
Source : Lesobservateurs
En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme.
Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court. Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire — ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.
Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.
Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’écart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées !
La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.
Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de CO2). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.
Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.
Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique ne sont pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (evidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit. Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science. Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le CO2. Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.
Tous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient « la lutte contre le changement climatique » parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».
La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.
Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climate (GIEC) onusien — la seule partie du GIEC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du CO2.
La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.
Excellant et incontournable merci !
Il manque ces éléments: “Article publié le 20.09.2019
Merci à G.Vuilliomenet!
19 septembre 2019 / Association des climato-réalistes
par Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology.
Cet article paraît aujourd’hui même en espagnol dans le journal Expansion. ( Traduit en français par Benoît Rittaud )”
On répète des évidences! impossible à entendre pour les croyants au réchauffement climatique créé par l’homme (blanc, qui vote Trump ou est souverainiste).
Nous qui n’avons connu ni Moïse, ni Confucius, ni Jésus, ni Mohamed, nous avons la chance d’assister en live à la création d’une religion.
Création d’une religion ? Plutôt d’un troisième totalitarisme, comme le dit Drieu Godefridi dans un récent ouvrage : “Si le CO2 est le problème, alors le vrai problème c’est l’homme lui-même”, parce que toute activité humaine dégage du CO2. Les pères de l’écologie politique voient la planète comme un être vivant suprême, dont l’ennemi est l’homme. D’où la proposition de ne pas se reproduire, le soutien à l’avortement et à l’euthanasie, à une agriculture improductive produisant de la famine, le refus des progrès des sciences, etc.
Pour marcher, un totalitarisme doit avoir un ennemi. Pour les nazis c’était le Juif, pour les communistes c’était le “bourgeois”, pour les écolos… c’est nous tous !
J’ai lu Godefridi. Totalitarisme vert, oui!
Oui, il faut lire le petit livre remarquable de Drieu Godefridi, “L’Ecologisme nouveau totalitarisme ?”, et pour ma part je le conseille à tous. Tous les courants de pensée, y compris le marxisme, ont prétendu faire le bonheur de l’homme. L’écologisme est le premier qui voit en l’homme l’ennemi à abattre et à détruire, ou au moins à réduire à une population négligeable. Godefridi fait la genèse de ce courant de pensée humanicide, pour parler dans le ton d’aujourd’hui. Il cite les premiers gourous écologistes et montre la continuité de cette pensée jusqu’à son essor actuel. La politique écologiste cache soigneusement l’objectif ultime de son projet : réduction drastique de la population humaine ou destruction de l’humanité pour certains. Réduire la production d’énergie, par exemple, a un but avoué : la diminution du CO2. Mais le but réel et caché, sinon les écologistes n’auraient pas une voix lors des élections, est la réduction de l’humanité à peu de choses, d’où l’euthanasie, ou ce courant qui prétend soigner de moins en moins les “vieillards” de plus de 70 ans ! Jamais dans l’histoire humaine, on n’était allé aussi loin dans la haine de l’homme au nom d’une Nature fantasmée. Des textes de scientifiques comme celui-ci sont indispensables (merci à Dreuz !) pour combattre cette pathologie collective suicidaire qui s’est emparée d’une jeunesse ignorante, que l’école ne forme plus. Il y a en effet du millénarisme dans ces mouvements. Quant au cynisme d’un Macron qui veut surfer sur cette vague de malheur, il se qualifie de lui-même. Le génie de l’homme reste ouvert et trouvera d’extraordinaires solutions qui ne peuvent même pas s’imaginer, comme ce fut le cas tant de fois dans le passé. La seule invention de l’agriculture au néolithique fut l’une de ces révolutions énormes et il y en aura d’autres. L’écologisme est une clôture qui prétend fermer l’horizon, comme tentèrent de le faire nazisme et communisme, et comme le tente l’islam aujourd’hui.
La nouvelle religion écologiste reprend étrangement le modèle ideologique de l’église catholique romaine (selon moi)
Culte de Marie et l’enfant Jésus > notre mère la terre (Gaïa) et le climat
Péché originel > l’empreinte carbone
Peur de l’an mil, chaudrons de l’enfer> réchauffement climatique
Catéchisme > propagande, matraquage écologique à la tv, dans les publicités, dès le plus jeune âge à l’école
Pénitences > marcher, rouler à vélo pendant les intempéries, prendre les WAB ( Wagons À Bestiaux = transports en commun)
Offrandes> sacs blancs, bleus, jaunes, verts, Orange… + bacs à piles.
Culte des Saints> Greta Thunberg: fille jeune, (supposée) vierge et handicapée, donc intouchable. La pucelle qui boutera le Co2 hors d’Europe.
Crucifix au bord des routes> mesurant plus de 100 mètres de haut, ils tournent en groupe au gré du vent… quand il souffle. Appelés aussi éoliennes.
Conciles: COP 21, COP 22, COP 23 etc…
Rédacteurs des dogmes> GIEC, Greenpeace, G20, 21, 22…
Il y aura une alliance et un soutien mutuel entre le pouvoir politique et la nouvelle religion écologiste. Beaucoup de lois, d’obligations, de restrictions et d’interdiction, d’intrusions dans ma vie privée, et bien sûr des milliards de taxes et ponctions diverses seront justifiées par le culte de notre Mère la Terre…
gede dit:
Pour ce qui est de la religion Sainte Greta en est déjà sa représentante. Plus elle raconte de bêtise plus elle soulève les foules. N’était-il pas grotesque de voir nos députés applaudir cette gamine au palais bourbon ?
Au fait qui lui écrit ses discours?
Rendons à César ce qui est à César : ce texte est de Richard Lindzen, climatologue de renommée mondiale, combattu par tous les tenants de la bien-pensance ; il a été traduit en français par Benoît Rittaud – cf https://www.climato-realistes.fr/face-a-lalarmisme-climatique-la-science-est-impuissante/
Au fait, n’est-ce pas du CO2 qui “bulle” dans les vins de luxe, mais là, c’est moins gênant pour les gouvernementeurs.
Avant la venue de l’homme, la planète a connu des périodes de chaud et de froid, mais bizarrement, le seul fautif est l’homme pour les adeptes de cette religion. Et même s’il est en partie fautif, personne ne parle de freiner son expansion boulimique. Plus de sept milliards de producteurs de CO2; là, tout va bien pour la royauté.
… sans compter les milliards de canettes de bière,coca et autres sodas,qui libèrent toutes du CO2 tous les jours . Mais là , curieusement , tout le monde s’en fout . Ne me dites pas que Anheuser Busch , Heineken , Coca Cola et autres Pepsico paient des média , des ONG , des politiques , le GIEC pour détourner le regard …
C’est une excellente synthèse qui rappelle que toute science repose sur l’empirisme auquel j’ai consacré un bref article récemment.
La récupération politique d’un prétendu réchauffement anthropique a donné lieu hier à des manifestations très bien relayées par de prétendus journalistes qui n’ont plus la décence de faire honnêtement leur métier.
Pour résumer, l’influence de l’homme sur le climat est marginale. A un chercheur du CNRS qui avait organisé une petite conférence dans l’ancienne salle de restaurant de la gare d’Austerlitz au début du 21ème siècle, je lui avais posé la question de nous chiffrer cette marginalité. Il m’avait ainsi répondu : “Prenez un mètre cube d’eau, le réchauffement anthropique représente une cuillère à café.” Cela fixe les idées.
Mais pour la gauche qui veut un gouvernement mondial, la planète n’encourt que deux dangers : le réchauffement anthropique et l’extrême-droite. Comme elle dispose de tous les leviers, la propagande va bon train.
On est en plein délire avec la fanatique Greta, grande manipulée .
Dernier délire : la température augmenterait de SEPT degrés d’ici fin 2100!!! (LCI, CNEWS)
Mais qui peut croire à de telles sornettes (?), nos journaleux, nos zéditorialistes, nos zexperts.
En ce qui concerne écologie, il y a malheureusement beaucoup d’irrationnel. Nous sommes confrontés à ce que l’on peut considérer comme une peur millénariste. Ce n’est pas la première dans l’Histoire de l’Humanité. Ce qui la distingue cependant des anciennes ce sont l’utilisation (voir la manipulation) de la Science, l’influence des sources d’information (sensées être objectives), le désastre économique qui en résulterait.
On peut se demander si tous ces fervents écologistes ne sont pas des nostalgiques inconscients de la pratique religieuse. On y retrouve les contraintes alimentaires ( comment sauver la planète en mangeant ceci et pas cela). Les congrès internationaux qui font penser à des colloques. Le recours à la Science présenté comme une argumentation irréfutable (les contradicteurs et les sceptiques sont perçus et présentés tels des hérétiques). Les dons financiers considérés comme des actes de pénitence etc.
Hier un média “mainstream” en Belgique nous fait son reportage sur la “marche pour le climat”….puis, sujet suivant, explique avec fort intérêt le lancement d’un nouvel avion à Temploux, qui va amener un certain nombre d’emplois locaux etc etc, on est dans l’enmêmetemps plein tubes et c’est souvent ainsi, un autre jour on lance une frayeur sur le climat et “en même temps” on fait un reportage sur la F1 à Spa, allez comprendre….
Je jette un œil chaque jour sur le site météo mondial WINDY.
Je constate que tous les jours, il y a au moins un endroit de la planète où il fait +50°C et au moins un autre endroit (éloigné du précédent) où il fait -50°C.
Entre les deux, il y a des millions d’endroits où il fait toute la gamme des températures comprises entre ces deux extrêmes.
Ces mesures étant des mesures “sol”, il y a lieu d’imaginer toutes les combinaisons possibles selon les altitudes.
Au total, comment peut-on donner une température moyenne de la planète ? Et de quelle moyenne parle-t-on ?
Je m’interroge.
Quand je constate chaque jour les âneries proférées en matière de prévisions météo à 5, 4, 3, 2 voire un jour, des éminents mages météo qui se trompent avec acharnement et vont jusqu’à ce gourer en vous donnant le temps qu’il a fait hier, comment peuvent-ils prétendre nous dire la température qu’il fera sur le monde dans 10, 20 ou 50 ans ?
A mon humble avis, il s’agit du plus grand enfumage politico-financier planétaire de l’histoire de l’humanité.
Et ce château de cartes va s’effondrer un jour car la preuve de la supercherie deviendra forcément visible par tous.
Concernant cette “moyenne globale de la terre”, il faut rajouter que si on prétend qu’il fera aujourd’hui 26 degrés en Belgique, mais à quelle heure? Entre un 26 degrés pendant 1/2 heure et un 26 degrés pendant 10 heures, il y a un climat de différence, tempéré ou méditerranéen. On ne peut comparer ces deux “26°”.
Je crains que cet article ne soit pas Greta-compatible.
Pour vous bidonner 5 minutes tentez l’expérience et demandez à un jeune ayant participé a la marche pour le climat quel est le taux de CO² dans l’air qu’il respire (0.04%)
Ensuite demandez lui combien l’air renferme en moyenne de vapeur d’eau (entre 1 et 5% suivant l’hygrométrie)
Enfin, mais là il falloir être convainquant, demandez lui de comparer le forcage radiatif de la vapeur d’eau (75W.m²) avec celui du CO² (1.66W.m²) et d’en déduire quelque chose….
MDR !!!
réchauffement climatique ??? tous ceci n’est que de la manipulation politique afin de mener les moutons crédules ( peuples ) la ou d ‘autres perfides machiavéliques veulent les faire aller afin de mieux les asservir et les mater . le réchauffement climatique est du au soleil ( minimum solaire ) et dans cela heureusement aucun hommes politique diabolique ne peut intervenir
Vous avez raison !
Je propose qu’on demande à Kourou de préparer une fusée pour envoyer Macron et Greta dans le soleil vérifier par eux-même …
Ça ne ferait peut-être pas baisser la température mais çà ferait baisser ma tension !
Générer la peur… désigner des coupables bêtes et méchants (et par ce biais créer et entretenir l’illusion d’une unité solidaire)… interdire de parole et discréditer toute forme de remise en question ou de dissidence (pour mieux marcher au pas et scander à l’unisson)… mettre en place un système d’indulgences et de taxes pour les (plus ou moins) pénitents… Ceux qui récitent par cœur le nouveau catéchisme et sa profession de foi pourront bientôt mettre le feu aux bûchers des nombreux excommuniés ! Autant de gommettes collées dans le carnet scolaire, de médailles du mérite accrochées au veston !
La bêtise humaine ne fait que changer périodiquement d’uniforme et de bottes…
Rien de nouveau sous le soleil !
C’est clair que le changement climatique et sa transition écologique etc, sont la nouvelle propagande totalitaire mondialiste, un véritable cheval de Troie onusien.
Comment se fait-il que les étudiants soient dans la rue et non à l’école et cela avec l’encouragement de leurs professeurs et des politiques ?
Comment se fait-il qu’une gamine soit reçue par les gouvernements comme la nouvelle grande prêtresse du climat ?
L’école devient le réservoir du totalitarisme politique et ces charmantes têtes blondes s’imaginent être des contestataires avec leur libre choix.
L’enseignement qui devrait être apolitique a trahit sa mission d’instruire et de former à l’esprit critique. Les écoles et universités devenues socialistes sont désormais des madrassas au service de la manipulation politique.
Ce doit vraiment être un calvaire aujourd’hui d’être un enseignant honnête.
J’aimerais bien que lorsque Dreuz repique un article d’un autre auteur dans un autre média il l’indique EN DÉBUT d’article. Histoire de «rendre à César ce qui est à César» comme l’écrit Jacques Ady dans un commentaire.
«Gaia» pourrait peut-être s’en charger?
Et moi, @Polémos, j’aimerai bien que les lecteurs qui nous donnent des instructions, nous aident financièrement à faire fonctionner Dreuz.
Ah bon! Vous croyez qu’avec quelques dollars de plus de ma part ou d’autres lecteurs cela vous aiderait à citer l’auteur et la source en DÉBUT d’article, chose qui ne prend que quelques secondes, qui n’a rien à voir avec l’argent et tout à voir avec l’éthique journalistique?
Vraiment Gaia, je m’attendais à un autre genre d’argument… Sur ce, sans rancune aucune et j’aurai toujours plaisir à VOUS lire.
@Polémos : comme personne n’a découvert, depuis que l’humanité existe, la façon de contrer la mauvaise foi, je me contenterai d’exposer la vôtre : faites semblant de ne pas comprendre notre remarque – si vous voulez vous mentir à vous-même.
Et oui, vous pouvez continuer à nous critiquer lorsque nous ne faisons pas assez bien pour vous – car pour le prix que vous payez – c’est à dire jamais rien – vous êtes évidemment en droit d’être très exigeant et d’en vouloir pour votre argent.
Bon. Il semblerait que je crache dans la soupe et que je sois de mauvaise foi, d’autant que je ne paie «jamais rien» (voilà qui me fait une belle réputation auprès des autres lecteurs soit dit en passant). Gaia, est-ce vraiment, mais VRAIMENT trop demander que la paternité d’un article soit respectée et dûment reconnue? Je ne suis pas journaliste, mais il me semble que c’est la moindre des choses dans le monde de la publication et de l’édition non? Je n’aime PAS ces pratiques où le véritable auteur d’un texte n’est pas indiqué. C’est pourtant VOTRE nom qui est en début d’article. Il y va de la crédibilité de Dreuz non? Et encore une fois (et là ça devient lourd) quel est le rapport avec le fait que j’ai fait ou non un don à Dreuz?
Ce n’est pas la première fois qu’une bonne partie de la science se place au service d’une idéologie
Quand on voit des enfants de 13 -14 ans répéter des phrases qu’on leur as appris par coeur et dont ils ne comprennent même pas le sens ,on se rend bien compte que les enfants et les ados sont manipuler et endoctriner
La gauche leur as fabriquer une cause pour les détourner de vrais enjeux comme l’immigration massive et autres politiques désastreuse dont la gauche est responsable dans leur pays
Des organisation de la gauche radicale se disant écologiste parle a peine d’écologie sur leur forums sinon que de présenter le capitalisme comme pollueur ,sexiste et raciste et dont il faut se débarrasser … pour eux l’écologie n’est qu’un véhicule dont ils se servent pour arriver a destination…..celui du grand soir écolo ou l’économie capitaliste seras enfin paralyser
Ce n’est pas pour rien que les partis de l’extrême gauche anti capitaliste et leur cousin idéologique des médias de la gauche libérale progressiste sont parmi les plus militants
D’ailleurs le secrétaire général des Nations unies le gauchiste António Guterres ex secrétaire du parti socialiste portugais n’en as que pour faire la promotion des politiques migratoires de la gauche et des mesures de l’éco socialisme