
Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique ! Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.
Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.
De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations. Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !
Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur. C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !
Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.
Ainsi, les activistes du mouvement écolo-gauchiste révolutionnaire suscitent la peur dans le public et répandent des fausses nouvelles que rediffusent les médias. Tout ce petit monde vit grassement de la rente dorée que représentent les subventions massives au profit des politiciens verts et des scientifiques avec de l’argent du gouvernement pour créer la peur chez les gens. Moore rapporte que des scientifiques participent de leur plein gré au dogme réchauffiste, car ils vivent essentiellement des subventions gouvernementales.
Le mensonge du consensus de 99 % [parmi les scientifiques] qui partagent des convictions au sujet du changement climatique, c’est la meilleure explication de l’absence de toute preuve indiscutable. La science ne repose pas sur des opinions qui voudraient justifier des erreurs unanimement partagées.
Moore cite après bien d’autres (Claude Allègre et Serge Galam en France) la croyance générale que la Terre était au centre de l’univers. Quand Galileo a découvert que le soleil était au centre du système solaire et que la Terre tournait autour de lui, il a été condamné par la science des réchauffistes de l’époque.
Moore a conclu : Quand la superstition et une combinaison toxique de religion et d’idéologie politique prennent le dessus sur la science, il n’y a pas de vérité scientifique. C’est un canular absolu et une arnaque.
Régis Crépet : Non, le réchauffement climatique n’est pas évident pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire.
Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre. C’est un raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le Giec se base sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère depuis le début du XXe siècle et la hausse des températures planétaires mais sans jamais apporter la preuve du lien de cause à effet. Si la communauté scientifique admet que le réchauffement climatique « a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique », elle reconnaît que ce réchauffement a pu avoir une origine cyclique naturelle. Pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. « N’oublions pas la variabilité naturelle du climat par cycles depuis bien avant notre ère contemporaine », rappelle Régis Crépet.
Malgré la version officielle émise dans les conclusions du Giec, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet ? Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu bien avant notre époque industrielle ?
Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange » et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an ! Les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (Giec) à l’horizon 2100. Selon la NOAA-GISS, la hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.
L’alarmisme climatique est la plus grande fraude scientifique. Walter Cunningham, astronaute d’Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques. L’alarmisme climatique est la plus grande fraude dans le domaine de la science et la revendication d’un consensus à 97 % est absurde ! Je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Si on s’en tient à l’hypothèse réchauffiste, pas une théorie, mais une hypothèse, ils dénoncent des niveaux de CO2 anormalement élevés pour faire peur aux gens par de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus à se faire de l’argent sur le dos des contribuables. Il faut savoir qu’en ce moment, le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas des derniers 600 à 800 millions d’années. C’est pourquoi, il dénonce l’alarmisme climatique comme la plus grande fraude du domaine scientifique !
Marc Mennessier : Le Giec n’est pas le garant de la vérité scientifique. Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues (grassement subventionnés). 400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des accusations mensongères portées contre eux par les climato-sceptiques !
Le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre à ces accusations. Je suis attaqué de manière profondément fausse et choquante. Je partage cet honneur avec Claude Allègre qui n’a pas besoin de moi pour défendre son point de vue. Si une partie de nos conclusions sur la question de l’origine du réchauffement climatique sont proches, il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens. Je me bornerai à répondre aux accusations explicitement portées contre moi comme celle de porter des accusations mensongères à l’encontre de la communauté des climatologues ! Il faudrait d’abord définir qui sont ces climatologues ! Jean Jouzel et Hervé Le Treut sont des spécialistes de géochimie et de modélisation numérique. Ils confondent (volontairement ?) leur communauté avec le Giec. C’est lui dont je critique le mécanisme. Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la vérité scientifique.
Celle-ci ne peut pas être le résultat d’un vote démocratique ! Un seul avis contraire peut être exact. Le Giec ne peut décréter la vérité officielle soi-disant scientifique qu’avec un consensus illusoire d’opinions sans preuve scientifique. Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de censure idéologique en sciences ! La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n’est pas d’envoyer une pétition (aux généreux dispensateurs de riches subventions) mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication. Comme l’écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, le fait que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer (justifier) leurs positions revient à reconnaître le manque d’indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, ce qui obère la fiabilité des travaux du Giec !
Moralité, avec l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans est de retour !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Ils ne combattent pas le CO2 sous forme de bulles de vins de luxe;
Tout pour ponctionner les porte-monnaies que nous sommes à leurs yeux !!!
SI NOUS COMMENCIONS PAR DISPOSER DE VIDANGES CORRECTEMENT
EN NE DÉVERSANT PAS TANT DE DÉCHETS DANS NOS RIVIÈRES, NOS FLEUVES ET LA MER ainsi que partout sur nos territoires agricole. Ce sont des montagnes de déchets partout sur la planète juste chez nous dans la province de québec Canada les villes bordant le fleuve Saint-Laurent se serve de ce fleuve pour
y faire couler des millions de litres de saloperies humaines plein de MÉDICAMENTS en tout genre et, c’est comme cela a l’échelle de la planète que dire des tonnes de plastic dans la mer. Si seulement on commençais par cela.
la derniere glaciation date de 25.000 ans et s’appelait “wurm” ;à cette époque tout le nord de l’europe était sou les glaces; la terre s’est alors réchauffée ; et pourtant à cette époque il n’y avait ni voitures,ni usines pour dégager du CO2 !!!!!!
Attention, la photo qui illustre cet article est celle de Sir Patrick Alfred Caldwell-Moore,
un astronome amateur célèbre pour ses nombreux livres et ses émissions de radio et de
télévision. Il est né en 1923 et est mort en 2012. Le fondateur de Greenpace dont il est
question dans l’article est un autre Patrick Moore, qui lui est né en 1947 et est encore
vivant.
Eh OUI, enfin une VÉRITÉ qui va surement faire très mal aux banquiers de la planète et encore plus aux Finances et Financiers de nos états.
L’escroquerie du climat dont nous connaîtrons les vérités dans 100 ans est enfin mise à jour.
A qui profite le crime ?
A tous les gouvernements pour faire croire aux pauvres cons que nous sommes (et encore je pèse mes mots) que la planète va mal.
La planète va très bien et elle vous remercie de ce que l’humanité fait pour la préserver.
Le CO2, c’est le diable!!
Mais sans le CO2, plus rien n’existe sur notre belle vieille planète.
Qui sait ce qu’il s’est passé il y a 300 000 ans sur la terre, ou pire il y a juste 5000 ans.
No bons “soi-disant scientifiques” sauront vous inventer un modèle informatique pour vous “prouver” qu’il y a 300 000 ans ou 5000 ans, la planète vivait de telle ou telle façon!VASTE MENSONGE
Personne car personne ne peut en parler ni même mettre en place u modèle de climat qui reflète ce qu’était la planète il y 5000 ans ou pire 300 000 ans.
Le pire est qu’ils arrivent à vous le faire croire!
Et le pire est arrivé avec l’apparition de la vierge GRETA!
Alors là nous avons atteint le summum de la bêtise humaine.
Ecouter, laissez parler une gamine de 15 ans sur le climat de la planète, ce que nous devrions faire et ne pas faire etc….
Là, nous avons atteint la pire des décadences.
Savez-vous Greta que la planète se porte à merveille, qu’elle sait recycler tout le CO2 dont vous vous gavez et qu’elle n’a surement pas besoin d’une égérie pour la défendre.
Greta, la planète sait se défendre sans vous et le fait depuis des dizaines de milliers d’années.
L’univers! Pourquoi ne nous parlez-vous pas de l’univers et des dangers que nous lui faisons subir?
Pourquoi ne nous parlez pas des risques de collisions avec des météorites ou pire encore une absorption de la planète Terre par un trou noir encore inconnu?
Vous devriez vous pencher sur la question et nous révéler une de vos visions interstellaire!
Arrêtons de paniquer, le temps, la météo etc…. sont des composantes du 19 ème siècle, 20ème et 21ème siècle. Revenez dans 2000 ans et les médias vous parleront encore de la météo, des orages, des tornades, des tsunamis et des tremblements de terre.
La planète va bien, elle vit des cycles qui lui sont propres et elle n’a surement pas besoin de vous.
La planète Terre existe depuis 4,543,000,000 années et elle vous remercie du soin que vous lui apportez chaque jour avec votre CO2 et toutes vos particules dont elle se fout totalement.
A vous entendre, vous lire et peut-être un jour de l’an 3650 vous croiser.
Messieurs les escrocs du climat, passez votre chemin, nous ne sommes plus dupes de vos mensonges et de vos contres-vérités!
Et nous le ferons savoir!
Au- delà des théories du GIEC (le fameux forçage radiatif) qui contredisent le 2e principe de la thermodynamique il convient de rappeler quelques faits :
Le CO2 n’absorbe le rayonnement infrarouge que dans 2 pics de fréquences étroits à 20 et 70 THz en majeure partie noyés dans les bandes larges d’absorption de vibration des liaisons OH de la molécule d”eau.
L’absorption du rayonnement infra rouge par le CO2 se produit dans les premières dizaines de mètres de l’atmosphère : au-delà, il n’y a plus de rayonnement à absorber dans les pics de fréquences à 20 et 70 THz (ceux du CO2).
Ledit effet de serre atmosphérique est une manipulation sémantique ! Pour qu’il y ait effet de serre, il faut que la convection du gaz piégeant le rayonnement infra rouge soit enpêchée par une enceinte étanche, les vitres de la serre qui n’existent pas dans le cas de l’atmosphère. L’échauffement de l’atmosphère terrestre résulte de la compression adiabatique de celle-ci sous l’effet de son propre poids (analogue à l’échauffement de l’air dans une pompe à vélo).
Les courbes d’augmentation de la température du GIEC résultent d’une modélisation simpliste qui postule l’existence d’une sensibilité de l’augmentation de la température proportionnelle ç l’augmentation de la concentration en CO2 ce qui aboutit ç yune équation différentielle du première ordre entre température et concentration en CO2 qui se résout en une relation exponentielle entre la température et la concentration en CO2. Il n’existe aujpourd’hui aucune preuve expérimentale de ce postulat. En outre, les observations satellitaires des températures de l’atmosphère depuis trente ans contredisent les résultats du GIEC (évolutions des températires depuis 2000, absence d’un point chaud dans la basse stratosphère, niveau des mers, recul des banquises etc).
Ceci étant posé on ne peut que constater que l’Europe est gouvernée par des incompétents corrompus qui ont imposé les énergies intermittentes à coup de subventions et de tarifs imposés : on ne fait pas mieux pour empêcher la concurrence et saboter l’efficience des marchés (qui dépend de la liberté des prix). C’est une splendide illustration du capitalisme de connivence et une négation de la liberté d’entreprendre.
La solution existe et elle est appliquée par les USA : exploiter les hydrocarbures non conventionnels.
Résultat :
– l’amérique a conquis son indépendance énergétique.
– l’offre mondiale d’hydrocarbures excède la demande
– l’OPEP n’a plus de pouvoir
– les pays islamistes du golfe voient leurs ressources financières s’assécher pour financer le terrorisme.
– les récentes attaques de l’Iran pour couper l’approvisonnement en brut d’Arabie Saoudite n’a pas eu d’effet notable et durable sur les cours du brut.
Mais en Europe on préfère interdire l’exploitation des hydrocarbures (pétrole, gaz de schiste) pour sauver la planète.
Moralité : les écologistes sont les idiots utiles du terrorisme islamiste.
Je pense que votre exposé est en mesure d’affoler les “experts” du GIEC dont le savoir est au niveau des pâquerettes, mais ils s’en tireront en disant que vous faites du mauvais esprit.
Le jour viendra où nous aurons creusé le dernier puits de carburant ou de gaz, où nous serons 2 x plus nombreux car il y a tellement de médecins qui soignent les malades ou qui préviennent les maladies. Nous aurons peut-être à ce moment-là des rafiots ou des cargos pour aller à la conquête d’un nouveau continent où nous pourrons creuser des trous pour y chercher du pétrole.
Les peuples se dépacent. Ils vont où il y a moins de monde. A moins que … nous les invitons à produire chez eux des marchandises qui leur permettrait de vivre chez eux.
Article tiré du Blog de Barbarossa https://blogs.mediapart.fr/barbarossa/blog
Je le trouve excellentissime et vous le restitue tel quel:
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La révélation
Lorsqu’on a conclu péremptoirement à la responsabilité de l’homme dans le domaine du réchauffement climatique, on a également implicitement annoncé une avancée scientifique de taille, qui n’a pas reçu l’attention qu’elle aurait méritée: l’homme était déclaré capable de maîtriser les éléments de la nature. Rien de moins.
Cette certitude soutenue par un milieu scientifique (reconnu ?) est une avancée formidable dans l’histoire de l’humanité.
On n’était plus dans les conséquences ordinaires d’une action banalement irresponsable (pollution de rivière, océan, air, déforestations sauvages) ou d’aménagement (percement d’un tunnel ou d’un canal, aplanissement d’une colline, construction d’un pont, autoroute, chemin de fer ou autre) mais bel et bien dans le domaine du contrôle climatique de la planète.
Et on s’est mis du coup à rêver que, en y mettant les moyens et le temps pour développer les méthodes adéquates, on était littéralement capable de faire la pluie et le beau temps.
Et d’échafauder les scenarii les plus osés sur les possibilités futures d’une telle découverte.
Hélas, le rationnel reprenant le dessus sur l’émotionnel, à ce rêve les yeux ouverts il a suivi le désenchantement d’une réalité on ne peut plus banale.
Et de s’en vouloir d’avoir aussi vite donné foi à une idée uniquement parce qu’elle nous séduisait autant.
Mais il n’y a pas eu que nous.
Que dire de tous ces politiciens, de n’importe quel tendance, gauche, droite, blanc, rouge, noir, vert, tous réunis dans un bel ensemble, qui pour une fois dans leur vie ont osé lever leur regard un peu plus haut de l’horizon de la prochaine échéance électorale, et se sont mobilisés avec désintéressement (quel retour immédiat peuvent-ils espérer si tous ont le même programme?) pour une cause dont les effets ne se feront sentir, au mieux, alors que leurs noms auront bien plus de chance de figurer sur un stèle au cimetière plutôt que dans un livre d’histoire ?
Quel gâchis ! Quelle désolation !! Quelle tristesse !!!
Et quod de ce pauvre Laurent Fabius, la Fée Clochette de la Cop21, qui grâce à son rôle dans ce raout aurait aimé recevoir le Prix Nobel de la Paix, comme jadis en 2007 son homologue Al Gore, cet autre faux expert climatologique (autoproclamé) et vrai diffuseurs de thèses alarmistes tellement abracadabrantes qu’il a été contredit (conjointement à ses acolytes du GIEC) même par son propre camp, Greenpeace en tête ?
Le genre humain et la Terre
L’homme n’est pas indispensable à la planète bleue. Il peut disparaître, comme autrefois les dinosaures, sans créer des dommages collatéraux. L’écosystème n’en serait nullement perturbé. Le contraire n’est pas vrai.
On a beau se proclamer les fils de Dieu, nous ne sommes rien de plus qu’une colonie d’insectes, une petite entité négligeable et pour tout dire insignifiante. Et moins nécessaire à la planète que les lombrics.
Bien sûr, nous sommes actuellement 7 milliards d’individus. Mais nous comptons pour beurre.
Vous en voulez la preuve ?
Repérez sur une mappemonde ce petit point bleu si minuscule qui indique le lac Léman, le plus grand lac d’Europe que la France partage avec la Suisse.
Et bien, si on y submergeait d’un seul coup l’humanité entière, donc 7 milliards de personnes, sa masse s’accroîtrait de 0,2%. Et personne ne s’en apercevrait.
Et ce lac a une superficie de moins de 6% de celle de la plus grande ferme australienne.
Alors, importants quantitativement les 7 milliards d’individus ou entité ridicule ?
Cela redimensionne grandement notre ego.
Le prétexte
Le réchauffement climatique que nous vivons actuellement est une vérité incontestable.
Nul de sensé pourrait le remettre en doute.
Cela dépend uniquement de l’activité solaire, cet astre dont la Terre tire toutes ses sources d’énergie et de vie, qui a une taille de 1300’000 fois plus grand qu’elle.
L’activité solaire détermine, depuis toujours, des cycles de réchauffement ou de refroidissement de la planète à un rythme imprévisible (début, fin, ampleur). Ces cycles sont historiquement recensés Tout le monde peut le contrôler.
Alors pourquoi en accuser l’humanité ?
Pour toujours la même raison : l’Argent. Notre Argent.
Pour nous ponctionner d’une nouvelle taxe tout en nous culpabilisant pour que nous l’acceptions sans trop rechigner.
Puis, puisque si on était les seuls à la payer il y aurait une distorsion de la concurrence, on essaie d’obliger les autres Pays, un peu ou beaucoup réticents, à l’adopter également. D’où les COP. L’important pour notre économie est que cette taxe soit universelle, les engagements à réduire les émissions de gaz à effets de serre et leur respect étant accessoires.
Beaucoup de Pays du Tiers Monde ont signé uniquement parce qu’on leur a promis de l’argent, qu’ils ne verront jamais.
A quelques exceptions près. Car on a également instauré un système qui permet aux pays les plus développés d’acheter le droit de polluer (le droit carbone) aux pays sous-développés.
Sans, étonnamment, susciter les foudres d’aucun des mouvements altermondialistes toujours prêts à dénoncer ces-salauds-de-capitalistes-qui-avec-leurs-dollars-acquis-par-l’exploitation-de-la-classe-ouvrière-entretiennent-dans-le-sous-développement-les-pays-du-tiers-monde.
Mais passons.
Résultat de ce marché de dupes : l’Etat français a dû rembourser à des escrocs (procès en cours, condamnations probables, recouvrements illusoires) la bagatelle d’un milliard d’euros à titre de remboursement d’une TVA jamais versée sur des transactions imaginaires de « droits carbone ». Bercy, ne sachant plus comment s’en sortir, a fini par exonérer ces droits d’une quelconque taxe.
La méthode
Nos gouvernements (G7) ont été vraiment capables ne concevoir et mettre sur pied et de réussir du premier coup un tel scénario si machiavélique ?
Et bien, en réalité non. C’est un remake.
On a rejoué un scénario que des laboratoires chimiques avaient utilisé avec succès fin 70 début 80.
Petit rappel :
Fin des années 70 une information avait commencé timidement à circuler, d’abord dans des journaux scientifiques, puis de plus en plus fort dans tous les medias, jusqu’au paroxysme, dans un crescendo rappelant la tirade rossinienne sur la calomnie du Barbier de Séville. Objet : un soi-disant trou d’ozone, aux conséquences évidemment catastrophiques, provoqué par le CFC, ce gaz utilisé dans nos sprays de l’époque.
Dans une atmosphère obsessionnelle, digne des meilleurs Hitchcock , tous les médias relayent la nouvelle en boucle, soutenue par des interviews de spécialistes.
Le résultat de cette peur panique inculquée dans l’opinion mondiale a débouché immédiatement par l’interdiction dudit gaz.
Pour s’apercevoir après coup que toute cette campagne avait été orchestrée de main de maître par des agences de com’ mandatées par les laboratoires propriétaires du brevet du CFC, qui venait à échéance justement cette année là (la protection d’un brevet dure 20 ans), et qui redoutaient la concurrence orientale si le CFC tombait dans le domaine public.
Bien entendu aucun media n’a fait son mea culpa pour s’être fait manipuler, le trou d’ozone scruté tous les jours à la loupe a disparu immédiatement de tous les radars, les experts partis en vacances avec leurs confortables honoraires, les agences de com’ dûment rétribuées.
Il faut reconnaître le grand professionnalisme de ces agences ; et regretter en passant que dans d’autres domaines on ne fasse pas preuve d’une si grande compétence.
On a donc remplacé le trou d’ozone par les émissions de CO2 et on nous a rejoué la même partition. Succès escompté.
Les moyens
L’idée de réutiliser le même scénario est surgie immédiatement après le cas « trou d’ozone » mais, comme toute initiative politique, il a fallu quelque temps pour la mettre en place.
Le G7 (groupe des 7 pays les plus riches, soit USA, Japon, Allemagne, France, Grand Bretagne, Canada, Italie) a décidé en 1988 de mettre en place par l’Onu le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat).
Alors que jusque là, cette évolution n’intéressait que les météorologues.
Comme toute institution onusienne le Giec n’est pas une association de personnes physiques mais de Pays. Et comme toute institution onusienne fortement politisée.
Il ne s’agit donc pas d’un laboratoire de recherche, mais d’un organisme qui effectue une évaluation et une synthèse de ces travaux menés dans les laboratoires du monde entier, genre revue de presse.
Aucun individu – et en particulier aucun chercheur – ne peut être directement membre du GIEC: les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter les pays membres.
Et surtout leurs intérêts. Et c’est ici que le bât blesse.
Car à lire les rapports du GIEC on dirait que tous les experts du monde entier sont unanimes. Ce qui est loin d’être le cas.
Donc on nous soumet des conclusions hautement tendancieuses – donc mensongères.
Par ailleurs admettre que le réchauffement climatique est la responsabilité de l’homme uniquement parce que des experts ou le Giec l’affirment se serait comme admettre l’existence de Dieu sur le seul fait que tous les théologiens (qui prêchent, c’est le cas de dire, pour leur paroisse) le soutiennent.
Les experts étant donc désignés (le Giec), on passe aux agences de Com’.
Qui ont concocté une campagne avec des images et de mots forts aptes à conditionner la cible (nous).
Détricotement des termes
Gaz à effet de serre : (au fait composés à 90% par la vapeur d’eau, voir détail complet plus loin): l’appellation est bien choisie car parlante.
A ses simples mots on s’imagine à l’intérieur d’une serre en plein soleil où l’atmosphère est moite et étouffante.
A regarder de plus près, la définition officielle des gaz à effet de serre est bien plus soft: les GES empêchent par leur couverture la terre de se refroidir.
Première contre-vérité : les gaz à effet de serre (couverture nuageuse) empêchent en effet la terre de se refroidir LA NUIT.
Tout le monde sait qu’une nuit étoilée est bien plus froide qu’une nuit nuageuse. Même les déserts ont réputation d’être glaciaux la nuit.
Mais cette même couverture nuageuse, qui n’a pas les prérogatives d’une glace sans tain, et qui donc fait pareillement écran dans les deux sens, empêche tout aussi efficacement le terre de se réchauffer la journée. Et puisque la source solaire émet plus de chaleur que la terre, les GES empêchent surtout la terre de se réchauffer.
Pour s’en convaincre il suffit de grimper sur le sommet d’une colline juste au dessus des nuages et comparer la différence de température par rapport au juste dessous.
En réalité donc une hypothétique augmentation des GES serait plutôt positive pour lutter contre le réchauffement climatique.
Climato-sceptiques : de nouveau un terme très bien choisi car on traite de ce nom les opposants à la thèse officielle en faisant croire qu’ils nient le réchauffement en cours, alors qu’ils ne sont contraires qu’à l’idée de la responsabilité humaine.
Les thèses opposées
On a donc d’un coté le Giec qui soutient la théorie officielle et en face des cabinets mandatés par des climato-sceptiques pour prouver le contraire.
Et là il y encore une magnifique arnaque dans l’arnaque.
Car ces cabinets, aux honoraires milliardaires (que nous payons aussi d’une manière ou d’une autre), ne veulent surtout pas prouver la thèse pour laquelle ils sont mandatés, car ils perdraient du coup leurs clients et leurs revenus. Conflit d’intérêts. Alors ils se limitent à publier des graphiques, des avis d’experts truffés d’inexactitudes et ils font tout pour entretenir le doute.
La vérité alors ?
En réalité très simple et facile à prouver.
Indiquez les données à votre enfant de niveau de CM2 ou supérieur et il vous fournira la bonne réponse en utilisant simplement la règle de 3.
Calculs
Les données scientifiques admises par tout le monde (partisans et adversaires) indiquent que la concentration des GES dans l’atmosphère est représentée par 3000 parts de vapeur d’eau par million et de 396 parts de CO2, plus quelques autres gaz en proportion plus que négligeable.
Rappelons que le CO2 c’est de l’anhydride carbonique, soit le produit de nos expirations; elle n’a rien de toxique. Et est soluble dans l’eau.
Cette concentration et répartition des GES sont considérées stables tous les jours de l’année.
Les parts de CO2 étaient de 280 au début de l’ère industrielle (1800) où les habitants de la terre étaient évalués au maximum à un milliard d’unités.
On est 7 milliards aujourd’hui soit une augmentation de 6 milliards pour 116 parts de CO2. Ce qui rapporté aux 7 milliards au total indiquent une valeur de 135 parts dont est responsables l’humanité pour ses 7 milliards d’habitants et ses 200 milliards d’animaux d’élevage – plus toutes ses activités (industries, voitures, avions, chauffage, bateaux etc.)
Les 261 parts restantes étant émises par la nature (arbres, montagnes, volcans, océans, rivières, glaciers, animaux sauvages etc.).
On est donc responsable de seulement 34% des émissions totales de CO2.
Une autre donnée incontestée est que la vapeur d’eau s’épuise et se reconstruit en 14 jours au maximum.
Pour faire compte rond prenons 15 jours, ce qui fait que chaque jours se détruisent et se recomposent 200 parts.
Le CO2, lui s’épuise et se recompose en un siècle.
Donc prenons les 135 parts émis par la présence et activités humaines et divisons la par 36524,25 jours (soit un siècle) : ce qui donne arrondi une émission de 0.0037 parts par jour soit, et au grand maximum, 18 millionièmes des émissions totales journalières de GES (0,0037/200,0037×100).
Quelle personne saine d’esprit pourrait concevoir que cette proportion ait une quelconque influence sur quoi que ce soit ?
Et là où ça devient franchement ridicule ce qu’on voudrait réduire cette émission journalière de 2% je ne sais plus à quel horizon.
Au fait ça fait combien 2% de 18 millionièmes ?
Question subsidiaire
Cette nouvelle taxe sert à nous faire payer l’air qu’on respire (on paye à la sortie) ou parce que on est des c..s ?
j’entends une voix qui susurre : « les 2 mon général !!! »
Données officielles des GES contrôlables sur tous les sites internet
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Concentrations atmosphériques en volume par million, durée de séjour et potentiel de réchauffement des principaux gaz à effet de serre
Gaz Formule Concentration durée séjour PRG
préind act.
Vapeur eau H2O 3000 3000 2 semaines —
Dioxyde carbone CO2 280 396 100ans 1
Méthane CH4 0.7 1.8 12 25
A noter que, régulièrement, on entend des voix qui voudraient qu’on élargisse le traitement qu’on impose au CO2 au gaz méthane (produit entre autres par les flatulences des vaches). Thèse contestée âprement par tous les milieux Giec y compris.
Si la thèse officielle du CO2 était vraie, considérant que, depuis l’époque préindustrielle, le gaz méthane à augmenté de 258%, compte tenu de son potentiel de réchauffement (25 x celui du CO2) et de son facteur de 8.33 de séjour par rapport au même CO2 , cela ne tarderait pas à être vrai également. CQFD.
Pour conclure
Si la lecture de ces propos vous laisse perplexe, dubitatif, incrédule, ironique ou carrément opposé, je vous propose d’aller consulter la définition scientifique des GES. Mais si vous pensez qu’une journée sous les nuages est plus chaude qu’une journée sous le soleil, je n’aurais plus qu’une ultime requête à vous adresser: le numéro de téléphone de votre fournisseur, car manifestement il vous refile du tout bon.
Dernier détail: les rayons infra-rouge n’influent nullement sur la température de l’air.
Merci à tous
A l’auteur du blog: nous partageons avec FB mais votre compteur ne le prend pas en compte. Désactiver puis réactiver le plugin, puis voir.
Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires.
Première Partie. La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement?
http://xochipelli.fr/2019/10/los-cantos-de-xochi-2020-grand-minimum-solaire-catastrophes-alimentaires-et-sanitaires-premiere-partie/
Seconde Partie. Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants…
http://xochipelli.fr/2019/10/los-cantos-de-xochi-2020-grand-minimum-solaire-catastrophes-alimentaires-et-sanitaires-02/
Troisième Partie. 2020-2055: un Nouveau Cycle de Famines?
http://xochipelli.fr/2019/10/los-cantos-de-xochi-2020-grand-minimum-solaire-catastrophes-alimentaires-et-sanitaires-03/
Quatrième Partie. 2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires?
http://xochipelli.fr/2019/10/los-cantos-de-xochi-2020-grand-minimum-solaire-catastrophes-alimentaires-et-sanitaires-04/
Juste une petite précision qui a son importance :
Le G I E C est le Groupe Intergouvernemental d’Etudes sur le Climat. Il n’y a jamais eu d’experts au GIEC (pas plus que dans sa dénomination) mais justes des fonctionnaires internationaux qui consultent des experts et choisissent les réponses qui leur conviennent.