Nous sommes les témoins d’une époque exceptionnelle. Sous nos yeux, les solides valeurs par lesquelles l’homme et la société se sont construits sont méthodiquement démolies par la gauche dans la passivité des gens honnêtes.
Le progressisme est devenu une valeur en soi. Comme si tout changement était porteur de progrès. Comme si le progressisme était déjà une garantie, une caution de bonne fin.
Pourtant bien des choses allaient mieux avant.
Sur France Culture, Elisabeth de Fontenay affirme que le progrès est source de destruction. Il me semble cependant plus bénéfique d’aborder le sujet en rejetant la pensée de groupe, qu’en adoptant une inquiétude crispée.
Puisque les médias surveillent nos moindres dérapages, il est urgent de faire des excès de vitesse et de s’arrêter sur les stationnements gênants.
Nous devons nous demander si le retour en arrière est une fuite en avant ou une forme de progrès en regardant dans le rétroviseur ; si les nouvelles technologies apportent plus de bonheur ou plus de malheur ; si un con qui marche vaut plus que dix intellectuels assis.
Si un conservateur est un peureux du mouvement, ou un prudent du faux pas.
Cet article, donc, n’est pas destiné à détailler mes idées mais à vous permettre d’exprimer et confronter les vôtres.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Tous les honnêtes gens ne sont pas passifs . Loin s’en faut ! Il suffit de voir les manifestations de La Manif pour Tous, celles des Gilets Jaunes, les actions de jeunes comme Génération Identitaire ou Les Identitaires. Il y a révolte qui gronde et pourtant toutes ces personnes essaient de rester dignes et pacifiques !
Je n’aurai pas grand chose à dire étant donné que je vous rejoints sur tous les articles que vous publiez. Et en effet, dans mon post sur les enfants-tyrans, je déclare: “Des enfants-tyrans, il y en a plein dans nos gouvernements, nos parlements et nos administrations. La différence avec ceux décrits dans le texte, c’est qu’on a capitulé devant eux depuis longtemps!”. Ceci va dans le même sens que “la passivité des gens honnêtes”, çàd. la capitulation des gens honnêtes. Elle ne date pas d’hier puisqu’on n’est pas passé de la première image à la seconde en quelques jours ou en quelques mois. Mais tout ce qui est de gauche me révulse lorsque le délire nous est imposé de gré ou de force. Mon conservatisme est amoureux de la Liberté et du bon sens sans rien imposer à quiconque en échange de quoi on ne peut et ne doit rien m’imposer qui ne sorte des 10 Commandements, un excellent résumé de la vie et de ses risques. Et donc la gauche ne peut en aucun cas m’attirer ou me séduire. C’est comme jouer au casino: on est toujours perdant quoi qu’il arrive, même au nom de je ne sais quel progrès débile.
“Quand je vois un mec qui est un peu barbu et qui a l air d origine maghrébine j’ai peur qu’on l’agresse ”
Silhouette androgyne habillée d’un burnous en dentelles, slip kangourou à poche haute façon Gillier avec fente arrière, poche avant pour rembourrage artificiel, tarbouch en ceinture, réhaussée d’une djellaba en laine, capuchon couvrant façon gang, belgha à talons hauts, barbe fan-atik, montre rolaix, écharpe hugoboboss.
Il faut défendre les pacifistes islamistes des horribles hordes sauvages des Amérindiens et des Finnois (lol).
Il viendra un jour peut être que pour lutter contre le progressisme débridé et destructeur sans avoir à subir les foudres de tous les bien-pensants moralisateurs et paternalistes il faut se convertir à l’islam! Le comble du progressisme!
La montgolfière Greta est maintenant presque complètement dégonflée, le hoax était flagrant et la mayonnaise n’a pas pris. La médiasphère le sait.
À cette petite, on lui souhaite bon vent et un prompt rétablissement.
C’est signe que le progressisme pètera aussi à la figure de tous les groupuscules tyranniques qui nous pourrissent la vie. Cette immonde Tour de Babel s’effondrera toute seule, tôt ou tard.
La nature est plus forte, alors un peu de patience…
(les groupuscules tyranniques, c’est-à-dire les terroristes vegan, les activistes féministes, les no-border, les anti-voitures, BFM TV, les importateurs de migrants, les réchauffistes collapsologues, les ethnomasochistes, Marlène Schiappa, les hyènes d’Hollywood, les pseudo-antiracistes, les talibans destructeurs du modèle familial, et j’en passe…)
Rico
Vous avez tout dit ou presque mais j’ose pas la suite…
Serge 🙂 ne vous gênez surtout pas !
Un conservateur, pour moi, c’est quelqu’un qui veille à ne pas jeter le bébé avec l’eau sale du bain. Autrement dit, quelqu’un qui s’adapte aux changements inévitables et parfois bénéfiques liés au passage du temps, mais refuse de renier pour autant les acquis de la civilisation judéo-chrétienne qui l’a façonné.
Quant à savoir si ‘c’était mieux avant’, il suffit de lire les commentaires sur Youtube concernant les vidéos illustrant la vie en France -musique, chansons, films, les artistes, la vie à Paris et en province, etc.. – avant l’occupation islamo-socialiste : c’est un déluge de regrets, une constatation de l’effondrement de la qualité de la vie, et pas seulement par ceux qui ont connu des jours meilleurs, mais les jeunes gens semblent eux aussi agréablement surpris de découvrir un monde qu’ils ne soupçonnaient pas.
Le progrès “on” le déteste, le critique jusqu’au jour où il faut se faire arracher une dent.
Le progressisme ça n’est pas le progrès tel qu’il se développe naturellement depuis les premiers hominidés.
Le progressisme c’est une idéologie nihiliste et destructrice.
Aussi, ne pas oublier une droite culturelle qui comme la gauche fantasme également …
Laissons les gens décider par eux-mêmes de leur propre destin.
@ Nicolas Carras
“Laissons les gens décider par eux-mêmes de leur propre destin” ?
Vous oubliez l’énorme pouvoir de nuisance des médias, qui pénètre jusqu’au fond de nos campagnes pour laver, essorer, et broyer les cerveaux.
Leur tactique ? Il prennent un épiphénomène riquiqui et totalement insignifiant et l’amplifient afin de faire croire que “le monde change… on a changé d’époque…” (en pire, mais ils ne vous le diront pas) et autres billevesées d’une rhétorique vomitive destinée à clouer le bec de tous ceux qui ne pensent pas comme eux.
Prenons par exemple au hasard une radio gaucho-staliniste française :
https://tinyurl.com/yxlt7z55
https://tinyurl.com/y5hkfdgv
https://www.dreuz.info/2019/05/15/limage-du-jour-ne-vous-fiez-pas-aux-apparences/
Il n’y a pas si longtemps, il ont même très facilement réussi à prendre un épiphénomène: un mutant autant insipide qu’imbuvable qui se prend pour Jupiter qu’ils ont transformé en président en un tournemain, avec la déconcertante facilité dont seule la médiasphère a le secret.
Pauvre France …
Le progrès a été de pouvoir écouter France Culture il y a presque 20 ans dans n’importe quelle partie du monde avec les podcasts, entendre la voix de Bergson dans des extraits d’émission, certaines conférences de la Sorbonne ou les débats de Finkielkraut. Mais ensuite avec qui partager? Les progressistes détestent Finkielkraut. De l’autre côté cette radio d’état diffuse également l’anti-américanisme tel que le décrit si bien Bat Ye ´ Or qui est en résumé un totalitarisme intellectuel que certains états transforment en qualité tout en confiant leur sécurité à ceux qui veulent les détruire. Ce qui me fait penser qu’une partie de gens encore très élégants n’en gardent que l’apparence et sont dans le même état mental et intellectuel de ceux qui se ne ressemblent à rien. L’idéal de beauté reste bien sûr l’allure de Cary Grant. Comparé à ce look dégueu qui se diffuse partout de l’empâté en training ou short avec surtout les cheveux en couette, c’est pour se laisser remplacer par l’intelligence artificielle, je ne vois pas d’autres explications à part celle de David Horowitz, à l’intérieur de chaque progressiste se cache un totalitaire qui ne demande qu’a hurler.
Esther
BRAVO BRAVO et BRAVO
Je n’aurais pu mieux exprimer ce que vous avez décrit ici, ca ne se dément pas.
Le progrès, ce ne peut être que le résultat de ce qui fait progresser ; à ne pas confondre avec ce qui fait transgresser.
Le progrès (ce qui permet de progresser ) c’est aujourd’hui de resister à l’air du temps qui nous dit laissez faire, laissez aller.
Quelle classe Cary Grant !
Je suis un enfant du progrès, né prématuré dans une ferme sans eau courante ni électricité du réseau, peu après ma naissance, gel exceptionnel, l’eau gelait même dans les sceaux à l’intérieur même de la maison…
Mes parents, rien en poche, empruntaient tout azimut pour acheter la ferme et se lancer dans la course folle de la modernisation. À mes cinq ans, les transformations de la maison qui se dote du chauffage central, le tracteur remplace les chevaux, puis stabulation libre pour la spécialisation laitière. Gros problème : les veaux meurent en pagaille sans que le vétérinaire puisse faire quelque chose, vétérinaire pas soumis à obligation de résultat pour se faire payer. Papa change son fusil d’épaule, abandonne les techniques et conseils étatiques de production pour les techniques d’un obscur québécois. Il sauve ses veaux et la production laitière augmente… jusqu’à des premiers prix remportés à Paris.
Papa est entré à 11 ans dans la vie active, certificat d’étude en poche. Je n’y suis jamais entré car grillé par l’INRA dès mon diplôme d’ingénieur en agriculture en poche. Ayant 62 ans, autant dire que j’ai eu beaucoup de temps pour réfléchir pour tenter de comprendre…
L’instituteur de papa était l’abbé FREIN. Les techniques spéciales agricoles qu’il a utilisées mettaient en avant des bioMODERATEURS bactériens alors que tout semblait régit par l’activation.
C’est là que le terme « facilitation » viens à l’esprit. Le progrès d’être associé à la facilité, facilité cause de chute…
Nouvellement scolarisé, j’ai vécu avec incompréhension la suppression des encriers, arrivée des stylos-billes, autrement dit mise en place de la facilité tout azimut.
Pourquoi n’avoir pas joué des deux ?
Oui, jouer des deux, accepter à la fois la facilité et en même temps garder l’exercice de la plume beaucoup plus difficile ? Monolithisme de la pensée qui conduit fatalement à la pensée unique !
Fausse conception d’un Dieu unique, Dieu qu’on ne veut pas percevoir comme Jupiter le père du joug, joug qui permet de maintenir ensemble ce qui s’oppose, voudrait être seul, voudrait tracer en continu (règne de la roue) tandis que le deux mis ensemble permet la marche, ce qui trace en discontinu, empreinte moins grande…
Ainsi la modernité populairement d’être associée uniquement à la facilité. C’est le règne du presse-bouton, de la télécommande universelle qui fait tout sans besoin de lever le petit doigt, juste un glissement sur l’écran tactile et un monde s’ouvre : automatiquement la porte du garage, la lumière s’allume ou s’éteint… C’est AUTOMATIQUE ! Nous voilà roi régnant sur un monde automatique, monde nous obéissant à la baguette forcément comme magique. Ce qui est d’autant plus possible si on a des revenus suffisants…
Comme dans les traces paternelles, père qui a utilisé avec succès les travaux d’un québécois, je me suis découvers un autre québécois illustre inconnu, lequel mettait en avant comme clé de la vie, ce qu’il qualifiait comme étant « Résistance universelle », sans force aucune, mais sans force faisant alors la différence, permettant la création-créativité. Chez lui, à Buckland, j’ai commencé à mettre au point mon propre clavier à six touches seulement, cela dans la foulée du projet Tiki à l’abandon… Ainsi je peux taper mes textes aussi bien avec mon clavier à six touches qu’avec un clavier ordinaire. Mais mon clavier 6 touches devenant trop facile, j’ai complexifié en faisant distinction première touche enfoncée, première relâchée, puis qu’évidemment ce clavier à touche réduite fonctionne par combinaison.
Par la complexification que j’ajoute, j’entretiens le développement de mon attention lors de la frappe, jusqu’à ce que cela devienne un automatisme… Nécessité alors d’ajouter une autre complexification… Mon attention donc de se développer…
Mais si on procède inversement, de vouloir toujours plus facile… Ainsi la simplification orthographique, cela n’encourage nullement le développement de l’attention, et au final, la pullulation des lavettes rechignant à tout effort et incapable de faire face au moindre effort, à une exacerbation de l’attention…
Voilà donc ce que JPG vient de susciter chez moi comme expression suite à son post…
Le coup des encriers supprimés m’étant revenus à l’esprit suite aux derniers posts sur l’écriture inclusive…
La photo d’illustration : l’homme qui a de la tenue versus l’homme en confort féminin !!!
Le progressisme, idéologie gaucharde n’a que peu de chose a voir avec le progrès.
Le progressisme est en effet inversement proportionnel au progrès moral , c’est peu de le dire !…..
Un progrès trahison, trahison du passé..
Imaginer l’enfant a qui les parents ont raconté qu’avec l’école il allait apprendre à lire et à écrire avec un stylo plume… et que soudain alors qu’il n’a que six ans que tout s’avère faussé, qu’à un instant durant la classe, on supprime tous les encriers symbole extérieur du tout nouvel apprentissage ?
Abrutissement des pédagogues étatiques aux répercussions incalculables ? Ainsi ce “nouveau monde” libre de tout, coupé de toute racine, pouvant alors choisir ou ne pas choisir son sexe…
BRAVO A VOUS TOUS ET TOUTES SUR CE SITE
DE LA SAGESSE ET LUCIDITÉ CA NE MANQUE PAS…
Le progrès est que nous sommes tous désormais susceptibles d’être fliqués 24 heures sur 24 ! George Orwel n’aurait pas fait mieux !
Et la liberté n’est plus qu’un angle de vue politiquement correct.
Plus besoin de nous marquer d’un code barre ou de nous greffer une puce électronique, le gsm fait parfaitement l’affaire: allo Google…
La notion de progrès n’a plus aucun sens, parce que les idées n’ont pas évoluées.
Nous sommes des nains sur des épaules de géant, mais ce géant est-il bienfaisant ?
Perso j’ai toujours pensé que la liberté est en soi une provocation contre la dictature mondiale dont rêvent certains…
Cette liberté devient l’exception à la règle ! Rare et pourchassée !
Mais cela n’est pas neuf, le vocabulaire change : nous ne sommes plus des serfs mais des employés, des ouvriers, des fonctionnaires et les vilains canards sont indépendants…
Pas pour rien que progressisme rime avec socialisme ! Pauvre Europe, doublement soumise à la gauche et à l’islam qui monte. Mais rassurez-vous, il y a des détenteurs du pouvoir qui savent ce qui est bon pour vous et surtout pour la planète.
Les mots : liberté, progrès, égalité, climat etc. sont des pièges à con(tribuables).
Remarquez que ceux qui soutiennent le progressisme n’ont rien à voir avec ceux qui créent de la richesse. Ils n’en sont que les consommateurs !
Le progressisme à toujours dans l’idée d’éduquer les masses là où les masses peuvent très bien le faire sans lui.
C’est encore une volonté d’impacter le réel avec des théorie qui ne comprennent strcitement rien au réel, avec des erreurs d’ordres anthropologique énorme, là où ce qui est rejeté (l’anthropologie biblique, entre autres, beaucoup d’autres choses issus de l’école dite classique n’ayant pas elle rejetée ce qu’il y a de bon dans les autres civilisations), est bien meilleur dans ces interprétations et surtout ne rejette en rien l’idée de la liberté, là où le progressisme va forcément la détruire, car le réel impacté avec de mauvaise théories, de mauvaise interprétations, va naturellement faire comprendre que c’est mauvais. Mais celui qui impacte va insister malgré tout = destruction de la liberté = coercition délirante sur le réel très mal compris qui naturellement rejette.
Le progressisme, c’est la porte ouvert à un monde intellectuel qui va se détacher de ce que je nomme le réel trivial, qui va créer une bulle — un arrière monde ?, qui va se déconnecté au final du réel trivial et qui va finir par le snober (au mieux), finir par vouloir anéantir ce réel qui ne cesse de lui rappeler (à ce monde qui délire le réel), qu’il se trompe.
Nous entrons dans la fantasmagorie, le délire, le réel déliré …
Dans un constructivisme destructeur d’une réalité d’ordre anthropologique très mal comprise.
Par exemple Marx analyse très mal d’un point de vue purement anthropologique l’industrialisme. Il commet donc des erreurs énormes. À cela vous ajoutez ses préjugés, nous aboutissons à des théories délirantes qui malgré qu’elles soient délirantes veulent impacter un réel très, très mal compris.
Quand il parle de l’exploitation du capitalisme, il commet sa plus grande erreur anthropologique.
Les progressistes délirent, inventent des arrières mondes, et on a vu ce que cela à donné en Allemagne durant la période romantique. C’est tout bonnement totalement délirant.
Mais malgré cela, ça à la volonté d’impacter le réel, et ça finit par dérégler le réel … Tout en rejetant ce qui est bien meilleur, tout en rejetant de bien meilleurs interprétations du monde, des évènements (sociaux, politique, culturels, historique, religieux, etc …).
Désolé pour les fautes d’orthographes. Je suis atteint de dysorthographie et en plus j’ai fait la fête toute la nuit …
🙂