Initialement publié le 16 novembre 2019 @ 09:52

Au risque de nous répéter, revenons une fois encore sur cette monumentale imposture et fausse notion d’ « islamophobie » ainsi que sur les stratégies de conquête des islamistes et de leurs suivants musulmans « modérés ».
Il s’agit de rafraichir la mémoire défaillante des hypocrites malsains de tous bords et celle des collabos de l’islam-isme. Dans le déni des réalités, ces catégories d’autistes refusent de se poser les bonnes questions et de regarder le réel en face.
Des mensonges de l’islam
Des factions islamistes de la confrérie des Frères musulmans de France dans un esprit de dissidence et de défi tentent depuis des années un bras de fer avec l’État laxiste et complaisant. Ils agissent contre la société française pour nous imposer de fausses injonctions de la charia, la loi islamique moyenâgeuse au-dessus des lois de la République, au nom de la liberté religieuse dans un pays qui se réclame de la laïcité.
D’abord, l’islam n’est pas une religion au sens du christianisme. C’est une religion totalisante, normative, sociale et totalitaire, édictant un code impératif et des lois organisationnelles de la vie du croyant dans sa soumission totale ; c’est un tout religieux et politique. Il n’existe pas un islam exclusivement spirituel, religieux, et un autre politique qui serait, lui, « islamiste ». L’islam est un, foncièrement et éminemment politique, « islamiste ». La distinction faite d’abord par les musulmans/islamistes, ensuite par la classe politique et nos médias d’Occident est fausse, hypocrite et dangereuse. Dans la novlangue orwellienne de propagande, de conditionnement et de dissimulation, il s’agit de faire croire qu’il y a en réalité deux islams dont le premier serait spirituel et pacifique. Premier mensonge.
Vient s’ajouter un deuxième mensonge à rattacher au premier qui est celui de faire croire que l’ « islam jihadiste » violent, conquérant et impérialiste, est simplement une application politique abusive et dévoyée d’un islam exclusivement spirituel lorsque la violence est constitutive de la doctrine. L’islam, politique et religieux, est par essence jihadiste (islamiste).
Troisième mensonge est de nous faire croire que le soufisme ultra minoritaire dans le monde – non reconnu, sectaire et seulement toléré des quatre écoles juridiques de l’islam – est exclusivement mystique et spirituel. Dans toute l’histoire, tous les grands maîtres du soufisme furent jihadistes, incitant à la violence et hautement discriminatoires envers juifs, chrétiens et autres non musulmans, tout comme les quatre écoles juridiques de l’islam. Soutenir le contraire relève de l’imposture[1].
Le quatrième mensonge est de faire croire que le voile islamique est une obligation religieuse. Et ce n’est pas un simple « foulard » de grand-mère, ni le voile des religieuses chrétiennes mais une arme de guerre idéologique et culturelle, une distinction de rupture avec la société civile aux fins d’imposer un islam rigoriste et, à terme, la charia. Le cinquième mensonge est de faire croire que le voile islamique serait une liberté religieuse, lorsque c’est une soumission totale à l’homme misogyne plus qu’au Dieu de l’islam, Allah.
Pour l’instant, laissons ici de côté toute une série conséquente d’autres mensonges, entre autres, celui d’un « islam de France », d’un « islam modéré », du « foulard » islamique, le « vivre-ensemble », « islam veut dire paix » (et non soumission), islam de « tolérance et de paix » (quoi que la tolérance est une notion inégalitaire, de rapport de force), etc.
L’islam n’est ni « de France », ni de Navarre, encore moins de Patagonie ou de Papouasie. Il est unique dans toute la diversité et les variantes de ses écoles théologiques, il se réfère à un seul Coran, un seul corpus de Hadiths, une seule charia, une seule sira, une seule sunna et une seule doctrine pour tous les musulmans. L’imposture est de nous faire croire qu’il y aurait une pluralité d’islams mystiques, spirituels, pacifiques, non politiques, non jihadistes et non violents. L’histoire de cette religion tout au long de treize siècles démontre le contraire, et ceci est vrai pour toutes ses écoles religieuses et théologiques confondues dans le monde.
Il n’est donc pas étonnant que l’islam ait fait si bon ménage avec le totalitarisme jacobin, celui du marxisme-léninisme et celui national-socialisme, fasciste et nazi, dès les années 1930-1940.
L’arbre vénéneux de l’islamophobie cache la forêt du racisme coranique génocidaire
Mais l’un des plus récents mensonges dans l’histoire de la stratégie mondiale de conquête de l’islam politico-jihadiste est celui de l’ « islamophobie »[2], assurément une imposture au sein du champ lexical et du champ sémantique. Au moment où aujourd’hui les actes anti-musulmans sont au plus bas, tandis que ceux anti-judaïques et anti-chrétiens sont en hausse considérable du fait de la culture islamique et coranique importées en France et en Europe depuis quatre décennies, la victimisation islamique est un mensonge éhonté supplémentaire.
En 2018, l’ « islamophobie » fictive invoquée par les islamistes, leurs suivants « modérés » et les gauchistes auraient donné lieu à 100 actes anti-musulmans (le plus bas niveau depuis 2010) pour 7,5 millions de musulmans environ. Par contre, on recense 1063 actes anti-chrétiens (1038 en 2017). Ce qui représente 10 fois plus que les actes anti-musulmans. On recense 541 actes antisémites pour environ 450 000 Juifs, soit un ratio de 1/832 (une augmentation de 74% par rapport à 2017). Le rapport est donc : 7,5 million/ 100/ 832. Ce qui équivaut à 90 fois plus d’agressions antisémites qu’antimusulmanes. Les Juifs de France concentrent 40 % des actes de haine. En 40 ans, de 1979 à 2019, on dénombre 33 769 attentats islamistes qui ont fait 167 096 victimes dans 81 pays, dont 317 en France.
La religion est-elle une phobie ?
On s’étonne tout de même que les uns et les autres adeptes de la novlangue orwellienne, continuent toujours d’utiliser dans leur vocabulaire politique, médiatique, juridique, éthique et religieux et de nous rabâcher ce faux terme d’ « islamophobie », pseudo notion impropre à la langue française (et autres occidentales). Pourtant, même Tariq Ramadan, l’une des références des Frères musulmans en France, en Suisse et en Europe, a été interpellé par le passé au sujet de cet abus de langage d’ « islamophobie » et, embarrassé, sa réponse a été de dire qu’il n’utilise plus ce mot car, en effet, il associe et met en correspondance improprement racisme, religion et phobie.
La phobie est une « pathologie psychique » de la catégorie ou de la famille des troubles anxieux/phobiques qui, le plus souvent, nécessite une prise en charge médicale psychiatrique. Car, le patient conscient de sa peur irrationnelle ne maitrise plus sa vie. Ce qui vient ruiner les faibles arguments des excités du néoparler lanceurs d’anathèmes, abusant de cette monumentale fumisterie concoctée par les islamistes de l’ « islam de France ».
Ce sont bien les sournois Frères musulmans, ces excités analphabètes de la langue, ceux du CCIF, de l’UOIF (et autres associations essentiellement fréristes, ou infiltrées par cette confrérie jihadiste) et même le CFCM qui utilisent ce terme d’ « islamophobie » en fer de lance pour tenter d’imposer leur idéologie toxique et totalitaire en France et en Europe. Bien entendu leurs porteurs de valises, les dhimmis des médias européens et les gauchistes leur emboîtent le pas en bons collaborateurs avec beaucoup de zèle. Cela nous rappelle la sombre époque de la guerre de 1940.
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Quoi qu’il en soit, l’on perd de vue que dans le monde arabe, notamment en Égypte, de plus en plus d’intellectuels, d’universitaires, d’acteurs sociaux, de journalistes, de libres-penseurs, d’apostats et de vrais islamologues connus – et non les bricoleurs approximatifs habitués des plateaux de France-TV – dénoncent et critiquent avec la plus grande sévérité cette religion dévastatrice[3]. Ils sont accusés de kufr et d’irtidād, d’ « apostasie » et de « défection », nullement d’ « islamophobie ». Ce mot de la novlangue a été réinventé, redéfini par les islamistes spécialement pour l’Occident aux fins de dissuader tout individu d’une quelconque liberté de penser et de liberté d’expression. On appelle cette stratégie le « terrorisme de la pensée » du « jihad idéologique », que les médias européens pratiquent bêtement avec beaucoup de zèle, piétinant dangereusement ainsi la liberté d’expression.
La religion est-elle une race ?
Selon de plus en plus de musulmans, y compris « modérés », l’islamophobie est du racisme. Ce racisme ne serait pas une opinion mais un délit. Pourtant, selon la saine logique, les deux parties de la proposition sont fausses et absurdes.
Du côté de l’islam, l’ « islamophobie » en question est le moyen de ne pas se départir du prosélytisme conquérant et d’imposer à tout prix l’idéologie islamique. Face aux féroces critiques des fondements de l’islam dans les démocraties occidentales, les musulmans affolés, inquiets et en colère tentent dans la désespérance et la panique d’imposer par ce néologisme d’islamophobie le délit de blasphème et d’en faire un nouveau racisme. Mais depuis quand une religion est-elle une race ?
Curieusement, la justice elle-même se plie parfois au jihad judiciaire, ce terrorisme contre la parole libre que les islamistes pratiquent à l’encontre des potentiels adversaires comme par exemple l’historien Georges Bensoussan, relaxé en appel pour une fictive « islamophobie » mais les fanatiques du CCIF se pourvoient en cassation et perdent leur procès. Dans leur communiqué officiel, les islamistes fréristes ont continué d’associer abusivement et improprement l’ « islamophobie » pêle-mêle au « racisme », à la « discrimination » et à la « haine » envers les musulmans[4]. Si la première est déjà un racisme à leurs yeux pourquoi lui adjoindre un second « racisme » si ce n’est que pour les mettre en correspondance artificielle ? Exactement comme dans un panneau de la manifestation du 10 novembre dernier : « Le racisme est un délit, l’islamophobie aussi ». Revenir à la charge encore et encore jusqu’à ce que le mensonge accompli rentre une fois pour toute dans les crânes réfractaires ?
L’imposture devenue mondiale n’est pas seulement grotesque, elle est totale et même loufoque par l’absurdité de ces associations incongrues. Mais c’est bien le matraquage médiatique abusant d’un néoparler orwellien qui insiste et entretient cette imposture lexicale et sémantique, dans la méconnaissance dramatique du fond du problème et de la gravité de ses conséquences.
Jean-Luc Mélenchon, pour ne citer que l’exemple le plus hypocrite de son mouvement de la « France (in)soumise », s’est enferré à défendre les islamistes au nom de sa conception d’une laïcité à géométrie variable et de l’argument suprême de l’antiracisme. Comme si l’islam était une « race ».
Et comment un être humain sain d’esprit n’aurait pas le droit de craindre une idéologie religieuse qui a prouvé son totalitarisme le plus absolu depuis les origines à nos jours ? Et comment la peur de cette idéologie est-elle du racisme ? L’incohérence intellectuelle des islamistes et de leurs collabos est lamentablement patente.
Cette mystification a pour but sournois de faire de l’Islam un objet intouchable et tabou.
De l’islamo-lucidité
Considérer la lucidité verbale des citoyens de tous bords (croyants, athées, laïques, religieux, libres-penseurs, etc.) sur la nature foncièrement totalitaire de l’islam comme étant de l’ « islamophobie » est absurde, risible et mal venu, voire dangereux, d’autant que ce néologisme dissuasif et terroriste des Frères musulmans est un non sens, un faux concept, une construction artificielle.
La religion n’est ni une race, ni sa critique une pathologie psychique phobique. La critique d’une religion n’est pas du racisme, c’est une liberté d’expression. Cette liberté d’expression ne peut pas être non plus une haine ontologique à l’encontre du musulman à qui l’on doit respect, égalité et fraternité, pourvu qu’il soit citoyen comme les autres et non dans la logique de la rupture républicaine. L’étude critique de la religion n’est pas un trouble psychique de type anxieux : la phobie de l’islam. Sinon, toute personne critique de l’islam et de ses fondements serait-elle atteinte de désordre mental psychopathologique ? Bizarrerie et grossier malentendu agressant la langue que l’Académie française aurait dû condamner haut et fort, officiellement et fermement, depuis longtemps.
Cependant, pour être plus juste, le dictionnaire de l’Académie française, confirme l’ambiguïté du terme, puisque les deux définitions – rejet de l’islam en tant que système et rejet des musulmans en tant que personnes – sont intentionnellement et improprement confondues dans le même terme d’ « islamophobie ». L’Académie française souligne qu’il n’y a pas, à ce jour, de définition différente et distincte pour chacun des deux sens. La distinction à faire n’est pas entre islam religieux et islam politique ou jihadiste, elle est entre islam et musulmans.
Il s’agit donc d’un grossier mensonge des islamistes afin de faire, d’une part, un racisme de toute critique de la religion, et, d’autre part, une haine contre les musulmans.
De la responsabilité complaisante des médias
À ce titre, l’« islamophobie », ce néologisme dissuasif et impropre de la novlangue islamique/islamiste et médiatique française et internationale, fausse notion piégée par les Frères musulmans, est répétée en toute occasion comme un leitmotiv dans nos médias. C’est une imposture à faire admettre et rentrer de force dans le langage courant et dans les esprits réfractaires ou serviles, l’imposer comme un fait accompli répréhensible. C’est un répugnant procédé de propagande et de manipulation au relent goebbelsien.
Cette notion abusive est reprise en chœur par nos médias propagandistes lanceurs d’anathèmes et d’opprobres sur ceux qui osent utiliser cette liberté critique pour la réduire à une pathologie, la phobie. Ainsi, les médias aux ordres, et les porteurs de valises de l’islam-isme toxique, collabos et traitres, continuent de violer notre liberté et de faire la propagande de ce mot pourtant contesté par des universitaires (lexicologues et linguistes) de renoms et des académiciens de la langue française.
L’islamophobie est plutôt une saine lucidité que les musulmans refusent et rejettent pour ne pas voir les réalités de leur Coran et des Hadiths qui appellent au meurtre et à la haine des non musulmans. Alors, par réflexe pavlovien et en contre-offensive, ils convoquent l’inversion des rôles.

La stratégie islamique de l’inversion des rôles
L’esprit de conquête de l’islam procède d’une stratégie prédatrice calculée et réfléchie, comme esquissé plus haut. Il faut lui ajouter celle de l’inversion des rôles, la victimisation outrancière du musulman.
Comme d’habitude, les islamistes procèdent par l’inversion des rôles et se mettent dans la peau de la victime en accusant les intellectuels, les philosophes et autres écrivains qui ont un discours clairs sur l’islam en tant qu’idéologie politique totalitaire, et de les accuser d’alimenter la haine et le racisme. Ils se servent de cette imposture sémantique essentialisée, racialisée en même temps que psychopathologisée d’« islamophobie » pour nous détourner des réalités du terrain des pays musulmans de leurs origines dans lesquels le racisme, la haine et la violence coraniques, l’antisémitisme et l’antichristianisme sont endémiques et enracinés depuis des siècles. Ce poison toxique et mortel gagne maintenant l’Europe et la France grâce à ces pleureuses islamiques professionnelles simulant l’amnésie historique, soutenues par un cortège de comparses des gauchistes en porteurs de valises, idiots utiles de l’islamisation.
Lors de cette marche du 10 novembre dernier, d’abord antirépublicaine et en faveur de l’islam, ensuite accessoirement contre une fictive islamophobie, on aura vu les deux extrêmes inconciliables et contradictoires, pourtant calculés avec soin. Les Frères musulmans incitent la foule à scander le takbir, le Allah akbar (« Allah est le plus grand »), cri de guerre qui rappelle la bataille victorieuse de Badr menée par Mahomet en 624. À l’opposé, des manifestants qui portent une étoile jaune marquée d’un « muslim », des faux martyrs n’ayant aucune honte, ni pudeur à se comparer aux victimes juives de la Shoah. Intentionnellement, il s’agit par cet acte ignoble (mais d’une ignorance crasse) de choquer et de marquer durablement les esprits en même temps qu’endosser le statut de la victime par un visuel rappelant l’étoile jaune de David « Juif/Jude ». Cet énième mensonge a pour but d’impacter l’opinion publique.
Conclusion
En réalité, l’islam en tant que théocratie s’est construit dès les origines et tout au long des siècles sur des perpétuels mensonges cumulatifs de telle sorte que les musulmans ne s’en sortent plus en ce XXIe siècle de déferlante d’information en temps réel. À l’ère des réseaux sociaux et des Smartphones libérateurs de la parole et du savoir non censuré, ils sont déboussolés et déstabilisés. C’est ainsi que l’islam à ces conditions renforce l’autisme face au réel, maintient les musulmans dans le déni entêté qui relève de la schizophrénie culturelle à la limite du pathologique. Sa stratégie donc est l’auto persuasion, de poursuivre dans l’intimidation, la menace, voire la violence, et surtout le mensonge et l’inversion des rôles par le chantage victimaire, tout en s’appropriant sans vergogne de symboles impactants (comme l’étoile jaune et la croix gammée, selon les circonstances).
En résumé, l’islamophobie : (1) racialise la religion de l’islam ; (2) confond improprement mais intentionnellement islam en tant que système global et les musulmans en tant qu’individus (mais à traiter en citoyens de plein droit s’ils sont respectueux des lois de la République) ; (3) essentialise cette idéologie politico-religieuse ; (4) en plus d’en faire, contre toute logique, une affection psychopathologie phobique ; (5) et enfin, tente de s’imposer en tant que racisme délictuel. Les gens qui craignent la violence de l’islam, c’est à juste titre et non parce qu’ils sont atteints d’une phobie obsessionnelle et pathologique, et s’ils critiquent ses fondements, ce n’est pas du racisme ni envers la religion, ni envers les musulmans.
Cette fausse notion d’islamophobie, fer de lance de l’islam, aussi bien politique que religieux et jihadiste – incluant les islamistes, les Frères musulmans, les salafistes/wahhabites, les soufis et autres – est de faire taire par tous les moyens toute critique légitime d’une religion aux abois. En perdition en Orient arabe, en Iran, en Indonésie et ailleurs, l’islam commence à se fissurer par des millions de défections, de conversions, d’athées et d’apostats.
Tandis qu’en Europe et en France, nous en sommes encore aux revendications moyenâgeuses de l’islam autiste et dans le déni du désespoir qui refuse de voir le réel en face, mais surtout sans ce courage et absence de lucidité de faire son autocritique comme l’ont fait le judaïsme et le christianisme avant lui.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.
Notes
- [1] Voir à ce sujet l’ouvrage d’Ephraïm HERRERA (Préface Paul B. FENTON), Les maîtres soufis et les « peuples du Livre ». Studia Arabica XXIV (dirigée par Marie-Thérèse URVOY). Versailles, Éditions de Paris, 2015.
- [2] Voir Philippe d’IRIBARNE, Islamophobie : Intoxication idéologique. Paris, Albin Michel, 2019.
- [3] Voir Maurice SALIBA (Préface d’Henri BOULAD), L’Islam mis à nu par les siens – Anthologie d’auteurs arabophones post 2001. Éditions Riposte Laïque, 2019.
- [4] Du CCIF, Communiqué du 24 mai 2018, Georges Bensoussan relaxé en appel : le CCIF se pourvoit en cassation : « En tout état de cause cette décision [la relaxe en appel] extrêmement surprenante entérine-t-elle des propos ouvertement racistes et islamophobes tenus sur une chaîne du service public ? Confirme-t-elle qu’il est désormais possible d’inciter à la discrimination, à la haine envers les musulmans ? ».
Je ne suis pas islamophobe, JE SUIS ISLAMO-DESTRUCTEUR
Moi aussi , mais j’ai 88 ans et pas d’arme , que faire ?
+1
inversion des roles!, le bourreau devient victime
mais aussi déshonorer l’adversaire, rendre impossible la discussion, attaquer surtout sur le plan moral, il faut que l’adversaire soit un scélérat.
voilà ce qui devient une habitude!
comme l’insulte “populiste” est devenu pour moi une fierté, je clame haut et fort être islamophobe
je n’aime pas ceux qui veulent tuer des juifs ou des chrétiens (96 versets du coran)
je n’aime pas ceux qui proclament que la femme n’est qu’un champ à labourer à loisir
je n’aime pas ceux qui me promettent de l’eau purulente, du cuivre fondu ou du goudron brulant à boire et de l’herbe sèche à manger
je ricane quand ils veulent me faire croire que la terre est plate comme un tapis surmonté de sept strates de cieux.
etc
A nous de faire l’exact inverse, puisque les vrais victimes c’est nous les Chrétiens et les Juifs, en un mot “les gens du LIVRE”….
“les gens du livre” est une expression musulmane qui designe Juifs et Chretiens a la vindicte et a la haine populaire. Vous devriez refuser cette expression honteuse. Je refuse d’etre designee ainsi. Les juifs se designent eux meme comme ” le peuple qui sanctifie le 7 eme jour. Cela me suffit . Pour les musulmans le seul livre c’est le coran . Non merci, je n’en suis pas.
Excellent texte qui se marque par la clarté de la langue. Pas de langue de bois merci!
Et le 7e ciel alors ?
“Cette liberté d’expression ne peut pas être non plus une haine ontologique à l’encontre du musulman à qui l’on doit respect, égalité et fraternité, pourvu qu’il soit citoyen comme les autres et non dans la logique de la rupture républicaine.”
Il faudrait encore tout d’abord définir, exactement et une fois pour toutes, pour ne pas nager éternellement dans le flou se prêtant à toutes les sauces interprétatives, aussi contradictoires soient-elles, ce qui veut dire le terme “musulman” et ce qui implique une telle dénomination.
Puisque je ne vois aucune raison de “devoir respect, égalité et fraternité” à un adhérent déclaré et affiché à une idéologie totalitaire néfaste.
Si je “dois respect, égalité et fraternité” à un être humain en tant que tel, ceci ne concerne plus une adhésion idéologique attribuant un nom déterminant précis et distinctif à celui qui l’adopte.
Je “dois respect, égalité et fraternité” à un être humain en tant que tel, pas à un nazi.
Je “dois respect, égalité et fraternité” à un être humain en tant que tel, pas à un stalinien.
Et c’est quoi, un “musulman” sans l’islam, sinon le couteau de Lichtenberg, un couteau sans lame auquel ne manque que le manche ??
@ Aspirine
Bonjour.
J’entends ici par « musulman », celui comme ceux qui s’expriment dans l’ouvrage de la note 3 de l’article (Maurice Saliba, L’islam mis à nu par les siens). Lire entre les lignes… s’il respecte la loi républicaine (et non en rupture avec celle-ci) alors, celle d’Allah n’est plus au-dessus. Ce serait alors un mauvais musulman aux yeux de l’islam, ou pas du tout vrai musulman.
Plus on avance, plus on a tendance à penser qu’ « un bon musulman est celui qui quitte l’islam ». Et ce sont des apostats, ex musulmans d’Orient – et non du prétendu « islam de France », loin des vraies réalités du monde musulman qui se fissure –, athées ou convertis au christianisme et qui connaissent leur religion de l’intérieur qui le disent.
Et, pour votre information, en Orient arabe, en Iran et ailleurs, il y a des millions qui quittent l’islam depuis une bonne décennie. Un phénomène nouveau et inédit dans l’histoire.
Cordialement
FS
“Et, pour votre information, en Orient arabe, en Iran et ailleurs, il y a des millions qui quittent l’islam depuis une bonne décennie. Un phénomène nouveau et inédit dans l’histoire.”
Oui, j’aimerais tant le croire. Mais pendant ce temps, en Tunisie, considérée comme “exemplaire” du point de vue occidentocentriste, c’est Harakat en-Nahḍa (“Mouvement de la Renaissance “) de Rached Ghannouchi qui a gagné les élections. Et de quelle “Renaissance” est-il question ici ? Je vous laisse deviner…
Comme le souligne René Marchand, l’islam ne peut être qu’éternellement involutive. Comme dans toute idéologie qui se veut holiste, si l’on ôte une seule brique, c’est tout l’édifice qui s’écroule.
J’ai eu jadis beaucoup d’admiration pour Ann Barnhardt qui dans une vidéo avait brûlé des pages de coran devant la caméra. Mais en fait c’est une intégriste catholique.
Dans le monde de la persistance des monothéismes concurrentiels (et autres hindouismes massifs), avec leurs ailes fondamentalistes par définition actifs et agités, croyez-moi, l’islam n’est pas prêt à disparaître.
Cordialement, M. Landau
@ Aspirine (réponse 2)
Bonjour.
Détrompez-vous, cher Monsieur ! C’est là le plus grand péché actuel de l’Europe : le doute de soi. L’islam est dans une phase de lente déliquescence et d’agonie depuis la chute de l’Empire ottoman en 1923.
Les soubresauts du monde arabo-musulman du XXe siècle et ceux de ces débuts du XXIe sont plutôt le chant du cygne. La violence se fait de plus en plus meurtrière dans le monde comme contrecoup et contre-offensive de cet effondrement, ou plutôt de cette implosion annoncée. Preuves en est, ces retours pseudo salutaires à une fausse « Renaissance » à l’islam des origines, et l’urgence d’un Recep Erdoğan de rêver d’un nouveau califat.
Ce XXIe siècle est – et sera – dévastateur pour l’Orient musulman, sauf exceptions (le Liban ? et l’Égypte, seul pays en Orient qui a vu ses chrétiens augmenter en %, 17% et non 10% comme on le dit invariablement depuis plus de 60 ans + quelques 2,5 millions en diaspora).
En Occident, tous ces mouvements fanatiques de l’islam qui ‟prospèrent” (faussement) ne sont que l’agitation d’un monde musulman involutif qui sait très bien qu’il est fini. Alors, il tente de sauver les meubles dans l’urgence de l’agitation prosélyte agressive et violente, sinon d’entraîner l’Occident dans sa chute.
La chute est inévitable, mais l’Occident s’en sortira, grâce aux valeurs (éthiques, humaines et religieuses du judéo-christianisme) acquises tout au long des siècles que le monde musulman n’a pas su développer, ni même appréhender depuis treize siècles.
Bien à vous
FS
_______
“qu’au Dieu de l’islam” – Comme ça m’agace d’y voir cette majuscule ! de même que l’islam n’a rien de commun avec le christianisme, son dieu Allah n’a rien voir avec notre Dieu.
Je comprend votre agacement, AD1683, mais c’est par convention. On met une majuscule au “D” de Dieu.
Dans les traductions officielles du Coran en langue française, ceux qui traduisent Allah, par Dieu, mettent une majuscule “D”.
Bien à vous
FS
Je suis totalement athée (ou agnostique), et je ne manque jamais de mettre le D en majucule pour Dieu.
Par respect de la croyance des autres.
Si les musulmans avaient le même respect de la croyance des autres, tout irait beaucoup mieux de par le monde
La preuve de plus en plus flagrante que l’islam n’est en aucun cas une religion ; MAIS bel et bien une théorie politique de conquète ………..Tout les germes de la destruction sociale sont dans l’islam …………….
je suis islamophobe , et on ne peut me reprocher d’avoir une phobie de l’islam ……..
Et , c’est un euphémisme !……………………
Ils commencent sérieusement a nous “emmerder” les musulmans avec leur islam /
Le templier
Il y a pire que l’islam : les collabos, les mauvais Français qui pactisent avec le diable.
François Sweydan
Merci pour cet article limpide. Il démontre à quel point ce mot “islamophobie” relève de la propagande et doit être rangé dans la catégorie : délire sémantique.
Le problème vient aussi du fait que le mot en question est d’un usage facile.
C’est plus difficile de se qualifier par un mot composé comme anti-islam ou islamo-lucide. Perso je crois qu’il faut dénoncer et rejeter systématiquement le coran et les hadiths. Cette pseudo religion ne prône rien d’autre que l’esclavage pour tous.
L’islam n’a rien à faire dans la sphère publique.
Encore une fois, on ne dialogue pas avec l’islam, on le combat.
Je ne rate jamais l’occasion de signaler à l’utilisateur de ce terme (islamophobie) qu’il parle d’une maladie mentale et que c’est comme cela que certains pourraient se retrouver en hôpital psychiatrique si cette secte nauséabonde continue de progresser… La réaction est en général savoureuse !
La critique de l’islam
Parfait article.
Un seul point que je déplore: Vous dites “la loi islamique moyenâgeuse”. Or, le Moyen-Âge a été une période de forte activité intellectuelle et scientifique, contrairement à ce que les manuels scolaires veulent nous faire penser.
Cette falsification de l’histoire a la vie dure.
@ Yorel, Henri Le Roy
Entendons-nous, « la loi islamique moyenâgeuse », celle du Moyen-âge obscurantiste de l’islam, et non celle de la France et de l’Europe, lumineuse et foisonnante de créativité du point de vue philosophique, intellectuel, littéraire, artistique, scientifique, théologique et de construction de merveilleuses cathédrales que ces barbares incendient aujourd’hui, exactement comme leurs ancêtres en Orient. C’est là « la loi islamique moyenâgeuse ».
Cordialement
FS
👍
@ Yorel allias Henry le Roy
Je fais souvent la même remarque. Ils confondent l’Age des Ténèbres (les 7ème, 8ème et 9ème siècles) avec le Moyen-Age (du 10ème au 15ème siècle), qui a vu fleurir au 13ème l’un des âges d’or de la France.
Cher François,
Merci pour cet exposé on ne peut plus exhaustif sur cette imposture qu’est l’islamophobie. Arme par excellence de la conquête islamique en milieu occidental, elle vise à briser toute résistance et à donner à l’islam la suprématie par rapport aux autres religions, ces dernières étant impunément, ouvertement et sans restrictions devenues des cibles aussi faciles que légitimes, non seulement de leurs contempteurs français mais également de leurs ennemis musulmans.
Voilà pourquoi la notion d’islamophobie est intimement liée à celle, bien islamique de suprématie de l’islam. Dénoncer l’islamophobie revient à reconnaître que l’islam, de par son statut de religion supérieure à toutes les autres et à toutes les idéologies, est interdit de critique.
L’islamophobie a aussi pour objectif de faire du musulman et de l’islam une et même entité. C’est ainsi qu’on peut être accusé d’islamophobie si on dénonce les comportements antisociaux des musulmans. Du moment qu’un musulman se drape de l’islam pour justifier son comportement, il devient pratiquement interdit, non seulement de le contraindre de changer de comportement, mais également de le critiquer.
Mais l’islamophobie est aussi la feuille de vigne derrière laquelle l’islam cache sa nudité. Comme tu l’as si bien démontré, l’aiguillon de l’islam s’est émoussé dans les pays à majorité islamique, la critique de l’islam y est très répandue et l’apostasie y est en progression. Le salut de l’islam se trouve en Occident où le mondialisme, la gauche et les chefs des principales églises l’encensent et lui pavent le chemin, poussés par leur instinct suicidaire et par haine de la nation.
Amitiés
Hélios
@ Hélios
Oui, cher Hélios, le « mécanisme » sociétal et psychologique de la chute possible de l’Europe nous rappelle celui de l’Orient sous le joug de l’islam. Si, dans un instinct de conservation, il n’y pas de sursaut salutaire, c’est un totalitarisme vert qui va tout ravager, comme de l’autre côté de la Méditerranée.
Il n’y aura pas alors de salut pour l’islam, car il aura tout ravagé, comme là-bas… L’histoire ne ment pas !
Mais, sait-on que parmi les premiers qui ont livré un pays comme l’Égypte copte à l’islam furent ses évêques dhimmis par leurs bêtise, leur compromis et lâcheté ? C’est exactement ce que fait l’ex fille ainée de l’Église…
Merci beaucoup pour ton témoignage
FS
@ François Sweydan,
Le parallèle avec la conquête de l’Égypte est pertinent. Les chefs de l’Église copte ont cru bon collaborer avec l’envahisseur qui en retour les a assuré de leur emprise sur le peuple. Cela n’a pas empêché les révoltes mais à chaque fois la médiation du patriarche-pape copte amenait les rebelles à déposer les armes.
Les chefs de l’Église catholique en France agissent de la même façon, certes ils n’ont d’autorité morale que sur leurs ouailles, mais cela fait quand même quelques millions de français catholiques pratiquants qui resteront en marge de la résistance et qui continueront à ânonner à l’unisson que l’islam est une religion de paix.
Les chefs de l’Église catholique, Benoît XVI excepté, n’ont jamais envisagé la résistance contre l’islam. Leur calcul est simple: “Nous prélats de l’Église catholique avons peu de foi, mais nous tenons à nos positions et au pouvoir que nous exerçons. Comme nous n’avons ni le courage ni la motivation de résister, il ne nous reste qu’à pactiser avec l’islam et même à l’aider à dominer, sachant que de toutes façons il dominera un jour. Nous sommes confiants qu’en aidant l’islam à dominer il se montrera reconnaissant et nous permettra en tant que “gens du livre” et dhimmis à conserver notre institution et notre pouvoir.”
Les catholiques français méritent mieux que ça, mais c’est à eux de prendre conscience de la trahison de leurs clercs.
Je crois que c’est à nous de pas faire d’amalgame et respecter les religions tant qu’elles n’atteignent pas psychologiquement l’être humain, et comme je le dis souvent même si j’ai décidé de croire en aucun dieu (eh non pas de majuscule !) :
“Je ne suis pas raciste, je n’aime pas les con !”
L’article de Mr François SWEYDAN et les commentaires ci dessus qui l’accompagnent sont une illustration d'”intellectualisme MILITANT” C’est beau, bon, et juste.
Mais à l’heure de l’effroi et de la crainte des populations face aux attentats qui sont revendiqués au nom précisément de l’ ISLAMISME EN ACTION, le pragmatisme nous conseillerait de réunir toutes les analyses précitées en une brochure préconisant le respect de l’orthodoxie en matière à la fois de l’histoire, de la religion, et, généralement, de la sémantique . Une brochure “de référence” authentique.
Mais, pour ce qui est de l’information “ad usum populi”, (destinée à provoquer la réaction souhaitable ) François SWEYDAN nous propose une formule limpide “le terrorisme de la pensée jugule la liberté d’expression” qu’il suffit d’illustrer par les récents exemples horrifiants tout simplement ignorés par la presse aux ordres…
Bon dimanche à tous.
@ Marçu Gisèle
En effet, le « terrorisme de la pensée jugule la liberté d’expression ».
C’est ainsi d’ailleurs que l’Orient a été islamisé et ruiné, ce qui est antérieur éradiqué.
Si la France n’y prend garde, c’est sa fin qui se profile…
Bien à vous
FS
très bon article mais , moi , je me contente de dire ceci :
un islamiste a lu le Coran et un islamophobe l’a compris
Remarquable mise au point…
Faire la distinction entre islam et musulmans et non entre islam modéré et islam politique …certes, mais alors, on interdit l’islam et dans ce cas, il n’y a plus de musulmans ?! Faire la distinction entre Allemands et nazisme a bien nécessité l’interdiction du nazisme.
J’ai écrit en d’autres temps à Mr D’Ormesson, afin qu’il intervienne sur la signification et définition des mots “raciste et racisme” Car en fait c’est l’ancien ministre communiste Gayssot qui a élaboré la loi qui porte son nom en étant appuyé par les idiots utiles en particulier les croyants de tous bords afin de soi-disant protéger les minorités ethniques. Ce faisant ils ont englobé dans la définition, la religion et l’appartenance à la religion. Les adeptes de l’islam, la Licra et d’autres ont sauté sur l’occasion pour en faire une arme de bataille contre les personnes critiquant l’islam ou les raciste. Il y a donc une confusion malsaine, les gens savent ce qu’est le racisme qui concerne la couleur de la peau alors que dans les faits il concerne également la religion, les croyances. D’Ormesson n’a jamais répondu, car il était de connivence en adhérant à la loi Geyssot. Le temps que la définition n’aura pas été changée, les religieux de tous poils en profiteront l’islam en tête.
Oui article qui résume toutes ces impostures sémantiques et tous les mensonges. Beaucoup n’y voient que du feu comme en témoignent bon nombre de vidéos et d’attitudes qui nous enjoignent à laisser tranquille ces “pauvres voilées”.
Elles sont payées par les instances islamiques pour témoigner de leur victimisation fictive et désirée. Elles ont lancé dernièrement pléthore de vidéos où elles pleurnichent et se plaignent des actes d’islamophobie. C’est un acte purement politique et guerrier qui n’a plus rien de religieux. Si elles veulent cacher leur chevelure par pudeur qu’elles trouvent une alternative, vrai foulard non islamique, bonnet, chapeau.
Non leur voile est un acte militaire islamique qui est un acte ostentatoire pour chercher la victimisation et induire cette confusion racisme/peur d’une religion et attaquer par le biais des tribunaux. C’est un jihad pur et simple qui récupère l’histoire en l’inversant. Les porteurs d’étoile jaune ne réclamaient pas de menus casher : ils crevaient de faim. C’est un jihad symbolique puis juridique qui se base sur de multiples impostures comme l’a démontré l’article de François.
Au Canada la députée Iqra Khalid du parti libéral fédéral de l’Ontario,, une immigrante d’origine Pakistanaise, a déposé une motion visant à interdire l’islamophobie. Cette motion M-103 a été voté par le parlement canadien. En théorie, je suis hors la loi.
Pour les anti des 2 religions monotheistes on dit « antisemitisme » ou « antichristianisme »
Pourquoi ne pas banir le terme islamophobie et le remplacer tout simplement par »antiislamisme »et celui qui serait contre les individus seraient donc des « antiislamiste ».
Qu’en pensez vous?
Pour que le lien social s’établisse entre 2 individus, il faut une condition essentielle : c’est que l’un comme l’autre aient la garantie que l’autre ne met pas en danger sa propre sécurité.
Si on se dit “bonjour”, c’est en tant que rituel pour assurer cela. Et donc, permet d’établir un lien sympathique entre les personnes.
Les musulmans sont incapables de garantir que la sécurité des non-musulmans ne sera pas en danger.
Que ce soit pour les femmes, les homos, les juifs, tous les non musulmans, les apostats, les gens ne sentent aucune de ces garanties, et les musulmans refusent même d’en donner, y voyant une offense.
Voilà pourquoi il existe une islamophobie.
Je sais pas si mon commentaire a été envoyer.
Supprimer si c’est le cas…
Pour que le lien social s’établisse entre 2 individus, il faut une condition essentielle : c’est que l’un comme l’autre aient la garantie que l’autre ne met pas en danger sa propre sécurité.
Si on se dit “bonjour”, c’est en tant que rituel pour assurer cela. Et donc, permet d’établir un lien sympathique entre les personnes.
Les musulmans sont incapables de garantir que la sécurité des non-musulmans ne sera pas en danger.
Que ce soit pour les femmes, les homos, les juifs, tous les non musulmans, les apostats, les gens ne sentent aucune de ces garanties, et les musulmans refusent même d’en donner, y voyant une offense.
Voilà pourquoi il existe une islamophobie.
Que de temps perdu ! A mon commentaire du 16 novembre 2019 (à 21h19) , Mr François SWEYDAN a bien voulu répondre (à 22h41) : ” En effet, SI LA FRANCE N’Y PREND PAS GARDE, C’EST SA FIN QUI SE PROFILE ”
Nous sommes le 1er septembre 2023 , et force est bien de constater que cette prédiction est en train de se réaliser …
Dreuz Info, en publiant à nouveau cet article, vous remuez le couteau dans notre plaie !!!