Publié par Jean-Patrick Grumberg le 31 octobre 2019

Nous sommes les témoins d’une époque exceptionnelle. Sous nos yeux, les solides valeurs par lesquelles l’homme et la société se sont construits sont méthodiquement démolies par la gauche dans la passivité des gens honnêtes.

Le progressisme est devenu une valeur en soi. Comme si tout changement était porteur de progrès. Comme si le progressisme était déjà une garantie, une caution de bonne fin.

Pourtant bien des choses allaient mieux avant.

Sur France Culture, Elisabeth de Fontenay affirme que le progrès est source de destruction. Il me semble cependant plus bénéfique d’aborder le sujet en rejetant la pensée de groupe, qu’en adoptant une inquiétude crispée.

Puisque les médias surveillent nos moindres dérapages, il est urgent de faire des excès de vitesse et de s’arrêter sur les stationnements gênants.

Nous devons nous demander si le retour en arrière est une fuite en avant ou une forme de progrès en regardant dans le rétroviseur ; si les nouvelles technologies apportent plus de bonheur ou plus de malheur ; si un con qui marche vaut plus que dix intellectuels assis.

Si un conservateur est un peureux du mouvement, ou un prudent du faux pas.

Cet article, donc, n’est pas destiné à détailler mes idées mais à vous permettre d’exprimer et confronter les vôtres.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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