Des centaines de mineures musulmanes d’origine étrangère vivent en Suisse et sont mariées de force par leur famille. Les autorités ne bougent pas, voire valident ces mariages pour ne pas paraître islamophobes.
En 2018, le Centre national contre les mariages forcés basé à Zürich s’est occupé de 119 cas de mineures musulmanes mariées de force. 119 cas, c’est le nombre recensé déjà en 2016, montrant que rien ne bouge vraiment. La plupart sont des Kurdes d’Irak et de Syrie, des Turques, des Afghanes ou des Somaliennes – toutes sont musulmanes et leurs familles rejettent les valeurs occidentales et la valeur universelle des droits de l’homme.
“La principale raison de ces mariages forcés sur des mineures est le culte de la virginité des femmes», explique Anu Sivaganesan, directrice du centre.
Les familles musulmanes craignent que leurs filles aient des relations sexuelles avant le mariage parce qu’en Suisse, les hommes et les femmes évoluent dans le même environnement et non dans des sphères séparées, comme c’est le cas dans leur pays d’origine.
«Afin de protéger l’honneur de la famille, la fille est donc mariée ou fiancée de force à l’étranger alors qu’elle est encore mineure.»
Khadija*, jeune Suissesse mariée à 15 ans par téléphone avec un Syrien
- Khadija est une Suissesse née en Suisse. Ses parents sont syriens. Elle a été mariée à l’âge de 15 ans, par téléphone, avec un homme en Syrie.
- A l’âge de la majorité, son mariage a été légalement reconnu en Suisse.
- Lorsque la jeune femme s’est rendu compte de la situation – ses parents la lui avaient cachée – elle a tenté de mettre fin à ses jours : «J’ai avalé les médicaments de mon père. Mais j’ai survécu.»
- L’union est désormais officielle. Son mari, qui vit en Syrie, a bien entendu obtenu le droit de réunification familiale. Son arrivée en Suisse est prévue dans les prochains jours.
- «Pourquoi la Suisse reconnaît-elle mon mariage ? Je ne veux pas être mariée !» explique Khadija dans une situation de détresse extrême.
Avec l’aide du Service contre les mariages forcés, elle tente d’empêcher l’arrivée en Suisse de son “époux”. Mais la loi n’est pas de son côté. En fait, elle est même totalement contre elle :
- Si Khadija n’arrive pas à dissuader l’homme de la rejoindre, elle devra vivre sous le même toit que son “époux”, et consumer le “mariage”.
- Autre option, quitter son emploi car sans sécurité financière, le droit à la réunification familiale n’est plus accordé.
Zaynab*, mariée de force à 14 ans
A l’âge de 14 ans, Zaynab a été mariée de force en Irak.
- Deux ans plus tard, la famille est arrivée en Suisse. Elle a demandé et obtenu l’asile politique. Abus du droit d’asile ? On ne peut pas poser la question, on passerait pour islamophobe.
- La famille est donc en Suisse et a l’asile politique.
- Les autorités chargées de l’asile ont été informées de l’union forcée, et ils ont renvoyé l’affaire en justice.
- Lequel Tribunal devait évaluer si le mariage était dans l’intérêt ou non de Zaynab : drôle de question, concernant une enfant de 14 ans la réponse devrait être naturellement : non.
- Bref, le tribunal a fait traîner pour ne pas, lui aussi, passer pour islamophobe.
Même si la justice suisse ne s’est pas adaptée au droit islamique – ce qu’elle devra obligatoirement faire un jour ou l’autre – les seules raisons qui auraient pu permettre le maintien de cette union forcée sont une grossesse ou la confirmation qu’il s’agit bien d’un mariage d’amour.
Mais Zaynab n’est pas enceinte, et le mariage avec un homme adulte, et qui plus est forcé, n’a pas exactement les caractéristiques d’un mariage d’amour.
Et bien, la jeune femme n’a pourtant pas obtenu l’annulation de son mariage.
Le Tribunal n’aurait soi-disant pas “encore eu le temps de traiter son cas”.
Pourquoi ?
Parce que dans un mois, Zaynab fêtera ses 18 ans. Et là, son mariage sera d’office reconnu. Les juges se seront débarrassés d’un encombrant sujet, et croyez-moi, ça ne les empêchera pas de dormir.
Aïcha*, 10 ans, déjà mariée
Un cas découvert en 2016 concernait une fillette somalienne de dix ans, Aïcha. Inscrite dans une école suisse, un travailleur social avait découvert par le plus grand des hasards qu’elle était mariée.
Une justice inadaptée à l’islam conquérant
- En Suisse, le mariage de mineurs, qui pourtant est interdit, n’est pas considéré comme un mariage forcé. Première grosse erreur, première violation des droits fondamentaux.
- Il n’est donc pas interdit.
- Même l’examen de l’intérêt de l’union pour la jeune fille, je l’explique plus haut, est en soi une démarche moralement douteuse.
- Pire encore, le processus est vicieux, selon la directrice du Service contre les mariages forcés car il «dure le plus souvent jusqu’à ce que la personne concernée soit majeure et que le mariage soit automatiquement reconnu.»
- Le dernier recours des victimes reste donc le divorce, une procédure souvent longue, coûteuse, et dangereuse pour la jeune femme.
Pour la conseillère nationale Thérèse Schläpfer (UDC), «il faut par principe supposer que les mariages de moins de 16 ans sont forcés». Elle a d’ailleurs déposé une motion en ce sens à la fin du mois de septembre.
Et je vous parie que la gauche, la belle gauche humaniste, cette belle gauche morale qui se dit féministe, au service des minorités et de la protection de la dignité humaine, va trouver mille arguties pour miner le débat, empoisonner le sujet, puis empêcher tout vote d’une loi.
A l’exception de la conseillère nationale Sibel Arslan (Verts) qui considère que «l’approche actuelle des mariages forcés n’est pas tenable. De nouvelles mesures doivent être prises pour être réellement efficaces». Et devinez quoi : Arslan est turque. Vous ne verrez probablement pas de gauchistes suisses ethniques soutenir avec ce courage : Arslan ne sera pas accusée d’islamophobie, elle peut parler librement.
Le gouvernement a jusqu’en janvier prochain pour rendre son rapport sur l’efficacité de l’interdiction des mariages forcés datant de 2013. Il n’a pas jusqu’à présent fait les preuves de son engagement courageux en la matière.
De son côté, le Service contre les mariages forcés propose que la Suisse ne reconnaisse pas les mariages des jeunes de moins de 18 ans qui ont été célébrés à l’étranger, même quand les personnes concernées deviennent majeures.
Mais en 2012, le Parlement suisse avait déjà adopté une série de mesures, augmentant les peines d’emprisonnement jusqu’à un maximum de cinq ans pour les personnes reconnues coupables d’avoir contraint d’autres personnes à se marier. Et ceci s’appliquait indépendamment du fait que le mariage ait été conclu hors de Suisse ou non. De quoi laisser songeur…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
*Pour protéger leur anonymat, leurs noms et pays d’origine ont été modifiés.
Décidément, les mauvaises nouvelles venant de Suisse se succèdent à un rythme effréné… Après l’approbation du mariage civil des homos (très bientôt suivi de la “bénédiction” de leur union dans les “églises”…), voilà maintenant les mariages forcés des mineures !
Les autorités helvétiques sont en train de s’accumuler les charbons ardents de la colère divine sur leurs têtes et… sur leurs administrés qui ne se dressent pas férocement contre cette “passivité” de leurs dirigeants.
La spirale de l’enténèbrement prend un singulier coup d’accélérateur. On est pris de tournis devant ce déluge de vomissures sociétales. Ça va être quoi, la prochaine fois ?
Seigneur, reviens vite ! C’en est assez…
Je croyais que ce pays était civilisé…. et bien non je me trompais
On peut leur envoyer Sainte Marlène Schiappa ? 🙂
Ghysly, ce pays est peut-être civilisé.
Il manque juste, dans certaines sphères, de cojones, de couilles, de balls, appelez ça comme vous voulez. Rien que des lavettes.
C’est écœurant.
Et les poufiasses féministes, qu’est-ce qu’elles en pensent ?
Cette façon de se coucher devant cette erreur de la nature qu’est l’islam me met dans une rage folle.
Elle a été mariée à 15 ans par téléphone, à l’instigation de sa famille disposant de l’autorité pour une mineure. Mais le mari virtuel ne s’est pas encore présenté en Suisse, il attend l’âge légal pour venir chercher son “bien”. Je ne vois pas comment la justice pourrait déjà interférer, sinon en disposant de preuves formelles pour intervenir lorsque le candidat se présente lors de la majorité de la jeune fille, elle-même plaignante.
Les mariages forcés sont interdits en Suisse, lorsque les deux protagonistes sont sur place et que les preuves peuvent être avancées clairement.
Quand on veut, on peut. Tout le reste n’est que bavardage de salon.
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Si vous croyez que dans les pays musulmans ils attendent qu’il y ait des lois, avec de solides arguments juridiques, des tribunaux compétents, des Droits de l’Homme, des tribunaux bien chauffés, et tutti quanti pour vous envoyer en prison !
Vous avez une sale gueule, vous portez un short, vous êtes en tôle, et pour longtemps. les lois ils s’en foutent.
Même en France. On sort des lois, et les applique à qui ont veut. Le mec de GI qui voulait empêcher avec ses copains les immigrés illégaux, ce qui est interdit par la loi, il ne voulait donc ne faire que respecter la loi, et bien, on a trouvé 1.000 autres lois pour le massacrer pire qu’un violeur. De plus, il a perdu son boulot au Crédit Agricole car il n’avait pas été politiquement correcte en voulant, tout simplement, faire respecter la loi.
Comment être immigré, violer une française mineure, et être acquitté car tu ne connais pas “les codes culturels” de notre pays. Pour connaître le mode d’emploi, clique ici (garanti sans virus, c’est là une page d’un de mes propres site, et conçue pour ordinateur de bureau uniquement). C’est arrivée chez nous, en France, pourtant aucune lois permet ce “jugement” hallucinant. La mineure violée appréciera.
Les lois, on sort celles qu’on veut, les juges les détournent, les manipulent, rendent des “jugements” défendus par aucune lois. Ils ne cherchent pas à “avancer clairement” des preuves, des indices. Quand un français critique l’islam, il est sûr qu’on va lui trouver 1.000 lois pour l’envoyer en prison. Pour l’inverse, il n’existe plus aucune lois.
Les lois sont des prétextes pour les idéologies. En France, et maintenant en Suisse, on est bien placé pour le savoir.
C’est par ce type de raisonnement qu’on en est, là où on en est.
Abbé Alain René
Je ne retiens pas votre argument.
Du moment que l’on connaît le stratagème, il nous appartient de le contourner.
Une affaire qu’on fait traîner le temps nécessaire pour qu’il n’y ait plus d’affaire, ça sent très fort la lâcheté et la malhonnêteté.
Après l’avortement qui a “enfanté” l’euthanasie, après la théorie des genres qui a imposer la déliquescence des moeurs… la pédophilie islamique va “démocratiser” les Lolita’s fly pour tous…
Obsédés par la virginité, ils les exposent aux pires du pire pour leur âge! C’est ça l’islam : de la folie!
Ce n’est pas la Suisse qui valide cette horrible chose, ce sont les juges soumis aux politiciens et au politiquement correct (extrêmement incorrect en fait) !!!
Donc la justice n’est pas indépendante en Suisse ! Au peuple de demander le renouvellement de sa Justice …
L a Suisse me fait “dégueuler” !!! Comme tout ceux qui laisse faire cela (les juges)………………
Comment peut on accepter ça et à côté donner des leçons de morale ……………
Laisser marier des enfants est d’une immoralité insupportable de la part d’un pays occidental ……………….Déjà “qu’ils” nous emmerdent avec leurs islam et maintenant “ils” nous empoisonnent avec leur culture moyenâgeuse ces pédophiles ……..
Comme je l’ai luplus haut : Charles Martel doit se retourner dans sa tombe .
Ce n est pas la Suisse qui me fait “dégueuler” mais ceux qui acceptent l inacceptable.
Lang vient de décider d’implanter un call center au marraouech pour dynamiser les transactions dans le “monde” arabe. Une succursale de l’institut ouvrira officiellement auprès de nos amis nazi à Basel.
Si vous connaissez la Suisse, pour rencontrer des personnes du Hamas ou du hizbollah, il vous suffit d’aller à la maison des associations à Genève. Ils tiennent les bureaux “suisses” des associations genevoises et ong.
Entre tous les barges de toutes confessions et de toutes laïcités, les enfants vont encore souffrir longtemps … de ces détraqués sans burnes qui n’osent que s’attaquer aux enfants et aux plus faibles.
Comme partout, comme toujours, des musulmans se servent habilement des lois et des démocraties occidentales – oui, celles que nous avons patiemment bâties – pour les grignoter, importer leur charia, et conquérir encore d’autres terres, une par une.
Ils ont pris moins de pincettes pour conquérir le Maghreb, le Golfe persique, et les 50 autres États qui étaient chrétiens, païens, animistes et que sais-je, pour les islamiser de façon irréversible.
Danemark, Angleterre, France, Suède… La Suisse ne fera pas exception.
Comme disait un responsable islamique : “Vous avez vos lois démocratiques. Nous avons nos lois coraniques. Nous avons commencé à vous conquérir et nous continuerons”.
Ça se passe de commentaire. Et la Suisse vient de le prouver à nouveau.
oryx vous avez tellement raison
honte à tous ces islamocollabos
Et si on demandait à Mélanchon, il pourrait peut être faire une marche pour autoriser le mariage forcé. Cela permettrait de voir qui avaliserait le mariage forcé!