Mardi 23 juillet 2019, Jason Greenblatt, le représentant spécial (bientôt démissionnaire) de l’administration US pour les négociations internationales, au Conseil de sécurité de l’ONU : La rhétorique anti-israélienne des Palestiniens et de leurs partenaires internationaux empêche tout progrès et prévient tout espoir de négociations directes avec Israël.
Les Palestiniens ne se gagneront pas un Etat avec leur incessant Israël bashing, la promotion du terrorisme et le recours aux Nations Unies pour délégitimer Israël.
La colère de l’Autorité palestinienne contre l’administration américaine pour sa reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël ne changera rien à la réalité sur le terrain.
Nous n’ignorons pas que l’OLP et l’Autorité palestinienne ne cessent d’affirmer que Jérusalem-Est doit être reconnue comme capitale d’un Etat palestinien, mais nous leur rappelons qu’une aspiration n’est pas un droit.
Et que cette aspiration doit être discutée autour d’une table de négociations.
Seules des négociations directes entre Israël et les Palestiniens pourront accoucher d’une solution pour Jérusalem, si une telle solution existe. Mais cette question ne pourra pas être résolue dans ce Conseil, ni dans cette Organisation ou dans n’importe quelle capitale dans le monde.
Ce conflit ne prendra pas fin sur la base d’un consensus international qui dirait qui a tort et qui a raison et qui doit concéder quoi à qui. S’il n’est même pas possible de dégager un consensus international pour qualifier le Hamas d’organisation terroriste ou pour forcer l’Autorité palestinienne à cesser de récompenser le meurtre de Juifs avec des fonds publics dont certains proviennent de pays présents dans cette pièce, est-il réaliste de penser qu’un consensus international viendrait à bout de ce conflit ?
Le consensus international n’est pas le droit international.
Le droit international est un sujet dont on peut discuter à l’infini sans jamais arriver à une conclusion claire.
Se référer aux centaines de résolutions péniblement débattues et ambiguës à dessein ne sert qu’à éluder la complexité de ce conflit et l’indispensable débat à propos des réalités sur le terrain.
Dès lors, nous pouvons encore consacrer des années à affirmer que le Droit dit ceci plutôt que cela et prolonger les souffrances de tous. Ou nous pouvons reconnaître la futilité de cette approche.
Samedi 10 août 2019, Mahmoud Abbas, président de l’AP (élu le 15 janvier 2005 pour un mandat de 4 ans…), au “camp de réfugiés” de Jalazone, près de Ramallah : “Ceux qui sont étrangers à cette terre n’ont aucun droit sur elle. A ceux-là, nous disons que chaque pierre prise pour construire dans notre pays, chaque maison bâtie sur notre terre sera détruite, avec l’aide d’Allah. Peu importe le nombre de maisons qu’ils entendent construire, elles seront toutes détruites, avec l’aide d’Allah. Cette terre appartient à son peuple. Elle appartient aux Cananéens qui vivaient ici il y 5000 ans. Nous sommes les Cananéens! Nous disons non aux rencontres à Varsovie ou à Manama! Jérusalem est à nous, que cela leur plaise ou non. Nous entrerons dans Jérusalem avec des millions de combattants! Chacun d’entre nous, le peuple palestinien tout entier, la nation arabe toute entière, la nation islamique, et la nation chrétienne, ils entreront dans Jérusalem. Nous n’acceptons pas qu’ils qualifient nos martyrs de terroristes. Nos martyrs sont les martyrs de la patrie. Les martyrs, les blessés et les prisonniers sont la chose la plus sacrée que nous avons.”
Casse-tête politique ou croisade théologique ? Cherchez l’erreur.
Isaac Franco, Chroniqueur à Radio Judaïca Bruxelles
Il n’y a que la gochiotte pour être suffisamment dépourvue de neurone et ne pas arriver à intégrer que ces gens là ne veulent surtout pas entendre parler de paix:
Ils sont suffisamment payés pour faire la sieste et faire la seule chose qu’ils apportent à la civilisation: foutre la merde.
Cet Abbas semble s’être auto proclamé “président” à vie d’un peuple qui n’existe pas, qui a été inventé par le KGB. De plus, vu sa fortune personnelle, accumulée non à ses mérites mais à la corruption dont il est passé maître, il ferait mieux de s’écraser.
La cause dite palestinienne et l’antisémitisme semblent être un fonds de commerce fructueux.
Monsieur Isaac, il m’arrive souvent d’écouter votre station radio, surtout dans la voiture. Je dois dire que les news et les analyses politiques sur votre chaîne ne diffèrent en rien ou si peu de ce qui est diffusé sur les autres chaînes généralistes. La plupart des Juifs de Belgique sont de gauche (très conformistes par rapport à l’étatisme à la belge) et trop souvent anti-Israël (auto-flagellation) et bien entendu anti-américains. Votre station pourrait être la source d’un précieux rafraîchissement. Il n’en est rien. Malheureusement ! Me trompe-je? On se souviendra notamment des très étranges difficultés rencontrées par l’excellent Joël Rubinfeld il y a quelques années pour sa nomination à la tête du Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique (CCOJB).
Quand des dirigeants parviennent à rallier la population à une telle haine, il est clair que la responsabilité collective prend le pas sur la seule responsabilité des dirigeants.
Bref, la Jordanie est la Palestine de ces envahisseurs et donc retour au bled chez le roi qui les apprécie tant… Remember le coup d’état avorté…
On ne parle pas de paix avec des gens qui ont juré de vous tuer, surtout s’ils persistent !
Bonjour Monsieur Boulechitey,
Puis-je dans ce cas vous suggérer d’écouter l’émission “Cherchez l’erreur” les lundis de 17 à 18 heures, que j’anime depuis bientôt 17 ans? Je pense que vous y trouverez un de ces précieux “rafraîchissements” auxquels vous faites allusion. Quant à l’excellent Joël Rubinfeld, j’ai œuvré à son élection en 2007 et, douze ans plus tard, je m’honore de son amitié comme lui de la mienne. Enfin, je ne pense pas que la majorité des Juifs de Belgique sont “de gauche”, même si ces derniers peuvent en effet paraître plus “bruyants” et visibles…