
Il y a des petites joies qui démarrent bien une journée. En voici une.
Ma petite joie du jour est que la politique de “pression maximum” du président Trump contre l’Iran semble porter ses fruits au-delà de tout espoir.
Jusqu’à 80 % des retraités iraniens dépendent de subventions gouvernementales, lesquels manquent non seulement pour les pensions, mais aussi pour les produits alimentaires, les médicaments et le carburant, indique les documents du Conseil national de sécurité des États-Unis, qui précise que le système des fonds de retraite de l’Iran est sur le point de s’effondrer, a révélé Fox News vendredi.
Les documents montrent que 17 des 18 fonds de retraite iraniens existants perdent de l’argent, selon Fox News. Tous les membres de l’armée iranienne sont couverts par l’un des 17 fonds fonctionnant à perte.
l’impact a été si grave que sur les 18 fonds de retraite existants en Iran, que 17 sont dans le rouge. Cela inclut les fonds de pension de toutes les forces armées iraniennes.”
En plus d’être le premier sponsor du terrorisme dans le monde, l’Iran est aussi une puissance pétrolière qui gagne beaucoup d’argent en vendant son pétrole sur le marché mondial. Seulement voilà, les sanctions américaines ont paralysé la capacité de Téhéran à faire des affaires avec une grande partie de l’Europe. La Chine fait partie des rares pays qui continuent d’acheter le pétrole de l’Iran.
Les fonds de pension iraniens dépendant à 80% des subventions gouvernementales, et les sanctions américaines ayant miné la capacité du gouvernement à soutenir les caisses de retraite, il ne reste plus, pour les amoureux de la liberté, d’attendre l’effet domino sur la population, l’armée et la police. “Les autres” blâmeront Trump, mais “les autres” sont irrécupérables, avec ou sans l’Iran.
En plus des problèmes de retraite, le marché immobilier est également dans le rouge. Les documents de la NSC font référence aux troubles économiques croissants de l’Iran et parlent d’un “château de cartes” prêt à s’effondrer.
Fox News a écrit :
Il y a aussi des signes d’une crise croissante sur le marché immobilier iranien. Les documents parlent des défis interconnectés comme d’un “château de cartes”.
Le secrétaire d’État Mike Pompeo a déclaré à Fox News Sunday que le régime iranien avait “moins de ressources”.
Il a précisé :
On le voit avec les milices chiites en Irak. Ils se démènent pour trouver des ressources. Nous pensons que le gouvernement iranien va rétrécir, parce que son PIB va diminuer de 12 ou 14% cette année”, a ajouté M. Pompeo.
Cela réduira leur capacité d’acheter les choses dont ils ont besoin, l’équipement dont ils ont besoin, le matériel dont ils ont besoin, pour terroriser le monde entier.”
La campagne américaine de “pression maximale” a pour objectif avoué que le régime extrémiste islamiste iranien abandonne son programme d’enrichissement de l’uranium et son programme nucléaire, mette fin à son programme de missiles balistiques et arrête sa propagation du terrorisme.
Cependant, les “alliés” des Américains que sont la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne sont toujours dans l’Accord nucléaire iranien, essayant de le sauver et de permettre à l’Iran de vendre son pétrole. Des responsables iraniens ont récemment rencontré la France et le Japon et on fait un chantage en exigeant 15 milliards de dollars pour rester dans l’Accord.
Entre-temps, des questions demeurent quant à savoir si Trump rencontrera le président iranien Hassan Rouhani en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York dans le courant du mois. Ce sujet a fait partie des désaccords avec son conseiller sécurité John Bolton. La réaction de l’Iran peut donner à penser que Trump a tactiquement raison.
Le président iranien a en effet écarté l’idée, affirmant qu’aucune réunion ne peut avoir lieu tant que les États-Unis n’auront pas levé leurs sanctions.
Pour l’instant, le bras de fer ne profite vraiment pas aux religieux : l’économie américaine, l’emploi, les niveaux de salaire, l’industrie et le commerce sont dans une forme insolente.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Considérer les iraniens comme des “religieux”… faudrait quand même pas pousser… “Fanatiques se pensant religieux” conviendrait par exemple un peu mieux…
les mollahs en ont rien a foutre des gens ordinaire … la preuve ils préfèrent financer des attaques en arabie saoudite
c’est lié, diminuer les sources d’approvisionnement en petrole (-50% suite à l’attaque en Arabie seoudite) pour tenter de dénouer le blocus sur le petrole iranien
Trump ne leur a pas mis assez le nez dans la mouise il rendrait service au monde en mettant ce regime sur les genoux et en premier lieu aux Iraniens eux memes a vouloir negocier si tot c est une nouvelle goulee d air pour mieux poursuivre mais s il ne parvient pas a ses fins si l Iran l ancienne Perse lui resiste comment reagira t il …… s il obtient l effet contraire de celui escompte oblige de sevir …….
On oublie de dire que les premières victimes du terrorisme islamique iranien sont les iraniens eux-mêmes.
C est le peuple qui trinque 😫pas les mollahs….on se trompe de cible
hélas parmi tous ces vieux il y en a surement beaucoup qui vont encore plus patir de ce régime dictatorial.
je pense que les mollah, les pasdarans et autres nomenklaturistes ne connaitrontpas la misère!
d’ailleurs, en france, les parlementaires, ex-ministres , présidents seront ils aussi traités comme les autres pour leur retraite? j’en doute ! d’ailleurs aucun journaliste ne pose la question
Les médias vont certainement s’apitoyer sur la détresse du pauvre peuple iranien.
A qui la faute, certainement plus aux mollahs qu’à l’administration Trump.
Il suffirait que les iraniens n’aient d’autre ambition que celle de servir leur peuple et non pas d’en détruire un autre, celui qui lui donne des boutons car n’ayant pas de dispositions suicidaires.