Source : Franceinter
Inaugurée ce mardi par la secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, une micro-crèche a vu le jour à la maison d’arrêt pour femmes de Fleury-Mérogis, en Essonne. Elle accueille depuis un an 10 bébés, qui vivent en détention avec leurs mères.
C’est un petit espace de trois pièces : le lieu de vie, la salle de langes et le dortoir, décoré de couleurs vives, aménagés il y a quelques mois au cœur de l’aile réservée aux femmes enceintes et aux jeunes mamans. Cette micro-crèche, qui accueille dix bébés de 0 à 18 mois est unique en France : elle a été créée au sein de la maison d’arrêt pour femmes de Fleury-Mérogis.
Ce mardi, la secrétaire d’État auprès de la ministre de la Santé et des Solidarités, Christelle Dubos a participé à son inauguration, un an jour pour jour après l’accueil du premier bébé. À la maison d’arrêt pour femmes, 10 places sont dédiées aux jeunes mamans, qui accouchent lors de leur détention, et qui peuvent garder leurs bébés jusqu’à ses 18 mois ; 10 autres à des femmes enceintes.
Des femmes seules avec leur bébé, “sans famille”
“C’est dur, quand on accouche on est toute seule, sans sa famille“, témoigne Chelsea, maman d’une petite fille d’un mois. Régulièrement, elle laisse son bébé à la crèche et écoute les conseils des trois auxiliaires de puériculture et de l’éducatrice de jeunes enfants, qui constituent l’équipe : “Elles nous parlent, nous rassurent.“
“Comme c’est mon premier enfant, j’avais besoin de petits conseils pour le positionnement“, explique de son côté Cynthia, qui a accouché mi septembre d’un petit garçon, endormi dans ses bras.
Sortir les enfants de la détention, normaliser leurs premiers mois
“On essaie de faire le maximum pour que la crèche se rapproche le plus des crèches de l’extérieur” explique Laura, l’une des auxiliaires de puériculture. Mais ici, les enfants sont accueillis immédiatement après la naissance, quand les crèches extérieures attendent l’âge de deux à trois mois. “Les enfants ne sont pas détenus, donc on a la possibilité de faire des sorties“, détaille Anne, la responsable de la crèche.
Pour ces bébés, il y a donc des promenades au parc, des rencontres avec d’autres enfants des crèches environnantes, pour permettre une sociabilisation jusqu’ici impossible. Pour les mères, l’avantage est double : trouver des soutiens et pouvoir effectuer ses démarches administratives, travailler ou suivre des cours. “Elles peuvent laisser leur enfant en micro-crèche lors des entretiens“, détaille Evelyne Bazola, directrice du service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) de la maison d’arrêt des femmes.
Libérer les mères pour leurs rendez-vous ou le travail en détention
Auparavant, les détenues confiaient leur enfant à une codétenue ou l’emmenaient aux rendez-vous. “Cela ne donnait pas grand chose, car les enfants ressentent si leur mère est tendue : on ne pouvait pas aller très loin dans les entretiens“, ajoute Evelyne Bazola, soulignant une “avancée” pour le travail de préparation à la sortie.
Ce projet est le fruit d’une collaboration entre plusieurs institutions : la mairie de Fleury-Mérogis, dont les personnels de la micro-crèche sont salariés, le département de l’Essonne, la caisse d’allocations familiales et l’administration pénitentiaire. Il a coûté 130 000 euros de travaux d’aménagement de l’ancienne nursery. Il permet aussi de normaliser les premiers mois de vie de ces enfants, nés en détention. “La crèche a été créée pour que les enfants aient accès aux mêmes choses qu’à l’extérieur“, rappelle Laura. “On est un peu protégées dans cette crèche : c’est coloré, il n’y a pas de barreaux, de la lumière” sourit pour sa part Anne.
Et comme dans une crèche classique, les mères paient leur place en crèche, au tarif de 13 centimes de l’heure. Pour celles qui n’ont pas les moyens, le Secours catholique fournit une aide.
J’en pleure d’émotions…
Ma fille, qui travaille dur, paye des impôts, doit subvenir à ses besoins, respecte les lois, qui n’a pas braqué une banque ou tuer son mari, ne trouve pas de place dans les crèches des environs par manque de place des mois.
Et se trouve ainsi dans la merde.
Chercher l’erreur.
Même pensée Oryx…moi qui jongle en permanence entre enfants et boulot. Sans parler des enfants qui tissent un lien avec leurs mères incarcérées pour leur être retirés à 18 mois. La grandeur d’âme progressiste dans toute sa splendeur. Prochaine étape, la création d’un MacDo.
Laissez votre adresse, on vous enverra la note du macdo.
Quoique, si ça pouvait leur refiler diabète et autres vacheries mortelles.
Mon adresse, notre adresse, ils l’ont depuis longtemps. Ca s’appelle le fisc. Tu sais, le seul ami de ta vie qui ne t’oublie jamais et qui allège tes soucis d’argent chaque année en te disant comment tu va le dépenser.
Finalement, les islamo-gauchistes puants ont raison : il y a dans notre pays un “vivre ensemble” remarquable qui m’émeut au plus haut point.
Savoir que celle qui a broyé le bonheur d’une famille entière à jamais, outre qu’elle ressortira de prison dans quelques petites années. puisse bénéficier d’un bon MasDo gratos en prison, c’est une des plus grandes émotions de ma vie.
Moi qui voulais quitter ce pays, je n’avais vraiment rien compris.
Bien d’accord avec vous Oryx et Fleur de Lys.
Quand je suis arrivée, pour raisons professionnelles, de province en banlieue parisienne il y a des années avec un bébé sur les bras, je n’ai pas obtenu de place en crèche.
La raison ? On estimait que mon mari et moi pouvions nous offrir une nounou.
A cette époque, les frais de garde n’étaient pas déductibles et les crèches étaient déjà squattées par les chances pour la France
@ Wika
Et si vous ajoutez le fait que trouver une nounou de culture judéo chrétienne devient rarissime, cela s’avère très compliqué pour les parents. Personnellement, j’ai fait le choix de m’arrêter un temps à chaque fois, mais il faut que le mari assure…
Vous voulez parier ? Vous savez très bien, que Macron à accepté le retour de femmes de djihadistes , revenant de Syrie : donc, madame, avez vous compris la décision d’ouvrir des crèches dans les taules ?
Ces pourritures passent avant votre fille et ses besoins ! Les motifs sont bien sûr électoraux …..
Chez Macron, tout est tactique et calculé !
Donc, ces pondeuses du djihad ont des mioches, bien sûr ; et donc, ont besoin de leur “douces” mamans !
Vous avez compris la fourberie de ces Larem, maintenant……
Tu dis vrai. Je confirme.
L’on a bien compris que “l’avancée”, pour les jeunes femmes
françaises, c’était de les faire avorter.
Par contre, pour les délinquantes, les bonnes femmes parties
djihader, la “solidarité” s’applique dans toute sa générosité,
grâce à nos impôts ( nos jeunes femmes qui travaillent ne
trouvent, évidemment pas de places en crèche, pour le
bébé qu’elles auraient, finalement, mis au monde): l’urgence
était — il fallait y penser: la gauche l’a fait !): permettre
le développement harmonieux des rejetons de criminelles.
Merci à la CAF, au ministère de la “Solidarité”, au Secours
Catholique, et à ceux que j’oublie !
Euh, combien de mosquées, dans l’Essonne , département
où a oeuvré Valls ?
Malgré les prénoms de “Cynthia” et autres , il est à penser
qu’une majorité de détenus, comme à Villepinte, sont coranistes.
A-t-on seulement songé à édifier une mosquée (avec poste de
muezzin à pourvoir sur-le-champ), près de la crèche ?
Il faut pourvoir à l’enseignement spirituel, dans ces établissements.
Voilà pourquoi je ne donne plus au secours catholique ni aux autres, quand je vois que les dons servent à aider et à payer des vacances toujours aux mêmes, pendant que les nôtres crèvent sous les ponts et que des enfants du cru n’ont jamais vu la mer.
Même réaction Wika. J’ai cessé de donner au Secours catholique.
Je suis bien d’accord avec toi, Wika.
D’une façon générale, les associations d’aides aux pauvres considèrent que les pauvres ne sont, désormais, que les immigrés. Les français de souche passent à la trappe.
Donc, les dons participent directement, et quasi complètement, à l’immigration clandestine.
Sur le Secours Catholique, il est à l’image de l’imam actuel François. Il n’a plus rien de catholique. C’est un organisme très politisé islamo-gaucho-immigrationniste de toute évidence, comme Médecin sans Frontière. A la différence qu’il est comme cela depuis plusieurs décennies. Chaque don qui lui ai fait est un encouragement à l’immigration islamique et donc à la destruction de notre civilisation.
Les mosquées en taules arrivent, logique. C’est la suite logique du processus….
bientot une mosquée pour leur permettre de pratiquer .
à la prison de guyane, les détenus passent le permis de conduire au frais du contribuable, cela leur permettra ensuite de ne pas avoir d’accident avec une voiture volée…
Quand je vois ce que notre pays est devenu et ça n’est pas fini, car tout s’accélère… toujours dans le même sens…
Je suis écoeurée…
Des hommes politiques véreux, sans foi, et sans loi…
Et ils font ça pour quoi???
Pour le fric bien entendu, car chacun d’eux est grassement payé, d’abord par le Peuple, et ensuite par tous ceux qui veulent imposer leur dictature mondiale : le N.O.M.
Aujourd’hui tout le monde en a entendu parler, mais ça ne change rien, puisque pour l’instant, le peuple, se bouche les oreilles…!!!
2020 sera cependant, la pire année de MACRON… et j’espère qu’il va le payer extrêmement cher…!
Les Françaises qui veulent des enfants dans ce pays et qui travaillent, c’est devenu pour ces jeunes femmes, une vraie galère pour pouvoir les faire garder…
“Et ils font ça pour quoi???”
Pour le fric comme tu dis, et aussi pour ça.
Quelle tristesse, ces petits innocents qui doivent pâtir des actions de leurs mères. Mais une question me vient à l’esprit : ces femmes étaient-elles enceintes au moment de leur incarcération ? Ou ont-elles fait un bébé sachant, que ce tout petit être serait injustement emprisonné avec elles ? Ces bébés, sont-ils la bouée de survie, égoïstement choisie par ces femmes ? Que de questions ……..
Votre questionnement a fait naître une autre question, dans mon esprit (tordu): Est-ce que ces femmes incarcérées, donc seules par définition, auront droit à une PMA, si elles le désirent?
Oh non !!! quelle horreur…….pour les bébés bien sûr. J’espère de tout coeur, que la terrible loi sur la PMA pour toutes (tous) FERA D ABORD PASSER EN PREMIER LE BIEN ETRE DU NOUVEAU NE ET QUE NAITRE “ORPHELIN DE PERE” SERA UN DES PLUS GRANDS OBSTACLES A CETTE LOI !!!
CRECHE BABYLOUCHE
Prison a la carte , faudra une agence
carcéral pour choisir sa zone de délits.
Il est préférable pour une femme fécondé
qui a fait un masculinicide d etre dans la
région de fleury pour les prestations petite
enfance . Bientôt un guide du routard
carcéral pour savoir ou sont les prisons
trois étoiles avec chambre nuptial ,téléphone fixes
gratuis 5G ,salle de sports approuvé par adeslam.
cybers café ,centre médical ,repas végan , hallal ,
si le rooms service maton et courtois ect …
Par contre pour les prochains Thierry Robinson
c est mitard et cellules d isolement avec boite de thons
Oui, ça doit être pour préparer le retour des enfants de djihadiste “lâchement” abandonné par la France qui, après mures réflexions de “ses élites” va les rapatrier avec leurs mères.
Au pays des droits de l’hommiste, il faut aider les plus mécréants.
Ces personnes qui fuyaient notre pays, l’appelle maintenant au secours pour sauver leurs vies et celles de leurs enfants !…
Pour les couples il y a des lieux de rencontre prévus à cet effet dans les prisons, genre hôtel 1er classe, suffisant pour faire des gosses.
Quel est la proportion de “similaires à l’illustration” en cabane ?