Source : Lci
Treize hommes âgés de 19 à 24 ans, soupçonnés d’avoir gravement brûlé des policiers avec des cocktails Molotov à Viry-Châtillon (Essonne) en octobre 2016 comparaissent depuis la mi-octobre devant la cour d’assises des mineurs d’Evry. Ce jeudi, l’avocat général a requis entre 20 et 30 ans de prison à l’encontre des accusés.
Après plus d’un mois de procès, voici l’heure des réquisitions. Ce jeudi, l’avocat général de la cour d’assises des mineurs d’Evry (Essonne) a requis des peines allant de 20 à 30 ans de prison à l’encontre de treize jeunes hommes soupçonnés d’avoir participé à la tentative d’homicide perpétrée contre quatre policiers à Viry-Châtillon en 2016.
Le représentant du ministère public a requis 20 ans de prison à l’encontre de deux accusés qui étaient mineurs au moment des faits et 30 ans à l’encontre d’un mineur dont l’excuse de minorité a été levée. Il a requis 30 ans de prison également pour six autres suspects et 25 ans à l’encontre de quatre autres.
Cocktails Molotov jetés dans les voitures de police
Samedi 8 octobre 2016, début d’après-midi. En face de la cité sensible de la Grande Borne, à cheval entre Viry-Châtillon et Grigny en Essonne, deux voitures de police montent la garde. Les précédents week-end, des jeunes ont tenté de détruire la caméra de surveillance installée pour prévenir les vols à la portière, récurrents à ce feu rouge de la départementale qui longe La Grande Borne.
Visages masqués, une vingtaine de jeunes déboulent, pierres à la main et cocktails Molotov déjà allumés, prenant par surprise les fonctionnaires. Ils entourent les voitures, brisent les vitres à coups de pierre, jettent des cocktails Molotov à l’intérieur.
Dans le premier véhicule, les deux sièges avant s’enflamment, et Vincent R., 28 ans, et Jenny D., 39 ans, prennent feu.
Jenny D. parvient à sortir, le haut du corps en flammes, en continuant de recevoir des pierres. “J’ai des enfants, aidez-moi”, entendra l’un des agresseurs présumés, qui confiera à une amie que ça lui a fait “un pincement au coeur”. Vincent R. met plus de temps à sortir – il n’arrive pas à ouvrir la portière, mais ne saura dire si c’est parce que quelqu’un la bloquait. Une fois dehors, il se roule par terre pour éteindre les flammes. Il reçoit une pierre dans le dos, sent une “vive chaleur” au niveau du visage – un autre cocktail Molotov selon lui.
Dans la deuxième voiture, un cocktail Molotov est tombé sur la banquette arrière. Sébastien P., 38 ans, voit sa collègue Virginie G., 28 ans, se “prendre des pains”, mais ils parviennent à quitter la voiture sans être brûlés. Jenny D. arrive en hurlant, le visage en sang. Sébastien P. se précipite pour aider Vincent R., se brûle les mains en l’aidant à retirer son polo. Les agresseurs sont repartis vers la Grande Borne.
L’attaque, qui n’aura duré qu’une trentaine de secondes, aura un immense retentissement et déclenchera une fronde inédite et spontanée de policiers “en colère”, qui, bravant leur devoir de réserve, défilent pendant des semaines pour exprimer leur “malaise” face à la “haine anti-flics”.
Ils encourent la perpétuité
Sur les 19 silhouettes visibles sur une caméra de surveillance de mauvaise qualité, seuls 13 jeunes, âgés de 16 à 21 ans à l’époque, ont été renvoyés devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne, pour tentative de meurtre. Membres du groupe de “la S.”, du nom d’une rue de leur quartier, les accusés sont des amis d’enfance. Certains reconnaissent parfois une présence a minima, la plupart contestent les faits d’un dossier “extrêmement fragile”, selon Me Arnaud Simonard, avocat de la défense. Ce ne sont que des “témoignages anonymes, des rumeurs et des revirements”, assure un autre avocat des accusés.
Sur les 1000 personnes à qui les enquêteurs ont rendu visite, personne n’a parlé, notamment par peur des représailles, estiment les enquêteurs qui évoquent une “loi du silence”.
Les accusés encourent la perpétuité pour cet “acte de guerre”, comme l’a qualifié le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Le verdict est attendu en début de semaine prochaine.
J’espère qu’ils écoperont d’un GROS maximum d’emprisonnement incompressible ……
Des exemples , voilà ce qu’il faut !
Et que les familles payent tout les frais : les repas , l’électricité , l’eau , pas de télé , pas de téléphone …………Là ,ça les feraient réfléchir .
Croyez vous que la justesse collabo les empêchera de recommencer dans deux ans, et encore il va falloir leur payer les frais de déplacement et de carburant, mais, eux, ils n’auront pas besoin de justificatifs .
Pourquoi, on n’a plus de roues ni de piquets?
J’ai honte d’habiter un pays de débiles mentaux.
Ne vous en faites pas, avec notre justice ils vont s’ en sortir avec une amende de 50 euros et un simple rappel à la loi.
Je parie que le plus chargé n’écopera pas de plus de 5ans;
Qu’il n’en fera donc que 2 et que, par voie de conséquence, aucun ne fera plus de quelques semaines de plus que leur préventive et ils seront tous dehors pour fêter bruyamment le prochain ramadan.
Qui dit mieux ?
Pute de justice ! (en fait, j’écris ca en généralisant a l’outrance car je ne dois pas avoir le droit de d’écrire “putes de juges gôchiasses”)
Quel est ce pays qui laisse la police se faire brûler par des jeunes de banlieue ? qui sont les parents qui devraient éduquer leurs enfants ? Nous sommes débordés mais nous continuons à recevoir des gens qui n’ont pas la même éducation que nous et qui ne l’auront jamais…. nous serons donc en perpétuelle guerre comme le dit monsieur Castaner mais nos hommes et femmes politiques s’en lavent les mains puisque eux seront toujours protégés…. alors revotons pour eux nous ne dirons pas que nous ne savons pas ce qui nous attend dans l’avenir !
Pour ces raclures la prison ne suffit pas. Pour ces raclures il faut réactiver le bagne de CAYENNE en conservant les conditions des années trente et que les peines prononcées soient INCOMPRESSIBLES. Tous muzz qu’ils soient ça leur foutra une trouille qui fera (peut-être) réfléchir les autres raclures qui ne sont pas encore passés à l’acte. De toute façon, ces raclures qui ne font plus partie de l’humanité, ne peuvent comprendre QUE la violence.
perpétuité réelle et frais de pensions payés par les familles car les honnêtes gens qui sont hospitalisés doivent payer un forfait journalier et si ils ne peuvent se payer de complémentaires ils sont dans la m……
Un article sur l’explosion de la violence à Malmö (en anglais) : https://quillette.com/2019/11/15/abandoning-malmo-to-its-criminals/
Cet article a été publié (en français) par le Point – mais est réservé aux abonnés.
Et dire que les médias tout comme les politiciens suédois se moquaient de Trump quand il parlait de l’insécurité grandissante en Suède du fait de l’immigration !
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Traduction de l’article à l’aide du site deepl.com :
Par Henrik Jönsson, le 15 novembre 2019.
“Je crois qu’ils ont tiré sur quelqu’un juste en face de mon balcon”, m’a dit mon ami.
Le coup de feu a retenti alors même que nous envoyions un SMS au sujet d’un autre récent acte de violence ici, dans la ville suédoise de Malmö, une voiture piégée qui a explosé dans un quartier résidentiel près de chez moi.
Les actes de violence sont si fréquents à Malmö que la nouvelle de l’un chasse la nouvelle de l’autre. Cette année, il y a déjà eu 29 explosions dans une ville de seulement 320 000 habitants. Dans l’ensemble, la Suède est en bonne voie d’atteindre un rythme d’environ 150, soit environ trois par semaine (comme Quillette l’a déjà signalé). Il s’agit d’attaques perpétrées par des bandes criminelles qui ciblent habituellement d’autres criminels. Mais les victimes sont parfois des spectateurs innocents. Dans un cas récent, par exemple, une étudiante a été grièvement blessée au visage lorsqu’elle est passée devant un magasin qui a explosé à Lund, à dix minutes en voiture de Malmö. Les attaques les plus spectaculaires ont laissé des villes entières comme Malmö craintives et traumatisées, comme l’a expliqué une grand-mère dans un récent article sur Facebook à propos d’un attentat à la bombe qui a fait sauter les fenêtres d’un immeuble résidentiel où dormaient ses petits-enfants – “….deux enfants suédois très effrayés, dont la vie s’est écroulée “.
Le même jour, Fredrico Moreno, journaliste basé à Malmö, a comparé l’épidémie d’attentats à la bombe de sa ville à une vague de terreur : “Les bombes qui nous réveillent la nuit, qui explosent pour que les fenêtres de verre volent dans les chambres à coucher, ont pris en otage des milliers d’habitants de Malmö… Mes amis me disent en passant comment ils ont rénové ou changé de pièce à la maison pour que les enfants ne soient pas blessés quand il y a une explosion à proximité.
Comme l’a dit la semaine dernière le chef de la police nationale suédoise, il n’y a “pas d’équivalent” à cette campagne d’attentats à la bombe dans aucun autre pays occidental. Et la violence s’étend au-delà des bombardements. Samedi, des hommes armés ont tué un garçon de 15 ans et en ont grièvement blessé un autre dans une pizzeria, quelques minutes après une nouvelle explosion à Malmö. Des témoins ont rapporté le bruit d’un “chargeur entier en train d’être vidé.” En août, la ville a été secouée au plus profond d’elle-même lorsque Karolin Hakim, un jeune médecin dont le petit ami est une figure bien connue du milieu criminel de la ville, a été abattue dans un quartier aisé de Malmö. Elle portait son bébé dans ses bras. Le tueur lui a mis une balle dans la tête alors qu’elle était déjà allongée dans la rue.
Comme pour de nombreux habitants de Malmö, il y a une dimension personnelle pour moi. En août 2017, j’ai été réveillé à 2h30 du matin par des cambrioleurs qui tentaient d’entrer chez moi. J’étais seul avec mes jumelles alors âgées de 5 ans lorsque quatre hommes ont brisé les vitres de la porte antique au rez-de-chaussée. J’ai porté mes filles endormies à l’étage, j’ai appelé la police et j’ai cherché désespérément un moyen d’autodéfense de fortune. Le mieux que j’ai pu faire, c’était un marteau. Au téléphone, un policier m’a demandé de ne pas faire connaître ma présence aux intrus, dont je pouvais voir les silhouettes sur la vitre givrée en fouillant dans la zone où je gardais les bicyclettes de mes filles. Heureusement, mon voisin est rentré tard cette nuit-là, effrayant par inadvertance les cambrioleurs quand il a allumé les lumières de la cage d’escalier dans notre entrée commune. De la fenêtre de ma chambre, j’ai eu une bonne vue des quatre hommes qui ont couru dans la rue et ont disparu.
Une demi-heure plus tard, j’ai donné mon récit de l’incident à un jeune policier qui semblait résigné. Quand je lui ai demandé comment protéger au mieux ma famille à l’avenir, il m’a répondu que la meilleure solution était de “ne pas vivre à Malmö” : Les choses ont dégénéré à un point tel qu’on ne peut plus gérer la situation.”
Sa réponse m’a choqué, et j’ai ensuite écrit un article d’opinion pour un journal national suédois à ce sujet. L’article a été largement diffusé et a suscité de nombreuses discussions. Mon journal local de Malmö, en revanche, a critiqué la décision de publier mon article, a remis en question la validité de mon récit et s’est inquiété du fait que cela pourrait nuire à l’image de la ville.
Bien que de nombreux attentats à la bombe et homicides ne soient pas résolus, on sait qu’ils sont le fait de bandes criminelles belligérantes qui sont principalement basées dans les quartiers d’immigrants du pays. Ces dernières années, les attaques se sont déplacées des quartiers défavorisés vers le centre-ville plus prospère, où des professionnels habitent des maisons du XIXe siècle sur des routes pavées pittoresques. Récemment, quelqu’un a fait exploser une bombe dans un restaurant de sushis à quelques rues de chez moi. Quelques semaines auparavant, la pâtisserie et le café d’en face avaient explosé. Avant ça, c’était la boîte de nuit en bas de la route. C’est une petite ville, et il y a peu d’habitants qui n’ont pas été affectés d’une manière ou d’une autre par la violence.
Nous avons été réveillés par des bombardements quatre fois cette année. Lorsque le restaurant de sushis a explosé, l’explosion a été si puissante qu’elle a fait trembler les vitres de notre chambre et un certain nombre d’alarmes de voiture se sont déclenchées au loin lorsque l’onde de choc les a frappées. L’explosion s’est produite à trois pâtés de maisons plus loin, mais le bruit était devenu si familier que je me suis rendormi sans même sortir du lit pour aller voir mes jumeaux.
Pendant des années, les médias et l’establishment politique suédois ont fait de leur mieux pour minimiser cette tendance, rejetant des préoccupations telles que la mienne comme des réactions alarmistes excessives. Malmö a été salué comme un succès multiculturel, malgré les preuves croissantes du contraire. “C’est une situation grave, mais la plupart des gens ne devraient pas s’inquiéter, car ils ne seront pas touchés “, a assuré le chef du renseignement du Département des opérations nationales de la Suède plus tôt cette semaine. On nous fait également comprendre que les auteurs de ces actes sont, comme l’a dit un fonctionnaire de police, ” issus de groupes socio-économiquement faibles, de zones socio-économiquement faibles, et beaucoup sont peut-être des immigrants de deuxième ou de troisième génération “. Une députée social-démocrate de Malmö, Hillevi Larsson, a tristement affirmé lors d’un débat parlementaire en 2017 qu’elle faisait du vélo partout à Malmö, et qu’il n’y avait donc aucune raison d’avoir peur. Les fusillades concernent principalement des “gangsters qui se tirent dessus”, a-t-elle expliqué.
Mais si un gouvernement ne protège pas sa population, alors les gens ordinaires trouveront un moyen de régler le problème eux-mêmes – parfois en partant tout simplement. En effet, les municipalités suédoises sous-peuplées dont le taux de criminalité est faible recrutent activement des familles aisées à Malmö et dans d’autres zones dangereuses. L’idée de “communautés fermées” est encore taboue dans ce pays. Mais il y a toujours la possibilité de quitter simplement une ville comme Malmö pour un endroit où il y a moins de criminalité.
Ce policier qui est venu chez moi en 2017 n’avait que trop raison – c’est pourquoi ma femme et moi avons récemment fait nos propres plans pour quitter la ville avec notre famille. Peut-être reviendrons-nous un jour, mais pas avant que les politiciens suédois se montrent plus soucieux de lutter contre la criminalité que de repousser les critiques.
* Henrik Jönsson est entrepreneur et chef d’entreprise à Malmö, en Suède, et blogueur pour le quotidien suédois de centre droit Svenska Dagbladet.
L’immigration, cette richesse dont on nous rebat les oreilles. Cloîtrés durant 30 ans, ils vont nous coûter une blinde. A renvoyer avec la smala back to Africa ! Basta cosi !
Ils sont 19, ou 13, ou ? Je ne sais pas. Mais ces visages masqués sont le visage de milliers de jeunes qui sont désormais des Français qui haïssent les Français – ce qui n’est pas un délit – mais sont prêts à tout ce que leur permet leur culture et leur commande leur religion – qu’ils pratiquent ou non – : la vi0lence et le meurtre. Cette religion – l’Islam est leur identié et elle est leur modus operandi, celle qui guide leur comportements, leus morale (?!), leurs sensibilité intime (?!).
Les monstres sont entrés dans la ville.
Il ne nous reste qu’une alternative… un affrontement civil.
Mais avec nos politiciens qui pensent que le danger pour la France sont les “populistes”, le FN (RN), l’extrême droite, pas de doute, cette occurrence de la “dernière chance” risque bien de ne jamais se produire ! Notre avenir sera celui des minorités religieuses en Dar al Isalm : la situation des chrétiens au Liban – quand ça va bien – et celle des chrétiens en Irak-Syrie sous DAECH – quand ça va mal.
Ce ne sont pas des “jeunes”, ce sont des sous-hommes.
Un seul châtiment pour ces étrons: la peine capitale, avec obligation d’avaler du jambon avant l’exécution.
Quand on s’attaque ainsi aux forces de l’ordre, c’est que l’on pense ne rien avoir à craindre.
Il faut donc démontrer à ces vermines que tout se paie.
Au prix fort.
un pays qui laisse ses policier bruler, sans réagir avec leurs armes (sinon ils auraient eux été virés de la police comme des malpropres) est déjà en danger de mort.
bon ils en pont attrapé quelques uns, mais les mineurs seront quasiment absous et les autres condamné&s mais on les reverra dans quelques années dans les rues !
L’agression en groupe doit devenir un délit en soi et non une simple circonstance aggravante. Les auteurs doivent être poursuivis collectivement et condamnés des peines identiques.
Ainsi, il ne restera qu’à la justice à utiliser le “plaider coupable” : le premier qui balance les autres gagne une forte réduction de peine, voire le sursis. Les autres prennent la peine maximale.
sa en fait un paquet de monstres chez les muzz , le coran le livre qui rend fous
20 à 30 ans requis…qu’ils ne feront jamais ! Et, à l’échéance de 8 à 10 ans, ils en ressortiront djihadistes ! Les prisons sont de véritables enclaves de prosélytisme musulman !
Le templier,
Les bonnes âmes vont vous dire que la taule va les abîmer, les détruire, en faire des voyous, des radicalisés.
Comme s’ils étaient des enfants de chœur !
Entre la réquisition et le verdict, il y a grand à parier que la moitié des années, seront comme “volatilisées” !!!!!!!!!!!!! Tandis que les brûlures de ces jeunes policiers, marqueront leur peau et leur psyché pour toujours, ce sont donc eux qui subissent une injuste condamnation…………
LA JUSTICE DEVRA ETRE STRICTE ET FAIRE APPLIQUER LES ANNEES REQUISES, POUR QUE CELA NE SE REPRODUISE PLUS JAMAIS !!! NON AU LAXISME CAR NOUS EN VOYONS LE RESULTAT……..CELA SUFFIT !!!
Moi flic, j’aurais tiré dans le tas !
Flèchebleue
La racaille aurait tort de se gêner.
Si le procès suit les réquisitions, les honnêtes citoyens du coin auront intérêt à planquer leurs véhicules.
seule solution: c est que les flics TIRENT,les abattent. FINI>
tant pis pour eux. Eux avec le cutter etc..ils n attendent pas
chez eux AUCUN droit ou la main coupee ou la pendaison c est direct.
et ceux a qui on coupe la main viennent vite en France ou en Belgique(molenbeek)
ou on dira “oh le pauvre malade mental”
c’est deplorable.Justice?? mais elle n existe plus.