Comme l’a noté l’économiste d’Oxford Paul Collier, la croissance économique « n’est pas la solution à tous les problèmes », mais le manque de croissance « est la cause de tous les problèmes » rapporte Marian L. Tupy dans la National Review.
Ce que j’ai l’intention de montrer dans cet article, ce sont les accomplissements du libéralisme, et les catastrophes du socialisme. Tant que les politiciens de droite seront aussi peureux devant la gauche et n’oseront pas dire les choses qui fâchent, le socialisme continuera à être pris pour une belle idée humaniste.
La fin de la pauvreté et de la famine dans le monde, le capitalisme l’a permis, pas le socialisme
Marian Tupy dresse la liste suivante des accomplissements rendus possibles par le libéralisme, et son enfant le capitalisme, pendant l’ère industrielle :
- En 1820, 90 % de l’humanité vivait dans l’extrême pauvreté. Aujourd’hui, c’est moins de 10 %.
- En 1800, 88 % de la population mondiale était analphabète. Aujourd’hui, c’est 13 %.
- En 1800, 43 % des enfants mouraient avant leur cinquième anniversaire. Aujourd’hui, moins de 4 %.
- En 1816, 0,87 % de la population mondiale vivait en démocratie. En 2015, 56 % en jouissent.
- En 1800, l’approvisionnement alimentaire par personne et par jour en France n’était que de 1 846 calories. En 2013, l’approvisionnement alimentaire par personne et par jour en Afrique, le continent le plus pauvre du monde, s’élevait à 2 624 calories.
Enfin, pour la première fois depuis le début de l’industrialisation, l’inégalité mondiale diminue à mesure que les pays en développement rattrapent le monde développé.
Entre 1990 et 2017, selon Branko Milanovic de la City University of New York, le coefficient qui mesure l’inégalité des revenus entre tous les habitants de la planète, a diminué de 0,7 à 0,63.
” Aujourd’hui, il est de rigueur de se concentrer sur les aspects négatifs de l’industrialisation », conclut Tupy, mais, fait remarquer cet analyste politique au Center for Global Liberty and Prosperity du Cato Institute et rédacteur en chef de HumanProgress.org, « pour que le progrès se poursuive, il est vital que les peuples du monde entier, y compris les socialistes d’Amérique, comprennent mieux l’ampleur des améliorations du bien-être humain au cours des deux derniers siècles et les raisons de ces améliorations. »
National Review
Le socialisme continue de s’enfoncer
Victor Davis Hanson, professeur émérite de Lettres classiques à la California State University, Fresno, pose la bonne question suivante et tente d’y apporter une réponse : « Le socialisme a démontré qu’il est une garantie d’échec et de souffrance — alors pourquoi tant de jeunes le soutiennent ? »
- De multiples formes de socialisme, du stalinisme dur à la redistribution européenne, continuent d’échouer.
- La Russie et la Chine sont toujours aux prises avec l’héritage du communisme génocidaire.
- L’Europe de l’Est souffre encore après des décennies de chaos socialiste imposé par les Soviétiques.
- Cuba, le Nicaragua, la Corée du Nord et le Venezuela sont des États non libres, pauvres et en déliquescence.
- Le baathisme — synonyme de socialisme panarabe — a ruiné le Moyen-Orient d’après-guerre.
- Les pays socialistes de l’Union européenne stagnent et dépendent principalement de l’armée américaine pour leur protection.
En revanche, la déréglementation américaine actuelle, les réductions d’impôt et les incitations fiscales, ainsi que la production record d’énergie, ont donné aux États-Unis la plus forte économie du monde.
Alors, demande le professeur, pourquoi deux des trois principaux candidats Démocrates à la présidence — Bernie Sanders et Elizabeth Warren — se présentent-ils ouvertement ou implicitement à l’ordre du jour du socialisme ?
Pourquoi les sondages montrent-ils qu’une majorité de milleniums ont une vision favorable du socialisme ?
Hanson dresse cette liste sous forme de piste de réflexion :
- Un des coupables du nouvel engouement socialiste est l’étrange dérive vers la gauche des très riches milliardaires de la Silicon Valley, des entreprises américaines et de Wall Street.
- Certains des nouveaux riches progressistes se sentent coupables de leur richesse sans précédent. Ils défendent donc la redistribution comme une sorte de pénitence médiévale pour soulager leur culpabilité.
- Car les classes influentes et riches sont généralement si bien nanties que des impôts élevés ne les affectent guère. Au lieu de cela, la taxation de redistribution nuit aux classes moyennes en difficulté.
- En Californie, il est devenu à la mode pour les riches gauchistes de promouvoir le socialisme à partir de leurs enclaves de Malibu, Menlo Park ou Mill Valley.
- Et ils vivent toujours comme des capitalistes privilégiés.
- Pendant ce temps, les classes moyennes de Stockton et de Bakersfield n’arrivent pas à faire face à la réalité des impôts écrasants et des terribles services sociaux.
- De 2008 à 2017, l’actuel milliardaire Barack Obama a utilisé toutes sortes de slogans socialistes, pour « répartir la richesse » en passant par « ce n’est pas le moment de faire du profit » à « vous n’avez pas construit votre richesse tout seul » et « à un certain point, vous avez fait assez de profit ».
- Enfin, pendant des décennies, les doctrinaires Républicains ont professé une orthodoxie du « libre commerce » plutôt qu’une honnêteté du commerce. Ils ont adopté l’idée de la « destruction créative » des industries, mais sans s’inquiéter des conséquences réelles pour les chômeurs.
” Si l’on additionne une génération perdue de diplômés universitaires brisés, conclut Hanson, des vagues d’immigrants pauvres qui ne connaissent pas les traditions économiques américaines (beaucoup de ces immigrants ont fuit les régions pauvres d’Amérique latine, du Mexique, d’Afrique et d’Asie qui ont été détruites par l’étatisme et le socialisme), les riches partisans du socialisme de masse, et les Républicains endormis, on comprend pourquoi le socialisme destructeur de l’histoire est soudainement perçu comme cool.
Malheureusement, les naïfs et les mécontents doivent parfois réapprendre que leur médecine socialiste est bien pire que le mal perçu de l’inégalité.
Et malheureusement, quand les socialistes prennent le pouvoir, ils ne se détruisent pas seulement eux-mêmes. D’habitude, ils emmènent tout le monde avec eux.
pjmedia.com
Les gauchistes croient-ils ce qu’ils disent ?
J’ai inventé et soufflé la citation suivante à Christian Larnet : « la gauche, c’est le camp du bien, la droite, c’est le camp du vrai ».
A force de constater qu’ils mentent, qu’ils rejettent toute réalité qui contredit leur dogme, et qu’ils vivent de tromperie et de double standard, il semble inévitable de se poser la question : les gauchistes croient-ils un mot des mensonges qu’ils racontent ?
Denis Prager, fondateur de l’université conservatrice Prager U, arrive à la même conclusion que moi.
Je le cite :
La vérité n’est pas une valeur de gauche.
Je l’ai découvert pour la première fois alors que j’étudiais l’Union soviétique et les idéologies de gauche à l’École des affaires internationales de l’Institut russe de l’Université Columbia. Tout ce que j’ai appris depuis a confirmé ce point de vue.
Il y a des gens, de gauche ou de droite, qui mentent et qui disent la vérité.
Mais le libéralisme, contrairement au gauchisme, attache de la valeur à la vérité. Cependant, plus on va vers la gauche, plus on entre dans le monde du mensonge.
Townhall.com
Pourquoi la gauche ment ?
Il y a deux raisons principales, explique Prager.
1 La première est que les gauchistes jugent leurs objectifs plus importants que de dire la vérité.
- Par exemple, tous les économistes honnêtes savent que les femmes ne gagnent pas 20 % moins d’argent que les hommes pour le même travail effectué pendant le même nombre d’heures dans les mêmes conditions.
- Pourtant, les gauchistes répètent le mensonge selon lequel les femmes gagnent 78 cents pour chaque dollar gagné par les hommes.
Je disais à une amie journaliste que si c’était vrai, il n’y aurait aucun homme dans les entreprises. Lorsqu’elle me regarda avec des gros yeux ronds, je lui expliquais que lorsque j’étais chef d’entreprise, j’aurais été débile d’embaucher des hommes si je pouvais avoir des employées femmes pour 20 % de moins. C’est l’argument que développe Prager :
Pourquoi des employeurs embaucheraient-ils des hommes alors qu’ils pourraient embaucher des femmes et accomplir la même quantité de travail au même niveau d’excellence pendant le même nombre d’heures tout en économisant 20 cents sur le dollar est une question à laquelle seul Dieu ou le sphinx pourrait répondre.
Prager continue :
Alors, quand les chroniqueurs du New York Times écrivent ces bêtises, est-ce qu’ils y croient ? La réponse est qu’ils ne se demandent même pas si c’est vrai.
Ils se demandent : « cette revendication contribue-t-elle à promouvoir la doctrine de gauche selon laquelle les femmes sont opprimées ? » Tout ce qui sert cette fin est moralement justifié.
2- La deuxième raison, explique Prager, est que le gauchisme est enraciné dans les sentiments, et non dans la raison ou la vérité (ma citation : « le camp du bien vs le camp du vrai »)
De Karl Marx à Bernie Sanders, dit Prager, la préférence de la gauche pour le socialisme plutôt que pour le capitalisme est entièrement ancrée dans l’émotion. Seul le capitalisme crée la richesse. Le socialisme ne fait que dépenser ce que le capitalisme crée.
Les gauchistes ne le savent-ils pas ? Même s’ils le savent, l’attrait émotionnel du socialisme l’emporte.
- Les gauchistes croient-ils qu’il y a plus de deux sexes ? Bien sûr que non.
- C’est pourquoi ils ont rebaptisé « sexe » en « genre », puis redéfini « genre » pour signifier ce qu’ils veulent que cela signifie.
Ainsi donc, à gauche, la vérité est soumise à deux valeurs supérieures : la doctrine et l’émotion. Cela nous amène à la question de cette colonne :
Ceux de gauche croient-ils à leurs mensonges ?
Prager propose trois exemples :
1 Les gauchistes croient-ils que le réchauffement climatique détruira le monde tel que nous le connaîtrons dans 12 ans, comme l’a récemment suggéré la députée Alexandria Ocasio-Cortez ?
Je ne sais pas, je ne sais pas, dit Prager.
Ils semblent se convaincre eux-mêmes de croire à leur hystérie. Mais ils n’agissent pas en conséquence.
Voici une simple preuve que la gauche ment sur la menace imminente du réchauffement climatique pour la civilisation : Les gauchistes ne soutiennent pas l’énergie nucléaire. Il est tout simplement impossible de croire que les émissions de combustibles fossiles détruiront le monde et, en même temps, s’opposer à l’énergie nucléaire.
L’énergie nucléaire est propre et sûre.
La Suède, pays modèle pour les gauchistes, satisfait 40 % de ses besoins énergétiques avec l’énergie nucléaire.
Si vous étiez certain d’être en phase terminale et que vous refusiez un médicament qui vous guérira, nous aurions toutes les raisons de croire que vous ne croyiez pas vraiment que vous étiez en phase terminale.
Voici une autre preuve que la gauche ne croit pas à son hystérie du réchauffement climatique, dit Prager :
- Combien de gauchistes possédant des propriétés en bord de mer dans le monde l’ont vendue ? Si les gauchistes croient vraiment que le réchauffement de la planète fera monter les océans et inondera bientôt les régions côtières du monde, pourquoi un gauchiste ne vendrait-il pas sa maison en bord de mer alors qu’il pourrait non seulement éviter de perdre tout son argent, mais aussi faire un profit ?
J’ajoute à ce que dit Prager, que si les hystériques du réchauffement — oui je ne vois plus que des hystériques et de l’hystérie, lorsque je les vois intervenir à la télé – croyaient en ce qu’ils disent, ils demanderaient qu’on plante des arbres, c’est le plus formidable et naturel moyen de se débarrasser du CO2. Seulement voilà, ce qu’ils veulent, ce n’est pas réduire le CO2, mais prendre du pouvoir sur la population. Et planter des arbres, ça ne leur apporterait pas le pouvoir. Alors ils ne le demandent pas.
2 Un autre exemple de rhétorique gauchiste qui ne marche pas : La gauche nous dit que les collèges sont imprégnés d’une « culture du viol », mais pratiquement, tous les parents de gauche envoient leurs filles à l’université.
S’ils croyaient vraiment qu’un endroit a une culture du viol, où une femme sur quatre ou cinq est violée ou autrement agressée sexuellement, y enverriez-vous votre fille de 18 ans ? Bien sûr que non.
Alors, pourquoi les pères et les mères de gauche envoient-ils leurs filles à l’université ?
La réponse semble être qu’ils savent que c’est un mensonge – mais cela n’a pas d’importance, puisque la gauche considère que dire la vérité est incomparablement moins important que combattre le sexisme, l’agression sexuelle, la misogynie, la masculinité toxique et le patriarcat.
3 Encore un exemple : « Les murs de séparation [avec le Mexique] ne fonctionnent pas. »
Il est inconcevable que les gens qui disent cela — surtout ceux qui ont des murs autour de leur maison — le croient. Pourtant, les gauchistes le disent avec la même aisance que Staline qualifiait Trotsky de fasciste, même si Trotsky et Lénine étaient les pères de la Révolution bolchévique.
Conclusion
Denis Prager conclut ainsi :
” La question n’est pas de savoir si la vérité est une valeur de gauche. La seule question est de savoir si les gauchistes croient leurs mensonges. Et, croyez-le ou non, je ne sais toujours pas.
Il est possible d’aimer la vérité et d’être libéral, conservateur, libertaire, athée, croyant, juif, chrétien, musulman ou hindou. Mais pas gauchiste. »
Voilà pourquoi nous sommes dans de beaux draps… et pourquoi beaucoup d’entre vous pensent que le libéralisme et le capitalisme sont la cause de vos difficultés, des difficultés du monde.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
le déni de réalité, voilà ce que les “progressistes” ont comme valeur cardinale; avec le mensonge éhonté .
Et pour faire écho à “Certains des nouveaux riches progressistes se sentent coupables de leur richesse sans précédent. Ils défendent donc la redistribution comme une sorte de pénitence médiévale pour soulager leur culpabilité.”
Relire : https://www.dreuz.info/2019/06/27/comme-ils-ne-veulent-pas-distribuer-leur-argent-pour-legalite-ils-votent-socialiste/
Oui ” nous sommes dans de beaux draps… ” puisqu’il n’y a pas d’humanité, mais bien au moins deux humanités : celle des escrocs (personne qui, même prise la main dans le sac, ne reconnaitront JAMAIS leurs torts, auront toujours une bonne justification à fournir) et les autres…
En faite penser l’unité sur terre est une belle escroquerie qui fait les jours de l’universalisme… Le monde de la manifestation est monde de portion…
Les gauchistes : des hypocrites, profiteurs, menteurs, influençables et j’en passe…………
Mosieur Grumberg : “l’actuel milliardaire Barack Obama”…milliardaire? Millionnaire non? Merci pour votre article en tout cas qui synthétise le manque d’honnêteté morale et intellectuelle de la gauche …
Mosieur DirtyHarry,
Je ne sais pas s’il est millionnaire en dollards US ou milliardaire en roupie (de sansonnet) mais ce qui est sûr, c’est qu’il s’est offert récemment une maison au bord de l’eau. Et je crois savoir que ce n’est pas une petite bicoque !
CoupableS, l’armée des psycons et des psyconnes pullulant n’ayant absolument rien compris au film, à savoir que le nourrisson pour sa survie naît sous le joug maternel, “fait pas ci, fait pas ça”, ce qui induit en lui une ligne de partage à laquelle on ne peut toucher que si l’on fait intervenir ce qui peut être considéré comme Dieu-Jupiter, le père du joug qui permet alors un rééquilibrage face au joug maternel monolithique.
Il y plus aisé de sauter dans un autre monde, celui de l’universalisme à la mode gauchiste, plutôt que de chercher à faire bouger en interne ses propres lignes de partage, alors véritable CHANGEMENT…
Fallait pas être sorti de St Cyr pour trouver cela (quoique y ayant récemment mangé, j’en suis alors ensuite effectivement sortie ;=) )… mais cela m’a quand même pris toute une vie, ne sachant pas ce que la notion de joug maternel voulait dire, alors que c’est tout simplement la mise en place des interdits nécessaires pour assurer notre survie lorsque nous sommes enfants et ignorant encore de la brutalité du monde, de sa logique implacable, logique qui pourtant permet la vie… Mais ensuite devoir faire bouger ces lignes soi-même pour mieux saisir le monde de la coupe, du tranchage générateur de portions liées au phénomène vital.
Un monde qui n’a à la bouche que le mot “liberté” ne pouvait penser que la clé de sa libération passait par la notion même de joug !!!
Parmi les jeunes que je connais certains pensent sincèrement que la gauche milite pour plus de «justice sociale». Un ex-collègue âgé de 20 an m’écrivait, l’an dernier pendant les élections provinciales qu’il allait voter pour Québec Solidaire parce que c’est un parti «proche de ses valeurs». Quelles valeurs? :
«… essayer de construire un avenir pour tous. Pas juste (pour) ceux qui décident de qui devrait avoir le droit. C’est vouloir donner les chances a tout le monde, sans discrimination. C’est vouloir SE donner une chance pour une fois. Je trouve que ça ne bouge pas. Je pense que les classes dirigeantes sont trop occupées a se donner des high fives, ça fait un bon bout de temps qu’on répète les mêmes erreurs…»
J’ai trouvé sa naïveté touchante mais je n’ai pas réussi à le faire changer d’avis. Je lui ai conseillé de lire des livres d’histoire …
La croissance permet un certain bien-être, masquant le joug maternel -la sensation d’étouffement-, permettant l’expression de nouvelles libertés, mais curieusement c’est comme si une partie de la population cherchait à la saboter… ce qui attaque alors ce qu’ils font de ce plus de liberté…
Quand je discute avec des gens de gauche, il y a un préalable inébranlable dans leur vision du monde qui rend toute discussion stérile : un refus de toutes formes d’inégalités (niant également celles résultant du talent) et la certitude qu’elles peuvent être enrayées.
Donc, pour ces gens, l’absolu est possible : “le zéro” inégalités. Ils ne comprennent pas que c’est inatteignable à moins de mettre en place des mesures autoritaires et liberticides, pouvant être meurtrières. Ils ne comprennent pas qu’une politique intelligente est de tendre le plus possible vers cet objectif jusqu’à ce point d’équilibre où la poursuite de l’objectif ne pourrait que produire l’effet inverse, à savoir des inégalités bien pires.
Je vis au Venezuela, je serai donc complètement stupide de nier “les bienfaits” du socialisme que je subis tous les jours. Mais j’aimerai vraiment que notre ami Jean-Luc Mélenchon, (celui a qui Chavez a donné 3.000.000 de USD) soit élus président. Pour voir simplement en combien d’année il réussirait a ruiner totalement la France. Pari a prendre, plus vite que Chavez / Maduro pour le Venezuela ??? Autre avantage non négligeable d’une telle victoire: voir finalement si les français comprendraient enfin.
Relisant Cal Newport qui encourage le développement de la pensée profonde parallélement à l’abandon des réseaux sociaux, je note ses moyens de communication et sa source d’information : ” Au grand désespoir de mes amis et divers publicitaires avec lesquels j’ai collaboré pour l’écriture de mes ouvrages, je n’ai jamais eu de compte Facebook ou Twitter, ni été présent sur les réseaux sociaux, à l’exception d’un blog. Je ne surfe pas sur la Toile et je tiens la pluplart de mes informations du Washington Post qui m’est livré et du réseau de radios NPR.”
Comment être bien informé dans ces conditions ? Avec le Washington Post !!!! Où as-t-il pris cette mauvaise habitude ?
D’une morale rigide à une morale élastique, comment est-ce qu’on bascule d’un camp à l’autre, la conception élastique étant devenu le camp du bien ?
Est-ce que faire dans la complexité de système implacable (cf. la silicone valley) fait qu’en compensation on met du lest sur notre vision morale du monde ?
Comme si on avait un capital de rigueur, mis sur le developpement informatique, du lache ensuite sur les valeurs traditionnelles morales de la vie ????
Attention: la première partie de l’article est, pour moi, assez fausse.
En effet:
Depuis l’Antiquité jusqu’en 1850, les rendements des terres agricoles n’ont fait que diminuer, par épuisement de celles-ci.
Regardez les campagnes: autrefois, beaucoup moins de forêts, des cultures presque partout.
En 1850 est apparu l’usage de la potasse qui a fait bondir les rendements. La nourriture devient abondante et l’est maintenant partout dans le monde.
Alors, l’industrialisation a pu prendre la place des préoccupations humaines.
C’est là le grand tournant de l’histoire économique.
Il y a un adage qui dit :
“Si, à 20 ans, tu n’es pas de gauche, tu n’as pas de coeur.
Si, à 40 ans, tu es toujours de gauche, tu n’as pas de tête.”
W. Churchill :
« Le socialisme est la philosophie de l’échec, le credo des ignorants, le prêche de la haine et l’évangile de l’envie : sa vocation est de distribuer la misère de manière égalitaire pour le peuple. »
W. Churchill :
«Le premier socialiste fut Christophe Colomb: il ne savait pas où il était, il ne savait pas où il allait et il faisait tout ça aux frais du contribuable».