporer complètement sa représentation parlementaire s’il présente des candidats contre lui,
Donald Trump parce que Johnson a été complice du coup d’état mené par Soetoro et Brennan contre lui, et qu’il en a toutes les preuves étant donné que le renseignement militaire, dont la DIA et la NSA, travaille avec lui depuis le début.
Sans préjudice de ce que l’affaire Epstein pourrait révéler sur certaines des crapules qui s’opposent au choix de la majorité :
en effet si l’affaire Jimmy Savile a révélé une partie de leurs turpitudes, c’était dans un contexte de coalition universelle du silence, bien illustrée par le traitement infligé à “Tommy Robinson”.
Donald Trump, lui, c’est d’abord pour mettre fin au “crime contre des enfants” (pour citer le rapport Horowitz à propos du portable Weiner) qu’il a accepté de se faire élire président à l’invitation de la hiérarchie militaire loyale à son pays.
Et ça a été la première tâche de Jeff Sessions que de neutraliser ces réseaux, sources de financement de l’état profond : ce qui a d’abord abouti au démantèlement du réseau NXIVM, avant la nouvelle arrestation de Jeffrey Epstein.
Une première analyse des documents publiés dans l’affaire Epstein, qui peut donner une idée de l’étendue des dégâts que celle-ci va causer dans les milieux dirigeants du monde entier, puisqu’elle constitue le fer de lance de Donald Trump dans son plan contre la cabale mondialiste :
RevoRebellion:
Jeffrey Epstein,
Danger mondial
au-delà de la pédocriminalité, Organigramme.
https://youtu.be/Gr7qXRl_YrQ
L’Europe n’a jamais dépassé le stade de marché économique, tout comme les innombrables ratifications de réunifications de contrées en marchés.
Cher Guy, vos articles sont plutôt sympas et tentent de réfléchir des faisceaux de lueurs pour éclairer. J’apprécie votre défense de la France, de l’Amérique et bien sûr d’Israel.
L’Europe a généré une multitude de produits. Vous êtes un produit de l’administration européenne quand je lis votre C.V.
Je vous félicite de vous questionner et de voir au-delà de la pension, l’avenir des citoyens.
Questions :
– Qu’est-ce qui vous a amené à vous questionner ?
– Pourrait-on répliquer ce cheminement de questionnement à d’autres administratifs avec de possibles succès similaires ?
– Pourquoi vendez-vous vos livres puisque vous voulez faire passer des idées ? La diffusion gracieuse d’un Savoir étend l’accessibilité de ce savoir à une multitude de cibles, autres sources inspirées pouvant construire ou se développer avec. Aujourd’hui, les services “gratuits” de publication par internet comme ce blog permet de diffuser des idées sans “frais”. Voyez aussi ici un avantage, vous ne produirez que de l’altruisme non imposable accessible même au pauvre citoyen, actif pauvre dont le coût d’un livre est un arbitrage alimentaire.
On me déteste souvent. Aucune importance. Il faut agiter le pulpe pour avoir le goût des ingrédients sinon c’est que le produit est du Canada Dry.
les européistes ne prennent pas de gants!
les réfractaires (orban, y compris) doivent être stigmatisés, ghettoïsés, diabolisés, etc.
les peuples réfractaires doivent être mis au pas comme l’avait fait sarkozy.
L UE a encore le toupé d évoquer les droits de l homme et la démocratie, alors que les deux n existent plus. Quelle hypocrisie
Cela me donne envie de vomir.
A-t-on jamais vu une dictature cesser sans révolution, ou sans violence ?
Les européens de l’ouest n’étant, hélas, plus guère capable de révolution, pour mettre fin à la dictature nazislamophile de l’UE, il ne reste que la violence.
On ne peut espérer un effondrement similaire à celui de l’URSS. Une remarque me taraude neanmoins. Si cette UE est si déficiente, pourquoi le groupe de Visegrad (pour commencer par lui) ne sort pas de cette Europe pour fonder une nouvelle entité, libre libre-échangiste, démocratique, conservatrice ? Je crains que pour l’instant les intérêts mercantiles (le fait de toucher plus que de donner) plaide pour l’UE. Il faudrait que l’on descende encore plus bas dans la sauvagerie migratoire pour qu’une scission se produise.
FLEUR DE LYS,
Tout à fait de votre avis.
Je retiens l’essentiel de la problématique énoncée par Mr Millière :” Un soulèvement plus vaste des peuples européens arrêterait il la dictature européenne avant qu’il ne soit trop tard ? est il déjà trop tard ?
Plaçons nos espoirs dans la grande kermesse des professions de foi auxquelles donnent lieu les échéances électorales.(passées, en cours, ou dans un proche avenir). Que des relations transversales “inter nationales” se nouent dans la réalité entre des êtres de chair et de raisonnement .
Prions pour qu’une lueur suffisante d’intelligence vienne irriguer le logiciel de guerre des chefs de file et les amène à conclure les alliances faute desquelles le tsunami technocratique européen va effectivement tout engloutir. Que sonne le tocsin !!!!
Bravo M. Millière, article lucide et percutant, comme toujours. Dommage que vous ne soyez pas assez lu!
Oui, l’Union Européenne est une dictature du plus mauvais genre. C’est un système Soviéto-Mafieux. Soviétique par sa bureaucratie et mafieux par sa gouvernance non élue mais “tirée du chapeau” comme à Naples ou en Sicile.
Je ne suis pas fatalement si pessimiste que cela : cette situation est totalement insoutenable, même pour des raisons pas forcement politiques. Le “Nord” en a ras le bol du “Sud” sur le plan économique et, un jour ou l’autre, ça va craquer. Les peuples Hanséatiques n’ont aucun point commun avec les Méditerranéens. On a voulu faire le mariage de la carpe et du lapin…le divorce approche.
A ce moment-là, les pays Européens seront enfin libres.
Depuis que des Mélenchon , des Le Pen ont baissé leur froc devant la Banque et le Grand Orient , il n’y a plus en France d’autre mouvement que l’UPR pour alerter les citoyens sur la nature de l’UE , une dictature technocratique digne d’Hitler ou Staline en ce sens qu’elle prétend changer l’Homme Européen et sa civilisation. Sans en avoir reçu mandat des citoyens.
Les grands media , tous aux ordres , interdisent de facto le débat sur l’UE en France , ce qui rend l’UPR et Asselineau inaudibles.
Tous les autres vont à la gamelle , on n’en sortira pas.
Merci Marçu Gisèle, entièrement d’accord. Pour une pleine compréhension de ton exposé, j’aurais aimé lire:”chef-de-files”.