Source : Lci
Droit d’asile, aides médicales d’état, politique des quotas… Les sujets autour de la question de l’immigration sont nombreux, et devraient resurgir lors des débats prévue sur la question à l’Assemblée nationale et au Sénat. L’occasion de résumer ici les positions de chaque parti sur la question.
Les sorties par médias interposés s’accumulent. Depuis les propos d’Emmanuel Macron, ce lundi 16 septembre, sur l’immigration à quelques jours du débat sur l’immigration à l’Assemblée, les représentants des différents partis politiques placent leurs pions. Au-delà des critiques d’une stratégie “électoraliste” ou la satisfaction d’une initiative “ferme” mais “humaniste”, quels sont réellement les sujets que chacun veut mettre sur la table ? On fait le point.
Voulu par Emmanuel Macron, le président avait justifié cette volonté en avril dernier. Lors de la conférence de presse qui clôturait le Grand débat national, il disait alors vouloir “instaurer, chaque année au Parlement, un débat sur la politique migratoire”. “Je pense que c’est une bonne discipline”, observait-il alors. C’est désormais chose faite. Cette discussion, appelée à devenir annuelle, est prévue le 30 septembre à l’Assemblée nationale puis le 2 octobre au Sénat.
Emmanuel Macron évoque le droit d’asile
Au-delà de cette initiative, le président a appelé à la fermeté. Car d’après ses analyses, en “prétendant être humaniste, on est parfois laxiste”. Ciblant clairement la gauche, qui n’a “pas voulu regarder ce problème pendant des décennies”, il désire – au contraire – regarder le “sujet en face” pour ne pas le “subir”. Pour ce faire, il désire essentiellement agir sur le droit d’asile. Un principe qu’il dit toujours soutenir mais qu’il estime “détourné de sa finalité par des réseaux, des gens qui manipulent”.
Une majorité qui cherche une voix commune
Du côté du parti majoritaire, la porte-parole Aurore Bergé suit la ligne tracée par le président. La députée des Yvelines a défendu une ligne de “fermeté”, mais “avec humanisme”, mettant elle aussi en garde contre le “risque de dévoiement” du droit d’asile. La porte-parole de LaRem a également évoqué l’aide médicale d’État (l’AME), déclarant que “si on veut que la solidarité nationale joue, c’est-à-dire que les Français acceptent de continuer à payer (…) il faut peut-être revoir l’offre de soins pour être sûrs que ce sont vraiment les risques sanitaires, les sujets graves et immédiats, qui sont pris en charge”. Ce dispositif permet en effet aux personnes en situation irrégulière en France depuis plus de trois mois de bénéficier de l’accès aux soins.
C’est ce dernier critère qui a fait réagir quinze élus de l’aile gauche de LaREM. Dans une tribune où ils demandent à éviter “une hystérisation inversement proportionnelle à la réalité migratoire”, les signataires appellent ce mardi à ne pas remettre en cause ce système. Et au contraire à instaurer au cœur des discussions le sujet de l’intégration. “Deux angles nous semblent préférables pour parler d’intégration: faciliter l’accès au marché du travail et déconcentrer l’accueil des migrants dans les territoires”, écrivent-ils. Ils disent également ne pas vouloir d’une politique des “quotas”.
Les Verts veulent s’inspirer des “modèles locaux”
Dans la lignée des Marcheurs issus de la gauche, les Verts veulent, eux aussi, parler d’intégration. Mercredi, Sandra Regol, la porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts, a évoqué les “modèles locaux qui fonctionnent” en matière d’intégration, appelant à créer de l’emploi pour les immigrés. “On ne demande qu’à les tester nationalement, et là, on pourrait avoir un vrai débat sur l’immigration”.
Le Rassemblent National souhaite un référendum
Taclant le président de la République d’adopter une attitude “électoraliste”, Marine Le Pen a suggéré d’organiser un “référendum” sur la question, estimant qu’il serait “plus clair” de demander directement l’avis aux Français. La présidente du Rassemblement national, qui ne “croit pas” au durcissement de ton d’Emmanuel Macron, voudrait ainsi poser au peuple trois questions, qu’elle a détaillé sur RMC : “Oui ou non le droit du sol, oui ou non le regroupement familial, oui ou non la maîtrise à nouveau de nos frontières?”, a-t-elle détaillé.
Les Républicains évoquent les “quotas”
Du côté des Républicains, on préfère balayer la question, estimant que les discussions n’aboutiront pas à “des actes”. Pour Julien Aubert, député du Var et candidat à la présidence du parti LR, tout comme pour Eric Ciotti, l’objectif du président est en fait “d’occuper le champ alors que Les Républicains sont en train de faire une campagne électorale” pour la tête de leur parti. Le député des Alpes-Maritimes s’est ainsi dit “très sceptique” sur la “réelle volonté” d’Emmanuel Macron en dénonçant dans une interview au Figaro de mercredi “un débat parlementaire où rien ne se décidera puisqu’il n’y aura pas de vote”.
Du côté des Sénateurs, qui débattront du sujet en octobre, leur chef de file s’est voulu plus clair. Bruno Retailleau a proposé de transformer l’AME en “aide médicale d’urgence restreinte”. Celle-ci ne s’appliquerait alors plus qu’à “un panier de maladies infectieuses, contagieuses”, a indiqué l’élu, qui désire aussi donner au Parlement la possibilité de fixer chaque année des quotas en matière migratoire.
Le Parti Socialiste reste flou
Symétriquement au parti de droite, le porte-parole des députés du Parti Socialiste, Boris Vallaud, a déploré le “strabisme dangereux” du chef de l’Etat qui n’évoque, selon lui, la question de l’immigration qu’en “regardant à l’extrême droite”. Il faudra donc attendre les débats prévus avant la fin du mois afin de connaître les propositions de ce parti qui, lorsqu’il était au pouvoir, avait lui aussi réformer le droit d’asile.
L’empereur de l’entourloupe à la manoeuvre: Son seul souci: sa réélection jusqu’au couronnement.
Il n’y en a rien a attendre. Hier en zappant à la TV française (je ne regarde jamais les infos mais seuls Dreuz et les quelques autres sites de réinformation) je suis tombé sur une représentante nommée par le gouvernement dans le cadre de la préparation de ce débat. Cette femme (nommée par macron) était dans la droite ligne de dans la bien-pensance gouvernementale, LREM et de la gauche : besoin d’expliquer à la France l’intérêt que porte le président à cette question, combattre les peurs qui n’ont pas lieu d’être, grandeur de la France d’accueillir et sans doute d’autres con…..ies du genre que je n’ai pas eu le courage de supporter plus longtemps. Donc belle opération de com. en vue des prochaines élections. Comme d’habitude dire et faire tout et son contraire, enfumage puissance 10 car on n’a pas fini d’en entendre parler sans omettre évidemment toute la pression quotidienne médiatique mainstream et autres concernant macron, les membres du gouvernement et les actions de celui-ci : “que du bon” ils nous vendent ! Bonjour les gogos qui une fois encore voteront “bien” !
Avec plus de 5 millions de chômeurs, au moins autant de
travailleurs pauvres, l’urgence reconnue par “les Verts”
est sans surprise: “créer des emplois pour les immigrés”.
Nous le voyons bien: un énième faux-débat entre Macron
et ses soutiens masquera l’essentiel: nous ne voulons pas
importer de “migrants”. Ce terme masque, du reste, que
tous ces Africains et mahométans sont là pour rester, et
non pas de manière provisoire, comme on a longtemps
tâché de nous le faire croire, lors des événements de
Calais.
L’on se souvient , d’ailleurs, que le général Piquemal, venu
manifester, avait été arrêté par les “forces de l’ordre” de
Hollande maître d’oeuvre du désordre et de l’islamisation
de la France (Macron était à ses côtés, à Bercy, pour dila-
pider nos impôts en faveur de l’immigration incontrôlée).
Pour le gouffre de l’AME, lire, de toute urgence, le livre
du général Martinez,* écrit en 2012:
“Devoir d’expression d’un citoyen (pas) ordinaire”.
Les coûts ruineux de l’immigration sont évoqués, P. 95,
entre autres:
” L’étude de Jean Paul Gourévitch évalue avec pertinence le
coût de l’immigration à plus de 30 milliards d’euros PAR
AN. Les dépenses (coûts sociaux 58,64 Mds Eur, coûts
sociétaux et fiscaux 13,65 Mds Eur, coûts sécuritaires
5,24 Mds Eur, coûts éducatifs 1,87 Mds d’Eur représentent
79,4 milliards d’euros face à des recettes ( cotisations
sociales 12,75 Mds d’Eur, fiscalité d’Etat 28,30 Mds Eur,
fiscalité locale 7,80 Mds Eur) de 49 Mds Eur.
Dans ces dépenses, la plus importante est précisément
constituée par la protection sociale, 58 Mds d’Eur y étant
consacrés chaque année….
P. 97, l’auteur consacre l’AME (Aide Médicale d’Etat, mise
en place en 2000 par la gauche. Cette aide est destinée à
permettre l’accès aux soins des personnes en situation
irrégulière…”
C’est bien de tout cela que l’on va parler, lors du “débat à
l’Assemblée” ?
*Je rappelle que le Général Martinez est président des
Volontaires pour la France”.
Trois articles importants sont à lire sur leur site, dont
un communiqué concernant la tenue du colloque de
la LIM, Ligue islamique mondiale du 17 Septembre
à Paris.
si macron voulait bien faire quelque chose, il ferait d’abord appliquer la loi:
expulsion des clandestins et des déboutés du droit d’asile
refus de fournir des papiers français (carte de séjour) aux déboutés venant d’allemagne (comme le dernier afgan assassin )
@patphil, Vous avez tout à fait raison LA MEME LOI POUR TOUS et non pas deux poids et deux mesures
Seule l application de la loi compte,mais laquelle ? C elle instaurée pour l immigration “choisie “ou l autre votee il y a plus d un demi siècle ?
Aujourd hui ,les français assistent a l enfumage général ,et se laisseront berner par les dirigeants qu ils ont choisi…Et la fête continue !
La LOI DU PEUPLE POUR LE PEUPLE .
Est-il là pour “faire quelque chose”?
Il est là pour bousiller la France, et s’y applique: le succès est
patent.
Lui, “faire appliquer les lois” ?
Vous ne manquez pas d’humour.
Quand vous aurez lu les 2 dernières lettres de l’IPJ, ALARMANTES,
vous comprendrez que Belloubet parachève l’oeuvre destructrice de
Taubira, dans le domaine de la justice.
Nous sommes invités à signer, de toute URGENCE, une pétition
pour empêcher que Belloubet ne fasse passer une loi dispensant
les mineurs -violeurs ( en particulier) d’être jugés.
Double avantage: les statistiques criminelles baissent.
Les “jeunes” agresseurs sont remis dans le circuit “normal”,
avec de tout jeunes adolescents parfaitement ignorants de ce qui
les attend, au contact de leurs copains jouissant de la certitude
de l’impunité.
Dominique Blum
Pétition de l’Institut pour la Justice contre les nouvelles lois scélérates de Mme Belloubet (pire que Taubira)
http://petitions.institutpourlajustice.org/Non-a-la-reforme-de-la-justice-des-mineurs/?utm_campaign=justiceMineurs&utm_source=optin&utm_medium=em&utm_content=justiceMineursEm2
les européens attendent en vain celui qui, comme au Congo, aura le courage d’interdire une idéologie allogène, mortifère et pédophile.
Improbable certes; mais seule voie de salut!
Nous sommes au bord du CHAOS ………..La France n’à jamais connue un tel état de déliquescence !…………………
Dans l’état actuel des choses , ça ne peux pas et plus continuer ainsi c’est impossible …………Il y a de plus en plus de pauvres , de plus en plus de chomeurs , de plus en plus de précarités ……….Et de plus en plus de migrants à la charge financièrement des Français ça ne peux plus durer…………………….
Et , Jupiter qui continue à TAXER et enfumer les Français ………………
Il n’y a, par définition, rien à attendre de ce gesticulations. Il n’y a aucun acteur crédible, c’est du simple bla bla pour que le Jupiter au petits pieds remonte dans les sondages… Avent des municipales.
Aucun intérêt.
Aucun.
en France il n y a plus d hommes politique, il n y a que des pantins politichiens qui veulent arriver au pouvoir uniquement pour satisfaire leur bonheur personnel de la FRANCE et des francais ils n en ont rien a faire