
Bien que le nationalisme ait enregistré des victoires parfois importantes au cours des dernières années avec le Brexit et les élections de Donald Trump et de Matteo Salvini, George Soros, le grand bienfaiteur de l’Humanité, reste convaincu que le mondialisme finira par triompher.
Au cours d’une interview récente accordée au New York Times, le milliardaire philanthrope américain d’origine hongroise et mondialiste en chef a déclaré que les “nationalistes-populistes” tels que Donald Trump étaient des aberrations temporaires et que le mondialisme finirait par vaincre le nationalisme.
« Trump est une aberration, et il fait clairement passer ses intérêts personnels avant les intérêts nationaux », c’est un fait ! » a affirmé Soros aux journalistes du NYT.
« Il cause énormément de dégâts. Ce qu’il a fait au Moyen-Orient a été dévastateur pour l’influence de l’Amérique dans le monde. » a-t-il déclaré évoquant le retrait des troupes américaines de Syrie. Je pense que cela contribuera à sa disparition l’année prochaine. Donc, je prévois plus ou moins un retournement de la situation. » (Le gourou de la finance a-t-il consulté la boule de cristal de Madame Irma ?)
Pour Soros, la bête noire de la fachosphère, dixit ses partisans, la montée du nationalisme en Europe, en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde n’est qu’une coïncidence.
« Je dois admettre que la vapeur s’est renversée, mais je ne pense pas avoir échoué », a déclaré Soros à la « National Public Radio » (NPR) lors d’un entretien séparé.
Il est convaincu que le cours de l’histoire pourrait bientôt s’inverser. Selon cette éminence grise du globalisme, l’anti-globalisme a atteint son apogée avec l’élection de Donald Trump et le Brexit, mais un retour de bâton à l’encontre de ce nationalisme se profilerait à l’horizon.
Durant l’interview, George Soros, l’un des plus généreux mécènes des partis de gauche européens et américains, a déclaré qu’il croyait en la défaite de Donald Trump aux élections présidentielles de 2020 et en une victoire possible d’Elizabeth Warren, la sénatrice du Massachusetts, affectueusement affublée du joli surnom de « Pocahontas » par le Président américain.
» Elle a clairement émergé comme la candidate à vaincre. Je ne prends pas publiquement position, mais je crois qu’elle est la personne la plus qualifiée pour devenir la prochaine présidente des USA. »
Toutefois, malgré ses paroles chaleureuses à l’égard de Mrs Warren, Soros ajouta rapidement qu’il ne la soutenait pas officiellement, réalisant peut-être que tout commentaire, interprété comme un soutien, serait susceptible d’être utilisé par l’opposition.
« Je n’appuie personne, car je souhaite travailler avec quiconque emportera les élections. En général, je n’exprime pas mes points de vue, car je dois par la suite vivre avec la personne choisie par les électeurs. »
Bien qu’il reconnaisse que son programme internationaliste soit devenu plus difficile à mettre en oeuvre, suite à la montée ces dernières année des partis nationalistes dans le monde entier, le philanthrope financier reste persuadé que la vague nationaliste est en train de faiblir et que le globalisme l’emportera. (Il est permis de rêver.)
George Soros, via son ONG Open Society, ne lésine pas sur ses efforts pour réaliser son objectif de détruire les nations occidentales. Il se sert de sa fortune pour saper les gouvernements qui sont hostiles à ses plans. La Hongrie et la Pologne sont dans sa ligne de mire. Selon lui, les « vrais ennemis » de l’Occident, seraient d’une part, la Russie (et ses alliés) sur le plan extérieur et d’autre part, sur le plan intérieur les adeptes d’idées patriotiques et identitaires, « les populistes » réduits ad hitlerum, dont le tort suprême ne serait pas d’être des « fascistes » réels mais tout simplement des opposants au projet utopique d’un Village global « sans frontières ».
Tout comme G. Soros, les adeptes de ce « géopolitiquement correct » haïssent donc par dessus tout non pas ceux qui nous menacent existentiellement, identitairement, mais au contraire tous ceux qui chez nous ou à l’extérieur s’opposent le plus à l’utopie du « Village Global » et à la pénétration de nos pays par l’ennemi principal islamiste.
Les pôles de l’islamisme radical profitent de nos libertés et des relations diplomatiques qui unissent nos pays aux leurs pour tenter de fanatiser contre nos valeurs d’accueil les citoyens musulmans les plus réceptifs. Même des États musulmans, qui ne sont pas islamistes radicaux, adhèrent globalement à ce projet irrédentiste d’islamisation du monde , opposé à nos valeurs. ( le Maroc, par exemple, est très présent au sein du CFCM). Ceci est clairement attesté par le fait que la quasi-totalité des pays musulmans du monde adhère à l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) dont l’objectif déclaré est de faire régner partout l’ordre de la charia, y compris à terme dans nos cités. Que des États étrangers utilisent notre liberté religieuse, notre tolérance, notre démocratie pour monter les uns contre les autres des pans entiers de la population , ceci constitue la définition même d’un ennemi.
Ils veulent étendre partout à plus ou moins longue échéance leur ordre politico-théocratique par le « djihad de l’épée » – ces pôles, amis de l’Occident, y financent le Hamas, Ahrar al-Sham, les Frères musulmans combattants, etc. – ou par celui du « verbe ». En toute liberté, en toute légalité, ils essaient ainsi d’embrigader sur notre propre sol la population musulmane. Ces « respectables » pôles officiels œuvrent lentement mais surement via le « djihad du verbe » ou du droit démocratique subverti, à une logique « partitionniste » larvée visant à faire des communautés musulmanes fanatisées et rendues paranoïaques par le thème obsessionnel de « l’islamophobie » des entités séparatistes et hostiles, ce qu’il faut bien sûr éviter à tout prix.
L’optimisme de G. Soros serait-il justifié ? A l’aune de ce qui se passe actuellement en Europe, le vent semble à nouveau souffler contre lui : l’Allemagne entre dans une période de récession, la Grande Bretagne, sauf surprise de dernière minute, s’apprête à dire « bye bye Europe », la Hongrie ne veut pas de l’Euro et Bruxelles semble figée. A cela s’ajoutent les nouvelles fissures provoquées par la crise des migrants, avec la reprise des débarquements en Italie et des arrivées par la route des Balkans.
Berlin risque de s’effondrer sous les coups d’une récession imminente. Et comme si cela ne suffisait pas, Gyorgy Matolcsy, Président de la Banque de Hongrie, annonce que l’Euro est une erreur stratégique et qu’il est temps de trouver un moyen de sortir de son piège. Le banquier hongrois fait écho au programme de réformes préconisé par l’un des critiques les plus féroces de la Hongrie, le président Emmanuel Macron. Son programme de réformes pour la zone euro a déjà été rejeté par l’Allemagne et les Pays-Bas.
Certes, la Hongrie de Viktor Orban n’est pas en odeur de sainteté à Bruxelles, mais entendre le président d’une banque centrale qui, à la veille présumée du Brexit et face à la menace d’une récession européenne imminente, exprime son rejet de l’Euro sans respecter « les conditions préalables indispensables » n’est pas un bon signe. Et pourtant, à Bruxelles personne ne lève le moindre petit doigt.
Dans les salons du bâtiment Berlaymont, (siège de la Commission européenne) comme autrefois dans les salons du Titanic, personne ne veut voir la vague montante. L’orchestre continue à sonner et les bureaucrates continuent à rythmer les pas de danse sur le plan incliné de l’abîme.
Dans cette atmosphère surréaliste, la Présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, ne semble plus être la danseuse étoile mais apparaît comme une pauvre cane boiteuse et maladroite. A la mi-juillet, elle rêvait de changer l’UE en cent jours. Cent jours pour trouver des solutions communes au sujet des migrants. Cent jours pour chasser les brouillards du changement climatique. Cent jours pour parvenir à un « accord européen vert », capable de nous amener d’ici 2050 au seuil ou à l’utopie du « zéro émission ». Aujourd’hui, elle danse au bord de l’abîme.
A ce jour, elle n’a pas encore pu mettre en place la Commission à présider. Ainsi, plus de 5 mois après l’élection du Parlement européen, J.C. Juncker, notre cher adorateur de la Dive Bouteille, et ses acolytes sont toujours en place. Les commissions parlementaires, phagocytées par les gauchistes, ne pardonnent pas à Ursula d’avoir barré la route au socialiste néerlandais Franz Timmermans. Et pire encore, d’être la « fille » issue d’un compromis germano-français, qui s’est matérialisé grâce aux votes de Viktor Orban. Les premiers coups de feu furent tirés contre Ursula, l’effrontée, quand elle eut l’audace de déclarer: « la mission de la commissaire à la Migration est la protection du mode de vie européen ». Elle proposait non pas une « identité » ou une « Weltanschauung » (Vision du monde), mais tout simplement « la protection du mode de vie européen ». Scandaleux ! Le ciel tomba sur les têtes des sociaux-démocrates, des Verts et des libéraux-démocrates de « Renew Europe ». L’horreur des termes utilisés les fit trembler d’indignation. L’insolente Ursula commit là une “kolossale” erreur, quasiment impardonnable. Seul le silence résigné avec lequel elle s’inclina devant la pensée unique sauva Frau Ursula des conséquences de son arrogance : comment avait-elle osé établir un amalgame entre la migration et la nécessité de défendre le mode de vie européen ? Inquiétant ! L’ombre de la bête immonde rôderait-elle aussi au Berlaymont ?
De septembre à ce jour, trois des 27 commissaires proposés ont été rejetés. Et la saga continue. Tandis que de nombreuses incertitudes planent encore sur les candidats hongrois et roumain, la lutte décisive et la plus âpre concerne le français Thierry Breton, le candidat proposé comme un défi par Emmanuel Macron après le rejet de Sylvie Goulard, qui lui fit grincer les dents. T. Breton pourrait connaître le même sort. Ex-ministre de l’Economie, aujourd’hui président d’Atos, le candidat français est une sorte d’oxymore vivant par rapport aux mantras européens sur les conflits d’intérêts. Un mantra quasiment sacré pour Marghrete Vestager, la Commissaire danoise à la concurrence et Vice-présidente de la Commission devenue célèbre pour avoir sabordé la fusion entre les groupes Alstom et Siemens.
La dernière victime de cette cruelle guerre de « gangs en col blanc » des salons du Berlaymont, guerre à laquelle s’ajoutent les rivalités avec le Conseil européen et l’Europarlement, pourrait être Ursula von der Leyen.
Des retards supplémentaires reporteraient la nomination de la nouvelle Commission à janvier prochain. Toutefois, une nouvelle paralysie, alors que l’UE doit faire face au Brexit, à la crise allemande, aux menaces turques et aux concurrences chinoise et américaine , pourrait peut-être mener à choisir une nouvelle présidente ou un nouveau président.
Pendant ce temps, l’eau s’engouffre dans la salle des machines et les lumières dans les couloirs du Berlaymont commencent peu à peu à s’éteindre.
Non Monsieur Soros, le globalisme n’a pas encore remporté la victoire sur le nationalisme et les nationalistes-populistes tels que Donald Trump, Matteo Salvini, Viktor Orban et bien d’autres ne sont pas des aberrations temporaires, vous par contre êtes une aberration permanente.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources :
- « George Soros: “Globalism will triumph over nationalism. » (Voice of Europe)
- « Les vrais ennemis de l’Occident ne sont pas forcément ceux qu’on croit ». (Alexandre del Valle)
- « Anche Berlino va al tappeto. L’Europa sta andando in pezzi. » (Il Giornale.it)
Il n’est pas encore en prison, ce pirate malfaisant?
En prison ? c’est sous terre qu’il devrait être !
Ça ne va pas tarder !….
l’aberration c’est lui!
Rosaly Shalom,
Excellent article et excellente conclusion : “Non Monsieur Soros, le globalisme n’a pas encore remporté la victoire sur le nationalisme et les nationalistes-populistes tels que Donald Trump, Matteo Salvini, Viktor Orban et bien d’autres ne sont pas des aberrations temporaires, vous par contre êtes une aberration permanente”.
En fait le globalisme délétère de Soros est la version modernisée du communisme qui a entraîné l’asservissement et la mort de dizaines de millions d’êtres humains.
Quant à ce qui défini aujourd’hui et de façon péjorative comme “populisme” ou “nationalisme”, c’est en fait la volonté du droit absolu de chaque nation de préserver sa spécificité et son génie propre, en exigeant des nouveaux venus de s’intégrer et de contribuer à l’enrichissement du pays qui les accueille sans tenter d’imposer leur idéologie ou doxa religieuse.
Merci pour cet article qui intervient peu de temps après la déplorable interview de la commissaire (politique!!) à la concurrence qui ne se cache pas pour révéler ce qu’est la commission de Bruxelles : un conglomérat de technocrates payés pour asservir l’Europe à la Chine, à l’islam, aux lobbys type Soros, au détriment de l’avenir des peuples européens.
Peu de temps auparavant, c’est Merkel qui constatait l’echec du multiculturalisme en Allemagne.
A ce rythme là, Soros va finir tout seul sur le Titanic. Encore si c’était Di Caprio….
Di Caprio ?
Il est orienté GRETA.
Ils ont fait un pacte.
Grand bien leur fasse !
On est d’accord Fox69.
Je faisais allusion au beau Lėo de mes 18 ans, à l’époque de Titanic. 🥰
A lui tout seul , ce type démontre qu’aucun individu , quel que soit son bord , ne devrait jamais pouvoir disposer à son gré de sommes astronomiques.
Je suis étranger à toute pensée de gauche , mais le libéralisme économique ne doit pas permettre n’importe quoi , sinon il finira par se suicider.
Lenine aurait dit des capitalistes : “ils nous vendront les cordes pour les pendre”.
Il ne faudrait pas lui donner raison !
Les états non plus ne devraient jamais pouvoir disposer à leur gré de sommes astronomiques !
Il est où votre “libéralisme économique qui ne doit pas permettre n’importe quoi” quand c’est l’état qui contrôle 60% de l’économie?
Les Etats sont supposés représenter les peuples et être contrôlés par eux.
La crise démocratique profonde que nous vivons ne doit pas nous le faire oublier,à moins de vouloir réhabiliter la féodalité.
Ce n’est pas mon option,mais ça peut être la votre,chacun ses opinions.
Je crois que vous êtes dans la confusion des genres. Que vient faire la féodalité alors que nous parlons du libéralisme économique? Vous vous dites étranger à toute pensée de gauche. Mais vous êtes tout de même un étatiste, ce qui ne fait pas une grande différence. Comme vous le dites sans vous contredire une nouvelle fois “les états sont supposés représenter les peuples et être contrôlés par eux”. Effectivement, en toutr cas dans les états dits “démocratiques”, mais pouvez-vous nous montrer un seul état “démocratique ou non” où cela se passe comme cela est suppposé se passer. Merci.
Malheureusement la démocratie représentative est une faillite totale dans bien des pays ! Mais je ne désespère pas , on finira par trouver une solution , un libéral a toujours une dose de confiance 🙂
En revanche étatiste n’est pas un gros mot (de plus l’invective ne déconsidère que celui qui la prononce).
Comment,vous voulez le dépérissement de l’Etat ? Seriez vous communiste ?
Voyez comme il est facile de jouer avec les arguments fallacieux 🙂 🙂 🙂
Bien sûr il faut un Etat , on ne peut pas accepter de vivre sous la loi du plus fort (ou du plus riche dans le cas de Soros). Le tout , c’est d’arriver à en garder le contrôle. Démocratie participative ? Démocratie directe ? Je ne sais pas , mais on finira par trouver. Regardez déja les différences entre les USA et la France. Président élu par les représentants des territoires (les Etats) , contre le suffrage universel direct national. Elections législatives de mi-mandat d’un coté,élections législatives de même durée que le mandat présidentiel de l’autre. Liberté d’expression garantie par la constitution d’un coté,lois Pleven-Gayssot-Taubira etc… de l’autre. La démocratie est un chantier bien loin de son achèvement.
Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas d’état. Par contre, l’état doit être limité le plus possible et respecter le principe de subsidiarité. C’est pourquoi la démocratie est à rejeter d’abord en tant que dictature de la majorité quand c’est pas celle de la minorité dans des domaines qui ne sont pas les siens, ensuite parce que c’est un chantier bien loin de son achèvement. Qu’elle soit achevée ou pas, la pauvre, cela m’est bien égal. Je ne suis pas né pour être au service de l’état, payer des taxes et achever la démocratie. Je m’en fous. Je lui préfère d’ailleurs la république au sens américain (pas au sens français, of course).
Le problème avec TOUS les gauchistes, c’est leur incohérence. Donc Donald Trump est un populiste-nationaliste car il veut protéger les USA des flux migratoires anarchiques et donc incontrôlés. MAIS-MAIS-MAIS la gauche vous demandera d’acheter “local en circuit court” pour ne pas dire en court circuit afin de soutenir l’économie du pays, donc nationale, sous les prétextes fallacieux de mal-bouffe, de réchauffement climatique et de progrès chochial (aucun des trois n’existe réellement). Les Russes ont protégé leur économie nationale pendant 80 années d’une splendeur sans précédent. A la fin, ils n’avaient plus rien à bouffer, étaient attifés avec des guenilles, vivaient dans des cages à poule et n’avaient plus que des Lada pourries. Et c’est à ca qu’on veut arriver. Mais c’est Donald Trump le problème. En Walbanie, on a à nouveau le bel Elio di Rüpö oh-gay-oh-gay comme Bidisse-Résident. On aura donc les mêmes politiques qui vont droit dans le mur avec toujours les mêmes recettes qui produiront toujours et encore les mêmes échecs cuisants. Et puis, on accusera les Chinois, la mondialisation de l’économie, les baaaannnnnques, le capitalisme, Trump, le Brexit, les volcans et même les Eskimos. Et c’est reparti pour un tour au manège enchanté du socialisme durable, recyclable, walloniable et sorossable, créateur de pauvres depuis 125 ans. Ca continue et on en veut encore plus. Pour aller où, sinon droit dans le mur des cons?
soros n’est plus prophète en son pays (la hongrie), alors inutile de croire qu’il pourra encore influencer les peuples qui ne veulent pas mourir
avec Soros on aurait une civilisation Big Brother à la puissance 1000.
Les ordures finissent toujours dans les camions-poubelle.
Une place à réserver.
Nous vivons dans un immense panier de crabes.
Attali ne pourrait-il pas expérimenter son programme d’élimination des vieux sur cette vieille baderne de Soros ?
et surtout sur lui même ,en tout cas il devrait se planquer dans un trou à rat pour s’être toujours mis en avant avec ses goûts de luxe pharaoniques pour lui même (viré de la BERD )mais la pauvreté pour les autres ,s’être toujours trompé et on lui donne encore la parole,lui qui veut la confisquer à Zemmour ?
La BERD, acronyme pour Banque Européenne de Reconstruction et de Développement, est basée à Londres. Son premier président était effectivement Jacquouille la Frippouille nommé à ce poste par François la Francisque dont il avait été le conseiller (les conseillers ne sont pas les payeurs). Et Jacquouille de choisir la décoration du brol surplombant la gare de Liverpool Street: marbres de Carrare à gogo, mobilier rutilant, ascenseurs ultra-perfectionnés, etc.etc.. On se serait cru dans un hotel 20 étoiles. Une orgie de luxe et de paillettes censée aider l’Europe de l’Est à se redresser. Mais Jacquouille a été pris la cuiller dans le pot à caviar et s’est fait foutre dehors, la Francisque n’étant plus là pour protéger son protégé. Et il ose encore remettre le couvert en venant donner des leçons de vie ! Ca fait 30 ans que ce zozo nous les brise menu. Attali, c’est un bon gros coup de poing dans sa gueule d’hypocrite qu’il mérite.
le premier président de la BERD a été Jacques Piette
Ah bon, moi je croyais que c’était le Prince Charles. Et bien non, c’est Jacques Attali le premier président de la BERD. Vous devez confondre avec une autre organisation.
les loups ne se dévorent pas entre eux
Encore un peu de patience ce malfaisant ,bientot rejoindra la poubelle de l’histoire
AMEN
Tous mes compliments à notre polémiste ROSALY. Bravo pour l’excellence de la comparaison avec le drame du Titanic. Votre analyse est juste, et bien illustrée par cet exemple.
Donc rien à ajouter si ce n’est le voeu que s’accélère le rejet des populations pour cause de prise de conscience à l’égard de “l’erreur permanente” de SOROS incarnée par la technostructure de Bruxelles.
Ce qui serait rigolo ce serait que des hackers “s’occupent” de sa fortune et la détournent
excellente idée ,comment ne pas y avoir pensé plus tôt avant qu’il ne soit si protégé et commis tous ces dégâts et méfaits dans le monde
en attendant,je suppose qu’il a les moyens de se payer les meilleurs informaticiens ,on sait qu’il vit dans une forteresse blindée ,qu’il a Hollywood à ses pieds (financièrement) ainsi que les partis de gauche “progressiste “du monde ,lui le spéculateur malfaisant qu’il arrose de tous les côtés
Bonjour Rosaly
Article percutant et informatif.
Soros, ce nazi qui s’ignore, rêve d’un Grand Reich mondial.
Il serait temps de mettre fin à la carrière funeste de ce vieux débris. Mais il parait que les mauvaises herbes ont la vie dure…
Lorsque Soros déclare : ” Je ne prends pas publiquement position, mais je crois qu’elle est la personne la plus qualifiée pour devenir la prochaine présidente des USA. », une lumière rouge s’allume et je me dis que l’on sait où ira l’argent du vieux crapaud! A moins que ce soit de l’enfumage. De toute façon Bernie Sanders et Joe Biden ne sont que des planches vermoulues…
Il serait intéressant de savoir quels sont les obligés de Soros parmi les politiciens européens ! La liste doit être longue comme le beau Danube mais sale comme les égouts de Paris.
Cette Europe du veau d’or n’est rien d’autre qu’une mafia politique vendue au plus offrant ! Son déficit démocratique croissant en est le fruit pourri. L’Europe ressemble de plus en plus au marché unique de la corruption.
Comment font les peuples européens pour encore supporter cette nomenklatura sans foi ni lois ? Ce monstre bureaucratique, en fait, crée ses propres lois pour accentuer son pouvoir sur les nations. L’enjeu n’est ni plus ni moins que la liberté individuelle, mais le citoyen au lieux d’être alerté et vigilant se contente de se soumettre à ce qu’il croit être la fatalité…
Bref on continue à nous décrire, par exemple, le paradis suédois alors que c’est véritablement devenu un trou à rats digne de l’enfer. Et toute l’Europe est à l’avenant.
Je crois que je deviens raciste envers la race politicienne et médiatique de gauche; est-ce grave docteur ?
je viens de lire votre intervention à laquelle je souscris pleinement
mon post veut dire la même chose mais moins bien exprimé
Moi aussi !
“Je crois que je deviens raciste envers la race politicienne et médiatique de gauche”
c’est contagieux ,je fais partie des malades aussi
je ne supporte plus rien de ce qui s’approche de la gauche ,j’en ai des boutons
Merci on vient de découvrir ma maladie. C’est une épidémie. Surtout ne pas l’arrêter. Laisser courir!
Soros est un grand malade psychiatrique. Mais il a de grandes fortunes. Or, le monde est ainsi fait que, quand vous êtes immensément riche, vous ne pouvez plus être malade mental. La richesse ramène tout cerveau à l’état de normalité. Ainsi, vous pouvez garder le poste que vous occupez, et procéder à toutes les horreurs que bon vous semblera.
Ce schéma est exactement celui de Soros.
S’il ne possédait pas tout cet argent, il n’occuperait pas la place qu’il occupe dans l’Union européenne, il serait complètement banni de partout, voire peut-être même interné.
La puissance de l’argent est au-dessus de tout.
Si tu veux lire le dossier intégral de Valeurs Actuelles sur ce triste individu Soros, clique ici (garanti sans virus, c’est là une page d’un de mes propres site, et consultable confortablement que sur ordinateur de bureau).
Ce qui compte ce n’est pas le nom qu’on donne à un système politique, c’est qu’il fonctionne, que tout le monde ait du travail et soit content de vivre.
C’est ce qui se passe aux Etats Unis. Pourquoi chercher à casser cette dynamique ?
“Non Monsieur Soros, le globalisme n’a pas encore remporté la victoire sur le nationalisme ..”
espérons le,mais hélas Soros ce fléau maudit a beaucoup de cartes en main sa fortune lui permet de corrompre bien du monde et de fomenter mult réseaux d’influence avec ses associations ou ONG pseudo humanistes mondiales comme les pétrodollars ont corrompu bien des états
tout est fait pour manipuler et désinformer
l’ONU ,ce machine supranational ,quel est son objectif réel ?
“le Pacte de Marrakech fait il suite à un autre texte de l’ONU présentant différents scénarios démographiques pour l’Europe paru en mars 2000 et envisageant des « migrations de remplacement » intitulé « Migration de remplacement : une solution au déclin et au vieillissement des populations ?”
en attendant nos démocraties occidentales ont subi des coups avec comme victimes les classes moyennes paupérisées,insultées (facho racistes,plouc qui fument des clopes et roulent en diesel)et qu’on empêche de s’exprimer (médias pour manipuler et prêcher la mixité heureuse)
soros est le mal en personne , il est le porte-parole du diable sur terre
Les états disposent de moyens efficaces pour se débarrasser de gêneurs gênants …
Comment se fait-il que celui là continue d’infester la planète ?
Le monde de la finance déteste la stabilité et la droite a toujours fait semblant de ne pas le comprendre alors que la gauche l’a très bien compris et en use abondamment.
G. SOROS derrière tout ce qui est mal, derrière toutes les attaques à la souveraineté des peuples, derrière toutes les diffamations sur M. TRUMP, pense qu’il échappera à la Justice la Vraie, Celle d’en Haut
Aberration lui-même !!!
Tout d’abord, G. Schwartz n’est pas “intelligent” mais rusé. Il a une qualité : il est de parole et renvoie l’ascenseur.
Il a évolué dans la sphère financière où l’humain n’a pas sa place, seul le chiffre compte même si ce n’est qu’un conte. Le globalisme, ce n’est pas lui. il n’est qu’un rouage parmi d’autres. Il n’a fait que copier, à basse échelle, des méthodes d’un autre.
Il a compris les travers des humains (comme Capone en son temps), de simples vils individualistes envieux et jaloux, facilement corruptibles et superficiels de toutes valeurs. Il a compris que l’hypocrisie de ceux-ci est telle qu’une corruption directe serait perçue comme un affront, comme une stigmatisation alors il a compris qu’il fallait des récipients (ONG, CBM, Think tank, etc) pour flatter les égocentrismes et le besoin d’appartenance viscérale. Il s’est inspiré de travaux de psychologie et des stratégies national-socialistes en matières de gestion des ressources humaines et … tristement, cela fonctionne parfaitement.
Il a crée une simple maison de passe avec des péripatéticiens prêts à vendre leurs familles, leurs âmes pour conserver l’appartenance, le titre, leur travers et quelques sous.
Pourquoi lui jeter la pierre ? Pour intéresser ses supérieurs, il lui fallait monter la sauce d’un grand projet à la César et pour obtenir tout des suiveurs, il lui fallait leur promettre la “supériorité”. Plus c’est gros, plus ça passe dans les stratégies de diversion.
Il est dommage qu’il se soit retourné contre Israël et contre le Judaïsme. Il n’est pas “malade mental” mais choqué par l’enfance qui laisse les traces d’un PTSD.
Les allemands avec leur fureur barbare traditionnelle et le moustachu ont réussi à choquer de nombreuses personnes dont certaines ont fini par se culpabiliser d’être Juif. Faut-il lui en vouloir pour cette faiblesse majeure ? Etions-nous dans les camps pour comprendre ?
D’autres personnes ont gardé la foi, ont combattu les maux et ont participé avec courage à reconstruire Israël pour que chaque Juif puisse avoir un lieu.
Jeune que pouvait-il penser à la sortie des centres d’extermination lorsque les bourreaux ont été exfiltrés dans les nations développées et aussi par Hudal … ?
Il s’appelait Schwartz et ses bourreaux s’appelaient schwarz. Difficile pour un enfant de comprendre que ce simple -t- faisait la différence entre la vie et la mort.
Il garde chaque nuit ce -t- comme un tourment.
Les “savants” qui éventraient les femmes vivantes pour tester les productions bayer, ig farber, quandt … qui furent accueillis comme des “scientifiques” dans des entreprises de “bonne famille”.
Le globalisme ne sera pas parce qu’un détail a été omis dans les plans, l’humain …
L’humain est tribal et territorial depuis la nuit des temps.
Déjà dans un immeuble, dans un lotissement, entre deux propriétaires de champs, les gens, malgré des règlements, des lois, n’arrivent pas à vivre réellement ensemble … alors à l’échelle du monde, c’est une supercherie !
Les empires et le matérialisme n’ont jamais existé longtemps. La foi a traversé les siècles.
Malgré ses millions , ses liens avec l’Organisation de Coopération Islamique ses accointances avec le Frères Musulmans , Soros peut être battu .
https://www.dailywire.com/news/soros-dumped-nearly-1-million-against-republican-da-she-won-anyway-and-trolled-him-during-victory-speech
Battu , mordre la poussière et se faire ridiculiser comme l’ aberration qu’il est lui même .
C’est très étonnant qu’il soit encore de ce monde cette pourriture !!!…………….
A lui seul , ce pourri est une aberration , c’est un véritable concentré de pourriture ..C’est un manipulateur perfide , au même titre que Jupiter …..
Ce soros est très dangereux pour l’humanité entière.sa place est en enfer.ceux qui pensent ce mr fait un philanthrope,sont tous hords jeu.il a tué a lui seul et sa doctrine impériale et capitaliste,des millions d’inocent.
Le jour ou l’aberration, le cafard soros passera trépas je sabrerai le champagne. Les nationalistes populistes vont gagner du terrain et éradiquer la peste progressiste à la soros, macron et tous ces fossoyeurs politichiens.
@ CLV
Espérons que vous sablerez le champagne au lieu de le sabrer !
Sinistre personnage qui est une erreur de la Nature.
les états ont des services comme
kgb
dgse
cia
msa
les indes
la chine
les juifs
et bien d autre service , qui sont opérationnel ; donc il est possible de le réduire pour toujours lui et sa bande .. amis qui a le courage de le faire ?????????
Je me demande toujours à quel titre le bonhomme Soros se permet de faire des déclarations de chef d’Etat prétendant imposer à l’humanité sa version personnelle du ‘mondialisme’ – en même temps que son image, hélas (les outrages du temps sur un visage humain, on est au courant, mais là ça relève carrément de l’horreur).
Qui l’a élu, qui l’a mandaté, quel peuple l’a démocratiquement choisi pour leader, quel philosophie, quel système a-t-il inventés, ce soi-disant bienfaiteur d’une humanité qui ne lui a jamais rien demandé ? Sa fortune n’a même pas réussi à le rendre populaire, voire supportable, en fait il est partout haï. Il faut qu’il ait recours à des torchons comme le NYT pour se faire entendre, sinon personne ne se soucierait de lui demander son avis sur quoi que ce soit.
Si ce Juif honteux et sans patrie, bien qu’il ait acquis 3 nationalités différentes, a rejeté ses racines pour se réfugier dans un mondialisme de son cru, c’est son problème, pas le nôtre. Et ses avis, ses élucubrations, il peut les fourrer là où le soleil ne brille jamais.
Cher Pierrot,
Les états n’existent pas. Ils n’ont jamais existé.
Hier, la propriété de la terre et des ressources ; aujourd’hui, la propriété monétaire.
G. Schwartz n’est qu’un intermédiaire financier facilement remplaçable.
Le capitaliste comme le socialisme sont la stricte même chose. Il y a depuis longtemps un problème conceptuel de l’économie mondiale et de la convergence humaine. Voilà près d’un siècle que le schéma est archaïque. Nous sommes dans le stratagème plutôt que dans le conceptuel. L’Humanité est au point mort depuis la dernière révolution industrielle. Nous sommes auteurs d’une corruption mentale et économique, un paradoxe aberrant ou même les ultra-riches ne savent plus comment agir. Les plans sont foireux, c’est la première fois dans notre contemporain.
Tous les services que vous citez font un excellent travail (vous avez oublié le Pakistan) mais ils sont hiérarchisés administrativement et chapeautés par le politique, et à défaut, par son producteur exécutif (fortune du pays ou fortune externe). Ces personnes sont salariées et interdépendantes de l’économie, des ordres et de la hiérarchie. Ce sont des citoyens travailleurs et dévoués, souvent exemplaires d’ailleurs par leur engagement et leur patriotisme mais ils ont des familles et le droit de parole leur a été constitutionnellement confisqué.
Certains disent qu’ils vont retirer leurs argents des banques mais cela n’aurait aucun impact comme peut vous l’expliquer Guy, diplomé d’économie. L’épargne des individus est le plus souvent illiquide (immobilier et assurance-vie). Les individus ont converti une grande part de leur vie à travailler sans intérêt, à s’occuper pour rapporter la paie qui finance la bicoque à crédit, cette charge sur 20, 30, 40 ou 50 ans et la belle voiture sur 7 à 10 ans. Les gens ont hypothéqué leur vie, leur existence, leur liberté contre des illusions. Aisées ou pauvres, la plupart des personnes sont pendues par la dette et les entreprises par la surcharge des charges. Combien de libéraux continuent leurs activités car l’arrêt impose un reliquat de charges souvent supérieur à leurs liquidités, voire leurs épargnes ? Idem pour les transmissions de PME.
Souvenez-vous que Lehmans comme Babcock sont partis en quelques jours et aujourd’hui, le fleuron industriel mondial qu’était GE, GM, Toyota, Unilever, Maerks, Evergreen cèdent et Exxon piétine comme Wal-mart. Ces entreprises ne sont pas virtuelles. Elles ne produisent pas du numérique ou des extrapolations, elles produisent des biens tangibles, du concret.
Si W. Buffet stocke le cash, c’est parce qu’il sait que la machine est en rupture et que les titres vont chuter si bas que 100 milliards de cash suffiront à racheter plusieurs trilliards de tangibles.
Voyez où nous en sommes rendus …
https://www.theguardian.com/business/2019/oct/15/bank-of-england-boss-warns-global-finance-it-is-funding-climate-crisis
Les monnaies dépendent maintenant de la température. Le réchauffement va faire fondre les monnaies (lol). Ca surchauffe même au Royaume.
oui et magnifique rédaction je suis OK avec vous
Mais ou est l homme et la femme et la famille dans la grande tourmente des centrifugeuses de l argent ..
nous sommes que des pions
je suppose que vous être comme moi un gamin d après guerre 39/45
que restent ils de/ valeur /honneur /patrie /// sur le gaillarde avant
KENAVO DU B.Z.H.
La finance internationale et le gros capital en général ne sont pas les amis du peuple, c’est aussi simple que cela. Money makes the world go round ? Peut-être, mais les identités le font marcher tout droit, alors que lui et ses a-(l)-colytes aillent faire leur cabaret ailleurs, merci.
En chacun de nous, il y a deux voies : la et le péripatéticien(ne) absurde et dégueulasse et de l’autre, les fondements de la vie (l’individu, la famille).
– Les faibles penchent vers le péripatéticien qui est une facilité, une éclipse des fondements.
– Les forts penchent vers les fondements de la vie malgré les délabrements sociétaux.
Chacun est responsable par sa conduite et ses actes. Le monde est un organisme avec ses organes sains, ses parasites, ses bactéries, ses anticorps … Le comportement quotidien de chacun façonne le monde.
Les habitudes, les croyances et le fatalisme sont l’infection ou les vecteurs infectieux.
Valeur, honneur, patrie, même si nous les partageons, sont des outils sociologiques d’asservissement par le positivisme à une cause souvent individuelle. Les guerres passées ont été faites sur ces “valeurs” mais ne servaient que des intérêts individuels. Ces “valeurs” permettent d’envoyer des gens au combat, de s’entre-tuer et de se faire tuer avec l’illusion qu’ils ont été utiles à la “société”. Imaginez les économies d’échelle sur les retraites grâce aux décès, sur les propriétés en déshérence, sur la consommation, sur les frais de santé et sur la dette contractée par le perdant.
J’ai connu de près beaucoup de gens sans valeurs valant valeur.
Je vous invite à lire ces 2 articles-là, et il est plus que probable que l’ordure soros a à voir avec cette réunion-là :
https://ripostelaique.com/80-de-la-population-mondiale-devra-disparaitre-avant-la-fin-du-xxie-siecle.html
et
https://resistancerepublicaine.com/2019/11/04/pourquoi-ont-ils-choisi-lislam-pour-nous-exterminer/
Le nom de soros n’est pas mentionné dans le livre à l’origine de l’information sur la réunion qui a eu lieu à l’hôtel FAIRMONT situé à San-Francisco, du 27 septembre au 1er octobre 1995, je vais faire des recherches en ce sens…
Titre du livre :
” Le piège de la mondialisation : L’agression contre la démocratie et la prospérité ” – paru le 04 janvier 1999 en français, mais fin 1997 en allemand – les 2 auteurs sont
Hans-Peter MARTIN & Harald SHUMANN, 2 journalistes à l’époque pour le SPIEGEL, dont le premier a assisté à la réunion dont il est question dans l’article et évoquée dès le début de leur livre…