Publié par Rosaly le 11 décembre 2019

Le 15 novembre dernier, deux des plus éminents représentants du Christianisme et de l’islam, le Pape François et le Cheikh Ahmed al-Tayeb d’Al-Azhar, autrefois qualifié de « musulman le plus influent du monde » se sont rencontrés et fraternellement embrassés.

Au cours d’une discussion des plus cordiales, les deux leaders religieux ont parlé des objectifs de ce fameux « Document sur la Fraternité humaine» qui fit exulter de joie la planète islamophile de la bien-pensance.

La conversation se focalisa surtout sur «la promotion du dialogue inter-religieux et des valeurs de la tolérance et de la coexistence», deux sujets particulièrement chers au Pape de la mondialisation, des frontières ouvertes à tous et très respectueux de l’islam et des musulmans.

Signé le 4 février dernier par le Pape François et le grand imam d’Al-Azahr, le cheikh Ahmed al-Tayeb, ce document sur « la fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre-ensemble» (tout un programme digne d’un conte de fée à l’occidentale) « rejette avec force» pour citer « Vatican News» toute justification de la violence perpétrée au nom de Dieu et «affirme» le respect des croyants de différentes confessions, la condamnation de toute discrimination, la nécessité de protéger tous les lieux de culte et le droit à la liberté de religion, ainsi que la reconnaissance des droits des femmes. Bref, l’entente cordiale entre islam et christianisme, l’amorce d’une ère radieuse de justice, de respect, de tolérance et de paix.

Hélas, la signature de ce document en grande pompe devant les caméras – qui fut décrit et continue à être présenté comme une promesse historique de fraternité et une avancée historique sans précédent – ne fut qu’un beau show, destiné à donner de l’islam une image idyllique. et une fois de plus à duper les trop crédules kouffars.

L’un des deux signataires, le Dr. Ahmed al-Tayeb a maintes fois contredit, quand il s’exprimait en arabe dans les médias arabes, tous les nobles sentiments soulignés dans le document, au bas duquel il avait apposé sa noble signature de «pieux» musulman, grand adepte de la taqiya, quand il s’agit de « séduire les infidèles».

Le grand imam du Caire «aime» notre bon Pape François, car ce dernier défend l’islam, il fait confiance en son «ami» musulman, à l’inverse de son prédécesseur, le Pape Benoît XVI, grand connaisseur de la fausse religion d’amour, de tolérance et de paix, devenu persona non grata auprès du grand imam d’Al- Azahr, Ahmed al-Tayeb.

Liberté de religion garantie par le Coran, version anglaise pour l’Occident.

En mars 2016, devant le parlement allemand, le Cheikh al-Tayeb déclara que la liberté de religion était garantie par le Coran. Au Caire, il affirma exactement le contraire …

L’apostat doit renoncer à son apostasie… ou être tué, version arabe en Egypte.

En 2016, l’Institut du Caire pour les Etudes sur les Droits de l’Homme (The Cairo Insitute for Human Rights Studies) fustigea l’imam «modéré» et «réformateur» d’Al- Azhar et lui demanda de renoncer à faire des déclarations qui s’opposent à une liberté essentielle, à savoir la liberté de religion, et nourrissent la pensée et la prédication extrémistes.

Auparavant, dans son émission télévisée quotidienne diffusée tout au long du ramadan, le Dr Tayeb avait déclaré :

«l’apostasie contemporaine se présente sous la forme de crimes, d’assauts et de grande trahison, nous la traitons donc maintenant comme un crime qui doit être combattu et puni … Ceux qui ont été instruits dans l’Islam [al-fuqaha] et les imams des 4 écoles de jurisprudence considèrent l’apostasie comme un crime et conviennent que l’apostat doit renoncer à son apostasie ou être tué.»

Pour cet estimé imam «modéré» ceux qui ne suivent pas l’islam sont enclins à devenir des criminels. L’apostasie représente un très grand danger pour la Société islamique, car elle est le résultat de sa haine envers l’islam et le reflet de son opposition à la religion d’Allah, et cela constitue à son avis une haute trahison.

Il cita un hadith pour justifier ses allégations pas très conformes au Document du siècle, autorisant le meurtre d’un musulman dans trois circonstances: l’adultère, l’apostasie et l’assassinat d’un musulman par un musulman. Par contre, le meurtre d’un non musulman par un musulman n’aurait donc pas plus d’importance que le fait d’écraser une mouche ou un cafard.

Selon l’Institut du Caire pour les Etudes sur les droits Droits de l’Homme, le terrorisme et les idéologies radicales ne se combattent pas en s’adressant à l’Occident et à ses institutions internationales de dialogues religieux, en faveur de la paix internationale et du respect des libertés et des droits, tout en promouvant intérieurement des idées, qui contribuent à la diffusion de l’extrémisme violent par le biais des médias et des programmes d’enseignement diffusés par Al- Azhar et les mosquées . Cette conclusion refléta la pensée de nombreux Egyptiens éclairés.

Cette ambiguïté est depuis longtemps le modus operandi de ce Dr Jekyll and Mr Hyde du Caire, alias Ahmed al-Tayeb.

La liberté est un droit…

Par exemple, le document sur la fraternité humaine qu’il a signé affirme que «la liberté est un droit de chaque personne: chaque individu jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action…»

Le fait que les gens soient forcés d’adhérer à une certaine religion, à rejeter leur propre culture, à accepter l’imposition d’un mode de vie culturel qui leur est étrange, ne contredit-il pas les termes de ce beau document sur la fraternité? Le Pape François pensait-il sincèrement en signant ce document de dupes, qu’en terre d’islam, les minorités non musulmanes jouissaient de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action?

Respect des croyants de différentes confession… protection de tous les lieux de culte…

Le document sur la fraternité humaine appelle également au «respect des croyants de différentes confessions, à la condamnation de toute discrimination, à la nécessité de protéger tous les lieux de culte et au droit à la liberté religieuse».

Cependant, comme l’ont souligné plusieurs réformateurs musulmans en Égypte, la «persécution sans précédent», de la minorité chrétienne copte est directement liée à Al-Azhar, l’institution islamique dirigée par al-Tayeb, le second signataire de ce document.

Ainsi, après la destruction de deux églises en Egypte, par des attentats à la bombe, tuant 50 fidèles, Dr. Islam al-Behery – un théologien musulman populaire, dont les appels incessants à réformer l’islam contrarièrent si vivement al-Azahr, qu’il fut accusé de blasphème contre l’islam et condamné à 5 ans de prison ( peine réduite à un an en appel) – révéla, lors de l’émission télévisée égyptienne «Amr Adib’s kull youm» (Every Day), plusieurs détails sur le programme radicalisé d’ Al-Azhar. Selon son estimation, environ 70-80% des actes terroristes commis en Egypte au cours de ces 5 dernières années sont les fruits de l’enseignement « d’amour, de tolérance et de paix » prodigué par Al-Azhar.

Behery cita un texte standard d’Al-Azahr : « quiconque tue un infidèle (un kouffar , un non musulman) son sang sera préservé, car le sang d’un croyant n’est pas égal à celui d’un infidèle, il lui est supérieur.» Admirable modestie de la part de ces frustrés islamiques!

Le prédécesseur d’al-Tayeb, l’ancien grand imam d’Egypte, Cheikh Muhammad Sayyid Tantawi, décédé en 2010, avait fait retirer, sans avoir été prié, tous les vieux livres et les remplaça par un seul ouvrage d’introduction. Quand al-Tayeb, l’ami du Pape François, succéda à l’imam Tantawi, il se débarrassa de ce livre et ramena tous les anciens ouvrages, regorgeant d’histoires de carnages et de bains de sang. Le vert de l’islam mélangé au rouge du sang donne le brun du nazisme.

Respect du non croyant selon Al-Azhar

Le commentateur politique Dr. Khalid Montaser s’étonna, qu’en cette période particulièrement sensible – quand les terroristes assassins se basent sur des textes et des interprétations islamiques du takfir *, du meurtre et de la décapitation – le magazine d’al-Azahr puisse proposer gratuitement un livre, où chaque page se termine par ces quelques lignes:

« à celui qui ne croit pas,(le non musulman) arrache-lui tête.»

[*takfir: avis juridique donné par un représentant de l’islam, afin de déchoir une personne de sa qualité de musulman, ce dernier devenant ainsi un kouffar, c’est-à-dire un mécréant, un incroyant. Parmi les motifs de takfir se trouvent l’insulte à Allah, l’apostasie, la prosternation devant une statue ou la pratique de sorcellerie, délits passibles de la peine de mort.]

«Nous déclarons fermement que les religions ne doivent jamais inciter à la guerre, à des attitudes haineuses, à de l’hostilité et à l’extrémisme, ni inciter à la violence ou à l’effusion de sang.»

Or, le livre sacré des musulmans abonde de versets et de hadits prônant l’inverse et l’EI a fidèlement obéi aux injonctions coraniques avec apparemment l’aval d’Ahmed al-Tayeb.

Selon le “modéré” Arhmed Al-Tayeb, l’EI n’est pas anti-islamique !

L’attitude draconienne, extrêmement radicale d’al-Tayeb à l’égard des «infidèles» et des «apostats» contraste avec son refus obstiné de dénoncer l’EI comme anti-islamique. Ce qui n’échappa pas à l’attention de nombreux commentateurs égyptiens.

«C’est incroyable» estima le présentateur égyptien d’un talk-show, Ibrahim Eissa: «Al Azhar insiste sur le fait que les membres de l’EI sont musulmans, mais refuse de les dénoncer, de les condamner. Et pourtant, Al- Azhar ne cesse jamais de lancer des déclarations accusant des romanciers, des auteurs, des penseurs ou quiconque exprime une opinion opposée à la sienne de tomber dans un état d’infidélité. Mais non quand il s’agit de l’EI et pour cause… »

Lors d’une autre interview télévisée, le Dr. Muhammad Abdullah Nasr, érudit en droit islamique et diplômé d’Al-Azhar, dévoila l’alma mater de cette noble institution:

Al Azhar ne peut pas condamner l’État islamique comme étant non islamique. L’État islamique est un sous-produit des programmes d’Al- Azhar. dès lors, , Al- Azhar peut-il se dénoncer lui-même comme non islamique? Evidemment non!

Al-Azhar dit qu’il doit y avoir un califat et que c’est une obligation pour le monde musulman de l’établir.

Al -Azhar enseigne la loi d’apostasie et l’obligation de punir sévèrement l’apostat, voire de le tuer.

Al -Azhar est hostile envers les minorités religieuses et explique par exemple qu’il est nécessaire de s’opposer à la construction d’églises.

Al -Azhar soutient l’institution de la jizya (extorsion de fonds, argent de protection) exigé des sujets non musulmans. (Une sorte de racket, dont se sont sans doute inspirés les mafias par la suite: protection contre payement d’une certaine somme.)

«Al Azhar enseigne la lapidation.»

Les demandes faites aux «infidèles» par les musulmans de payer la jizya sous peine de mort ne cessent de s’accroître, tandis que l’Occident, plongé dans son angélisme béat, oscille entre sa méconnaissance profonde de la jizya et l’idée séraphique que cet «impôt» de survie islamique imposée aux mécréants est un bel exemple de la grande «tolérance» islamique.

Pour certains pieux musulmans installés en Occident, les allocations sociales dont ils bénéficient, sans devoir fournir le moindre effort, sont un cadeau d’Allah, une sorte de jizya soft, du moins pour l’instant.

Ainsi, de nos jours, alors que les musulmans réclament de plus en plus violemment «leur mythique héritage islamique» souvent encouragés par l’Occident, sous le charme du merveilleux «multiculturalisme» et du magique «vivre ensemble», la jizya, qu’elle soit institutionnalisée comme sous l’EI ou considérée comme une justification halal pour piller les infidèles, est de retour.

En 2013, un prédicateur islamiste britannique, d’origine pakistanaise, l’ ignoble A. Choudary – qui recevait annuellement plus de 25.000 £ en diverses allocations sociales, était logé avec sa famille gratuitement dans un immeuble de luxe et jouissait à l’époque de la protection policière, soi disant suite à menaces islamophobes – traita les contribuables britanniques d’esclaves et expliqua sans honte aucune:

«Nous prenons la jizya, qui est de toute façon notre «haq» (notre droit). La situation normale n’est-elle pas de prendre l’argent des kouffars? Vous, les kouffars, vous travaillez et nous donnez l’argent. Allahou akhbar! Nous prenons l’argent des infidèles. Allahou akhbar!» En d’autres termes, nous, les infidèles, sommes les «vaches à lait» des sujets d’Allah, incrustés dans nos pays et c’est normal, Allah est le plus grand… Des vaches à lait à traire, jusqu’à ce qu’elles ne donnent plus de lait et terminent leur vie dans l’ abattoir halal.

Dans la vidéo montrant l’égorgement de 30 Chrétiens éthiopiens sur une plage en Libye par les sbires de l’EI, leur porte-parole signala plusieurs fois que le payement de la jizya (ce que les pauvres travailleurs migrants éthiopiens ne pouvaient pas payer, ni les 21 malheureux Coptes avant eux, aussi décapités par les égorgeurs de l’EI) était le seul moyen pour les Chrétiens à travers le monde de préserver (momentanément) leur vie, avant de se soumettre et/ou de se convertir à l’islam.

«Mais quiconque refuse [de payer la jizya] ne verra rien de nous que la pointe d’une lance. Les hommes seront tués et les enfants seront réduits en esclavage, et leurs richesses seront prises comme butin. Tel est le jugement d’Allah et de Son messager.»

Les belles traditions de Mahomet et de sa bande de pillards se sont perpétuées au cours des siècles. De nos jours en Occident, nul besoin de se battre, nos gouvernements offrent gracieusement à nos envahisseurs la jizya, payée par les contribuables, corvéables à merci pour la gloire d’Allah.

En 2016, quand l’État islamique envahit les anciennes régions chrétiennes autour de la plaine de Ninive, il déclara à nouveau:

«Nous offrons [aux chrétiens assyriens] trois choix: l’islam; le contrat de dhimmitude, incluant le paiement de la jizya; s’ils refusent cela, ils n’auront rien d’autre que l’épée.»

L’État islamique – qui n’a rien à voir avec l’islam, selon les affirmations ridiculement absurdes de la plupart des politiciens occidentaux – n’est pas le seul à réclamer le payement de la jizya aux «infidèles» chrétiens. En 2002, le cheikh saoudien Muhammad bin Abdul Rahman, tout en discutant de la prédiction du prophète sur la conquête éventuelle de Rome, déclara: «Nous contrôlerons la terre du Vatican, nous contrôlerons Rome et y introduirons l’islam. Et les Chrétiens … nous payeront la jizya dans l’humiliation ou ils se convertiront à l’islam.»

Dans une vidéo postée en 2015, le cheikh palestinien Issam Amira , au cours d’un sermon à la mosquée d’Al -Aqsa, déplora que trop de musulmans pensaient que le djihad n’était que défensif et ne devait être mené que pour se défendre contre les agresseurs. Erreur monumentale selon ce brave imam! Le djihad offensif est préventif, il doit être mené contre les non musulmans, afin d’éliminer dans l’oeuf toute velléité guerrière de leur part et ainsi protéger l’Oumma. Ou quand la paranoïa islamique gangrène la cervelle des fidèles d’Allah.

«Quand vous rencontrez vos ennemis païens, appelez-les soit à se convertir à l’islam et à payer la jizya, soit combattez-les avec l’aide d’Allah. Même s’ils ne vous combattent pas ou n’engagent aucune hostilité envers vous, combattez-les! … Combattez-les! Quand? Quand ils vous combattent? Non, quand ils refusent de se convertir à l’islam ou de payer la jizya … Que cela leur plaise ou non, nous les asservirons à l’Autorité d’Allah.»



.

A part cela, l’islam regorge d’amour et de fraternité envers les non musulmans. «Bienheureux» ceux qui se laissent duper par cette «religion» de soumission, d’humiliation, de mort, Allah les récompensera à sa manière…

L’EI ne fait qu’appliquer les enseignements d’Al-Azhar

Quand la planète entière fut choquée en 2015 par la vue du pilote jordanien, enfermé dans une cage, en train de brûler vif, vidéo tournée avec jubilation par les pieux musulmans de l’EI, le journaliste égyptien Yusuf al-Husanyi déclara: «l’EI ne faisait qu’appliquer les enseignements d’Al-Azhar.»

Sans l’entité sioniste dans la région, ce serait le paradis

En réponse à toutes ces critiques, al-Tayeb accusa … son ennemi mortel … Israël. Au cours d’une interview télévisée en mars 2018, il déclara:

«Ils nous disent toujours que le terrorisme est islamique. Tous ces porte-paroles, qui croassent, soit par ignorance, soit pour avoir cru que les enseignements d’Al-Azhar sont la cause du terrorisme, ne parlent jamais d’Israël, des prisons israéliennes, des génocides perpétrés par l’entité sioniste … Sans les abus commis dans la région par l’entité sioniste, il n’y aurait jamais eu aucun problème.»

Si je comprends bien ce grand « esprit éclairé» d’Al-Azhar, apparemment très «in love» avec Israël, pour que les peuples du Moyen-Orient puissent enfin vivre dignement, dans l’enchantement, la félicité, l’extase, la fraternité, la paix, la sérénité, la justice sociale … Israël doit disparaître de la région.

Il n’y aura plus d’attentats meurtriers entre les frères ennemis de l’Oumma, mais une grande fraternité baignée d’amour … entre Chiites et Sunnites, après 14 siècles de guerres fratricides. A noter que «l’entité sioniste» n’a retrouvé sa terre ancestrale, qu’en 1948, après 2.000 ans d’errance de son peuple, alors que les musulmans n’ont jamais cessé de s’entre-tuer depuis la mort de leur prophète bien-aimé au VIIe siècle. Mais la vérité historique n’a jamais été le thème de prédilection des musulmans, par contre, le mensonge, l’affabulation, la victimisation sont leurs sujets favoris et ils excellent en la matière, notamment en la réécriture de l’histoire d’un pays, d’un peuple, qu’ils convoitent avec avidité.

Tel est le vrai visage d’al-Tayeb, du moins dans son pays, là où il s’exprime librement et franchement en arabe, bien éloigné de l’image de l’interlocuteur modéré, réformiste, souriant, amical, l’imam du dialogue inter-confessionnel vivement apprécié par les naïfs dirigeants européens et le Pape François, si désireux de croire ce qu’ils veulent entendre, plutôt que de voir la réalité en face et l’affronter courageusement.

Dès lors, la signature d’al-Tayeb apposée sur le «Document sur la Fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre ensemble» n’a aucune valeur et ne mérite certainement pas l’effervescence joyeuse, encore moins l’espoir béat suscités lors de sa signature.

Mais la situation s’avère être pire encore : si al-Tayeb est un loup déguisé en brebis, le Pape François est un doux pâtre, un grand rêveur, conduisant son troupeau vers l’abattoir islamique, les yeux pleins d’étoiles et de croissants de lune.

Il serait grand temps qu’il cesse de jouer le rôle «de la colombe inoffensive» et devienne aussi «sage qu’un serpent», à savoir «intelligent, plein de bon sens, prudent, avisé, rusé.» ne serait-ce que pour les millions de Chrétiens persécutés sous le joug de l’islam … et pour la survie de l’Eglise, dont il est le Pasteur, dangereusement menacée par cette belle religion d’amour, de tolérance et de paix qu’est l’islam.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources:

  • «The Two-faced Muslim Leader that Pope Francis Loves and Trusts»
  • «Islamic Jizya: Fact and Fiction» ( (by Raymond Ibrahim – FrontPage Mag) (traduit et commenté par Rosaly)

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous