Publié par Dreuz Info le 1 octobre 2019

Le président Trump est le premier président américain à convoquer une réunion aux Nations unies sur la liberté religieuse.

Il a donné le coup d’envoi de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations unies avec un “Appel mondial pour protéger la liberté religieuse”, écrit Kelsey Zorzi, présidente du Comité des ONG de l’ONU pour la liberté religieuse et de conviction, dans le Wall Street Journal.

Accompagné du secrétaire général António Guterres et du vice-président Mike Pence, le président Trump a déclaré :

“Aucun droit n’est plus fondamental pour une société pacifique, prospère et florissante que la liberté religieuse, mais elle est rare dans le monde.

En ce moment même, beaucoup de croyants sont emprisonnés, assassinés, souvent aux mains de leur propre gouvernement.”

Qualifiant cette question de “devoir moral urgent”, le président a “annoncé que les États-Unis s’engagent à verser 25 millions de dollars pour la liberté religieuse et à lancer une coalition d’entreprises pour la liberté religieuse”.

  • M. Trump a prévu des réunions bilatérales avec plusieurs dirigeants, dont le premier ministre pakistanais Imran Khan et le président égyptien Abdel Fattah Al Sisi pour aborder les violations des droits de l’homme des minorités chrétiens. Les lois pakistanaises sur le blasphème et les groupes extrémistes islamiques égyptiens sont bien entendu au cœur des sujets qui préoccupent le président.

Cet appel du président Trump est le point culminant d’une série d’avancées sur la liberté religieuse au cours des deux dernières années.

  • L’Administration Trump à l’ONU a publié à plusieurs reprises des déclarations indiquant que la liberté religieuse est la première priorité des États-Unis en matière de droits de l’homme.
  • En juillet, le département d’État a accueilli à Washington sa deuxième réunion ministérielle annuelle pour faire progresser la liberté religieuse. Des fonctionnaires de plus de 100 pays et plus de 1 000 dirigeants de la société civile se sont réunis pour discuter du sujet.
  • Trump a joué un rôle central dans plusieurs victoires en matière de liberté religieuse, notamment l’acquittement d’Asia Bibi, une chrétienne pakistanaise accusée de blasphème, et la libération du pasteur Andrew Brunson, après deux ans de captivité en Turquie.

Il y a quelques semaines, le gouvernement Trump a lancé l’Alliance internationale pour la liberté religieuse, le premier organisme international consacré à la promotion de la liberté religieuse.

L’alliance a pour but de “s’appuyer sur les efforts déployés à ce jour et de rassembler des pays partageant les mêmes idées pour relever les défis de la liberté religieuse internationale”, a déclaré le secrétaire d’État Mike Pompeo dans son discours liminaire prononcé lors de la conférence ministérielle de juillet.

Après le retrait des États-Unis du Conseil des droits de l’homme de l’ONU l’année dernière, certains se sont demandé si les États-Unis se retireraient complètement de l’ONU.

Donald Trump a maintenant indiqué clairement qu’il a l’intention de rester dans le système des Nations Unies, mais seulement là où, et s’il a le potentiel d’avoir un impact positif sur ceux qui souffrent de violations des droits de l’homme, en particulier des chrétiens qui souffrent des violations du droit à la liberté religieuse et pour qui le pape ne semble pas montrer beaucoup d’actions significatives.

Comme l’a dit le président, c’est pour lui une question de “devoir moral urgent” pour toutes les nations.

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