Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »
Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.
Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.
Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.
Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.
Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.
Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue “la poubelle de l’Algérie” selon l’expression consacrée dans les années 70.
La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le premier quinquennat de François Mitterrand.
Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.
Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
L’Europe s’est effectivement tiré une balle dans la tête. Ça s’est passé à Auschwitz il y a trois quarts de siècle. Depuis, le cadavre de l’Europe est entré en putréfaction. Il est dès lors naturel que les vers viennent faire ripaille sur sa dépouille. Et bien sûr que ça pue…
A mon avis, le suicide de l’Europe date de la première guerre mondiale. Depuis, nous ne connaissons que décadence et récession.
L’organisation de l’invasion africaine par nos gouvernants me laisse pantois. Ce n’est pas uniquement une “erreur” des 30 glorieuses, car aujourd’hui, tout est encore fait pour accélérer l’invasion.
Je pense qu’il y a, dans la caste qui tiens le pouvoir chez nous, une vrai volontés d’organiser la surpopulation, coûte que coûte, j’imagine que la raison en est économique, pour satisfaire notre modèle fou de croissance infinie.
merci salem de faire cette piqure de rappel, mais combien de temps les gaulois réfractaires vont ils s’abstenir de voter pour virer les bobos au pouvoir?
Et que faisons-nous à l’encontre de ces ministres et présidents mauvais gestionnaires, insouciants et seulement motivés par leurs propres intérêts ?
Nous leur assurons toutes sortes d’avantages et des retraites dorées. Des avantages et retraites que pas un seul n’aurait la décence de refuser, bien sûr.
Soulèvement populaire généralisé, vite !
Merci pour cet article qu’on pourrait aussi titrer : VÉRITÉS.
Vérités à adresser à nos dirigeants et à nos bobos-gauchos.
Le loup est dans la bergerie, il va dévorer les agneaux jusqu’à ce que quelques bergers sortent leurs fusils. Et le plus tôt serait le mieux.
Vous dites “La France”, “La France”… Dites plutôt le Quai d’Orsay, un Etat dans l’Etat qui a su imposer sa croyance en la Vocation-Arabe-de-la-France au différents présidents depuis de Gaulle. Donc une poignée d’hommes, de bureaucrates, comme ceux actuellement de Bruxelles, qui mènent une nation, puis des nations, à l’agonie. Un poignée d’hommes responsables du cataclysme.
C’était aussi ce que disait Georges Bensoussan, à savoir que la France était morte en 14-18, qu’elle ne s’était jamais remise du traumatisme de ses morts en nombre astronomique.