À mesure que se multiplient les affaires terroristes, celles portant sur le burkini, le voile et autres chiffons devenus politico-religieux par la force médiatique, force est de constater que la France souffre manifestement d’un petit souci de vivrensemble.
Le vivrensemble, c’est selon ses vendeurs – toujours effervescent lorsqu’il s’agit d’en fourguer des caisses entières – cette pâte miraculeuse un peu gluante qui servirait à colmater tous les trous sociétaux et coller ensemble toutes les briques nécessaires à la construction solide et fiable d’une civilisation à la fois respectueuse de tous, éco-consciente, apaisée, forte et surtout soluble dans la démocratie.
Malheureusement, à chaque affaire de tissu politisé, à chaque couteau déséquilibré, à chaque voiture folle, ce vivrensemble semble une nouvelle fois remis en cause. Et si l’on peut gloser de longues heures sur les motivations des uns et des autres à agir comme ils le font, on ne doit pas s’épargner de noter que tous, autant qu’ils sont, sont passés par l’école française, celle qui n’a eu comme but, surtout ces 30 dernières années, d’être toujours plus ouverte, inclusive et respectueuse à la culture de l’autre.
Une question s’impose alors : tous ces Français qui s’affichent résolument contre ce vivrensemble et refusent de façon de plus en plus marquée cette inclusivité gourmande, ont-ils séché les cours ? Sauf à considérer que l’ensemble du corps enseignant s’est systématiquement abstenu de faire son travail, et aurait refusé, des décennies durant, de ripoliner tous les programmes scolaires avec le gros rouleau de la société inclusive, on ne peut que conclure à un échec complet de la démarche : enseigner le vivrensemble, l’inclusivité et tout le tremblement, ça ne marche pas du tout, du tout, du tout.
En fait, tout se passe même comme si c’était exactement l’inverse : plus nos élites et une partie de la société bien-pensante décidaient d’accroître la quantité d’inclusivité, de vivrensemble et de sujets choupinous du même ordre, enseignés à l’école, et plus la société semblait se cabrer, renâcler pour en arriver à un rejet maintenant aussi manifeste que violent de ces valeurs dégoulinantes.
L’hypothèse est hardie, mais elle mérite d’être étudiée : sur les 10, 20, 30 dernières années, le volume horaire des cours destiné à aborder ces sujets, ou, plus exactement, leur insertion aux forceps dans à peu près tous les domaines d’étude n’a effectivement cessé de croître. Cela déborde un peu partout, jusque dans l’éducation des professeurs eux-mêmes qu’on va syntoniser à grands coups de formations inclusives via des exercices parfaitement débiles qui ne débouchent bien évidemment sur rien d’opérationnel.
Il est de plus en plus loin le temps où l’école semblait se cantonner (avec succès, pourtant) à apprendre aux gamins à lire, écrire et compter correctement, et à fournir aux adolescents puis aux futurs adultes les bases d’un esprit critique apte à leur donner une colonne vertébrale culturelle et intellectuelle. Sans elle, difficile de faire des individus réellement autonomes et assez peu perméables aux idées extrémistes de tous bords.
À force d’inclusivité, de vivrensemble, de bonne conscience et de respect de tous et surtout de n’importe quoi, n’importe qui, n’importe quand dans une grande soupe relativiste tiède, on a abandonné tout espoir de former des gens sinon intelligents au moins raisonnables, espoir qui ne se concrétise qu’en passant du temps à étudier le français et l’argumentation, les mathématiques, les sciences, l’économie… Et pas en étudiant des sujets « à la mode » du moment.
Et cet échec se traduit très concrètement par une dégringolade du niveau global.
Certes, cette chute est devenue un véritable marronnier tant elle est à la fois connue de tous et niée avec véhémence par toute un partie de nos dirigeants.
Malheureusement, ce négationnisme politiquement correct ne tient guère devant les statistiques, précises et disponibles en provenance directe du ministère de l’Education nationale lui-même, notamment au travers de ses études pour différentes années (2007, 2017), qui permettent de faire une analyse des tendances depuis 1987. On pourra regarder les dernières de 2019, par exemple mars ici, ou septembre là, et le constat est sans appel : c’est un désastre.
Quant à l’explication (fameuse, récurrente et indépassable) du manque de moyen, on se permettra d’en rire grassement :
Cette baisse inquiétante provient en fait d’un mélange de facteurs depuis, par exemple, la hausse du temps passé par les élèves sur des écrans, en passant par une baisse des exigences tant du côté des parents que du côté de l’institution, jusqu’à l’inadaptation aux prérequis de base de plus en plus grande des programmes empilant les contraintes et les bidulotrons pédagoliques qui font le bonheur d’une élite complètement déconnectée.
S’y ajoute le problème patent de la formation des professeurs, issus d’une génération qui a subi de plein fouet les réformes les plus néfastes (à commencer par l’introduction de la méthode globale), auquel on peut adjoindre les effets catastrophiques des dernières expérimentations loufoques à la Belkacem dont on commence déjà à percevoir les conséquences.
Décidément, l’école inclusive, le vivrensemble républicain, de plus en plus enseignés, partout, dans chaque classe, chaque établissement, ça marche moyen pour le dire gentiment : à force de ne surtout pas vouloir discriminer, de ne plus imposer d’exigence, à force de viser toujours plus bas pour être certain de ne jamais laisser personne derrière, on n’exige plus rien de personne, et tout le monde se retrouve progressivement poussé au niveau le plus bas. Et alors même qu’on constate que la mixité sociale dans les grandes écoles s’effondre et que la reproduction sociale n’a jamais été aussi forte, il ne semble pas y avoir la moindre prise de conscience au plus haut niveau, sauf pour lancer encore plus d’inclusivité et de vivrensemble.
Pire : non seulement, ça n’inclut pas des masse, ça vivrensemble de moins en moins, mais ça tourne au vinaigre de plus en plus souvent, à raison de 20 à 30 incidents graves en milieu scolaire… par jour.
Décidément, l’école du vivrensemble, c’est bien mignon sur le papier, mais en réalité, ça ressemble beaucoup à une déroute complète. Pour les générations futures (celles dont se gargarisent parfois nos élus), il est grand temps de revenir aux fondamentaux.
De toute façon, pour les générations courantes, ce pays est foutu.
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Il n’est que de lire les bandes d’info sur nos étranges lucarnes pour y constater multitudes fautes de français et de fautes d’orthographe, et d’entendre nos “journaleux” en manque de vocabulaire faire des contresens; exemple, lors de l’échouage d’un cargo en corse du sud la journaliste a parlé “d’une fuite d’eau” alors qu’il s’agissait d’ UNE VOIE d’eau. J’en passe et des meilleures!!!
Ah! le bon temps du certificat d’études.
Ils en seraient infoutus, car après la méritocratie, la médiocratie, et l’islamocratie.
Excellent article. Parfaitement réaliste.
Si le bac avait le niveau d’il y a 40 ans, on passerait de 87 % de “réussite” à 15 %, c’est une certitude.
En effet, l’école neutre et instructive d’auparavant remplissait son rôle comme vous le décrivez parfaitement. Désormais l’école est devenue une scène politique où sont introduites toutes les imbécilités de la gauche pour faire passer leur idéologie. L’instruction y est devenue secondaire de toute évidence.
Les islamo-gauchistes se sont emparés de l’école pour leur idéologie comme le font les dictateurs communistes qu’ils admirent le plus souvent.
Alors, le “vivre ensemble” de votre article a largement sa place, grâce à nos islamo-gauchistes, dans ce nouveau lieu de propagande idéologique islamo-gauchiste.
*****
J’en profite pour dire que, mille fois hélas, je me réjouis toujours lorsque des actes de violences, d’insultes, d’incivilités, ont lieu contre les profs et qu’ils se plaignent de ne plus pouvoir faire leur boulot et que ledit métier devient dangereux. Albert Einstein disait : “Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la même manière qu’il a été créé.” . Les enseignants votent très massivement à gauche depuis 45 ans. Ils prennent maintenant en pleine gueule les conséquences de toutes ces thèses de gauche débiles et anti-naturelles qu’ils ont mis au pouvoir et qu’ils maintiennent toujours au pouvoir.
Croyez-vous que je vais pleurer sur leur sort ?
Peut être pourriez vous penser que tous les enseignants ne sont pas d’accord avec ce qu’on leur fait faire. Les programmes et maintenant les méthodes pédagogiques sont fixés par le ministère.
Or le ministre de l’Education Nationale est un membre d’un gouvernement qui est choisi en fonction de la représentation nationale c’est à dire des résultats des élections législatives. Donc ce sont nos votes qui font les programmes!
Quant aux jeunes enseignants, les meilleurs étudiants ne se présentent plus aux concours ou démissionnent quand ils voient la catastrophe. La qualité du recrutement est en baisse comme le niveau des élèves.
Renata, tu as raison, quand tu dis : “Peut être pourriez vous penser que tous les enseignants ne sont pas d’accord avec ce qu’on leur fait faire.”. Et tu as aussi raison sur l’ensemble de ton post.
Mais, à part les sectes, un groupe d’individus ne pensent et n’agissent pas tous exactement de la même façon. Ce que l’on peut observer, c’est la tendance majoritaire dudit groupe.
Et voilà, la tendance majoritaire du corps enseignant, et ce très largement, vote à gauche depuis pratiquement toujours. Ils sont donc, pour l’écrasante majorité d’entre eux, responsables des régimes de gauche que nous avons depuis 40 ans. Et ils savent ce que sont les thèses de gauche concernant l’enseignement, à savoir les plus catastrophiques et inappropriés, donnant des générations d’illettrées de garçons et de filles, quand ils en acceptent encore la différence sexuelle.
Je ne peux pas plaindre des gens qui s’acharnent à mettre au pouvoir depuis 40 ans des régimes qui sortent des thèses d’enseignement et les oblige à les appliquer, et se plaindre parce que lesdites thèses sont catastrophiques et ne leur conviennent pas, d’une part, et d’autre part la politique globale des gens qu’ils mettent au pouvoir aboutit à une délinquance, des incivilités, des menaces, bref rend leur métier effectivement dangereux.
Quand on fait le con, on assume.
Alors, bien évidemment, tu pourras toujours me sortir quelques cas d’enseignants qui ne sont pas du tout d’accord et qui n’ont pas voté à gauche, mais, encore une fois, je parle au niveau majoritaire de ce corps enseignant.
L’esprit français est hallucinant, quand les gens font des imbécillités, ils viennent se plaindre de leurs conséquences, sans jamais, d’une part, assumer leurs actes, et d’autre part, changer d’individu en remettant toujours les mêmes en place, et se plaindre encore et à nouveau des conséquences de leurs actes.
Ça fait 40 ans que ça dure, j’en ai vraiment ma claque.
@ Renata
Je côtoie des enseignants qui subissent en effet une pression qu’ils récusent. D’autres semblent pleinement satisfaits du gauchisme culturel qui abaisse le niveau et endoctrine. Et les meilleurs cours, la meilleure discipline viennent souvent des premiers. J’ai remarqué aussi, qu’au final, les élèves ont tendance à préférer ces derniers. Comme me disait un de mes enfants à propos d’une maitresse très stricte : “au moins avec elle, c’est cadré”.
Mévetu
Vous avez l’impression de prêcher dans le désert (de Namibie, bien sûr) ?
Vous conspuez le “gauchisme” grâce à votre supériorité d’analyse ?
Vous démontrez, surtout, votre dogmatisme aveugle face à ces 50 dernières années !
Avec un peu de curiosité, vous auriez pu connaitre les mises en places consécutives des “réformes de l’Education Nationale” aboutissant au constat d’aujourd’hui…et ce quels qu’ont été les “partis” au pouvoir.
A inculture, inculture et demie…
Avec la nouvelle présentation des forums de Dreuz, on a du mal à suivre les réponses à des posts, hormis la première. Donc, si Frédéric LEFRANCQ me répond bien, et non à un autre, je lui réponds ce qui suit.
*****
Islamo-suicido-endoctrino-gauchiste ? Si tel est le cas, c’est intéressant de discuter avec un irréaliste, collabo et traitre à la Nation.
Cependant, je te rejoins sur un point, celui-ci, je te cite : “(…) les mises en places consécutives des « réformes de l’Education Nationale » aboutissant au constat d’aujourd’hui…et ce quels qu’ont été les « partis » au pouvoir (…)”.
Vrai. Mais voilà, la gauche qui n’en a jamais marre de faire conneries sur conneries, a rajouté à l’enseignement ceci, que n’a jamais fait la droite quand elle existait :
– théorie du genre
– introduction de LGBT pour les petits enfants de 4, 5, 6 ans
– classe majoritairement de noirs et arabes islamiques dans de nombreux quartiers, entre-autre dans les zones de non-droit qu’elle a créées elle-même, de par leur politique d’envahissement islamique afin de réaliser leur rêve suprême : la destruction totale de notre civilisation et chrétienté par le Grand Remplacement islamique
– violences inouïes, insultes, désormais quotidiennes de par leur politique d’envahissement islamique
– abaissement effroyable du niveau de l’école
– suppression de plusieurs siècles de l’histoire de France car la France ne doit pas passer pour un pays fort et puissant, mais pour un pays de ramassis d’abrutis, et cela afin de faire plaisir aux musulmans. Ta (supposée) copine Najat Vallaud-Belkacem a été performante pour cela
– menu de cantine halal obligatoire même pour les français de souche c’est-à-dire non musulmans
– boulevard de propagande pour son idéologie mortifère islamophile
– parents râleurs islamiques qui ont toujours raison pour l’éducation nationale qui a peur de les désavouer et préfèrent désavouer les profs
– etc….
Ça fait beaucoup pour la seule gauche, tu ne trouves pas ?
Et en plus, si t’en veux d’autres des comme ça, je peux te les faire livrer par colis express
Et en tant que mère, je ne peux que confirmer le tableau d’Oryx. Rajoutons le réchauffement climatique et la boucle est bouclée (un de mes enfants a vu son devoir non noté pour avoir refuser d’écrire que le réchauffement est grave et que l’homme en est le principal responsable). Voilà l’état d’endoctrinement de l’ėcole !
Prof, je tente de montrer à mes collègues que ce “réchauffement climatique ANTHROPIQUE” est une vaste escroquerie… certains ont posé des questions et réfléchissent. Ils ne sont pas nombreux…n’oublions pas que l’endoctrinement des citoyens se fait chaque jour dans tous les médias officiels! (Avec TOUT ce que les éoliennes permettent de gagner, il reste un peu d’argent pour la pub…)
Réponse à Oryx :
C’est toujours bien de commencer par ce qui pourrait être assimilé comme des insultes.
Telles sont tes premières lignes !
Depuis 1958, cette “gauche” n’a été au pouvoir que 19 ans et à mené une politique de Gauche de 1981 à (au mieux) 1984 : soit 3-4 ans !
Qu’a fait la gouvernance de Hollande si ce n’est continuer les politiques mises en place depuis 1984 en concordance avec les directives européennes et le TFUE ?
Les “arguments” que tu avances, tout en étant écoutables, ne restent que l’expression simple, voire simpliste ou simplette, des visions ultra-libérales pour le monde de demain.
C’est oublié la ghettoïsation mise en place en France, dès qu’elle a eu besoin de main d’oeuvre (italienne, polonaise, maghrébine…), afin de pourvoir à son manque (d’abord) puis pour pouvoir faire pression sur la classe ouvrière (ensuite) par une mise en concurrence des salaires.
Cela fait partie des théories de Milton Friedman, chantre (et chancre) de la politique économique mondiale depuis une quarantaine d’années des Etats-Unis (Reagan), du Royaume Uni (Thatcher) et…Mitterrand.
Ton opposition aux “islamo-gauchistes” n’est en fait que la marque, encore une fois, d’un manque totale de culture historico-économique de la “marche” du monde depuis 40 à 50 ans.
Je conclus par cette citation de Noam Chomsky (Le profit avant l’homme, 1999) :
“Les islamistes radicaux, ou extrémistes, souvent appelés fondamentalistes , ont été choyés par les États-Unis dans les années 1980, parce qu’ils étaient les meilleurs tueurs au monde. Dans ces années-là, l’ennemi principal des États-Unis était l’Église catholique, qui avait commis, en Amérique latine, le grave péché de prendre le parti des pauvres et qui a cruellement souffert de ce crime. L’Occident est parfaitement œcuménique dans le choix de ses ennemis. Ses critères sont la soumission et les services rendus au pouvoir, et non la religion.”
La situation est assez dramatique. Et lorsque nous reviendrons à la raison, il y aura du travail pour remettre de l’ordre.
Certains ne pourront pas s’adapter et seront laissés au bord du chemin.
Excellent article qui démontre (une fois de plus) que l’égalitarisme cher à la franchouille, ne peut se faire QUE par le bas. Une fois de plus est démontré que l’égalitarisme franchouillard, expression de la jalousie française, a pour effet d’élever à un niveau encore jamais atteint les inégalités sociales. Le pays est (peut-être) foutu parce que c’est la jalousie franchouillarde qui l’a tué.
Par les bonnes grâces de l’eurogaucherie se disant progressiste, nous assistons en ce moment à l’éclosion de la première génération dont le Qi moyen est inférieur à celle qui précède !
Les “vilains” capitalistes ont au moins le mérite d’avoir sorti 1 milliard d’humains de la faim et de la misère sur les 50 dernières années.
Mais maintenant, les actuels disciples progresso-gauchistes de Staline et de Fidel Castro les renvoient directement vers l’illettrisme et le chaos.
CQFD
Inclusive.
Rien que le mot me fait péter un câble.
Quand je vois un texte contenant cette abjection orthographique je pèterais volontiers la tronche à son auteur … qu’il soit eur, euse, trice ou je ne sais quoi.
Combien de renoncements avons-nous accumulés pour laisser passer cette honte ?
Je confirme largement : il y a beaucoup de bourre-pifs qui se perdent.
“Combien de renoncements avons-nous accumulés…”. Tous, par une droite qui n’existe plus depuis 40 ans.
A propos de cette écriture dite “inclusive”, après quatre nuits passées avec ma femme dans l’hôtel “Ibis Budget de Bezons Rives de Seine”, à BEZONS près de Paris (95870), hôtel appartenant au groupe ACCOR, j’ai reçu, comme cela est souvent fait maintenant, après notre séjour, un formulaire de satisfaction à remplir. Ce formulaire était intégralement écrit en écriture inclusive ! J’étais sidéré je suis littéralement tombé sur le cul. Il y avait partout des points, des euses, des tirets à rallonge, des kyrielles de lettres séparées par des –, une pagaille de choses absolument abracadabrantes totalement sans fin.
C’était hallucinant, j’avais l’impression que ce questionnaire du groupe Accor n’était pas destiné à des Français.
Dans ce type de questionnaire tu dois répondre à toute une série de questions par des “oui” “non” ou des notations, et à la fin tu as un cadre où tu peux donner tes impressions. Pour arriver jusqu’à la fin du questionnaire, j’ai mis des zéros partout. Puis, dans le cadre final, j’ai fait part de mon scandale, de ma colère, d’obliger les clients à lire des questions par ce type d’écriture hallucinante. J’ai également rappelé les comptes-rendus officiels qu’a établis l’Académie Française rejetant catégoriquement et massivement la totalité de ce type d’écriture.
Bien évidemment, je remettrai plus jamais les pieds dans cette hôtel ni aucun de ce groupe.
C’est dommage, car la prestation hôtelière était vraiment tout à fait intéressante, et le rapport qualité-prix tout à fait performant.
Tant pis ! Cette écriture inclusive est l’écriture des imbéciles islamo-gauchistes et féministes qui ressemblent à des hippopotames et voulant ainsi se donner de l’importance, écriture complètement débile de dégénérées, et toute société, entreprises, et organismes qui s’en sert est bannis de ma vie.
Bravo Oryx
Tu as pris la peine de lire et de commenter, félicitations.
Perso, j’aurais commenté mais n’aurais pas lu plus que la première phrase.
On constate de plus en plus, dans les blogs, l’absence de l’apostrophe, celle-ci étant remplacée par un espace.
Dommage.
Pour moi, c’est une amputation. Pour les adeptes, c’est sûrement un gain de temps (?).
Je suis comme toi, en général je ne donne pas suite à ce type de questionnaire car désormais dès que tu fais une démarche, aussi petite soit-elle, tu reçois ton questionnaire. Un simple coup de fil, un séjour quelque part, un e-mail que tu as envoyé, tu reçois ton questionnaire. C’est très à la mode.
Il y a quelques jours, en faisant des recherches sur Internet, je suis allé sur plusieurs sites parlant d’un sujet. Je n’y suis resté que 2 ou 3 secondes pour la plupart d’entre eux. Parmi eux, dans les minutes qui ont suivi, j’ai reçu un questionnaire pour savoir si je trouvais que le site était bien fait ! On est entré dans la mode du questionnaire.
Alors, si j’ai donné suite à ce questionnaire en particulier, c’est parce qu’il était entièrement rédigé par cette écriture débile dite “inclusive”. Avant de pouvoir donner son avis, il fallait passer toutes les questions. Alors, pour arriver jusqu’à la fin du questionnaire, j’ai mis des zéros partout. Puis, dans le cadre final, j’ai fait part de mon scandale, de ma colère, d’obliger les clients à lire des questions par ce type d’écriture hallucinante. J’ai également rappelé les comptes-rendus officiels qu’a établis l’Académie Française rejetant catégoriquement et massivement la totalité de ce type d’écriture.
Pour enchaîner sur ta remarque d’absence d’apostrophe remplacée par un espace de plus en plus dans les blogs. C’est tout à fait vrai. Il me semble de toute évidence que c’est pour aller plus vite. Mes propres enfants quand il m’envoie des SMS font comme ça ! Il y a les apostrophes, mais aussi la ponctuation.
Je vois à tire larigot “des :” “des !” et “des ?” qui sont collés aux mots qui les précèdent.
Exemple :
– Je vous le dis, il fait beau: c’est vrai
– il est vraiment intelligent!
– quelle heure est-il?
Et bien NON !
Voici la règle :
– Il y a une* espace avant et après les deux points
– Il y a une espace avant et après les points d’interrogation et d’exclamation
Voilà.
Plus de détails pour ceux que cela intéresse :
– Il y a une espace entre les mots d’une phrase et entre les phrases.
– Il y a zéro espace avant et après une apostrophe.
– Il y a zéro espace avant la virgule, mais il y en a une après.
– Il y a une espace avant et après les deux points, de même que pour les guillemets (sauf guillemets anglais où il n’y a qu’une espace avant pour le guillemet ouvrant et une espace après pour le guillemet fermant). Il en est de même pour le tiret.
– Pour les parenthèses : une espace avant pour la parenthèse ouvrante et une espace après pour la parenthèse fermante.
– Le point n’est pas précédé d’espace mais il y en a une après.
– Pour les points d’interrogation, d’exclamation et le point-virgule [typographie européenne] : une espace avant et une espace après.
– Il n’y a pas d’espace avant les points de suspension, mais il y en a une après.
=====
* A savoir : de nos jours, le mot “espace” est masculin sauf en typographie où il est féminin
“Un simple coup de fil, un séjour quelque part, un e-mail que tu as envoyé, tu reçois ton questionnaire. ”
Ben oui, faut bien que les gens du marketing, qui par ailleurs ne savent rien faire d’autres, ont l’impression de servir à quelque chose et justifie leur salaire de parasite !!!
Je confirme mon ami josick.
Pour ma part, je ne sais même pas ce qu’est l’écriture inclusive. J’ai vue que certains écrivaient Di.eu sur Dreuz, et je ne sais pas du tout ce que cela veut dire et je m’en moque…
Quand au “vivre ensemble”, dont Charles Gave le libéral fait également état, je ne comprend pas également ce que cela veut dire. Il est vrai que je me contente de vivre comme un ours avec ma petite famille… sur la ferme de mon enfance. Pourvu que ca doure !!! Dreuz étant ma fenêtre sur le monde !!!
Bonjour mon ami josick ! Content d’avoir de tes nouvelles.
Tu as bien raison de vivre retiré du monde. On y trouve le bonheur !
Concernant l’écriture dite “inclusive”, voici quelques précisions.
L’écriture inclusive est une nouveauté sortie d’un chapeau de magicien par des décérébrés totalement débiles gauchistes et féministes en mal de reconnaissance. Cette écriture part du principe que le gendre existe plus. C’est la base des imbéciles susnommés.
Les débiles mentaux susnommés ont constaté que l’écriture existe quand même et qu’elle est masculinisée. Ils n’ont pas pensé que cela avait été établi pour des nécessités orthographiques. Alors, il faut que l’égalité absolue soit respectée. Quand un adjectif, un mot de façon plus générale, dans la phrase, concerne les 2 genres, masculin et féminin, il faut que cela soit indiqué. Également, par ce principe, de nombreuses expressions doivent être modifiées, exemple : il ne faut plus dire “les droits de l’Homme”, mais “les droits humains”.
Voici quelques règles de ces dégénérés en mal de reconnaissance pour faire parler d’eux.
– mentionner par ordre alphabétique les termes au féminin et au masculin.
On dirait donc classiquement : “ils font du cinéma”, et ce, même s’il y a des hommes et des femmes dans le groupe. Dans l’écriture inclusive, on précise le genre dans le sujet par ordre alphabétique donc ici en commençant par le féminin : “Elles et ils font du cinéma”
– l’accord se fait avec le sujet le plus proche du verbe. Exemple : “Les hommes et les femmes sont belles.”
– utiliser un point milieu pour marquer le genre des mots
Exemples :
la candidat·e / les candidat·e·s
les chef·fe·s
les artisan·e·s
les commerçant·e·s
les ambassadeur·rice·s
Seulement voilà, ce point milieu n’est pas disponible sur les claviers. Pour le faire apparaître, il faut maintenir la touche Alt enfoncée et taper 0183 sur Windows, ou Alt+Maj+F sur Mac. Inutile de dire que les claviers en seront bientôt équipés, de la même façon que les traitements de texte vont y inclure cette possibilité, cela paraît être une certitude.
– ne plus utiliser les majuscules de prestige à Homme ou Femme
Voilà ! Un petit exemple :
Cher·e·s lecteur·rice·s, déterminé·e·s à ce qu’elles et ils partent avec les délégué·e·s
Quelle est la position de l’Académie Française ? C’est tout simple, ils ne veulent pas en entendre parler. Bravo ! Voici la déclaration de l’Académie française sur l’écriture dite “inclusive”
“Le 26 octobre 2017
DÉCLARATION de l’ACADÉMIE FRANÇAISE sur l’ÉCRITURE dite « INCLUSIVE »
adoptée à l’unanimité de ses membres dans la séance du jeudi 26 octobre 2017
Prenant acte de la diffusion d’une « écriture inclusive » qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une solennelle mise en garde. La multiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. On voit mal quel est l’objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles pratiques d’écriture, de lecture – visuelle ou à voix haute – et de prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait plus encore celle des lecteurs.
Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration « inclusive », la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures.
Il est déjà difficile d’acquérir une langue, qu’en sera-t-il si l’usage y ajoute des formes secondes et altérées ? Comment les générations à venir pourront-elles grandir en intimité avec notre patrimoine écrit ? Quant aux promesses de la francophonie, elles seront anéanties si la langue française s’empêche elle-même par ce redoublement de complexité, au bénéfice d’autres langues qui en tireront profit pour prévaloir sur la planète.”. (Référence).
Enfin, pour montrer la grande intelligence de ces décérébrés, voici ci-dessous la “Lettre à tous les Français” envoyés par François Mitterrand en avril 1988 au peuple français. J’aurais préféré un autre texte de référence, mais je n’en ai pas trouvé. Bref, voici ci-dessous ce fameux texte original, puis corrigé par cette magnifique écriture inclusive.
Texte original :
1. Mes chers compatriotes,
2. Vous le comprendrez. Je souhaite, par cette lettre, vous parler de la France. J‘ai choisi ce moyen, vous écrire, afin de m‘exprimer sur tous
3. les grands sujets qui valent d’être traités et discutés entre Français, sorte de réflexion en commun, comme il arrive le soir, autour de la table,
4. en famille […]. Nous avons besoin de nous rassembler, mes chers compatriotes. Pour cela, je vous propose une politique pour la France […]
5. Il se trouve que s’il est un terrain où, pour moi, les choses sont claires, c‘est bien celui de l’injustice et des inégalités sociales, qui tantôt se
6. réduisent et tantôt s’aggravent selon l’endroit de notre paysage politique où s’arrête, pour un temps, le suffrage universel. Et elles
7. s’aggravent. Certaines de ces inégalités sont si anciennes, si incrustées dans nos moeurs qu’on les remarque à peine quand on n’en souffre
8. pas soi-même. En première ligne, l’inégalité entre les femmes et les hommes dans la vie sociale, professionnelle, familiale. Ce sont les
9. femmes qui figurent en masse parmi les chômeurs non indemnisés et qui perçoivent les allocations les plus faibles en raison de leurs bas
10. salaires. La durée du chômage s’allonge pour elles plus que pour les autres. Les emplois à durée déterminée, à temps partiel et précaires
11. leur sont en priorité proposés. Absentes des postes de décision et d‘encadrement, elles sont confinées dans des tâches d’exécution : les
12. trois quarts des smicards sont des femmes. À qualification égale, les femmes gagnent 15 % de moins que les hommes. Elles cumulent les
13. inégalités professionnelles. Et à cela s‘ajoutent des conditions de vie particulières souvent liées à leur double activité au-dehors et à la
14. maison. Il reste beaucoup à faire, pour qu’entre dans les faits l’égalité prévue parla loi Roudy de 1983. Mais j’abrége. Je ne rêve pas, mes
15. chers compatriotes, d’une société idéale. Je cherche à éliminer les inégalités qui sont à portée de la main, dont nous pouvons, dès
16. maintenant, nous rendre maîtres […]. « Aller à l’idéal et comprendre le réel », enseignait Jean Jaurès aux lycéens d‘Albi. Jaurès dont je
17. m‘inspire. Vous reconnaîtrez dans ces mots, je l‘espère, l‘ambition du projet qui m‘engage auprés de vous pour les années à venir. Mais
18. quel homme, quel groupe d‘hommes y suffirait ? La France unie, elle, le pourra.
Correction en écriture “inclusive” :
C’est parti pour la correction :
Ligne 1, ligne 4, ligne 15 : “Chers compatriotes”, qui revient à trois reprises dans le texte, peut s’écrire “chers et chères compatriotes” tout à fait de circonstance dans le cas d’une lettre écrite solennelle. A la seconde et troisième utilisation dans le texte, “cher.es compatriotes” peut être utilisé pour éviter les répétitions et les longueurs. Contrairement aux idées reçues, même au pluriel, les contractions ne nécessitent que l’usage d’un point : entre le suffixe masculin et le suffixe féminin.
Ligne 3 : “entre Français” peut devenir “entre Français et Françaises” mais peut aussi s’écrire “entre Français.es”
Ligne 9 : “les chômeurs non indemnisés” est un masculin générique, c’est à dire que le groupe de mots englobe les femmes et les hommes au chômage, mais ne rend visibles que les hommes. Cela peut facilement être remplacé par une formulation neutre et aussi précise telle que “la population au chômage non indemnisée” ou “les personnes sans emploi ni indemnisations”, etc.
Ligne 12 : “les trois quarts des smicards” peut se transformer en “les trois quarts des smicard.es”. Ou – parce que ce mot n’est de toute façon pas très élégant – être remplacé par “les trois quarts des personnes rémunérées au smic”, par exemple.
Ligne 16 : “dont nous pouvons, dès à présent, nous rendre maîtres”, qui appelle à la responsabilité de chacun dans le texte, est plus englobant en utilisant “nous rendre maîtres et maîtresses.”
Ligne 18 : Et enfin, “quel homme, quel groupe d’hommes y suffirait ?” devient assez logiquement “quelle personne, quel groupe de femmes et d’hommes y suffirait ?”
En effet, le niveau baisse. Il n’y a qu’à voir le niveau des journalistes. Quel article peu renseigné, manquant de nuance et de finesse… Le niveau à baissé ? Ah bon, c’est étonnant… C’est sûrement la faute des immigrés. Avez-vous réfléchi au manque de moyens alloués à l’éducation ? À une précarisation et un manque de formation croissants des maîtres ? Au fait que le niveau était peut-être plus élevé avant justement parce qu’il excluait très jeunes les handicapés, ceux qui avait des difficultés et les classes sociales les plus pauvres ? Inciter à la peur et à la haine de l’autre est aisé, chercher de vraies solutions l’est moins.
@ Rosalie Gerard
En France, c’est une habitude de considérer que les problèmes viennent d’un manque de moyens. L’article montre pourtant que les moyens, en l’occurrence financiers, ont considérablement augmenté. Le problème est celui du niveau d’exigence et de la discipline en classe. Le maître mot est devenu la psychologie avec l’idée que les enfants ont des tas de problèmes et qu’il ne faut pas les brusquer. Et l’on transforme ainsi des profs en nounous et un personnel scolaire en grands frères. On se met au niveau des élèves- langage, laisser aller, attitude – et on les conforte dans leur mal-être qui n’est rien d’autre que le résultat d’une éducation déficiente. Quelle place accorder à l’apprentissage une fois qu’on a gaspillé tout son temps en copinage et psychologie ?
moins les gens sont éduqués plus ils sont malléables et dociles
Tout à fait.
Où est la docilité des banlieues ?
Cordialement
Le système suisse est OK… je crains qu’il ne le reste pas car, même dans ce pays démocratique, le “politiquement correct” gagne du terrain.
Elle commence quand, la révolution??
On vous tiendra au courant. Promis.
Si on veut que les crétins importés d’Afrique et du Maghreb s’en sortent on peut essayer de les éduquer, mais c’est long, aléatoire, et plein d’échecs, donc il vaut mieux abaisser la culture générale et le langage des souchiens, pour niveler par le bas, comme cela tous les sous-cultivés se reconnaitront entre eux et iront bâfrer aux même mangeoires de supermarchés halals. Vive la médiocrité macroniène organisée.
Bon article, je ne peux que confirmer le triste constat avec la scolarité de mes enfants. Les programmes sont allégés pour laisser de la place à toutes ces heures de débat et de bourrage de crâne idéologique sur les sujets d’actualité : réchauffement climatique, racisme, égalité homme/femme, migrants, homosexuels, identité biologique vs identité sexuelle, sexisme. A une réunion de parents d’élèves, j’ai même entendu des parents, visiblement satisfaits de ces heures récréatives d’endoctrinement, réclamer en plus des séances sur les addictions aux écrans et aux drogues : faites votre boulot de parents à la maison, ce n’est pas le rôle de l’école, voilà, en gros, ce que j’ai dit !
Problème de calcul posé aujourd’hui en primaire:
Mouloud, Yasmina, Babacar et Pierre entrent dans un boulangerie pour acheter des bombons; Ils ont réuni, a eux tous, 6 €uros; Les sucreries valent 25 cts pièce; Combien de ……
Problème de morale d’hier:
Mouloud, Yasmina, Babacar viennent de voler les bombons de Pierre alors qu’il sortait de la boulangerie ou il venait de les acheter; Quelle punition …………
Je ne peux que confirmer. Professeur itinérant, je suis actuellement au collège. je viens de terminer la correction de l’évaluation donnée à des élèves de quatrième.
Comme je suis très vilaine et que les directives des pédagogistes de l’éduc nat me gavent ( restons polie ), le premier exercice de cette évaluation était une dictée. Tirée d’une nouvelle de Maupassant, sans même un passé-simple! Une demi-page de copie A4 par élève… Résultats des courses: Sur 51 élèves, 33 ont une orthographe indigente. Incapables de faire la différence pour les terminaisons verbales, entre un infinitif, un participe-passé du 1er G, ou un imparfait. Ne parlons pas des accords sujet-verbe ou nom-adjectif. Inexistants. L’orthographe lexicale est du même tonneau avec des mots commençant par d ou z parce que j’ai fait la liaison ” dimansse”, pissenlit avec un y, gogligo pour coquelicot etc etc
Je parle d’élèves lambda, d’un petit collège provincial, sans problème de discipline puisque nous n’avons pas de “kékés” ( ainsi que je les nomme ). Et qui l’année prochaine doivent passer le fameux brevet. Qu’ils auront, parce qu’à partir du moment où le professeur comprend ce que l’élève a voulu dire, il doit donner les points… Il ne faut pas sanctionner, car ce serait brimer ces “pôv tites nenfans” et que je dois au contraire les encourager… Et me fader tout ce qui n’a pas été fait précédemment.
Alors M. Le Ministre, comment fais-je? Parce que je refuse de ne pas sanctionner l’orthographe.
Sans parler de la syntaxe. Les rédactions donnent l’impression d’avoir été rédigées par des gamins du CE1.
@ Laurence-Antigone
Bien d’accord avec votre constat. En tant que mère, fille et amie d’enseignants.
Fut une dictée. Merci de corriger