Publié par Rosaly le 14 novembre 2019

Que signifierait réellement une capitale « palestinienne » à Jérusalem-Est ?

Tandis que les candidats démocrates à la présidence basculent de plus en plus vers la gauche, afin de se distancier des stratégies et des politiques du Président Donald Trump, les deux chefs de file, Elizabeth Warren et Bernie Sanders ont intensifié leur rhétorique à l’égard d’un sujet normalement intouchable pour les Démocrates et les Républicains : les relations des USA avec l’unique démocratie du Moyen-Orient: Israël.

Alors qu’aucun candidat ne peut espérer survivre aux conséquences diplomatiques et financières d’une politique d’abandon d’Israël, Sanders et Warren ont récemment exprimé des points de vue à l’égard d’Israël pour le moins consternants, laissant entendre qu’ils pourraient subordonner ce soutien à un changement d’attitude de la part d’Israël. Les USA ont toujours été un partenaire diplomatique fiable d’Israël partageant des objectifs stratégiques communs, mais cela pourrait évoluer , selon ces deux faux amis d’Israël…

Lors de la conférence J Street organisée le premier weed-end de novembre à Washington, D.C. Bernie Sanders, s’adressant aux membres du « Liberal Jewish Middle East Policy Group » déclara que l’aide octroyée chaque année par les USA à Israël devait évidemment être maintenue, il suggéra, néanmoins de la conditionner à un changement radical d’attitude envers les habitants de Gaza :

« Ma solution est de dire à Israël: vous recevez chaque année $ 3.8 milliards, mais si vous souhaitez obtenir de l’aide militaire, vous allez devoir changer fondamentalement votre relation avec les gens de Gaza. »

Ce “maître-chanteur” ajouta avec une audace à vous couper le souffle :

« Je pense qu’il est juste de demander qu’une partie de cette aide soit immédiatement consacrée à l’aide humanitaire à Gaza. »

Sanders aurait-il oublié que la crise humanitaire sévissant à Gaza, sous le joug du Hamas, résulte largement du détournement par ce groupe terroriste des fonds destinés aux écoles, aux hôpitaux, à la nourriture et aux infrastructures de Gaza, pour financer la construction de tunnels terroristes, de bombes, de roquettes ? A-t-il effacé de sa mémoire les pluies mortelles de roquettes et de tirs de mortiers lancés depuis Gaza, qui se sont abattues et continuent à s’abattre sur les villes israéliennes du sud dans le seul but de tuer le plus grand nombre de civils israélien et ce, depuis le retrait israélien de Gaza en 2005, décidé dans le vain espoir d’améliorer la sécurité d’Israël. Ce geste de bonne volonté à l’égard des Arabo-palestiniens a malheureusement produit l’effet contraire.

[Ne devrait-il pas plutôt proposer d’augmenter l’aide militaire à Israël et suggérer que l’aide financière internationale apportée au Hamas et à l’Autorité palestinienne soit conditionnée au respect du droit d’Israël à vivre dans la paix et la sécurité sur sa propre terre ?]

Soucieuse de ne pas être supplantée par son camarade Bernie dans cette dangereuse rhétorique relative aux relations futures entre Israël et les USA, Elizabeth Warren fit parvenir son discours enregistré sur une bande vidéo. Dans son allocution, Pocahontas fit une annonce guère surprenante de sa part : si elle devenait la Présidente des USA, elle plaiderait pour la solution à deux États, si souvent proposée, mais jamais concrétisée.

« Ce sera la meilleure issue pour les intérêts des USA, pour la sécurité et l’avenir d’Israël et la meilleure façon d’assurer aux « Palestiniens » leur droit à la liberté et à l’autodétermination, tout en assurant la fin de l’occupation israélienne.

[Qu’elle explique comment Israël peut occuper une terre qui est la sienne depuis près de 3 millénaires ?]

Si cette « proposition » n’a rien de nouveau, c’est la suite de son discours d’une rare véhémence qui est choquante, à savoir la proposition insensée de diviser Jérusalem, la capitale ancestrale et spirituelle du Judaïsme depuis environ 3000 ans, en deux capitales : une israélienne, et une palestinienne.

« Je préciserai, affirma-t-elle d’un ton professionnel, que dans le cadre de cet accord de deux Etats, les deux parties devraient pouvoir avoir leur capitale à Jérusalem. »

[Mais de quel droit s’érige-t-elle en juge suprême, décidant de l’avenir de Jérusalem pour Israël?]

Parallèlement à leurs inébranlables et multiples revendications, incluant « un droit au retour » pour tous les « réfugiés » et la souveraineté sur le Mont du Temple, les Arabo-palestiniens insistent depuis près de deux décennies sur la division obligatoire de Jérusalem , afin que Jérusalem devienne la capitale de leur futur état. Ils ne veulent ni Ramallah, leur « capitale » provisoire dans l’attente du grand Jour, ni Naplouse mais Jérusalem, le lieu le plus sacré de la terre pour les Juifs.

Les Autorités palestiniennes et leurs facilitateurs occidentaux, comme la sénatrice E. Warren ont décidé que Jérusalem-Est, une communauté mosaïque d’environ 200.000 Juifs et 270.000 Arabes – est déjà la capitale implicite du futur état palestinien, dès lors les Juifs ne devraient plus y construire, ni y vivre. Ce point de vue est inquiétant, non seulement à cause des revendications territoriales, des préoccupations sécuritaires d’Israël et du problème de l’accès aux lieux saints juifs, comme le Mur occidental, il est inquiétant, car il révèle un projet arabo-palestinien qui confère à Jérusalem une importance religieuse extrême à des fins d’opportunisme politique.

Depuis les rencontres de Camp David en 2000, quand Ehud Barak, au cours de ses négociations avec Yasser Arafat, ouvrit la porte à une partition éventuelle de Jérusalem, les Arabo-palestiniens ont hypocritement et sans relâche insisté sur l’importance que revêtait Jérusalem pour eux. Dans le même temps, ils déjudaïsaient Jérusalem et essayaient d’occulter la relation tri-millénaire du peuple juif avec Jérusalem et sa présence continue dans la ville sainte, une attitude décrite par le spécialiste du Moyen-Orient Martin Kremer comme une volonté obsessionnelle d’inverser l’histoire du peuple juif à leur avantage.

[Effacer l’Histoire d’un peuple, la réécrire, l’arabiser, l’islamiser afin de se l’approprier, c’est la stratégie appliquée par les Arabo-musulmans au fil des siècles lors de leurs conquêtes barbares.]

Dans un article publié en 2009 dans « al-Hayat al-Jadida », le Dr. Tayseer Al-Tamimi, juge en chef du tribunal des affaires religieuses et président du Conseil suprême du droit islamique, affirma de manière absurde que « Jérusalem était la capitale « religieuse, politique et spirituelle » de la Palestine, à savoir « une Palestine palestinienne », ajoutant que « les Juifs n’avaient aucun droit sur cette ville. »

Mais le véritable danger de la pensée palestinienne sur Jérusalem et en général sur toute la « Palestine », ville et pays âprement convoités par les Arabo-palestiniens fut cristallisé par Yasser Arafat quand il s’exprima en juillet 2000 dans l’édition d’al-Hayat al-Jadida:

« Je n’accepterai aucune présence souveraine à Jérusalem”, affirma-t-il se référant à l’épineuse question de savoir qui, aura la souveraineté sur le Bassin de Siloé, le quartier arménien, la mosquée Al-Aksa, la Via Dolorosa, et sur le Saint-Sépulcre : Israël ou les « Palestiniens » ?

[Le bassin de Siloé est mentionné à plusieurs reprises dans la Bible. Les eaux du bassin sont mentionnées dans Isaïe 8:6, tandis que Isaïe 22 : 9 fait référence à la construction du tunnel de Siloé. Pour les chrétiens, le bassin de Siloé a une signification particulière : il est cité dans l’Évangile de Jean comme étant l’endroit où Jésus envoya « un homme aveugle de naissance » afin d’y accomplir sa guérison. (Jean 9:1-16) ]

« Ils peuvent nous occuper de force, car nous sommes pour l’instant plus faibles, mais dans deux, dix ou cent ans, quelqu’un surgira et libérera Jérusalem des Juifs. »

[ Ou l’art de s’approprier indûment de ce qui ne vous a jamais appartenu, ne vous appartient pas et ne vous appartiendra jamais.]

« Libérer Jérusalem » dans l’optique d’Arafat et de ses coreligionnaires ne signifie nullement en faire une ville pluraliste et ouverte, où les fidèles des grandes religions peuvent y vivre librement et pratiquer leur religion ouvertement, comme c’est actuellement le cas. Non! La libération de Jérusalem pour les Arabo-palestiniens correspondrait plutôt au type de libération pratiquée par la Ligue arabe de Transjordanie, quand elle incendia et pilla le quartier juif de Jérusalem en 1948, expulsa et/ou tua son infortunée population juive, détruisit quelques 58 synagogues dont certaines dataient de plusieurs siècles, déterra les pierres tombales chargées d’histoire du cimetière juif sur le Mont des Oliviers et les utilisa comme pavés pour les latrines, interdit aux Juifs de prier devant le Mur occidental ou d’entrer sur le Mont du Temple.

Cette même prédilection à la destruction du patrimoine religieux se manifesta à nouveau peu après Camp David, quand une foule palestinienne hystérique et folle démolit à coups de marteau de forgeron le tombeau de Joseph, un site sacré juif et l’anéantit complètement dans l’indifférences des policiers palestiniens, qui restaient là les bras croisés et observaient tranquillement le spectacle.

Mais les fausses affirmations irrédentistes, le suprémacisme islamique qui oblige Juifs et Chrétiens sous contrôle musulman à vivre dans la dhimmitude, un mépris culturel et théologique manifeste à l’égard des autres religions, tout en menant une lutte inquiétante à propos de la souveraineté sur Jérusalem, ne sont pas selon Dore Gold, ex-ambassadeur d’Israël auprès des Nations Unies, les aspects les plus dangereux d’une capitulation diplomatique, qui permettrait aux Arabo-Palestiniens de revendiquer une Jérusalem divisée en deux.

Pourquoi ? Dore Gold l’explique :

« dans le monde de la spéculation apocalyptique, Jérusalem est aussi associée au lieu où le Mahdi messianique, le rédempteur de l’islam doit établir sa capitale. Pour cette raison, certains soutiennent que Jérusalem devrait également devenir le siège du nouveau califat mondial, que la plupart des groupes islamistes, des Frères musulmans à Al-Qaïda, cherchent à établir. »

[ Les auteurs du coran se sont inspirés de manière très fantasque des différentes prophéties bibliques, notamment celles de Zacharie (14:3-4) (12:9) Joel 3:2,9-17 et de l’Apocalypse de Jean (19,11-16) pour créer leur propre « Messie » , appelé « Mahdi », qui imposera l’islam et remplira la terre de justice et d’équité, après avoir été gorgée d’injustice et de tyrannie et ce avec l’aide de quelques compagnons, parmi lesquels Issa, le clone islamique agressif et violent de Jésus-Christ.]

En 2015, Mahmoud Abbas annonça à Ramallah :

« Nous ne renoncerons pas à notre pays et nous n’abandonnerons pas un seul pouce de notre terre. » réaffirmant ainsi sa conviction que tout Jérusalem devrait être conservée par les Arabo-palestiniens comme capitale de leur futur état.

« Chaque goutte de sang versée à Jérusalem est pure, chaque shahid [martyr] atteindra le paradis et chaque blessé sera récompensé par Allah. »

En fait, l’établissement de la capitale palestinienne à Jérusalem-Est est la première étape importante dans la stratégie à long terme pour débarrasser le Levant des Juifs et rétablir la Maison de l’islam dans toute la « Palestine » historique.

[Rappelons au passage que la Palestine historique c’est Israël. “Palaestina” est le nom romain / latin pour la Terre d’Israël. En 135 après J.C., l’Empereur romain Hadrien changea le nom de la Judaea en « Palaestina » après avoir mis fin à la grande révolte juive (Bar Kohba). Il renomma ausi la ville de Jérusalem en « Aelia Capitolina » afin , pensait-il stupidement effacer à jamais le souvenir des Juifs. Un « rêve » diabolique, qui ne se réalisa pas. Israël, aujourd’hui, est à nouveau le centre du monde et suscite à la fois une haine féroce injustifiée de la part des éternels jaloux frustrés et une grande admiration pour le courage de son peuple, son dynamisme, sa force, sa contribution continuelle immense au bien-être de l’Humanité.]

« La reprise de Jérusalem est considérée par certains musulmans comme l’un des signes indiquant que « l’Heure et la fin des temps sont sur le point de se produire » a suggéré D. Gold. Et plus important et grave, en raison de ces associations, ce signe constitue le tremplin pour un nouveau djihad mondial animé par la conviction que cette fois-ci la guerre se déroulera selon un scénario religieux prédéfini et devra donc réussir. »

Loin de créer une situation politique dans laquelle les deux parties – Israéliens et « Palestiniens » estiment avoir demandé et reçu des avantages égaux – de telles négociations et accords finaux créeraient précisément l’effet inverse. Cela n’aboutira pas à la création si souvent espérée d’un état palestinien « aux côtés d’Israël dans la paix et la sécurité », comme le déclare la sénatrice Warren dans son discours enregistré, mais à la déstabilisation de la région et à l’engendrement d’un chaudron incendiaire sur le point d’exploser dans une rage djihadiste annihilatrice.

« Les Occidentaux, qui à l’instar d’Elizabeth Warren, exhortent Israël « à rediviser Jérusalem en abandonnant ses lieux sacrés » a averti Dore Gold laissent croire que cela réduirait les flammes de la rage islamiste radicale, mais en réalité, ils ne feront qu’attiser ces flammes à des hauteurs jamais vues auparavant.

Si la sénatrice E. Warren et autres politiciens occidentaux ont l’intention de calmer la rue arabe en faisant pression sur Israël pour qu’il accepte une division de sa ville sainte comme une offrande de paix aux Arabo-palestiniens, ils pourraient bien obtenir l’effet inverse et mettre en branle un mouvement djihadiste et apocalyptique revigoré par une diplomatie occidentale erronée, qui une fois de plus, demande à Israël de sacrifier sa sécurité et son statut de nation, afin de permettre aux islamistes de réaliser leurs propres ambitions impérialistes et théologiques au détriment de l’Etat juif.

[Personnellement, je ne comprends pas comment les Occidentaux peuvent proposer la division de Jérusalem, dans l’espoir d’une paix chimérique ? Réalisent-ils le danger d’une telle trahison pour la nation juive et son peuple ? Sont-ils à ce point aveuglés, qu’ils acceptent de vendre leur âme au diable pour permettre aux Arabo-musulmans de réaliser leur projet maléfique, celui d’éradiquer l’Etat d’Israël de la surface de la terre ? Certains parmi eux ont pourtant lu la Bible et devraient dès lors comprendre qu’ils sont dans l’erreur la plus totale.

Jérusalem incarne depuis toujours la patrie de la Prophétie, la capitale du roi David et le siège du Temple de l’Eternel.

« Une nation a certainement besoin d’un drapeau, d’une armée et d’une économie saine pour exister, mais plus que tout, un cœur lui est nécessaire et le cœur de la nation d’Israël, c’est Jérusalem, ce coin préféré de D.ieu pour devenir le centre spirituel du peuple Hébreu. »

Personne n’a le droit de réécrire l’histoire d’un pays, d’un peuple dans le seul but de nier son droit à l’existence sur sa terre ancestrale, afin de le remplacer par un peuple inventé par les Etats arabes, dont l’unique objectif était de nuire à Israël.

En 1977, un membre de l’OLP, Zahir Muhsen admit lors d’une interview donnée au quotidien néerlandais « Trouw » que : « C’est uniquement pour des raisons politiques et tactiques que nous parlons aujourd’hui de l’existence d’un peuple palestinien, depuis que les intérêts nationaux arabes veulent s’opposer au sionisme. »

La négation de la vérité historique, si chère aux ennemis d’Israël, et l’appropriation de son histoire et de son patrimoine religieux, caractéristique première des Arabo-musulmans et grande spécialité du négationniste-révisionniste M. Abbas, selon lequel le Temple de Jérusalem n’a jamais existé, ne pourront jamais effacer l’Histoire d’Israël, ni la judéité pluri-millénaire de Jérusalem et ce, en dépit de toutes leurs supercheries malhonnêtes et mensongères. Les affabulations des Arabo-palestiniens pour effacer tout lien entre la judéité et la terre d’Israël n’aboutissent qu’à de minables fictions, contredites par les faits historiques.

Un exemple d’affabulation coranique :

L’histoire de la Mosquée d’AL-Aqsa, selon un hadith du prophète, retourne à la période d’Adam quand il a construit la première fois la Mosquée al-Aqsa après 40 ans de la construction de Ka’ba à la Mecque. Abu Dharr déclara : “J’ai demandé au messager de Dieu au sujet de la première Mosquée sur terre. Il a répondu: “la Mosquée sacrée (à la Mecque)”; j’ai demandé “et puis ?” Il a dit “la Mosquée AL-Aqsa”; J’ai demandé: “Et combien de temps était-il passé entre (la construction de) ces deux (Mosquée)?” Il a répondu “quarante ans”. Ensuite elle a été rénovée – la première fois – par le prophète Jacob, et puis – pour la deuxième fois – par le prophète David. L’édifice fut achevé par le prophète Salomon. Ka’b al-Ahbaar – qui avait été un des grands savants juifs dans la période préislamique et qui est devenu musulman – a rapporté que “Salomon a construit Jérusalem sur ses anciennes bases.” AL-Zarkashi a écrit dans la page 30 de son livre intitulé A’lam Al Masajid que “Salomon a rénové la Mosquée Al-Aqsa, il ne l’a pas construite »

Le premier Temple de Jérusalem fut détruit par le Roi babylonien Nabuchodonosor en 586 avant J.-C. et le peuple emmené en captivité. Cyrus II le Grand, roi des Perses, après avoir conquis Babylone à la mort de Nabuchodonosor, libéra le peuple hébreu captif et l’aida à la reconstruction du second Temple de Jérusalem vers 515 avant J.-C. Il rendit même les vases sacrés du Temple pillés par les Babyloniens cinquante ans auparavant. Le second Temple fut détruit par Titus en 70 après J.-C.

Faisant fi de la vérité historique – et ce avec l’aval de la funeste UNESCO, de l’inutile ONU et des « élites politiques » prêtes à vendre leur âme pour grappiller les voix musulmanes, quitte à sacrifier un pays, un peuple – pourtant attestée par des écrits et des découvertes archéologiques, quand cela contredit leurs mensonges, les Arabo-palestiniens réécrivent l’histoire du peuple Juif en la réadaptant à leurs délires : ils affirment que le Temple de Salomon a été bâti par les Cananéens, que la Bible vient d’Arabie, que le Temple juif se trouvait à Naplouse ou à Bethléem, que la présence juive en Palestine ( nom romain et non arabe) » prit fin en l’an 70 et que les Juifs actuels sont les descendants des Khazars turcs.

En arabisant les Cananéens et les Israélites et en transformant le Judaïsme de l’Israël antique en islam, l’Autorité palestinienne pille honteusement l’histoire juive authentique et y supprime le mot « juif » pour le remplacer par le mot « arabe ». Toutefois, comme tout ce qui est fondé sur le mensonge, cette tromperie, cette escroquerie historique arabo-palestinienne disparaîtra dans les brumes du néant.

N’en déplaise à tous les ennemis de l’Etat juif, le nom d’Israël ne disparaîtra jamais, car Israël signifie :

« Celui qui combat avec D.ieu ou a lutté avec D.ieu ».

C’est le nom donné à Jacob par l’Eternel après son long combat avec l’Ange. (Genèse 35.10) Ce nom « Israël » évoque les luttes qui marqueront le destin de Jacob et de sa descendance.

Aucun homme sur terre, aucune force du Mal, n’ont le pouvoir d’anéantir ce que D.ieu a décidé, or le nom d’Israël vient directement du Très-Haut. Alors, ennemis d’Israël, quoi que vous fassiez pour effacer ce nom, vous n’y parviendrez jamais. Les Romains ont essayé bien avant vous , sans succès, car une vingtaine de siècles plus tard, en 1948, c’est l’Etat d’Israël et non l’état de Palestine, qui a été restauré et la ville de Jérusalem est redevenue sa capitale une et éternelle.]

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: FrontPage Mag « Sen. Warren’s Proposal to Divide Jerusalem is Not Only Immoral, But Dangerous » (Richard L. Cravatts, PhD, Président émérite d’une communauté internationale d’experts pour la Paix au Moyen-Orient » « Scholars for Peace in the Middle East (SPME) » et auteur du livre « Genocidal Liberalism : « The University’s djihad against Israel and Jews » (Libéralisme génocidaire : Le djihad universitaire contre Israël et les Juifs)

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