Nous ne pouvons pas nous taire, nous devons dénoncer notre justice politique

Publié par Manuel Gomez le 21 septembre 2019

Il y a une dizaine de jours je stigmatisais la justice suédoise, qui avait condamné à une peine de 50 heures de travaux d’intérêt général le violeur d’une gamine de 12 ans, mais aujourd’hui c’est sur la justice de notre pays, si l’on peut appeler cela justice, qu’il me faut jeter l’opprobre.

Des jugements incompréhensibles et qui donnent, quelquefois, jusqu’à l’envie de « gerber ».

Ainsi, le tribunal correctionnel de Digne-les-Bains vient de nous en apporter, ce 17 septembre 2019, une preuve significative : Il a non seulement relaxé Nadir, 56 ans, né à Gennevilliers et domicilié à Montazels (Aude), déjà condamné en janvier 2017 pour « apologie publique d’un acte terroriste », alors que le procureur de la République avait réclamé, dans son réquisitoire, 18 mois de prison avec sursis (ce qui était déjà d’une grande clémence) pour avoir « hurlé » : « Allah doit faire quelque chose, on n’en peut plus. Allah Akbar, il faut une guerre civile comme en Syrie, en Afghanistan et en Libye. Il faut tous les tuer, ces salopes et ces mécréants. »

Ces « salopes et ces mécréants », c’est vous, c’est moi, c’est également vous, juges et magistrats !

Nadir a été présenté comme « un berger cultivé, non violent, ancien membre du Parti Communiste (ceci justifiant probablement sa « non violence »).

Qu’en serait-il, s’il avait été un violent ?
Vous avez bien lu, il a été « relaxé » mais également avec « restitution des armes tranchantes saisies sur lui et chez lui : épée, poignard, arc avec flèches, barre de fer, etc. »

Seront-ils considérés comme complices, ces juges et magistrats, si Nadir se sert un jour prochain de « ses armes » ?
Autre exemple aberrant de ce que l’ont nomme « notre justice » : le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer, a condamné (si l’on peut dire !) à six mois de prison, dont trois avec sursis, ce migrant clandestin et sans papier, d’origine somalienne, âgé de 27 ans, qui, début août, près de la piscine Icéo, rue Roger-Martin-du-Gard, à Calais, avait agressé sexuellement deux jeunes garçons, de 12 et 13 ans.
Après leur avoir caressé les cheveux, puis embrassé la tête, avant de leur passer les mains sur les fesses et au niveau des parties génitales.
Jugé mardi dernier, par la Cour d’assises du Tarn-et-Garonne, Hatem Bakli, le migrant algérien, âgé de 40 ans, qui avait violé une femme de 79 ans, en octobre 2017, a été finalement condamné à 9 années de réclusion criminelle (alors que le procureur avait réclamé 14 ans) ainsi qu’à l’interdiction définitive du territoire national.
Il sera expulsé quand ?
Nous avons certes de nombreuses raisons de nous plaindre de l’insécurité qui progresse dans notre pays, mais il est d’autres pays qui sont dans une situation bien plus défavorable.
Ainsi, par exemple, l’Afrique du Sud (que certains nous présentent comme devenu un « paradis » sur terre, grâce à Nelson Mandela, qui doit se retourner dans sa tombe !) et qui est devenu le pays où l’on comptabilise le plus grand nombre de meurtres raciaux et inter ethnies. (Une soixantaine quotidiennement).
Une famille anglaise vient d’être sauvagement attaquée dans un complexe hôtelier, en pleine nuit, vers 3 h du matin.
Karen et Matthew dormaient paisiblement, dans le pavillon de luxe surplombant la plage de la réserve naturelle de Hluleka, quand deux assassins se sont introduits par effraction.
Karen, enceinte de son deuxième enfant, est morte des suites de ses blessures portées à coups de couteau, ainsi que l’enfant qu’elle espérait.
Matthew, poignardé également à plusieurs reprises, est parvenu à se défendre et à sauver leur fils, âgé de 23 mois.
Ils étaient mariés depuis juillet 2017.
Attendons le verdict que rendra la Cour d’assises belge, concernant Ahmed Smaili, qui avait assassiné de plusieurs coups de couteau le jeune Jean-François Willems, 19 ans, au cours d’une explication, près de la gare de Mons, en Belgique.
Willems s’était porté au secours d’une serveuse qui, sur la terrasse du café de la gare, subissait une agression d’Ahmed et se trouvait en difficulté. C’était le 25 juin 2018. Jean-François, ce courageux jeune homme, est venu mourir sur cette même terrasse.
Revenons chez nous, si l’on peut dire, à Montpellier par exemple, où deux hommes, âgés de 27 et 29 ans, ont été agressés par trois mineurs migrants isolés et clandestins, de 14 et 15 ans, dans la nuit de lundi à mardi, vers 1 h du matin, en plein centre ville, Place de la Comédie.
Blessés légèrement ils n’on pas porté plainte, sans doute par peur des représailles.
A Rouen (Seine Maritime), une bande de mineurs, déjà baptisée par la police « Orange mécanique », avait assassiné récemment Olivier Quesnault, pour quelques euros et des cigarettes.

Il avait été abandonné, nu et mutilé, dans un parc de la ville.
Ces dernières semaines de multiples agressions, dans le centre ville de Rouen, sont à mettre à l’actif de cette bande, qui fait régner la terreur parmi les habitants.

Un couple, agressé prés de la cathédrale, puis un homme très salement amoché par des coups, pour ne citer que les derniers exploits.
Les suspects appréhendés sont, paraît-il, de « nationalité française », selon une source policière qui prétend qu’il ne s’agit nullement de mineurs migrants isolés et clandestins, contrairement à la rumeur qui circule sur les réseaux sociaux.

Pourquoi ne pas, bien plus simplement, nous informer sur leur identité, afin de faire taire ces « fausses » rumeurs ?

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