Voilà que maintenant, un homme peut devenir femme par simple déclaration d’intention. “Pouf pouf, j’suis pas un homme”. Même plus besoin d’opération.
C’est devenu la religion des cercles progressistes. Notre attirance sexuelle suivrait l’abstraction inventée du genre, et non la réalité du sexe biologique.
Certes, presque personne ne croit à ces bêtises, mais dans certains milieux, ça fait du bien de faire semblant (ou ça fait peur de dire autrement). Même ceux qui prétendent que c’est vrai n’y croient pas.
Des groupes de trans affirment maintenant qu’un homme peut devenir femme, et vice versa, par simple attestation verbale. Et leur exigence d’adhésion à cette fiction leur donne l’air solennel de parler de vie ou de mort.
“Tout homme devrait être libre d’inviter les autres à le considérer comme une femme sans craindre d’être victime de discrimination” disent-ils. C’est ainsi qu’ils affirment être protégés de la transphobie.
Dans ce cas, les autres devraient aussi avoir le droit de rejeter cette invitation.
Je parle d’invitation.
Quand un homme prétend être une femme, il invite les autres à faire comme si c’était vrai, comme si nous y croyions. En réalité, les transgenres ressemblent souvent bien plus aux sketches comico-morbides de Jack Lemon et Tony Curtis dans Certains l’aime chaud, qu’à des femmes gracieuses et délicates.
Face au désir d’illusion des transgenres, illusion d’identité entretenue par des facteurs idéologiques, nous acceptons tous l’invitation à faire semblant par courtoisie, car il serait vexant ou impoli de faire autrement, et nous ne voulons pas heurter les transgenres. Mais nous n’y croyons pas un seul instant.
Ce que nous voyons, ce sont des déguisements. Tragiques ou tristes pour l’état psychologique que nous pensons déceler, ou carrément ridicule comme ces transgenres barbus. Manque plus que du poil aux jambes écrasé par des collants.
Cela veut dire surtout que personne ne croit qu’un homme atteint de “dysphorie de genre” puisse devenir une femme. Nous n’aimons pas dire non à l’invitation de faire semblant, mais pas plus.
Tout homme devrait être libre d’inviter les autres à le considérer comme une femme sans craindre d’inviter à la violence, à la discrimination, à la moquerie, ou pire, la perte de ses droits fondamentaux et de sa dignité.
C’est ce que signifie être protégé de la transphobie, et c’est essentiel.
Mais notre dignité et nos droits fondamentaux existent aussi. Et ils nous donnent également le droit de rejeter cette sornette qu’un homme peut devenir femme. Par respect pour notre dignité intellectuelle, ou sans raison du tout. Lorsque le spasme et la panique sociale sur le genre aura pris fin, ces deux droits coexisteront.
Un autre droit demande à être restauré : celui de se payer la tête de qui on veut. Assez du monde des chochottes.
Il est intolérable que l’on ne puisse plus, aujourd’hui, se payer la tête des youpins, des couillons, des grenouilles de bénitier, des branques et des pétasses, des crouilles, des pédés, des gouines, des chinetoques et des bamboulas.
Conchita Wurst a tout à fait le droit d’inviter les autres à le considérer comme une sorte de transgenre cosmique et barbu du monde des VIP, quelque part entre un homme et une femme. Il ou elle ne sera ni la première, ni la dernière célébrité qui a décidé de se lancer dans des domaines à la mode ou mystiques. Ça vient avec le territoire, et j’ai beaucoup de respect pour les territoires. Mais l’autre chose qui va avec le territoire, c’est notre territoire, c’est-à-dire notre droit de nous marrer et de rire aux éclats.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Au fait Jean-Patrick, ces hommes devenues femmes et vice et versa, par la grâce du St esprit et de nos administrations, quand ils vont aux toilettes, sigles hommes ou femmes ???
Et quand un bateau coule, les femmes et les enfants d’abord, où se situent ces charlots et charlottes ??
Et bien il y a des toilettes pour trans. Si si . A Tel Aviv par exemple !
Meir en effet, le ridicule ne tue pas DOMMAGE!!, tout ces imbécilités payé par nos impos!??…. à quant les toilettes pour licornes!!???INCROYABLE LES STUPIDITÉS QU`ONT VEUT NOUS IMPOSERS!!
Il y a au moins deux catégories de personnes dont on peut toujours se payer la tête sans aucun risque : les grenouilles de bénitier (même les simples catholiques) et les chinetoques, sans aucun risque…
On n’arrête pas le progrès ! À quand le droit pour une femme d’épouser son chien, et pour un homme d’épouser sa chienne?
Donc, si je me fais plaisir sur le tibia de ma maîtresse, je suis un chien.
La cage aux folles, c’est divertissant tant que cela reste dans la cage et ne veut pas s’immiscer comme “standard” dans nos sociétés.
Les allemands sont devenus les plus grands professionnels du travestissement.
– Les allemands, nazi, se travestirent en sud américain, en egyptien, etc.
– L’économie allemande s’est travestie en “grande” économie en pompant les économies des pays européens.
– La “qualité” allemande de produits achetés en France et rebrandés
– la “honte” à l’allemande : Merkel à Auschwitz: «Se souvenir des crimes, nommer leurs auteurs».
https://www.lefigaro.fr/international/merkel-a-auschwitz-se-souvenirdes-crimes-nommer-leurs-auteurs-20191206#xtor=AL-201
Si quelqu’un a suivi ? une question : A. Merkel a-t-elle nommé son père dans les auteurs ?
C’est vrai que Mme Merkel ne s’est pas empressée de faire une telle visite.
C’est un peu comme une arrière-pensée, avant de quitter le pouvoir.
Quand les hommes qui se prétendent des femmes comme les autres accoucheront d’enfants (pas dans leur tête mais en vrai), on en reparlera !
Excellent, Jean-Patrick.
‘Certains l’aiment chaud’ est l’un de mes films favoris, et figure dans ma ‘DVD-thèque’. Je ne remercierai jamais assez Billy Wilder d’avoir produit ce chef-d’œuvre, couronné par le dernier échange verbal :
Jerry : “I am a man”
Osgood: “Well, nobody’s perfect!”
C’était le temps où l’on avait encore le sens du ridicule, personne n’aurait donc songé à prendre au sérieux un mariage entre gens de même sexe.
Atikva:
Oui, un grand moment de cinéma à l’époque.
Marre des minorités de tarés qui ont le verbe plus haut que celui des gens normaux.
La société des hommes est tellement décadente qu’elle ne mérite qu’une chose: L’extinction…. et la planète ne pourra que s’en trouver mieux.
Quelque part, vous n’avez pas tort.
À force de toucher le fond…
Mais l’extinction devra pratiquer le tri sélectif : les abrutis et les nuisibles en priorité.
L’avantage des gens “ordinaires” (je ne veux pas ecrire normaux parce que je ne pense pas qu’il y a une norme reelle chez l’humain) c’est qu’ils sont beaucoup plus aptes a survivre dans un monde dystopien … encore que. Enfin moi je le suis
Et bien moi, je suis le cas particulier suivant : je suis un homme qui aime les femmes. Donc, je suis lesbien.
Allez savoir si vous n’êtes pas pire qu’un lesbien, vous êtes peut être un homme qui se sent femme homosexuelle; Un transtrans en quelque sorte.
Dommage… ou pas ?
Allez vous rencontrer une vraie femme qui se pense homme pédéraste ?
😉
Je prefere ma phrase: J’aime tellement les femmes que si j’en etais une je serais lesbienne
On marche sur la tête !… Je viens de terminer une enquête sur un site bien connu, et suis tombé à la renverse à la lecture de la dernière question… dont je vous joins ici une copie d’écran…
/Users/Christian/Desktop/Le sexe des anges ?.jpg
Mais Dame Nature s’impose au-dessus du codex de ces esprits vrillés capables de décréter qu’ils font un enfant avec les spermatozoïdes de maman et les ovules de papa.
C’est en quelque sorte le progressisme de qui “porte la culotte” mais avec un cynique et pervers abus de pouvoir légitimé par le gauchisme sur l’enfant à déglinguer.
Ces écervelés gauchistes qui veulent ratiboiser tous les fondements de notre société sont pourtant les premiers à brailler en faveur des “falestiniens” dont le dogme ne conçoit aucune entrave à l’application de la sharia islamique sous peine de mort , soit le mariage et la procréation uniquement entre un homme et une femme! Bizarre, vous avez dit bizarre !
Concernant ce nouveau lobby transsexuel, j’aurais trois réflexions :
1°) La médecine a totalement outrepassé ses droits en prétendant traiter ce type de patients par des hormones et en se lançant dans des pseudo opérations dites de “changement de sexe” , qui consistent à transformer des hommes en pseudo-femmes stériles ( et anorgasmiques dans l’immense majorité des cas ). De même qu’on ne traite pas quelqu’un qui se prend pour Napoléon en lui attribuant les pleins pouvoirs, et qu’on ne traite pas quelqu’un qui a une phobie des araignées en arrosant toute sa ville d’insecticides, on ne traite pas non plus un homme qui a la conviction pathologique d’être une femme en le transformant en un ersatz de femme. N’oublions pas que le principe de base de la médecine est “primum non nocere” ( avant tout ne pas nuire ).
Or, émasculer un homme et le bourrer d’hormones féminines, c’est lui nuire.
2°) Il y a quelques années, Roselyne Bachelot, lorsqu’elle était Ministre de la santé, avait fait sortir le transsexualisme de la catégorie des maladies mentales. Si ce n’est pas une maladie mentale, ce n’est évidemment pas non plus une maladie physique, et par conséquent, cette absence de maladie n’a pas à être remboursé à très grands frais par l’assurance-maladie !
3°)Vous dites, je cite ” Tout homme devrait être libre d’inviter les autres à le considérer comme une femme sans craindre d’inviter (…)à la discrimination, à la moquerie (…).
L’immense majorité des employeurs n’a pas envie d’embaucher des transsexuels, cela fait du droit naturel et imprescriptible qu’a tout employeur d’embaucher qui bon lui semble.
En tant qu’employeur, je reçois chaque année des dizaines de candidatures spontanées. J’examine chacun de ces CV, au cas ou ma secrétaire aurait besoin d’une remplaçante. Vont immédiatement à la corbeille à papiers :
-les CV mal orthographiés ( horreur et discrimination, je n’ai pas envie d’avoir une secrétaire illettrée)
-les CV comprenant une photo d’identité montrant des cheveux teints en bleu, rose violet ou vert, des piercings faciaux ou un voile islamique ou une coiffure à la punk. ( horreur et discrimination, je n’ai pas envie d’avoir une secrétaire qui se croit au carnaval au lieu de se croire au travail ! )
-Je n’ai jamais reçu de CV de transgenres, mais je n’ai aucune envie d’avoir un secrétaire transgenre, ( je pourrais d’ailleurs difficilement dans cette hypothèse utiliser le terme fallacieux de “une secrétaire” ) et donc un tel CV subirait le même sort que les autres catégories de CV sus-mentionnées.
Aucun inspecteur des corbeille à papier ne pourra de toutes façons venir prouver que je fais acte de discrimination en jetant des CV de gens avec lesquels je n’ai pas envie de travailler !
Quant à la moquerie, il s’agit d’un droit fondamental de l’être humain. Les transgenres ne veulent et n’aiment probablement pas qu’on se moque d’eux, mais il faut bien qu’ils se rendent compte du fait que les trois quarts de la population se moquent d’eux en douce dès qu’ils ont le dos tourné. Rigoler un bon coup, ça fait aussi partie des droit de l’homme !
Le problème de fond, c’est qu’on est face à tout un discours qui a envahi la société et la et les médias, venu des gauchistes idiots qui nous font remonter aux errements de la philosophie scolastique aristotélicienne et néo-platonicienne.
Une époque où l’on commettait l’erreur de croire que le Verbe déterminait et créait la réalité, que la pensée précédait l’être et le construisait à sa guise.
Où l’on pensait que si on forgeait un concept, ça signifiait qu’il correspondait à une réalité (on appelle cela la réification) : que de nommer quelque chose le fait exister, car s’il n’existait pas, on n’en aurait pas l’idée
[on retrouve ici l’erreur de l’argument ontologique de l’existence de Dieu : “J’ai l’idée d’un être parfait.” (ben ouais, t’as trop bu, tu vois des éléphants roses) ) “S’il lui manquait l’existence il ne serait pas parfait” (qui a dit que l’existence était un attribut de la perfection ou une qualité? Là encore c’est çui qui dit qui le décrète arbitrairement].
Dit autrement, croire que dire suffit à faire (ça s’appelle la parole performative, ou la pensée magique).
C’est cette forme de pensée qui a fait obstacle pendant des siècles à la science véritable, car on croyait qu’il suffisait de spéculer sur le sens des mots pour comprendre la réalité qu’ils désignent et accéder à la connaissance des choses. Aujourd’hui cela s’appelle la pensée idéologique: on construit le monde dans sa tête et on le plaque sur la réalité sans se soucier de s’assurer qu’il y a correspondance. S’il y a contradiction, c’est la réalité qui a tort en refusant de se plier à la pensée (et là il suffit d’employer la force).
A noter que c’est ce qui a amené l’islam à la stérilité scientifique et intellectuelle, car eux aussi ont repris les catégories et les raisonnements néo-platoniciens (c’est de là que sort la théorie du coran incréé).
Ce n’est donc par totalement par hasard que l’on retrouve une collusion entre islamistes et gauchistes : ils partagent un même mode de pensée magique, pensant qu’il suffit de croire des discours idéologiques et de brailler des slogans creux (l’islam est la solution, leitmotiv des Frères Musulmans. Pour les gauchistes c’est les fumeuses “justice sociale” et “égalité” (indéfinissables dès qu’on rentre dans le concret et le détail))
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Dans le cas présent, L’erreur de raisonnement c’est comme souvent dans la pensée aristotélicienne de tirer de cas particuliers une règle générale sur les catégories impliquées, et d’établir la réciproque à partir de l’implication (poser une équivalence là où il n’y a qu’une implication)
[en réalité les individus lambdas confondent souvent réciproque et contraposée. Si A=>N, alors Ñ => Ã est vrai, mais on ne peut en déduire que N=>A. Si tous les chats sont des mammifères, il est faux que tous les mammifères soient des chats ; en revanche on est sûr qu’aucun poisson n’est un chat (le premier qui me dit qu’il y a des poissons-chats se prend une baffe)]
Ce n’est pas parce qu’il existe réellement de véritables “transgenres” que tous les humains le sont.
En réalité, c’est bien parce qu’il y a un déterminisme sexuel qu’il y a des transgenres. Ils se sentent femme dans un corps d’homme ou homme dans un corps de femme. Ils ne se sentent pas caillou, plante ou animal dans un corps d’humain! Ceux-là, on les enferme (en d’autres temps d’ailleurs, on voyait dans le “transgenrisme” une forme de folie, au même titre que ceux qui se prennent pour des poules)
Et ceci parce que le cerveau est sexué, et qu’il semble pour une raison inexpliquée jusqu’ici que le sexe du phénotype corporel puisse différer de celui du cerveau. Et même que l’un et l’autre puisse différer du sexe génétique.
Si l’on pense que l’on peut déterminer son genre par la seule force de sa pensée, ou de par sa volonté, son libre-arbitre, dans ce cas on devrait pouvoir déterminer n’importe quoi, des éléments encore plus baroques, comme décider qu’on est un pot de fleur.
Par ailleurs, la preuve supplémentaire que l’on ne détermine pas librement et arbitrairement son genre, c’est que les vrais transgenres ne sont justement pas libres de se déterminer, et qu’ils en souffrent. Ils sont bien prisonniers de leur nature, une nature qu’ils ne contrôlent pas.
Enfin, si c’était possible, on verrait aussi des individus changer continuellement de genre au gré de leurs humeurs. Pourquoi se fixeraient-ils une fois pour toutes?
Les “théories” du genre ne sont fondées que sur des raisonnements bébêtes et superficiels à peine dignes d’un enfant de six ans, des théories prélogiques, des paralogismes et autres prénotions (en bref c’est faux).
Ce qui est attristant pour ne pas dire plus, c’est que lorsque le traitement hormonal est stoppé pour une raison médicale ou autre, souvent la personne se trouve dans un tel désespoir que seule la mort semble être l’échappatoire.
Voici un extrait de ce qu’a vécu Chelsea Mannings Trans Lanceuse d’Alerte américaine:
….”Mon traitement hormonal me garde en vie”
Chelsea Manning a révélé être transgenre peu après sa condamnation, mais l’armée a rejeté sa demande de traitement hormonal. Elle a commis deux tentatives de suicide, qui lui ont valu d’être placée en isolement, et a également entamé une grève de la faim pour protester contre les mesures disciplinaires dont elle faisait l’objet. Au terme d’un long combat, les autorités ont fini par lui accorder son traitement, dont elle souligne la nécessité. “C’est littéralement ce qui me garde en vie, ce qui m’empêche d’avoir la sensation d’être dans le mauvais corps”, dit-elle. “J’avais ces sentiments horribles comme l’envie de déchiqueter mon corps et je ne veux jamais, jamais, revivre ça”, poursuit-elle.
Ce qui veut dire qu’il n’y a pas de “retour en arrière possible”, une fois les attributs masculins ou féminins ayant été enlevés/transformés définitivement. Sauf peut-être à reconstruire en partie et en apparence seulement les anciens attributs….
Je reviens sur un article que j’avais lu il y a longtemps.
Je suis tout-à-fait d’accord et j’ai d’ailleurs rédigé aujourd’hui le texte suivant (pas définitif, certaines choses doivent être précisées/modifiées, par exemple je suis consciente que 18 ans pour les opérations c’est très tôt) (voir aussi l’image d’illustration) :
« Les militants LGBT devraient être les premiers à dire les choses suivantes. Pas de transition hormonale ni d’opération de réorganisation de genre avant 18 ans. Les femmes trans ne doivent pas avoir accès aux lieux réservés aux femmes. Les femmes trans ne doivent pas bénéficier des mesures destinées à favoriser les femmes. Les femmes trans ne doivent pas participer à une compétition sportive non mixte dans la catégorie femme. Les personnes transgenres ont droit au respect de leur personne mais ne peuvent imposer une opinion donnée sur les transidentités, sur leur propre identité, ni obliger qui que ce soit d’utiliser un prénom et un pronom donnés pour les désigner. Si les militants LGBT ne le disent pas, d’autres le diront à leur place, mais cela se fera contre l’inclusion des personnes trans. »
J’aime beaucoup cette partie. La transphobie c’est vouloir du mal aux personnes transgenres. Bien des accusations de transphobie en Occident sont abusives, et on ne parle pas de la vraie transphobie dans certaines parties du monde. Idem pour l’homophobie, et je ne comprends pas la diabolisation (et la pénalisation) du refus de vente de gâteaux pour des personnes de même sexe qui veulent se marier. Il suffit à ces derniers d’aller chez un concurrent, et personne n’est lésé. Les Démocrates n’ont pas compris le capitalisme et la liberté qu’il permet.
Mais je progresse. Mes cours comprennent des séances de beuverie payées par la sécu où j’ai maintes occasions de m’entraîner à roter sans faire de bruit. Autant dire que je fais en sorte d’être recalée à chaque fois 😉 . Bon, blague à part, je trouve que cette phrase est sévère. Il y a, parait-il, des femmes transgenres qui ont été en couple plusieurs années sans que leur partenaire ne remarque qu’elles étaient transgenres. Je trouve que c’est déplorable de cacher à son/sa partenaire que l’on est transgenre si l’on en a la possibilité, mais ces histoires ont le mérite de montrer que la différence peut ne pas être perceptible. Moi-même quand je me fais draguer, il arrive que même avec la voix ça passe et que lorsque cela devient sérieux, je doive expliquer ma situation, et l’homme tombe des nues (il faut dire aussi que dans la ville sinistrée où j’habite beaucoup d’hommes sont bourrés H24).