Publié par Rosaly le 19 novembre 2019
Les armoiries municipales de Stanffanstrop

Dans la patrie du progressisme politiquement correct, ultra-tolérant, gay-friendly et pro-migrants, la population est exaspérée et souhaite un changement radical net.

Les Suédois n’en peuvent plus des politiques angéliques des progressistes et de leur laxisme face au problème de la sécurité. L’assassinat récent d’un jeune de 15 ans dans le centre de Malmö par arme à feu est le dernier épisode sanglant d’une longue série de crimes. Selon une enquête d’Aftonbladet, les femmes se sentent particulièrement vulnérables et inquiètes pour leur vie dans certaines zones. Il s’agit de quartiers dominés par les migrants musulmans, ces tristement célèbres zones de non- droit, où même la police n’ose plus y mettre les pieds.

En janvier 2018, Dan Eliasson, le chef de la police nationale suédoise, déclarait avec amertume: «le nombre de no-go-areas a atteint un niveau très critique. Elles représentent une attaque à notre Société.» Et depuis, la situation s’est dramatiquement aggravée. Dans le quartier de Rinkenby à Stockholm, 90% de la population est d’origine étrangère. Selon une enquête menée par Katie Hopkins, les femmes craignent de sortir de leur maison, par peur d’être agressés ou violées. Mais cela importe peu aux gauchistes -progressistes au pouvoir.

A l’ enfer multiculturel, qui prédomine dans de nombreuses villes suédoises, s’ajoutent l’extrémisme islamique de plus en plus arrogant et menaçant, et le retour des «foreign fighters» de Syrie, partis combattre pour Allah et son calife bien-aimé, aujourd’hui pulvérisé. Revenus dans leur «home, sweet home», certains ont conservé dans leur coeur aigri par la défaite de l’EI, gangréné par la haine des koufars, l’envie perverse de continuer leur lutte meurtrière contre les infidèles. Sur les 41 djihadistes rentrés en Suède, 13 d’entre eux ont déjà commis des délits, dont certains très graves. Ainsi, un combattant d’Allah a été filmé en train d’essayer de tuer son voisin avec une paire de ciseaux. Il a été arrêté pour tentative d’homicide. Nul doute que des avocats au grand coeur s’efforceront de le faire libérer avec l’aide d’associations de défense des droits des criminels sous prétexte que le pauvre, terriblement traumatisé par les affres d’une guerre horrible, souffre de problèmes psychologiques divers. D’ailleurs, s’il en arrivé arrivé là, c’est tout simplement à cause de l’islamophobie occidentale. Un musulman n’est jamais coupable, mais toujours victime.

Dès lors, la progression constante du parti des Démocrates de Suède de Jimmie Akesson ne surprend guère. Ce parti jouit en ce moment d’une popularité particulièrement élevée et dépasse dans les sondages les sociaux-démocrates du PM S. Löfven. Il est même devenu la première force politique du pays, toujours selon les sondages. Du jamais vu auparavant!

Dans ce contexte angoissant, où se mêlent la peur, l’inquiétude, la révolte, le spot publicitaire d’une petite ville suédoise fait scandale et agite le débat politique ces derniers jours en Suède.

L’histoire se déroule d’abord dans la rue d’une ville multiculturelle, puis se poursuit à Staffanstorp, une petite ville d’environ 20.000 âmes, au nord de la ville islamisée de Malmö, dans la partie sud occidentale de la Suède, non loin de l’axe routier d’Öresund, qui relie la métropole à Copenhagen, la capitale danoise.

Au début , on y voit une jeune femme suédoise de souche et sa petite fille se promener non sans inquiétude dans un environnement urbain triste et dégradé : graffitis sur les murs, le son d’une sirène en fond sonore, quelques hommes d’origine clairement non suédoise, occupés à ne rien faire, qui leur lancent des regards de travers, nettement hostiles, l’un d’eux jette même une canette dans leur direction. Petite scène devenue quotidienne dans la plupart des rues de nos villes européennes occidentales.

L’impression de dégradation est accentuée par les images monochromes en arrière-plan et par une musique, d’où émane une profonde tristesse.

Quelques secondes plus tard, le scénario change; la famille suédoise s’apprête à déménager. Dès que le camion de déménagement s’éloigne de la rue, les couleurs et la musique reviennent et apportent un sens de sécurité à la petite famille. Le panneau «Bienvenue à Staffanstorp» accueille la famille. Ici, la mère et la fille peuvent à nouveau se promener en toute sécurité, le voisinage est cordial, souriant, amical, le paysage bucolique. La famille peut se rendre au stade sans problème et le quotidien devient beaucoup plus serein. La joie de vivre est revenue. Qui parmi nous ne rêve pas de retrouver nos villes d’autrefois ?

Ce spot publicitaire est l’invitation aux Suédois de souche par la municipalité de Staffanstorp à quitter la métropole et à s’installer dans un paradis réservé «aux seules vraies familles suédoises» comme l’indiquent les sous-titres qui défilent sous les images illustrant la sérénité qui règne dans cette petite ville.

Pour la Suède, ce petit film représente un véritable tremblement de terre politique et culturel. Dans ce pays, qui depuis des années soutient de manière très ferme, voire quasiment fanatique, les politiques d’accueil imposées par l’UE, voilà qu’une administration met l’accent sur l’absence de migrants dans son propre territoire pour y attirer les Suédois de souche. Nouvel argument marketing pas très politiquement correct, mais certainement très efficace!

Même si dans le spot, les délits commis par les migrants présents dans les métropoles ne sont jamais cités de manière explicite, il est facile de deviner la référence à peine voilée à la hausse exponentielle de crimes, de viols, de délits dans les quartiers peuplés majoritairement de migrants, comme attesté par les statistiques.

La petite ville de Staffanstorp n’est pas administrée par les Démocrates de Suède, parti patriote anti-immigration, qualifié par ses détracteurs gauchistes d’extrême-droite, arrivé en troisième position lors des dernières élections législatives en 2018, mais par un Conseil du Parti des Modérés, une formation de centre-droit , généralement aussi considérée proche des positions les plus extrêmes.

Ce petit film publicitaire reflète bien un sentiment, qui commence à se répandre en Suède: le besoin de sécurité. Le « scandale» de Staffanstorp a revêtu pour cette raison une importance nationale. On en a discuté au parlement et dans les médias. Celui qui est en faveur du film parle d’une question délicate, d’un sentiment de plus en plus ressenti par le Suédois moyen, ses détracteurs eux invoquent, sans surprise, les films publicitaires nazis.

Le modèle scandinave, si admiré en Occident par les apologistes des sociétés multiculturelles à prédominance musulmane, traverse une crise profonde. Et cela ne concerne pas uniquement le thème de l’accueil. Les préoccupations englobent non seulement la sécurité, le bien-être, la qualité de vie des Suédois, de plus en plus détériorée, mais également les aides sociales généreusement accordées aux migrants au détriment des Suédois de souche. De nombreux Suédois se sentent lésés, estiment cela injuste et demandent qu’elles ne soient plus octroyées aux migrants arrivés dans le pays, mais réservés aux seuls Suédois, ayant travaillé et cotisé pour pouvoir en bénéficier en cas de besoin ou lors de leurs retraites, comme c’était d’ailleurs prévu à l’origine.

Dans un pays, où les informations sur les crimes sont soumises à une censure partielle ou totale, où toute critique de l’islam et de la politique migratoire est passible d’une peine de prison et ce dans le noble but d’éviter les phénomènes de racisme, où la nationalité des criminels ne peut être divulguée afin de ne pas nuire au «vivre ensemble» pourtant déjà mis à mal, non par les Suédois de souche, mais par «leurs invités» les forces vives, dont la Suède a besoin pour assure son avenir, le petit film décrit ci-dessus apparaît comme un exutoire naturel d’un insaisissable mal-être et d’un mécontentement de plus en plus diffus.

A l’instar de tous les pays occidentaux confrontés à une immigration de masse majoritairement musulmane terriblement frustrée, et pas particulièrement débordante de gratitude envers leurs hôtes koufars, les candides Suédois, après une période d’altruisme angélique, de déni de la réalité barbare, qui s’abattait sur leur beau pays, commencent à entrouvrir les yeux et à regretter le temps béni où la Suède était un petit paradis sur terre.

Toutefois, la solution n’est pas de cloisonner le pays en villes peuplées exclusivement de Suédois de souche et en villes abandonnées aux envahisseurs. Ces derniers par leur démographie galopante finiront par devenir majoritaires et envahiront ces havres de paix pour les soumettre à nouveau à la violence intrinsèque à leur idéologie pseudo religieuse, et/ou pour les détruire. Non, la solution doit être la Reconquista du pays sans état d’âme par les Suédois sinon cela ne sera jamais que partie remise et plus rien alors n’empêchera l’accomplissement de leur destin funeste.

A chaque peuple occidental de décider comment procéder à la Reconquista de son pays, car si nous nous continuons à tergiverser par respect de nos valeurs démocratiques, eux agissent par respect de leur mission: islamiser l’Occident et le soumettre à la charia.

Alexandre del Valle explique dans son article: «L’OCI, cet ONU de la loi islamique qui a pour mission de protéger et « d’élargir » l’oumma dans le monde.» le danger de cette organisation et comment l’islam politique se développe en Occident , dont voici trois brefs extraits.

«L’OCI a proclamé et adopté, en 1981 et en 1990, deux «Déclarations islamiques universelles des droits de l’homme» qui font clairement prévaloir l’esprit de lachariàsur toute autre considération, et qui limitent de ce fait la liberté en matière de blasphème et de droit à choisir sa religion. Dans la Déclaration islamique des droits de l’homme de 1990, il est en effet stipulé que «tous les droits et libertés énoncés dans la présente déclaration sont soumis aux disposition de la charia.»

«Le Rapport de l’OCI sur l’islamophobie qui souligne le tollé suscité dans le monde musulman par les incidents islamophobes, en particulier la publication des caricatures blasphématoires contre le Prophète Mohammed (PSL) et les remarques choquantes et irresponsables faites par le Pape Bénédicte dans une université allemande», se félicite d’avoir «exercé des pressions sur la communauté internationale dont le Secrétaire Général des Nations Unies, le Haut Commissaire de l’Union Européenne pour la Politique Etrangère et la Sécurité Communes, le Secrétaire général de la Ligue des Etats Arabes.». Ceci a débouché sur «le lancement de l’Alliance des Civilisations des Nations Unies» et la décision du Président des Etats-Unis de désigner un Envoyé Spécial auprès de l’OCI.

Le Rapport précise que «Les Islamophobes sont libres de poursuivre leurs attaques en l’absence de mesures juridiques contre la mauvaise utilisation ou l’abus du droit à la liberté d’expression».». Ce type d’initiative au niveau multilatéral porté au sein des Nations Unies, tout comme la Déclaration islamique des droits de l’homme, donne une idée de l’état d’esprit de l’OCI et de son activisme en matière de stratégie d’islamisation. En fin de compte, outre le fait que la rhétorique déresponsabilisante visant à présenter l’islam et les musulmans comme des «victimes» des non-musulmans diabolisés participe (la violence en moins) de la même logique que celle de Da’ech dont le moteur est aussi la lutte paranoïaque contre l’islamophobie, l’OCI obéit aux préceptes de la charià dans sa volonté de pénaliser le blasphème, certes déguisée par un habillage antiraciste. Précisons également en passant que les Etats les plus véhéments de l’OCI dans la dénonciation de l’islamophobie et la demande de pénalisation du blasphème sont ceux où les chrétiens et les autres minorités en général sont les plus persécutés (pas par des “critiques” mais des mises à mort) et où l’antisémitisme est le plus extrême et nazifiant.»

«L’Islam politique et totalitaire a deux grandes formes quand il se développe en Occident. La forme minoritaire est le terrorisme direct, brut, barbare. La plupart des imams islamistes « intelligents » sont contre cette forme parce qu’elle discrédite leur travail de pénétration-prosélytisme et il risque de réveiller les consciences et les réflexes de sécurité des « mécréants » que l’on préfère « endormis ». L’islamisme radical majoritaire n’est donc pas celui des terroristes, mais celui de type Frères musulmans, Tabligh ou turco-ottoman à la Erdogan, bien plus subversif et fort efficace pour amadouer les « infidèles ». Cet islamisme-soft là est plus dangereux que l’autre puisqu’il avance à petit pas et avec l’entrisme, la prédication, la subversion, le communautarisme victimiste, la fourberie, le mensonge et l’infiltration ; il se fait passer pour victime, et fait passer ses doléances obscurantistes-conquérantes pour un simple « droit à la différence » ou autre forme « d’antiracisme ». Cet islamisme-là n’a pas intérêt à reconnaître qu’il existe une base islamique shariatique totalitaire, une « violence légale » islamique, celle-là même qui est invoquée par Da’ech. Quand un groupe violent islamique invoque ces textes de l’Islam qui appellent à tuer les apostats, cela dérange ces islamistes modérés qui ont le droit de le nier (mensonge pieux et ruse de guerre), parce que cela risque de montrer que leur langage est double. Le seul moyen est donc la négation pure et simple du rapport entre terrorisme et Islam et la diabolisation des « islamophobes » qui oseraient dresse ce parallélisme-« amalgame ». Quand on a interrogé un jour Erdogan sur le génocide arménien ou le génocide des Chrétiens du Soudan, il a répondu par cette phrase ubuesque, absurde et intrinsèquement faite de mauvaise foi totalitaire: il est impossible qu’il y ait un génocide commis par des Turcs, puisque par définition un musulman ne peut pas faire le mal… Cet islamisme a donc intérêt à nier le caractère légal, officiel de la violence shariatique afin de continuer à pouvoir progresser tranquillement avec l’appui des pouvoirs « mécréants » naïfs. De ce point de vue, les islamo-terroristes gâchent ce travail de sape. Les plus dangereux des islamistes à long terme, dans l’objectif de destruction-conquête des sociétés « infidèles », ne sont donc pas forcément ceux que l’on croit. Et ils sont armés idéologiquement, soutenus, formés et encadrés par des Etats islamiques fanatiques que l’Occident croit être des « alliés » : Qatar, Turquie d’Erdogan, Koweit, Arabie saoudite, Pakistan… C’est pour cela que dans mon livre « Les vrais ennemis de l’Occident », j’affirme qu’avec des « amis comme ceux-là, pas besoin d’ennemis, et les terroristes ne sont donc que la face émergée et minoritaire de l’Iceberg-ennemi…»

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: « Nella Svezia multietnica lo spot del comune senza migranti.» (Il Giornale -InsideOVer)

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