Publié par Manuel Gomez le 19 septembre 2019

Les Pays-Bas, et sa capitale Amsterdam, sont très souvent cités en exemple par des tas de chroniqueurs sur nos chaînes de télévision.

Il est vrai que ces « essayistes », « éditorialistes », « politologues » et « journalistes » n’y ont probablement jamais habité et se basent donc sur ce qu’ils lisent.

Or, les Pays-Bas, comme bien d’autres pays membres de l’Union Européenne, sont également gangrenés par la politique migratoire prônée et organisée par Bruxelles, tout comme la Belgique et sa place est loin d’être la plus enviable, comme vous allez le comprendre :

Mercredi 18 septembre, Maître Derk Wiersum, avocat de la Couronne, quittait son domicile vers 7 h 30 du matin.

Il a été abattu en pleine rue par un individu, revêtu d’une veste à capuche, qui s’est enfui à pied.

Maître Wiersum était l’avocat d’un trafiquant de drogue repenti, Nabil B., dont le propre frère avait été assassiné il y a tout juste une année, en représailles justement des indications fournies à la police par Nabil.

Ces indications concernaient une affaire de meurtre et de trafic de stupéfiants impliquant deux marocains, Ridouan Taghi et Saïd Razzouki, deux des criminels les plus recherchés des Pays-Bas.

Des mandats d’arrêts internationaux ont été lancés contre eux.

« Un avocat liquidé aux Pays-Bas, c’est du jamais vu. C’est la confirmation que nous vivons dans un narco-Etat. C’est une attaque violente contre l’Etat de droit. Il existe un grave problème de drogue à Amsterdam. Le crime organisé, lié à la drogue, exerce une influence notable sur la ville. Le gouvernement et la classe politique sous-estiment la criminalité rampante au sein de la société néerlandaise. » et c’est le patron du plus important syndicat de police des Pays-Bas qui le dénonce.

Autre pays européen cité en exemple, et souvent pour de très bonnes raisons, c’est la Suisse.

Pourtant elle est confrontée, tout comme les autres nations européennes (bien que ne faisant pas partie de l’Union) par les problèmes liées à l’immigration.

Il est vrai que l’on peut y pénétrer très facilement par certains itinéraires peu surveillés.

Cependant, c’est officiellement que les demandes d’asile formulées par les Turcs ont augmenté de 130% depuis 2016.

2800 turcs ont sollicité l’asile politique afin de se soustraire à la répression organisée par le dictateur Recep Tayyip Erdogan, selon le Secrétariat d’Etat suisseaux migrations.

Ils arrivent parfaitement documentés sur la procédure d’asile et cela explique un taux d’acceptation supérieur à la moyenne.

On se souvient que, dans la nuit du 15 au 16 juillet 2016, des éléments de l’armée turque avaient tenté de s’emparer du pouvoir en bombardant des sites stratégiques à Ankara et en déployant des chars dans les rues de la capitale, lstanbul.

Près de 250 personnes avaient été tuées et les procédures judiciaires, après ce coup de force avorté, avaient été sans précédent : plus de 55.000 personnes arrêtées et plus de 150.000 fonctionnaires limogés.

Trois années plus tard les arrestations se poursuivent et les menaces d’Erdogan contre l’Union Européenne également.

Mais ce n’est pas tout : la Suisse, tout comme l’Union Européenne, tout comme la France, se fait « gruger » par des soi-disant migrants venus d’Erythrée et qui ont vu leurs demandes d’asile rejetées. Mais ils ne peuvent pas être expulsés car « ils étaient persécutés et leurs vies étaient en danger ».

Or, et cela malgré les aides sociales minimales qu’ils perçoivent, ils peuvent se permettre de s’offrir un billet d’avion « aller/retour », pour eux et leurs familles, afin de partir en « vacances » justement en Erythrée, dans le pays qu’ils ont dû fuir.

Ces menaces nous viennent aussi de l’Espagne, par la très grande faute de son gouvernement socialiste (qui, on l’espère, prendra fin lors des prochaines élections, en novembre 2019, son leader, Pedro Sanchez, n’étant pas parvenu à former un gouvernement).

La police espagnole et « Europol » viennent de démanteler un réseau international de passeurs de migrants clandestins entre l’Espagne et la France.

Après avoir franchi les « barbelés », qui sont censés clôturer les villes de Melilla et Ceuta, en territoire marocain, des centaines de « sans papier » clandestins partent des villes d’Andalousie, notamment d’Alméria, dans des autocars réservés par les passeurs.

Arrivés près de la frontière, ils la franchissent dans des taxis, évitant ainsi le contrôle des forces de l’ordre, puis reprennent un bus dès la plus proche station service, dans les Pyrénées Orientales, pour poursuivre leur « promenade » vers le nord de la France et la Belgique.

Cela leur coûte une petite fortune, représentant des années de salaire, pour ceux qui avaient un travail, ce qui n’est pas le cas de la très grande majorité.

Alors qui paie ces passeurs ? Probablement la même organisation qui paie les ONG complices ?

La très grande majorité de ces clandestins sont d’origine marocaine, algérienne et malienne.

Dans l’autocar intercepté, 22 clandestins ont été interpellés, dont 6 mineurs possibles.

Les policiers ont appréhendés une trentaine de passeurs, dont trois du côté français, et saisis, au cours de la même opération, 200 kilos de haschich.

Parmi ces clandestins, nombreux sont ceux qui ont pour destination la Grande Bretagne.

Depuis début janvier 2019 plus de 1500 migrants sans papier ont été interceptés alors qu’ils tentaient de rejoindre les côtes anglaises par la mer, à bord de hors-bords pneumatiques surchargés, soit trois fois plus qu’en 2018.

Tout récemment, vers fin août, deux hors-bords pneumatiques ont été stoppés en pleine mer, en plein milieu de l’une des voies maritimes les plus fréquentées au monde, avec une trentaine de migrants clandestins, dont une dizaine d’enfants.

Puisque l’Italie, hélas, s’ouvre à nouveau aux migrants clandestins, espérons que l’Espagne, et un nouveau gouvernement plus soucieux du bien être et de la sécurité des espagnols, mettra un frein à cet envahissement programmé !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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