
Vendredi 24 mai 2019 : Donald Trump informe publiquement qu’il charge son ministre de la justice d’enquêter sur la genèse de l’affaire de sa prétendue collusion avec la Russie, une accusation qui, on se le rappelle, mènera à la nomination du procureur spécial Robert Muller dont le rapport final exonérera le président, au grand dam des démocrates qui voyaient là tous leurs espoirs d’impeachment ruinés. A cet effet, il invite ce même jour Bill Barr à solliciter l’aide des services de renseignement du Royaume Uni, de l’Australie et de…l’Ukraine.
Réaction des Démocrates et de leurs relais médiatiques ? Aucune.
25 Juillet 2019: Donald Trump aurait trahi son serment et compromis la sécurité de son pays en sollicitant dans un entretien téléphonique l’aide de son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pour relancer une enquête sur une affaire qui, curieusement, ne suscite, elle, toujours aucune curiosité ou réprobation.
Eclairage sur la dernière tentative de destitution en date du président américain qui met les Démocrates et la grande majorité des médias américains (et européens) dans un état voisin de l’apoplexie.
La nature du “service” demandé par Trump à Zelensky ce 25 juillet dernier au téléphone: enquêter sur le renvoi de Viktor Shokin, procureur général ukrainien, alors qu’il travaillait sur plusieurs affaires de corruption suspectes dont celle des liens entre Burisma, une société pétrolière ukrainienne privée, et Hunter Biden. En cause, le mandat d’administrateur de Hunter Biden dans le conseil d’administration de Burisma, un mandat royalement rémunéré du printemps 2014 à l’automne 2015 (83.000 $/mois, soit un total de 3 millions de dollars), alors que le bénéficiaire de tant de munificence ne connaît rien de l’Ukraine et des activités liées à l’énergie. Ce qui pose problème? Le renvoi de Shokin est exigé en mars 2016 par Joe Biden, le père de Hunter Biden, vice-président des EU de son état et agissant ès qualité, et chargé d’affaires spécial du président Obama pour l’Ukraine. Une exigence formulée par Joe Biden en personne, assortie d’une menace très explicite: pas de garantie américaine sur un prêt de 1 milliard de dollars au profit de l’Ukraine si leurs autorités ne s’exécutent pas dans les six heures, soit la durée du déplacement à Kiev du vice-président américain. Le genre de “proposition doncorleonesque” qu’on ne peut refuser. De fait, les autorités ukrainiennes se débarrassent derechef de Shokin et enterrent en même temps l’enquête sur le rejeton du vice-président, lequel se vantera publiquement en janvier 2018 de ce haut fait d’armes alors qu’il est l’hôte du Council on Foreign Relations… Une fanfaronnade que personne chez les Démocrates et leur chambre d’écho médiatique n’évoque de bonne grâce. Dame, un vice-président qui abuse grossièrement de son pouvoir politique pour sortir son fils du pétrin, ça risque fort d’achever de ruiner les chances déjà passablement réduites du candidat Joe Biden de représenter son parti à l’élection présidentielle de novembre 2020. D’autant que, au moment même où Hunter Biden devient membre du conseil d’administration de Burisma (qui coïncide donc avec le mandat de vice-président des EU de son père), Mykola Zlochevsky, fondateur de la société, intime de l’ancien président Viktor Yanukovych lui-même proche allié de Vladimir Putin, est accusé par le procureur Shokin de blanchiment d’argent et ses biens saisis en Grande-Bretagne. Il ne rentrera dans son pays, qu’il fuit en 2014, que par la grâce de Youriy Lutsenko, le successeur du procureur déchu sur ordre de Joe Biden…
Biden fils – Burisma – Zlochevsky – Yanukovych – Putin – Biden père.
L’Ukraine, possible voire probable point de départ de la Russia collusion ?
Voilà qui nous ramène à la mission confiée publiquement par le président à son ministre de la justice Bill Barr dès le 24 mai dernier d’enquêter en Grande-Bretagne, Australie et Ukraine sur la genèse de l’affaire de sa prétendue collusion avec la Russie, et au “service” demandé par Trump à Zelensky deux mois plus tard au téléphone. C’est alors qu’apparaît miraculeusement dans ce théâtre d’ombres un (voire deux) prétendu “lanceur d’alerte” selon toute vraisemblance membre de la CIA entré en “résistance” contre Trump, à l’instar de l’échelon le plus élevé de l’organisation qui avait largement trempé dans le Russia Hoax. L’enquête déjà en cours sur les enquêteurs du Russia Hoax et les rapports de l’Inspecteur général Michael Horowitz et du procureur fédéral John Durham, dont les conclusions attendues pour bientôt terrifient les Démocrates, révéleront l’étendue de la possible implication de la précédente administration.
Nul ne sait vraiment à ce jour si la demande de “service” de Trump à Zelensky était, ou non, assortie d’un quid pro quo et si oui, lequel (crédit retenu, invitation officielle à la Maison Blanche?). Le président s’en défend même si la retranscription de son entretien avec le président ukrainien ne lève pas tous les doutes quant à la possibilité qu’il aurait “usé de son pouvoir à des fins personnelles”. Il restera de cette nouvelle “affaire” que la vérité des uns ne sera jamais celle des autres et que la guerre idéologique qui oppose frontalement deux représentations inconciliables de l’Amérique continuera jusqu’à novembre 2020 et au delà, la procédure de destitution lancée par la speaker de la chambre basse n’ayant aucune chance d’aboutir, une majorité des deux tiers au Sénat étant requise pour la prononcer. Mais pour les Démocrates frustrés des conclusions du rapport Muller exonérant le président de collusion avec la Russie lors des élections de novembre 2016, l’accusation de collusion avec l’Ukraine aux fins de discréditer l’un des trois candidats favoris pour remporter la nomination du parti, vient à point nommé pour entretenir cette stratégie de délégitimation du président lancée et poursuivie sans relâche depuis que Donald Trump a fait acte de candidature en 2015.
Un contre-feu d’autant plus opportun que Bernie Sanders, le second de ces trois candidats à la nomination du parti démocrate, se remet d’une crise cardiaque et que, tout comme Joe Biden, il approchera les 80 ans le jour d’une très hypothétique victoire en 2020. Et qu’Elisabeth Warren, la troisième candidate pressentie, représente avec Sanders l’aile la plus radicale du parti, celle la plus susceptible d’effrayer ceux des électeurs démocrates qui se proclament encore modérés. Et que sans ce parfum de scandale permanent autour des agissements prêtés à Donald Trump, les chances de l’un(e) ou l’autre des trois principaux candidats démocrates de l’emporter en novembre 2020 passeraient de minces à improbables…
Isaac Franco, Chroniqueur à Radio Judaïca Bruxelles
Vous pensiez – peut-être- que ça allait les calmer…
Que nenni, les morpions s’accrochent et en redemandent.
N’ayez aucun faux espoir: il vont encore sortir un truc de l’urne de Pandore.
Il en sera ainsi jusqu’à la fin de la mandature de Trump, car c’est bien connu, les salopes ça en redemande.
Trump l’avait dit qu’il va nettoyer le marécage même si il faut passer par la Russie , l’Angleterre et l’Australie ….. Trump et son équipe va effectuer le chemin inverse du rapport steel et ainsi remonter a tout les collaborateurs de ce coup d’état manquer
Si comme il est plus que probable, Trump a organisé la « fuite « , qui était une fake news , sachant que ça remonterait au « lanceur » qui cumule : agent CIA, inscrit au PD, gros poste à la Maison Blanche sous l’administration Obama, il l’a jouée très fine.
Divulgation de la fausse version, Adam Schift lit un texte aberrant , sensé être la reproduction de l’entretien téléphonique entre les deux présidents , puis est obligé , piteusement ,de dire que c’etait une plaisanterie. What ?
Et il se fait allumer par Pélosi et WARREN.
L’enquête lancée par Trump, va jusqu’en Italie . Les services italiens ont collaboré au montage du faux dossier Steele avec l’Ukraine, le MI6 et la CIA.
Obama a mis la campagne électorale de Trump sur écoutes , sur la foi d’un faux dossier que ses propres services et son parti avaient monté .
Et on en arrive aux candidats démocrates :
– Biden est out depuis longtemps
D’ailleurs, ses meetings rassemblent péniblement 400 personnes quand Trump a des auditoires dépassant les 5000.
Et il est corrompu à 1000%.
– Bernie est vieux et très malade
– Elisabeth Warren est une menteuse pathologique , qui a dû s’excuser 3 fois devant les caméras :
– non, elle n’a pas été une pauvre femme enceinte , victime de discrimination, qui a perdu son job après son accouchement.
Elle a retrouvé son job qq mois après , lorsqu’elle l’a voulu.
– non, elle n’a pas été victime de harcèlement sexuel et même de viol, par un jeune professeur.
Oui, le « jeune professeur « était un homme âgé et un infirme en fauteuil roulant. Oui, elle a bien assisté à ses obsèques et fait un discours élogieux très émouvant à cette occasion.
– non, elle n’est pas indienne
– non, elle n’est pas « noire », comme l’ont démontré les analyses ADN.
Pourtant, elle s’etait faite élire en mettant en avant sa qualité d’appartenance à « une minorité opprimée « .
Toute sa carrière de politicarde repose sur un fake.
Bon, elle est out.
Hillary n’est pas en piste et Trump a toutes les munitions . Ça va du pédo – satanisme à la trahison : Uranium One et assassinat de Benghazi, financement, armement et entraînement d’Al Qaïda « nous avons créé Al Qaïda » .
Et financement de sa campagne par des puissances étrangères , corruption maximale , rétro-commissions par le biais de dons à sa Fondation et par conférences de Bill , Bill a touché 600000$ pour une conférence à Moscou, etc …
Elle ne pointe le nez que pour occuper la galerie.
Reste M. Obama. C’est elle (ou lui) que Trump veut faire sortir du bois maintenant.
Ça va être passionnant.
Dernières news, un vrai cirque.
Les démocrates refusent un vote de destitution.
Évident , les démos qui ont gagné leur siège dans des états républicains seraient foutus, les républicains tentés par la trahison aussi, on publie qui vote quoi.
Alors, ils montent une commission d’enquête. C’est anticonstitutionnel, il doit y avoir vote.
Alors ça devient une commission de pré-enquête à huis-clos, tout est secret.
Le cirque .
Le lanceur d’alerte témoignera anonymement, voix déguisée .
Ils vont faire témoigner un autre lanceur d’alerte, celui qui a dit à l’autre, qu’il avait entendu qu’on disait que …
Le type de la CIA a reconnu qu’il avait eu ses infos de seconde main.
Peut-être de 4eme ou 5ème main.
Ils lancent des convocations auxquelles nul n’est tenu de répondre, cette pré-Commission n’ayant pas force légale .
Ça vient de quoi ?
Aucun programme pour les américains , juste islamo-gauchisme, no-borders, LGBT etc… et pédophilie à tous les étages …
Espérons que les enquêtes de Trump avancent vite.
Merci Isaac Franco. Je suis vos articles avec grand plaisir, de même que votre rubrique sur Radio Judaïca.
J’espère comme beaucoup de gens sur Dreuz (j’imagine) que la fosse sceptique démocrate fera remonter ses crasses jusqu’à Obama himself!
Les services de renseignements américains ont été pollués par le deep state via Obama.
La politisation des services secrets américains est une honte parce que ces services sont devenus une police politique au service des ennemis de la liberté aux USA..
Obama lors de son discours au Caire avait été sincère, et l’alarme n’a pas fonctionné.
Il a pu pendant huit années détruire l’Amérique avec des citoyens décérébrés qui ont applaudit des quatre mains…
Merci au Président D. Trump d’être à lui seul le symbole de la lutte contre le socialisme et l’islamisme. Un tel champion fait défaut en Europe !