
Citer l’histoire ou plutôt la pseudo-histoire est l’un des principaux moyens utilisés par les apologistes de l’islam pour essayer d’ennoblir la religion de Mahomet et ses partisans. A ces «nobles» musulmans, quoi de plus naturel que de leur opposer la quintessence de l’hypocrisie, de l’intolérance, de la cupidité, de la férocité : les Chrétiens de l’Europe prémoderne.
Menant le bal des affreux, trois personnages réputés pour leur cruauté sont couramment cités avec délectation par les experts en pseudo-histoire: Vlad l’Empaleur, Ivan le Terrible et Tomas Torquemada, le grand Inquisiteur.
Dans la réalité, toutefois, le comportement certes odieux de ces trois personnages historiques fut fortement influencé par la belle religion d’amour, de tolérance et de paix et par sa culture. Les trois vécurent encerclés par les musulmans et les combattirent durant toute leur vie. Ces « menus détails» échappèrent comme par hasard à l’attention des apologistes de l’islam, préférant insister sur la nature monstrueuse de ces «Chrétiens» de l’Europe prémoderne, comparée à la grande noblesse des soldats d’Allah et de leur prophète.
Vlad III l’Empaleur (1430-1476)
La figure historique de Vlad III, qui inspira le personnage de fiction suceur de sang Dracula, est décrite en Occident comme un monstre sadique, qui adorait empaler ses sujets et boire leur sang, souvent au son des hymnes chantés par les moines. CNN affirma même que l’EI emprunta à Vlad l’Empaleur ses méthodes sadiques de torture et d’exécution.
La réalité historique est tout autre. La «petite habitude bestiale » du prince roumain d’empaler ses ennemis fut copiée des Turcs et quasi exclusivement utilisée contre les Turcs et leurs agents. Au cours de sa jeunesse, Vlad fut l’otage de l’un des sultans les plus dépravés de l’histoire : Mehmet II, qui détenait également son jeune frère comme catamite ou esclave sexuel. Le sultan initia Vlad à son «art» favori, celui de l’empalement.
Quelques années plus tard, dans le cadre de sa stratégie visant à s’affranchir de la domination musulmane, Vlad eut à son tour recours à l’empalement comme un prêté pour un rendu afin de montrer aux Ottomans que lui et son peuple pouvaient leur rendre tout le «bien» qu’ils reçurent. D’où l’ironie: si en Occident, Vlad est perçu comme un monstre suceur de sang , il est un héros national en Roumanie pour avoir combattu et résisté à l’islam aussi longtemps.
Tomas Torquemada (1420-1498)
Le grand Inquisiteur catholique espagnol est le visage apparemment incompris de l’inquisition.
Comme expliqué par l’historien Thomas Madden: «L’inquisition ne naquit pas de la volonté d’écraser la diversité ou d’opprimer les gens, mais fut avant tout une tentative de mettre fin aux exécutions injustes.» Voilà de quoi surprendre! Il semblerait que la perception populaire d’un Torquemada diaboliquement fanatique, déterminé à forcer les non Chrétiens à se convertir sinon … a toujours été présentée en dehors de tout contexte.
L’une des principales raisons qui incita la couronne espagnole à instituer l’inquisition et à nommer Torquemada grand Inquisiteur, un personnage qui n’irradie pas la joie, est rarement expliquée par les historiens. A la fin de la Reconquista, le dernier bastion de l’islam à Grenade fut soumis à un gouvernement chrétien. Les musulmans présents dans la ville, soit environ 500.000 personnes, furent traités avec clémence. On leur octroya le droit de voyager à l’étranger et de pratiquer l’islam librement. Ils n’étaient nullement rancuniers les Chrétiens envers leurs anciens maîtres…
Mais, le serpent change de peau non de nature … Au lieu d’être reconnaissants, mot inconnu dans l’islam, ils organisèrent des soulèvements en collusion avec des puissances musulmanes étrangères. Les bonne vieilles habitudes islamiques, conformes à la charia, firent à nouveau leur apparition: lapidations, décapitations, empalement, Chrétiens brûlés vifs. Belles et enrichissantes traditions islamiques encore respectées de nos jours dans plusieurs pays musulmans à l’égard des Chrétiens.
La riposte des Chrétiens ne se fit pas attendre. Dès lors, afin d’éloigner les soupçons et ainsi échapper aux représailles, les musulmans feignirent de se convertir au christianisme, assistèrent régulièrement à la messe, firent baptiser leurs enfants et s’initièrent à la culture chrétienne, tout en travaillant clandestinement à la reconquête de Grenade.
«Avec l’autorisation de leur secte maudite» fit remarquer un Espagnol frustré, se référant à la doctrine islamique de la taqiya, «ils pouvaient feindre en apparence d’appartenir à n’importe quelle religion sans commettre un péché, aussi longtemps qu’ils gardaient dans leur coeur leur dévotion envers leur imposteur de prophète.»
L’ inquisition, dirigée par Torquemada, devint le seul moyen de déterminer non pas tant s’ils étaient de «bons» catholiques, mais surtout de prouver qu’ils étaient des musulmans clandestins et subversifs déguisés en chrétiens. Malheureusement, les Juifs, convertis au catholicisme, furent aussi soupçonnés d’imposture et soumis à la “sainte inquisition”, qui n’avait rien de saint.
Tout comme les voisins musulmans influencèrent le penchant de Vlad pour l’empalement, les voisins musulmans influencèrent le penchant espagnol pour l’inquisition et les déportations.
Lors des siècles précédents, les musulmans, et en particulier les dynasties Almoravides et Almohades torturèrent d’innombrables convertis espagnols à l’islam, les déportèrent comme esclaves en Afrique ou les massacrèrent tout simplement, persuadés qu’ils appartenaient en fait à la cinquième colonne agissant dans l’ombre pour aider leur coreligionnaires chrétiens du nord de l’Espagne à reconquérir leur pays.
Ivan IV le Terrible (1530-1584)
Ce personnage historique est aussi souvent cité comme un exemple de chrétien médiéval cruel, un orthodoxe pratiquant, un monstre assoiffé de sang, la quintessence de la tyrannie. Toutefois, on ne précise jamais que deux siècles auparavant, vers 1300, la Russie sous le joug des musulmans Tatars subit fortement leur influence. Ces derniers, au nom du djihad les traitèrent avec férocité et les réduisirent en esclavage. Même après 1480, une fois libérés du joug tatar et tout au long du règne d’Ivan, le Khanat tatar de Crimée lança de nombreux raids dévastateurs contre la Russie. Rien qu’au cours du règne d’Ivan, des centaines de milliers de Slaves furent enlevés et vendus comme esclaves par les musulmans.
«Des siècles de tyrannie et de brutalité entre les mains des Mongols musulmans et de leurs agents Turcs firent de la Russie un pays où le despotisme devint normal et la vie humaine sans aucune valeur.» observa un historien. «Ce n’est sans doute pas une coïncidence, si tous ces facteurs s’insinuèrent dans le caractère russe et le façonnèrent y compris celui d’Ivan dit le Terrible.»
Telle est la toile de fond rarement mentionnée qui firent d’Ivan le Terrible, de Vlad III, de Torquemada et beaucoup d’autres des monstres, dont le comportement est souvent présenté en dehors de tout contexte. et vise seulement à mettre en évidence l’hypocrisie, la cruauté et l’intolérance supposées innées chez les Chrétiens de l’Europe prémoderne, opposées aux nobles et pieux musulmans, débordant d’amour, de sincérité, d’humanité, de fraternité, de tolérance envers leur prochain non musulman. Ou comment peindre en rose une réalité rouge sang.
Soit dit en passant, si les Européens de l’Est -les Russes, les Roumains, les Polonais, les Hongrois, etc. – demeurent méfiants, craignent l’islam et s’opposent à l’immigration musulmane, cela est dû à leur longue histoire intime avec l’islam : ils comprennent mieux le danger de cette idéologie politique pseudo religieuse que leurs cousins d’Occident anesthésies par des discours islamophiles mielleux, trompeurs, bien éloignés de la réalité sanguinaire, suprémacsite et belliqueuse de l’idéologie islamo-nazie.
Non seulement l’islam influença de manière dévastatrice le comportement personnel d’individus européens, mais il eut un impact sur des cultures entières, y compris celle de la mafia. Les similitudes entre l’islam et la mafia sont incontestables.

Au cours des croisades, il n’était pas inhabituel pour les Francs de décapiter des musulmans et de jeter leurs têtes au moyen de catapultes sur les fortifications musulmanes.
L’historien Guibert de Nogent (décédé en 1124) écrivit qu’ils apprirent cette «tactique» de leurs ennemis une sorte de prêté pour un rendu pour montrer aux combattants musulmans que les Croisés pouvaient leur rendre ce qu’ils avaient reçu.
De même, il est impossible de comprendre la brutalité et le fanatisme des Conquistadors espagnols à l’égard des indigènes d’Amérique sans se référer à la lutte existentielle de l’Espagne contre l’islam, qui nécessita la création d’une pieuse culture militante afin de résister et d’inverser les rôles. Une fois l’islam éliminé, la mentalité guerrière sacrée de l’Espagne, forgée au cours de 9 siècles de conflits, ne pouvait tout simplement pas disparaître en une nuit Elle trouva de nouveaux exutoires dans le vieux contexte de Chrétiens versus infidèles.
Rien de ce qui précède ne vise à «exonérer» les Chrétiens médiévaux de leurs actions, car à la fin, chaque individu est responsable de ses actions, mais plutôt à les placer dans le contexte de l’époque. Ce que négligent de faire les médias et experts de toutes sortes, dans le seul but malsain de rendre l’influence occidentale – des croisades au colonialisme – fondamentalement responsable des problèmes du monde musulman actuel. Il est dès lors justifié d’examiner la question d’un point de vue inverse. La pseudo histoire de Chrétiens barbares et de nobles musulmans doit être sérieusement remise en question. A plus forte raison, que rien dans les Evangiles ne justifient de telles attitudes barbares, à l’inverse des injonctions coraniques suprémacistes, belliqueuses et meurtrières écrites noir sur blanc dans le livre sacré des musulmans.
Les nations de l’Europe de l’Est ont vécu une longue histoire intime avec l’islam et les musulmans et comprennent donc mieux cette idéologie funeste que les nations occidentales.
D’où la fermeté logique du PM Viktor Orban de rejeter les migrants musulmans.
« Ceux qui arrivent ont été élevés dans une autre religion et représentent une culture radicalement différente. La plupart d’entre eux ne sont pas chrétiens, mais musulmans. C’est une question importante, car l’Europe et l’identité européenne sont enracinées dans le christianisme…. Nous ne voulons pas critiquer la France, la Belgique ou tout autre pays, mais nous pensons que tous les pays ont le droit de décider s’ils souhaitent avoir un grand nombre de musulmans dans leur pays. S’ils veulent vivre avec eux, c’est leur choix. Nous, nous refusons et nous avons le droit de décider de ne pas accueillir un grand nombre de musulmans dans notre pays. Nous n’aimons pas ce qui se passe dans les pays occidentaux ayant accueillis un grand nombre de musulmans. Et je ne vois aucune raison qui nous obligerait d’accepter des façons de vivre en Hongrie que nous rejetons.
Je dois ajouter: nous sommes les seuls à avoir expérimenté le «vivre ensemble» avec les communautés musulmanes et ce pendant 150 ans et nous n’avons pas gardé un bon souvenir.»
V. Orban se référait à la conquête et à l’occupation de son pays par les musulmans de 1541 à 1699, occupation jalonnée de terribles persécutions.
Mais la Hongrie n’était pas la seule à subir les atrocités de l’occupant mahométan. Les musulmans conquirent, asservirent et terrorisèrent une très grande partie de l’Europe du sud-est d’une manière tellement horrible, qui fait paraître doucereuse et fade la monstrueuse sauvagerie de l’EI sous la férule de feu le calife auto-proclamé Abou Bakr al-Baghdadi, dont la disparition semble émouvoir les médias occidentaux. Ces derniers donnent l’impression d’être plus outrés par le style soi disant «peu diplomatique», mais oh combien réaliste et juste utilisé par Donald Trump pour annoncer la fin peu glorieuse de ce monstre du XXIe siècle, que par la folie assassine de Baghdadi. Au lieu de jubiler de la disparition de ce criminel, responsable de la mort atroce de milliers d’innocents et de remercier le président américain, ils lui reprochent la mine livide de se servir de cette victoire sur le Mal le plus abjecte personnifié par Baghdadi pour engranger des votes!!! Quelle mesquinerie écoeurante de leur part! Leur haine irrépressible et incompréhensible envers Donald Trump, du jamais vu à l’égard d’un Président américain, les fait carrément disjoncter. A croire qu’ils regrettent la mort de cet ignoble individu. Imaginez les torrents de louanges de la part de ces mêmes médias si Obama avait réussi à éliminer Baghdadi L’admiration sans borne injustifiée des médias envers Obama est aussi incompréhensible que leur haine infondée envers Donald Trump. A se demander à quoi ces journalistes carburent! En tout cas, pas à l’objectivité!
En 1354, les Ottomans – qui étaient plus attachés aux principes du djihad que leurs prédécesseurs musulmans – traversèrent pour la première fois les Dardanelles et s’implantèrent en Europe de l’Est. Immédiatement, Suleiman, le fils du sultant Orhan fit détruire les églises ou ordonna de les convertir en mosquées, écrivit un chroniqueur ottoman. Les cloches furent brisées ou fondues. Le son des cloches fut remplacé par la voix monocorde du muezzin. Quel cauchemar au quotidien!
Très vite, les Balkans furent conquis et asservis au nom du djihad. Les atrocités commises avant, pendant et après ces conquêtes sont bien documentées.
En 1438, Bartolomeo de Giano insista sur les terribles massacres qui se déroulèrent à l’époque. Partout où ils furent victorieux, les djihadistes érigèrent des montagnes de têtes de Chrétiens décapités. Le nombre de corps gisant au sol, partiellement putréfiés, en partie dévorés par des chiens errants, était si grand, qu’il fallait l’avoir vu pour y croire.
Certains survivants devinrent des esclaves au service de leurs maîtres musulmans vicieux, dépravés et répugnants. D’autres furent contraints de devenir des «sarrasins», les futurs ennemis des Chrétiens.
300.000 Hongrois furent réduits en esclavage et envoyés dans les pays des conquérants. De Serbie et de Transylvanie, cent mille personnes furent arrachées à leur patrie. «L’asservissement massif des populations slaves au cours de cette période donna naissance au mot «esclave», commenta un historien. “À l’époque de Bartolomeo, être esclave, c’était être un Slave.»
Jeunes et vieux étaient emmenés, attachés par des chaînes en fer aux dos des chevaux. Femmes et enfants étaient entassés sans pitié, sans aucune compassion. Si l’un d’eux ralentissait la marche, incapable de continuer à cause de la soif ou de la douleur, il ou elle était immédiatement mis(e) à mort dans dans d’horribles souffrances, coupé (e) en deux. Les marchés d’esclaves d’Adrianople, alors capitale du sultanat Ottoman, étaient tellement inondés de chair humaine, que les enfants se vendaient pour quelques sous. Une très belle femme esclave fut échangée contre une paire de botte et 4 esclaves serbes furent données en échange d’un cheval.
Simultanément, le chef des alliés musulmans des Ottomans, le Khanat tatar de Crimée, décrivit par les Chrétiens comme «le géant païen qui se nourrit de notre sang» réduisit en esclavage et vendit comme des moutons quelques 3 millions de Slaves (Polonais, Lituaniens, Russes, Ukrainiens entre 1450 et 1783. En 1630, un Lituanien décrivit comment un «maître » musulman castrait les hommes et coupait leurs oreilles, leurs narines, brûlait leurs joues et leurs fronts avec un fer incandescent et les forçait à travailler avec leurs chaînes pendant la journée. La nuit, les malheureux restaient enchaînés. Leurs maigres repas consistaient en viande avariée, grouillant de vermines, une viande que même les chiens errants refusaient de manger. Les très jeunes filles servaient d’objets sexuels aux maîtres musulmans.
Les agressions et atrocités musulmanes à l’encontre des Européens de l’Est aboutirent au massacre, sinon au génocide de tout Chrétien pouvant être atteint par le sabre du sultan. (Serbes, Bulgares, Grecs, Arméniens, Assyriens). Et toutes ces horreurs ne prirent fin qu’à la chute de l’empire ottoman un peu après la première guerre mondiale.
Evidemment, certains rétorqueront que l’histoire rapportée ci-dessus n’appartient pas aux réalités actuelles. Ce serait plausible si les villes européennes enrichies d’une population musulmane de plus en plus importante n’étaient pas confrontées à une hausse spectaculaire d’attentats terroristes et de crimes, alimentés par la vieille hostilité islamique envers les infidèles, jamais assoupie, toujours en éveil. En Allemagne et en Grande Bretagne, le nombre de crimes et de viols a grimpé en flèche, de manière directement proportionnelle au nombre de réfugiés musulmans présents dans le pays. Rien qu’en Suède, les viols ont augmenté de 1.472% depuis que le pays a embrassé le «multiculturalisme». Ce pays serait d’ailleurs au bord de l’implosion.
Quand il s’agit d’examiner sa relation avec l’islam, l’Occident ferait bien de revisiter son histoire sur plus d’un millénaire et d’en tirer les leçons, sinon, il continuera à l’apprendre à ses dépens.
Au XXIe siècle, l’EI a reproduit au Moyen-Orient toutes les atrocités commises par les conquérants musulmans au cours des siècles en Europe centrale et orientale, conformément aux injonctions de leur livre sacré. Et il aspire à les reproduire en Occident, ses soldats étant déjà présents dans nos villes. La mort honteuse de leur calife bien-aimé ne changera en rien leur détermination à soumettre l’Occident impie au noble islam au doux cri d’Allahou akbar!
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Rosaly pour Dreuz.info.
Source : «Islam’s Negative Influence on Pre-Modern European Behavior» Raymond Ibrahim ‹FrontPage Mag)
Excellent article. Merci
Sinon je suppose qu’il faut comprendre 1 472% et non 1,472%, pour les viols en Suède.
Oui le mot slave vient bien d’esclave, “slave” en anglais, et du fait de mise en esclavage de millions de personnes par les gentils ottomans. Si les serbes ont été cruels envers les bosniaques , c’est qu’ils n’ oublient pas la traitrise de ces derniers.
Le pire est que ces kossovars, bosniaques , monténégrins et albanais ont eux, oublié le pourquoi et le comment de leur conversion à l’islam = la torture, le viol, le meurtre, la déportation, la spoliation et l’esclavage.
Avez-vous un livre ou plusieurs à conseiller sur ce sujet ? Merci bien.
Merci à vous.
Je vous conseille le livre de Raymond Ibrahim:
“Sword and Scimitar: Fourteen Centuries of War between Islam and the West”
Vendu sur Amazon
Les musulmans , de toutes façons , sont les rois de la falsification historique.
Ils pratiquent sans cesse la takkia et l’inversion accusatoire.
En plus de cela , ils adorent se victimiser.
Comment ça, falsification, takkie et inversion accusatoire ?
Abraham n’était donc pas le premier musulman ?
Jésus n’était donc pas né musulman ?
Les palestiniens, après avoir été les descendants de phillistins ne sont donc pas les descendants des cannanéens ?
Tout un monde qui s’écroule
Non seulement Vlad est un héros en Roumanie, il a également ses stades de souvenirs!, figurines , tableaux , portraits… c`est tout justes si il n`y a pas de visites guidés!
Heureusement nous n`avons pas à empâler les musulmans, de nos jours pour nous en débarasers , du bacon et un beau gros chien bien sympathique seraient suffisants.
Mais seulement voilà les “bien-pensants “s`y opposeraient car trop cruel pour les musulmans, mais pour le change, ont pourrais empâlers les gauchistes, question qu`ils aient un avant goût ,pour les préperers, lorsque leurs amis musulmans prendront la relève!
Il faut aussi citer son nom : Vlad Tsepesh
La démarche intellectuelle qui consiste à justifier ce qu’on fait de pire en évoquant ce que d’autres ont fait de pire est déjà pour le moins puéril et dénote des intentions inquiétantes.
Aucun musulman n’est “fiable” grâce à leur taqyia universelle.
Dracula , un héros trahi par l’Histoire , son frère et souillé par Bram Stocker .
C’ est bien de votre part Rosaly , de souligner l’ admirable résistance des Chrétiens de l’Est face à ces barbaresques qui font aujourd’hui tant saliver de soumission moult islamobrouteux occidentaux , idiots utiles et serviles qui entretiennent la confusion d’un Islam et de musulmans historiquement tolérants , victimes , les pôvres de la résistance des kouffars à leurs invasions .
Les Roumains . les Serbes , les Hongrois se souviennent de leurs héros célèbres et anonymes , ils commémorent leurs hauts faits d’armes , ils en font des festivals , des anniversaires , des films , des courts métrages comme pour le siège de Eger où les Hongrois ont défendu avec succès le Château contre les mahométans maudits .
https://www.youtube.com/watch?v=DI_avMC4wbo&fbclid=IwAR2OHA8RiBjlEFC329ipKB5yNWnw43cW1Ayy8vgTWksipBtvHIRsEfTZBtE .
Eux ils se souviennent et en sont fiers , pas honteux comme pour Charles Martel .
“Non seulement l’islam influença de manière dévastatrice le comportement personnel d’individus européens, mais il eut un impact sur des cultures entières, y compris celle de la mafia. Les similitudes entre l’islam et la mafia sont incontestables.”
Le sens de l’honneur chez les siciliens et les corses en serait un reliquat…
@Merci Rosaly
Pas du tout à la mode ce texte, les bobos qui nous gouvernent vont vous accuser avec François d’Assise et le pape Benoit 16 de tous les maux en faisant monter l’islamophobie dans nos villages, NON??
Mais c’est tellement juste!
Bonsoir François
Votre commentaire m’a bien fait sourire. Je suis ravie d’être associée à François d’Assise et à Benoît XVI. :))
Ce texte va, en effet, à l’encontre de la doxa actuelle, qui encense l’islam à outrance et n’hésite pas à le blanchir de toute sa noirceur, de sa cruauté, de son suprémacisme et diabolise à l’extrême le christianisme et ce notamment dans les écoles occidentales, ce qui est gravissime. D’un côté la vertu suprême, de l’autre le vice abject. L’auteur, Raymond Ibrahim, a remis les pendules à l’heure.
Rosaly : j’émets de sérieuses réserves quant à l’assertion, qui ne semble fondée sur aucune référence sérieuse – de Raymond Ibrahim : “Malheureusement, les Juifs, convertis au catholicisme, furent aussi soupçonnés d’imposture et soumis à la « sainte inquisition », qui n’avait rien de saint”. La persécution des juifs n’a, à ma connaissance, aucun lien ni historique ni politique avec la domination islamiste, mais prend sa source dans la haine abyssale des monarques espagnols, et en particulier d’Isabelle de Castille dite Isabelle la Catholique, vis-à-vis des juifs, qui a conduit à des exactions atroces et finalement à l’expulsion des juifs en 1492. Cet événement tragique a entraîné le commencement de la décadence de l’empire espagnol, qui continue jusqu’à notre période.
Je ne partage pas du tout vos propos.
Les Juifs d’Espagne, les Séfarades, étaient dans les bagages des envahisseurs musulmans. Bien sûr, ils n’avaient guère le choix vu que la plupart étaient encore liés à la très nombreuse communauté juive séfarade qui vivait en Afrique du Nord sous la domination musulmane. Ils étaient es dhimmis, des oiseaux pour le chat.
Les lettrés juifs – ce qui était rare côte musulman – servaient notamment aux maîtres musulmans pour lever l’impôt et la dîme auprès des dhimmisés chrétiens qui vivaient sous le joug du Califat. Pas de quoi engendrer beaucoup de sympathie parmi les vaincus chrétiens d’Espagne ! Et nourrir un profond ressentiment. Si ?
A noter à ce sujet que le terme “maranne” qui a affublé les convertis juifs après la reconquête – et qui signifie “porc” – n’est pas un terme espagnol, mais vient du sobriquet que les percepteurs juifs avaient reçus durant leur charge. Ils arrivaient dans les fermes chrétiennes pour percevoir l’impôt et ils exigeaient la mise à mort des porcs en élevage de la part des fermiers en leur disant haram, haram (illicite du point de vue de l’Islam) ! Ceux-ci ne savaient pas ce que cela voulait dire mais comprenaient très bien qu’ils devaient tuer leurs cochons ! D’où ce sobriquet dont ils furent affublés, soit “haram” déformés finalement en “marrane”.
Je pense Monsieur Pasder que vous avez une vision très unilatérale de la situation qui prévalait durant le Califat et qu’un peu d’autocritique ne vous ferait pas de mal.
Pour ce qui est de la décadence espagnole actuelle, je vous laisse à vos propres certitudes (qui me paraissent d’une suffisance impressionnante), mais je pense moi qu’elle n’a rien à voir avec la Reconquista et l’expulsion – pour le moins terrible – des Juifs d’Espagne (la période ouverte juste après la libération du territoire ibérique fut une période extraordinaire).
A ce sujet, je vous renvoie à la formidable Ecole (chrétienne) de Salamanque qui fut à la source des idées libérales et le creuset du Siècle des Lumières- le XVIIIème – en Europe (voire la déclaration des Droits de l’Homme de 1791 !) dont la Constitution Américaine est encore un des meilleurs témoignages !
C’est la tolérance imbécile et en effet décadente vis-à-vis de ceux qui veulent aujourd’hui la destruction de nos sociétés judéo-chrétiennes qui en est la cause : les laïcards antichrétiens (et juifs), les socialo-bien-pensants, marxisants et/ou mondialistes, les musulmans bien sûrs (en pôle position), et les cultures archaïques de nombreuses communauté venus du tiers-monde.
Pardonnez-moi ma franchise car j’apprécie par ailleurs très souvent vos interventions.
Je vous salue respectueusement en dépit de mon coup de sang !
Je vous conseille amicalement de modérer vos coups de sang et vous remercie de vos aimables remarques, en particulier celles de suffisance et de besoin d’autocritique (sic).
Vous écrivez : « Les Juifs d’Espagne, les Séfarades, étaient dans les bagages des envahisseurs musulmans ». Réponse : la présence des Juifs en Espagne date de la période de la destruction du premier Temple de Jérusalem (-586) et surtout à partir de celle du Second Temple, an 70 de l’ère chrétienne, c’est-à-dire sept siècles avant l’apparition de l’islam.
Quant à votre intéressante explication relative au « manque de sympathie » et du “ressentiment” (doux euphémismes) des Espagnols vis-à-vis des juifs, vous êtes invité à étudier les décrets du Concile d’Elvire tenu au début du IVe siècle (vers 305) concernant les juifs :
• Interdiction interdit aux chrétiens d’épouser des femmes juives, sous peine d’excommunication de cinq ans.
• Menace les chrétiens qui font bénir leurs champs par des Juifs d’excommunication à vie.
• Interdiction aux membres des deux religions de s’asseoir à la même table.
La haine atavique des Espagnols vis-à-vis des juifs ne date pas de l’invasion islamique et surtout ne doit rien aux musulmans de l’époque !
L’appellation « marrane » n’est apparue qu’au XV ème siècle. Marranos était un terme de mépris assimilant les juifs convertis de force au catholicisme (conversos) à des porcs dès lors qu’ils étaient soupçonnés de rester fidèles au judaïsme. Autre nom : crypto-juifs.
Bonjour Rosaly
Avez vous un article en “stock” ou des infos sur le peuplement de l’Espagne jusqu’à la Grande Bretagne , par des tribus israélites dès l’antiquité ?
Voici un extrait de ce que j’ai trouvé :
“””À l’époque de ces anciens peuples, de nombreuses colonies s’appelaient Iberia, Hibernia, Ebroin Spain et les Hébrides. Avant l’Exode d’Egypte, les Israélites étaient plus ou moins collectivement appelés “Hébreux” (Exode 2, 7, 10 ; Nb 26, 45etc).
La similitude de ces noms ne peut pas passer inaperçue. L’ancien nom de l’Irlande était “Iberne” qui fut plus tard abrégé en “Erne”, latinisé en “Hibernia”. En Espagne, nous trouvons “Saragosse, capitale de la province de Zaragozaprovincia, dans la communauté autonome (région) d’Aragon, au nord-est de l’Espagne, située sur la rive sud du Río Ebro” (article Britannica sous “Zaragoza” souligné). Saragosse signifie la “Forteresse de Zérah” située sur la rive de l'”Ebre[hébreu]”.”””
Il semble donc bien que le plus ancien peuple moderne identifié ayant peuplé ces régions soient les israélites issus des diasporas.
Concernant la définition de maranne, je suis surpris pas l’origine que vous lui prêtez. Les marannes étaient plutôt considérés comme des crypto-juifs qui feignaient une conversion au catholicisme mais continuaient de pratiquer en secret le judaïsme. Avez-vous plus de références à nous apporter SVP ?
Sinon les juifs et tribus israélites peuplaient la péninsule ibérique bien avant l’arrivée des wisigoths et des arabes, d’où son nom Ibérica en relation avec les fils d’Héber.
Bonne journée
En cliquant sur votre avatar, j’ai découvert votre site !
Impressionnant.
Je vais enregistrer le lien, illico !
Shalom David
La phrase que vous citez a été ajoutée par moi au texte de R. Ibrahim pour signaler que les Juifs aussi avaient été persécutés par les tribunaux de l’inquisition, juste parce que Juifs.
Leur sort ne fut pas des plus enviables lors du mythique âge d’or Al-Andalus sous la férule des arabo-musulmans.
Je vous cite ci-après un extrait d’un article, que j’ai publié sur Dreuz intitulé:
“Reconquista d’Al-Andalus, rétablissement de l’Empire ottoman : les rêves du monde musulman” le 16 mai 2017
“Loin de la vision romancée d’une Al-Andalous caractérisée par « l’harmonie entre les trois religions » et la « coexistence parfaite » entre Juifs, chrétiens et musulmans, la réalité de l’Espagne islamique était tout autre : chrétiens et Juifs étaient discriminés ; leur statut était celui de dhimmi ; ils devaient reconnaître l’autorité des musulmans à tous les niveaux, s’humilier devant eux, payer des impôts particuliers (jiziya).
Le sort des autochtones chrétiens et juifs — les dhimmis — était précaire et lié au bon plaisir du maître musulman. Leur vie sous le joug arabo-musulman n’était pas un long fleuve tranquille, baigné dans la lumière vivifiante de l’islam. Les pogroms antichrétiens et anti-juifs se succédaient. Celui de Grenade fut particulièrement atroce :
« Le 30 décembre 1066 (3 Tevet 4827), des musulmans assaillirent le palais royal de Grenade, alors en al-Andalus (sud de l’Espagne sous domination islamique), et y crucifièrent Joseph ibn Nagrela, le vizir du roi berbère et chef des Juifs de la ville. Ils massacrèrent la plupart des Juifs de Grenade, soit « 1 500 familles juives, représentant environ 4 000 personnes, disparurent en un jour » selon la Jewish Encyclopedia.
« Ce nombre est supérieur au nombre des Juifs qui furent tués, pendant la première Croisade, dans l’ensemble des villes et villages de Rhénanie. C’est pourtant cette dernière tragédie que I’on ne cesse de nous rappeler, en oubliant que trente ans auparavant, dans la seule ville de Grenade, il n’y eut pas moins de victimes. » David Litman.
Ceci dit, la haine des monarques espagnols envers les Juifs fut aussi terrifiante.
Rosaly Shalom,
Exact. Mais les chiffres sont bien plus importants. Un historien, dont je ne me souviens plus le nom, a établi récemment que six millions de juifs avaient été assassinés en Europe depuis la période gallo-romaine jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale. Quant au chiffre de juifs assassinés pendant les Croisades : plusieurs dizaines de milliers.
Une région n’est pas citée dans ce texte : le sous-continent indien.
80 millions de morts.
* Ibn Battûta, qui traverse la région vers 1333, signale qu’« il y a au milieu de la route une montagne nommée Hindou-Kouch, c’est-à-dire qui tue les Hindous, parce que beaucoup d’entre les esclaves mâles et femelles que l’on emmène de l’Inde meurent dans cette montagne à cause de la violence du froid et de la quantité de la neige » * Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Hindou_Kouch
Le thème de cet article était l’influence négative de l’islam sur le comportement européen prémoderne. Je connais le génocide des Hindous perpétré par les Arabo-musulmans, l’un des plus grands et des plus terribles de l’histoire de l’Humanité.
Jean Patrick Grunberg avait publié un excellent article en 2013 à ce sujet intitulé:
« Hindi Kouch: le génocide de 80 millions d’indiens par l’islam n’est pas un mythe »
Qui sème le vent de la barbarie récolte la tempête de la fureur de vivre libre !!!
Merci pour cet article historique qui remet en perspective la lutte des chrétiens contre les musulmans.
Mais – et ce n’est pas souligné suffisemment dans ce texte – que cette lutte était menée contre des envahisseurs ! Des agresseurs qui avaient pris possession des terre chrétiennes. Torquemada, Vlad, Ivan le Terrible, était agressés chez eux et défendaient leur sol, leur pays !
Rien que cela est suffisant pour justifier les moyens utilisés. Ce qui est les valeurs a respecter en temps de guerre, n’ont plus court en temps de guerre où le paradigme c’est la légitime défense bien évidemment ! Un tribunal de guerre ne juge pas comme un tribunal en temps de paix qui s’appuie sur la Constitution (d’abord) et la Loi.
Aujourd’hui nous sommes une fois encore en guerre contre l’Islam. Nous devons avoir recours à des lois adaptées à ces circonstances et non notre Droit ordinaire.
Malheureusement, tant que nos politiciens refuseront de faire le lien entre l’Islam et le terrorisme islamique, nous ne pourrons pas nous défendre et chaque jours qui passe nous rapproche d’une terrible défaite ! Il coulera un bain de sang – le nôtre et celui de nos enfants – si nous ne réagissons pas très vite.
Merci à vous pour votre appréciation.
Je pense au contraire que cette lutte contre les envahisseurs a été bien mise en évidence. Un tel texte est rare, car la tendance actuelle est la louange de l’islam, la religion parfaite et la diabolisation du christianisme, la religion de toutes les violences, de toutes les cruautés.
Depuis 14 siècles, l’islam n’a cessé d’être en guerre contre l’Occident mécréant, avec quelques périodes d’accalmies et aujourd’hui, les soldats d’Allah le hurlent ouvertement.
Nos politiciens sont tétanisés par l’idée d’une guerre civile et préfèrent capituler face à cette idéologie plutôt que de prendre les mesures nécessaires pour imposer l’état de droit dans toute sa rigueur.
Vous avez raison: aussi longtemps qu’ils refuseront d’admettre que l’islamisme, c’est l’islam en action, ils nous entraîneront vers l’abîme. A moins d’un sursaut des peuples, l’islam conquérant s’imposera à l’Occident par la démographie, puis une fois majoritaire par le djihad guerrier, à l’instar de ce qui s’est passé dans les pays autrefois chrétiens du Moyen-Orient.
Jamais je n’aurais imaginé, même dans les pires cauchemars, qu’un tel bouleversement allait se produire et peut-être faire disparaître l’Occident chrétien à tout jamais ou le réduire à peau de chagrin. Mais gardons malgré tout une étincelle d’espoir, les peuples semblent se réveiller, mais encore trop lentement selon moi.
D’un autre côté, les tentatives de détruire le christianisme depuis 2000 ans ont toutes échoués.
ah le vivre ensemble !
combien de chrétiens et juifs en afrique du nord aujourd”‘hui ?
combien de juifs en irak, syrie, yemen ?
combien de chrétiens arménien , grecs, italiens en turquie ?
la valise ou le cercueil…
Le thème de cet article était l’influence négative de l’islam sur le comportement européen prémoderne. Je connais le génocide des Hindous perpétré par les Arabo-musulmans, l’un des plus grands et des plus terribles de l’histoire de l’Humanité.
Jean Patrick Grunberg avait publié un excellent article en 2013 à ce sujet intitulé:
“Hindi Kouch: le génocide de 80 millions d’indiens par l’islam n’est pas un mythe”
Merci ROSALY de nous avoir fait connaitre l’existence de ce livre et tous les éclaircissements qu’il apporte.
La décision d’en diffuser une traduction prouve votre courage personnel dans le monde perverti de “l’opinion”..En particulier votre message, en guise de conclusion que je cite “nos politiciens sont tétanisés par l’idée d’une guerre civile et préfèrent capituler face à cette idéologie….” se vérifie constamment et, (coïncidence ?) ce soir même, à l’occasion de l’inauguration du “Centre européen du Judaïsme” (Paris 17 ème) notre Maitre en couardise (vous savez qui) n’a pas hésité à faire une allusion tout à fait déplacée et hypocrite à “l’attentat de la mosquée de Bayonne qui a frappé nos concitoyens” (sic..) rappelant la solidarité de la nation.. …ECOEURANT.!!
Bonne soirée, et encore merci. G. Marçu
Très original point de vue, iconoclaste et inédit. L’intérêt est de rappeler que le contact prolongé avec l’islam entraîne de multiples dépravations, appauvrissement et médiocrité. Mais un bémol toutefois : si l’islam est père de tous les vices, l’homme n’a eu aucun mal par le passé à choisir la voix du crime le plus abject, indépendamment de toute influence coranique, qu’il s’agisse des crucifixions ses Romains ou des décapitations de Saxons par Charlemagne. Je crois que face au relativisme qui tend à dire que les musulmans n’ont pas le monopole de la cruauté, il est intéressant de rappeler que, d’une part, les textes chrétiens n’incitent pas bien au contraire à de telles horreurs (ce que vous rappellez) mais que, d’autre part, la lente évolution vers la recherche de dignité humaine n’a pu s’épanouir que dans un environnement judéo chretien, condition nécessaire au libre exercice de la pensee8 critique et humaniste.
Par ailleurs, je ne suis pas une grande connaisseuse de l’inquisition mais je sais, ayant appris l’espagnol, que cette langue renferme des préjugés et haines antijuifs inouïs (l’expression matar judios en témoigne) et cela, sans l’aide de l’islam.