
127 ont signé un appel, en demandant de ne pas assimiler l’antisionisme à l’antisémitisme. Leurs arguments soulève une question : sont-ils sous-informés ou mal-intentionnés ?
Chaque fois que je lis une tribune destinée à légitimer l’antisionisme, je rencontre les mêmes parodies d’arguments, les mêmes évitements, et les mêmes médias qui leur apportent une profusion d’ornements.
Les 127 qui réclament le retrait de la résolution – qui n’a qu’une force déclarative et non légale peut-on lire partout, montrant qu’il s’agit d’encre une clownerie de Macron – ont le soutien du groupe d’amitié France-Palestine, et c’est tout dire.
Les 127 donnent de l’antisionisme une fausse définition, et les journalistes, dans leur traditionnelle incompétence, n’ont pas même eu l’idée d’aller vérifier.
- En un mot, non, l’antisionisme n’est pas «une critique légitime de l’Etat d’Israël». L’antisionisme concerne au contraire sa critique dévoyée.
- Qu’est-ce qu’une critique illégitime ? Avant tout, la négation faite à Israël de son droit d’exister (ou d’exister dans l’espace d’un confetti encore plus petit). C’est ensuite la critique des actions ou politiques de l’Etat d’Israël, alors que les mêmes actions ou politiques, conduites par d’autres pays, n’attirent aucune critique.
- Un exemple frappant : le colonialisme. La France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, figurent sur la liste de l’ONU des pays coloniaux. Pas Israël. Ceux qui dénoncent Israël comme Etat colonial mais jamais les autres, tiennent des propos antisionistes antisémites.
Oui, l’antisionisme antisémite a une définition précise, et ce n’est pas la critique légitime de l’Etat ou de la politique israélienne.
Le test des « 3D »
Chapeau au Monde, qui a réussi à dénicher 127 intellectuels juifs qui n’ont jamais entendu parler du test des 3D
Je veux dire ici mon admiration que le Monde ait réussi à dénicher 127 juifs qui n’ont jamais entendu parler du test des 3D. Des intellectuels en plus. Ca n’a pas dû être facile. Car il n’est pas nouveau, ce test.
En 2004, le politicien israélien et réfugié politique Natan Sharansky s’est demandé comment distinguer la critique légitime d’Israël de l’antisémitisme. Où tracer la ligne rouge entre l’antisionisme utilisé comme déguisement de l’antisémitisme, et l’antisionisme comme dénonciation des actions et de la politique israélienne ?
Les 3D, qui font passer la critique dans le rouge de l’antisémitisme sont : Délégitimer Israël, Diaboliser Israël, et appliquer un Double standard à Israël.
C’est la soumission d’Israël à deux poids, deux mesures qui indique l’antisémitisme. Il a été validé par la Jewish Political Studies Review en 2004.
Les critères donc, visent à tracer la ligne de démarcation entre les critiques légitimes et illégitimes.
Délégitimation
Aujourd’hui, les antisémites les plus dangereux sont ceux qui veulent libérer le monde du Judenstaatrein, d’un Etat juif
La délégitimation se réfère au déni du droit du peuple juif à l’autodétermination.
Exemple, prétendre que l’existence de l’État d’Israël est une entreprise raciste est une idée discriminatoire, car elle les désigne comme inéligibles au droit fondamental à l’autodétermination tel que déterminé par le droit international.
Étant donné que toute discrimination à l’encontre d’un groupe ethnique, religieux, racial ou national spécifique est considérée comme un type de racisme, la délégitimation du droit du peuple juif à l’autodétermination est qualifiée de racisme contre les juifs, c’est-à-dire d’antisémitisme.
L’ancien vice-premier ministre de Suède, Per Ahlmark l’a très bien expliqué :
Dans le passé, les antisémites les plus dangereux étaient ceux qui voulaient rendre le monde judenrein, sans Juifs. Aujourd’hui, les antisémites les plus dangereux pourraient être ceux qui veulent libérer le monde du Judenstaatrein, d’un Etat juif. »
http://irwincotler.liberal.ca/uncategorized/irwin-cotler-delivers-remarks-at-signing-of-ottawa-protocol-on-combating-antisemitism/
Le professeur Irwin Cotler appelle le déni fait au peuple du droit à l’autodétermination et la délégitimation de l’Etat d’Israël, « l’antisémitisme politique ».
Diabolisation
Faire disparaître Israël assurerait la paix dans la région
Le second « D » fait référence à la représentation des juifs comme étant fondamentalement mauvais, démoniaques, sataniques, voire nazis. Les antisémites accusent fréquemment les Juifs de conspirer pour nuire à l’humanité, et ils blâment les Juifs de tous les malheurs du monde, laissant entendre que leur extermination n’est pas un crime monstrueux, bien au contraire, car c’est faire une bonne action pour la tranquillité du monde.
La même analogie veut que faire disparaître Israël assurerait la paix dans la région, voire dans le monde, au mépris des nombreux conflits arabes pour lesquels Israël et les juifs n’ont aucune prise : Syrie et les 500 000 morts de sa guerre civile, Liban et sa guerre civile larvée en cours, Yémen/ Arabie Saoudite, Iran, Irak, etc.
Double standard
condamner la migration des Israéliens vers les territoires disputés, tout en applaudissant la migration africaine en Europe
Le dernier « D » fait référence à l’application de deux poids deux mesures à des situations similaires.
Si une personne critique Israël et seulement Israël sur certaines questions, mais choisit d’ignorer les situations similaires menées par d’autres pays, elle applique une politique de deux poids deux mesures contre Israël.
L’application d’une norme morale pour Israël et une autre au reste du monde est discriminatoire à l’égard d’un groupe spécifique, les Juifs, et est donc de l’antisémitisme.
- Par exemple, les médias et les antisionistes ont tendance à condamner la migration des Israéliens vers les territoires disputés, tout en applaudissant la migration africaine en Europe. Et ils ne critiquent jamais les colons du Maroc au Sahara occidental occupé, les colons de Turquie au nord de Chypre.
- Autre exemple, la barrière de sécurité anti-terroriste. Il existe des murs de séparation dans de nombreux pays du monde, mais seul celui construit par Israël fait l’objet de dénonciation, et est qualifié d’Apartheid.
- Un troisième exemple, probablement le plus insidieux car il est de règle dans les instances internationales, comme nous venons de le voir avec la décision de l’UE d’étiqueter les produits venant de Judée Samarie, parce qu’ils sont réputés illégitimes, ou précédemment à l’UNESCO en attribuant à d’autres le passé du peuple juif, consiste à nier à Israël le bénéfice des Traités internationaux qui le protège.
- Quatrième exemple et je m’arrête, mais il y en a tant d’autres : la riposte disproportionnée. Refuser de qualifier les terroristes pour ce qu’ils sont, et les décrire comme de simples civils Palestiniens ; refuser à Israël le droit de se défendre pour éliminer la menace terroriste ; refuser de préciser que les roquettes tirées depuis Gaza est un crime de guerre, et un crime contre l’humanité, parce qu’ils visent non pas de combattants mais des civils ; et dénoncer Israël devant les instances internationales pour crime lorsqu’une maison d’habitation palestinienne a été ciblée par erreur et ses occupants tués, la même semaine ou la force international a par erreur tué 150 civils dans un village afghan sans soulever la moindre remarque internationale, voilà encore un double standard qui se hisse au niveau de l’antisémitisme.
Des médias partisans
les Français voient les mêmes jets de pierre contre leurs commissariats de police qu’à Gaza
La différence entre antisionisme et antisémitisme, Sharansky l’a expliquée. Aucun média ne veut le publier parce qu’ils sont partie prenante : ils affichent tous une critique d’Israël imposée par le Quai d’Orsay, dixit un journalisme du Monde invité en 2011 par l’Ambassade de France en Israël pour un symposium sur la liberté d’expression.
Mais surprise, de moins en moins de Français sont anti-israéliens – l’acharnement des médias veut faire croire l’inverse. Au fur et à mesure que les Français voient les mêmes jets de pierre contre leurs commissariats de police et à Gaza ; et la même colonisation à Saint-Denis que sur les terres juives de Judée et de Samarie, ils ne sont pas idiots et ils commencent à comprendre.
Entre la banlieue et Gaza, tout est identique : les mêmes acteurs, les mêmes motifs, les mêmes buts, la même haine du non-musulman, la même folie islamiste. Seule la provenance des pierres change.
De la poudre aux yeux Macronesquieuse
Le texte ne dit rien. Ou plutôt, il dit tout et rien à la fois, comme Macron durant sa campagne électorale
Vous avez déjà oublié le président précédent, vous oublierez vite celui-ci, même s’il sera réélu. Sa résolution sur l’antisionisme n’est pas qu’une clownerie à la Macron, non, c’est une insulte faite aux Juifs.
Ce n’est pas une résolution, c’est de la poudre de perlimpinpin.
Ce n’est pas une décision, c’est un enterrement de première classe.
Ce n’est pas de la lutte contre l’antisémitisme, c’est un os jeté aux juifs pour qu’ils se calment et se taisent.
La résolution n’est pas seulement d’une superficialité à pleurer – elle marque au fer rouge où est tombée l’intelligence France – elle est le reflet d’un pays perdu qui pour seule arme contre l’explosion de l’antisémitisme, n’a rien trouvé de mieux que voter une résolution de principe sans valeur juridique.
- Le texte ne dit rien. Ou plutôt, il dit tout et rien à la fois, comme Macron durant sa campagne électorale. «Les actes antisionistes peuvent parfois occulter des réalités antisémites» dit la résolution. Oh la belle découverte ! Parfois ? Parfois oui, parfois non ? P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non ?
- La résolution n’a aucune valeur contraignante. Le texte est juridiquement non-contraignant. Personne ne sera poursuivi en justice pour dire qu’Israël est un Etat d’Apartheid ou néo-nazi. C’est rien qu’une déclaration. Juste une déclaration. Une dé-cla-ra-tion. Rien. Vide. Ce n’est pas « un bon début » comme j’ai pu le lire, c’est une mauvaise fin.
Conclusion
J’en viens à me demander si les 127 idiots utiles qui ont appelé à ne pas signer la résolution, ils n’ont pas été recrutés par Macron lui-même pour donner de la valeur à une résolution qui n’en a zéro, pour fabriquer de l’importance à une frivolité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
L’ignorance soutenue par la peur, peut donner de telles réponses ! S’ils sont très jeunes, le lavage de cerveau gauchiste a pu donner ce résultat aussi
L ex de mon petit amie juive de mon frère était outrée que les israéliens volent le pays des pauvres palestiniens mais ça ne l ´a pas dérangée de se rendre dans ce pays .Une autre juive était en colère envers les israéliens car pour elle ils occupaient un pays qui n’est pas à eux et pour montrer son mécontentement elle sait convertie au catholicisme .Ces deux personnes méconnaissent l ´histoire de leur peuple .
ils auraient pu demander au pape actuel, vous savez celui qui porte une kippa et un khemis blanc
patphil, je n’aurai pas dit mieux !!!! MERCI
Comment est il convenable d’etre antisémite en 2019 ? il suffit de remplacer le mot » juif » par le mot » israel » ou le mot » sioniste » ..le tour de passe-passe continuel du Monde a Libé en passant par le Figaro ( qui joue toujours sur les deux bords : Zemmour-Rioufol contre AFP-Oberlé – Renaud Girard etc..).
j’ai peine à croire que sur ce sujet sensible, il y ait des juifs « mal informés ».
Parmi les signataires, on trouve Daniel Boyarin, professeur Taubman de Culture Talmudique, université de Californie, Berkeley, auteur du » Christ Juif.
Cordialement.
Moi aussi, monsieur l’Abbé, j’ai du mal à le croire. Surtout quand on voit que le premier signataire est le conjoint d’Esther Benbassa.
C’est une récidive de l’immonde organe de propagande islamophile, nuisant tous les soirs depuis paris.
Déjà en 2002, au plus fort de la vague terroriste nazislamiste, l’immonde saleté publiait une pétition d’un ramassis d’antijuifs appelant à soutenir les déchets nazislamistes qui assassinaient en Israël.
La distinction des déjections accidentellement juives, dont quelques rescapés, hélas, de la Shoah, par une étoile de David, sur une page personnelle, valut à l’infortuné auteur de la page, un retentissant procès, dans lequel il fut accusé « d’antisémitisme », par les déchets nazislamistes et leurs complices les renégats juifs. Ce fut la sinistre affaire « Am Israël Haï ».
Pourtant, par son ampleur disproportionnée, ce procès fut un puissant déclencheur de prise de conscience pour beaucoup de Juifs en France. La défiance envers la propagande et la classe politique est devenue la règle pour une grosse majorité d’entre eux.
1- c’est sans importance, vous me dites vous-mêmes
2- j’ai écouté hier l’échange entre Pavi Ezner et un anti-sioniste dont j’ai oublié le nom
– l’ex-ambassadeur évoque les juifs traditionalistes qui sont anti sionistes et ne les qualifie pas d’antisemites.
Les Loubavitch, par exemple , sont anti sionistes.
– son contradicteur reproche à Israël sa proximité avec Orban, avec la Pologne qu’il qualifie d’antisemites .
. la Pologne a fait payer un lourd tribut aux juifs polonais.
Il est probable que les polonais en sont conscients. On ostracise pas tout un peuple pour un comportement passé et dont il a honte puisqu’il souhaite occulter sa responsabilité genocidaire passée.
. Orban a été qualifié d’antisemite par les ennemis d’Israel pour avoir viré Soros et ses ONG comme Israël vient de le faire.
Avoir viré un juif ex-collabo, responsable du gazage de juifs hongrois et terminer par « si ce n’avait été moi, c’eût été un autre », serait donc antisemite pour cet allumé.
De plus, j’ai entendu parler de son financement d’une secte évangélique qui a amené pas mal de désordre en Israël.
Nous voyons donc que des sionistes sont qualifiés d’antisemites.
Mais des antisémites réels furent siono- compatibles.
Dans les années 30, Hitler ne persécuta pas les sionistes.
Son alliance avec le grand mufti de Jérusalem eut lieu ensuite.
Toutes proportions gardées , Jean -Marie Le Pen est un fervent admirateur de Tsahal et tout à fait sioniste.
Alors, anti sionisme / antisemitisme , même combat ?
Je n’ai vu les deux réellement associés que chez les gauchistes.
Alors faire des lois sous des régimes dictatoriaux comme la France pour interdire l’anti sionisme et plus encore, toute critique envers l’Etat d’Israel , paraît incohérente .
Des pays de l’UE sont sous le joug de régimes socialistes , l’UE tout entière sauf exceptions notables (résistance d’Orban et de la Pologne) est un régime socialiste , que l’UE ou Macron se déclarent sionistes en étant profondément antisémites en leur for intérieur , pose question.
Et quid de l’Ukraine où les pogroms redoublent avec Pravy Sector et Svoboda ?
Moi, j’ai une critique forte vis-à-vis d’Israel : qu’est-ce que c’est que cet abandon des valeurs morales ? Tel-A-Viv capitale du gay-friendly ?!
Le délitement d’une nation commence avec l’abandon des valeurs de la famille.
Alors , je suis anti sioniste /antisemite ?
Le lien que vous faites entre les deux concepts est tout sauf clair
Une critique vis-à-vis d’un état ne signifie pas qu’on souhaite l’anéantissement d’une nation .
Alors là, mon petit Janvier, t’es un sacré numéro ! 🙂
Reprenons tes âneries point par point :
« l’ex-ambassadeur évoque les juifs traditionalistes qui sont anti sionistes et ne les qualifie pas d’antisemites. »
(c’est Avi Pazner, pas « Pavi Ezner »). Les Juifs traditionalistes, ils y en a de toutes sortes et de toutes provenances (Maghreb, Golfe Persique, Moyen-Orient, Europe de l’Est, Russie…) donc cette assertion-là ne veut absolument rien dire.
Ce sont uniquement de tous petits groupes à l’intérieur d’autres petits groupes qualifiés de ultra-orthodoxes qui se sont choisis une politique contre le gouvernement israélien. Donc au final, on parle de 0,0002% à l’intérieur des orthodoxes qui, eux, constituent 3% de la population juive, elle-même comptant pour moins de 0,1% de 6,5 milliards d’habitants sur cette planète. Résultat: on parle, au mieux d’un mini-groupuscule de 2000 individus qui, étrangement, se confrontent à un gouvernement israélien qui ne leur a rien demandé. Même Al-Jazeera sait cela, et même Nicolas Hulot a bien plus d’adeptes que cela. Tu me suis ?
« Les Loubavitch, par exemple, sont antisionistes. »
C’est complètement faux aussi, et cette erreur provient du fait que beaucoup de gens ne savent pas ce qu’est « Loubavitch » et l’amalgament donc avec les autres communautés partiquantes et/ou orthodoxes alors qu’ils n’en sont qu’une seules des composantes. Cela dit, les Loubavitch sont attachés à la Terre d’Israël et n’ont strictement jamais eu l’Etat d’Israël comme adversaire. Le Rabbi de Loubavitch recevait lui-même personnellement des dirigeants israéliens. Donc révisez vos classiques, vous dites n’importe quoi.
« On ostracise pas tout un peuple pour un comportement passé »
De qui parlez-vous ?
« Son contradicteur reproche à Israël sa proximité avec Orban, avec la Pologne qu’il qualifie d’antisemite »
Israël a tout autant le droit d’être proche d’Orban que la France et son Quai d’Orsay sont historiquement proches des mollahs et du régime terroriste corrompu de Téhéran. La France et son Quai d’Orsay avaient aussi vendu des millions de tonnes d’armement lourd à Saddam Hussein. On a vu la suite.
Mais les médias vous ont vacciné contre Orban (que vous ne connaissez pas), donc je crains que ce ne soit déjà trop tard pour vos idéaux.
« Nous voyons donc que des sionistes sont qualifiés d’antisémites »
Peut-être, mais ce sont des sionistes de gauche dans 100% des cas, et avec les mêmes visées de reniement ethnomasochiste auto-génocidaires que les gauchistes d’Europe qui ont plongé cette pauvre Europe là où elle en est aujourd’hui.
C’est comme les communistes: c’est dans leurs gênes.
« j’ai entendu parler de son financement d’une secte évangélique qui a amené pas mal de désordre en Israël »
Alors aujourd’hui, si vous ne le savez pas, je vous explique: Pour foutre le bordel n’importe où, les gauchistes créent une secte, ou une ONG, ou bienun groupe de parlementaires corrompus à l’ONU ou à l’UE (ça dépend qui paie le mieux), et ils déguisent ensuite leur secte / ONG / groupe en « évangélique », ou « écologique », ou « humanitaire », ou « climatique » etc, comme couverture médiatique pour commettre leurs nuisances. Ensuite ils roulent des patins à leurs potes de la gaucho-médiasphère afin de faire un maximum de bruit pour profiter de la crédulité des gens comme toi.
« Dans les années 30, Hitler ne persécuta pas les sionistes »
Normal, il n’y en avait pas. Israël a acquis son indépendance plus tard, en 1948 (alors qu’Hitler était déjà complètement bouffé par les vers). Et puis souviens-toi que les SS et les nazis EUX-MÊMES scandaient aux Juifs européens de « retourner en Palestine ». À cette époque, on était encore très loin de la farce onusienne, de la gigantesque corruption du terroriste Yasser Arafat et de ses successeurs, et du hoax « palestinien ». Tu me suis toujours ?
« Toutes proportions gardées, Jean-Marie Le Pen est un fervent admirateur de Tsahal et tout à fait sioniste »
Oui, exact, et c’est son droit le plus absolu, et ça correspond à sa génération. À cette époque, presque la totalité des médias français (hormis les torchons socialo-communistes comme l’Huma, etc) étaient aussi « fervents admirateurs de Tsahal et tout à fait sionistes » (époque des Kiboutz, guerre des Six Jours et de Kipour…), mais ensuite il y a eu le méga retournage de veste dans la médiasphère (privatisée à gauche) qui dure encore aujourd’hui.
« Alors faire des lois sous des régimes dictatoriaux comme la France pour interdire l’antisionisme et plus encore, toute critique envers l’Etat d’Israel, paraît incohérente. »
Exprime-nous plutôt ta vision de la cohérence, merci.
« qu’est-ce que c’est que cet abandon des valeurs morales ? Tel-Aviv capitale du gay-friendly ?! Le délitement d’une nation commence avec l’abandon des valeurs de la famille. »
Réponse: Je suis nien d’accord, mais Israël est une démocratie multiculturelle, incluant tout (mais alors TOUT) ce qui va avec. Ça te va ?
Au final, la teneur de tes arguments ici ne laisse aucun doute quant à la nature des sites web que tu fréquentes !
A Rico: vous avez bien fait de mettre les choses au point et de corriger le lamentable billet de Janvier. Il commencait d’ailleurs par la confusion deliberee, qu ne desavouerait pas Le Monde, « des lois pour interdire …toute critique envers l’Etat d’Israel ». Du coup, j’aurais cesse de lire son message, mais j’ai repris cette punition et j’approuve totalement vos corrections.
@ Janvier
ANTISIONISME vs ANTISÉMITISME
L’antisémite hait les Juifs.
L’antisioniste hait l’Etat hébreu.
Pour l’antisémite, le Juif n’est pas égal en droits, contrairement aux droits des autres nations.
Selon l’antisioniste, les Juifs n’auraient pas le droit à leur patrie, contrairement aux droits autres nations.
L’antisémite veut éradiquer les Juifs.
L’antisioniste veut éradiquer l’Etat d’Israël.
Dans la tête d’un antisioniste, les sionistes tueraient des bébés, auraient attaqué les Tours Jumelles le 11 Septembre, contrôleraient l’Amérique et toute l’Europe, les banques et l’ONU, fabriqueraient leurs matzots avec du sang de bébés chrétiens et musulmans, auraient créé Daesh, et Israël serait un Etat d’apartheid qui discriminerait les non-juifs.
Dans la tête d’un antisémite, les Juifs tueraient des bébés, auraient attaqué les Tours Jumelles le 11 Septembre, contrôleraient l’Amérique et toute l’Europe, les banques et l’ONU, fabriqueraient leurs matzots avec du sang de bébés chrétiens musulmans, auraient créé Daesh, et Israël serait un Etat d’apartheid qui discriminerait les non-juifs.
Pour l’antisémite, le judaïsme serait une religion inventée, et le peuple juif serait un peuple inventé.
Pour l’antisioniste, l’État d’Israël serait un État inventé.
L’antisémite boycotte les produits, les services et les compagnies tenus par des Juifs.
L’antisioniste boycotte les produits, les services et les compagnies tenus par des israéliens.
L’antisémite de l’Allemagne des années 1930 interdisait les artistes, les athlètes et les écrivains juifs.
L’antisioniste d’aujourd’hui aimerait interdire les artistes, les athlètes et les écrivains juifs (sauf les écrivains juifs de gauche, comme d’habitude).
L’antisémite nazi des années 1930 voulait que le Juif soit identifiable, et lui a donc imposé le port obligatoire d’une étoile jaune pour l’assigner à résidence identitaire.
L’antisioniste d’aujourd’hui veut que tous les produits provenant d’Israël soient clairement identifiables et identifiés.
Pour l’antisémite, l’holocauste serait un mythe destiné à attirer la sympathie pour Israël, et le seul vrai holocauste serait celui – imaginé – contre les « palestiniens ».
Pour l’antisioniste, l’holocauste serait un mythe destiné à attirer la sympathie pour Israël, et le seul vrai holocauste serait celui – imaginé – contre les « palestiniens ».
Pour l’antisémite, le Juif est une cible légitime.
Pour l’antisioniste, l’israélien est une cible légitime.
L’antisémite ne conçoit pas qu’un Juif puisse se défendre.
L’antisioniste ne conçoit pas qu’un israélien puisse se défendre.
L’antisémite lit le 100% fake Protocole des Sages de Sion et tous les bouquins des auteurs israéliens de gauche.
L’antisioniste lit le 100% fake Protocole des Sages de Sion et tous les bouquins des auteurs israéliens de gauche.
Seule différence, et qui en dit long :
L’antisémite nazi hurlait « Juif, retourne en Palestine ! »
L’antisioniste hurle « Juif, quitte la Palestine ! »
@ Janvier
Vous dites que les Loubavitcher sont anti sionistes, vous vous trompez de mouvement, il s’agit d’un autre je ne sais plus lequel, mais ça n’a pas d’importance, ils sont dans l’erreur la plus totale.
Pour preuve que les Loubavitcher ne sont pas, anti sionistes, il y a un village Loubavitch nommé Kfar Habad en Israël (Habad est un autre nom des Loubavitcher)
Le Rabbi Mendel Schneerson de Loubavitch (de sainte mémoire), qui a tant fait pour le Peuple Juif, n’a jamais été contre l’alya des Juifs en Terre Sainte, si les dits Juifs voulaient partir.
Voilà !
Bien sûr que ces « 127 » gauchistes irrécupérables ont le soutien du sinistre groupe d’amitié « France-Palestine » et réclament le retrait de la résolution.
Réfléchissons… ils ne conçoivent pas de laisser leurs amis du monde arabo-musulman avec SEULEMENT 57 États, royaumes et émirats autour du monde !
Bon, une chose est certaine, aucun débat ne réglera le problème.
l’état d’Israël est là et il sera encore dans très longtemps, de même que les juifs qui se trouvent dans d’autres pays.
Alors je salue les juifs du monde entier et Israël et j’emm… ceux qui me déni tout droit à vivre où je le veux et comme je le veux, religieux où pas
Des juifs antisémites? Probablement parce que le gauchisme les a envahis, à moins que ce ne soit de leur intérêt.
Dans cette liste que je n’ai pas lue, me refusant à acheter l’im-monde, je ne serais pas surpris d’y trouver la Benbassa, Piotr Smolar, jean Daniel, Enderlin. Et surement aussi divers noms, phagocités par Soros, qui se joint à cette liste par procuration.
Qui sont ces illustres 127 inconnus? Voici la liste: http://www.pierremansat.com/2019/12/appel-de-127-intellectuels-juifs-aux-deputes-francais-ne-soutenez-pas-la-proposition-de-resolution-assimilant-l-antisionisme-a-l-ant
On y trouve très peu de noms connus, tel Christophe Attias (dont le principal titre est d’être l’époux de la Benbassa), Zeev Sternhell, Rony Brauman, à peine une dizaine habitant la France. La totalité de la liste se compose d’universitaires de 3ème ordre israéliens, américains ou britanniques, qui n’ont jamais entendu parler de Mohamed Merah, Amédy Coulibaly, Youssouf Fofana et autres « vengeurs de chti nenfants palestinieniens », et partent du principe que les tueurs de Juifs sont de sincères partisans de la solution à 2 états.
On peut aussi supposer que ces obscurs tâcherons, professionnels de la signature de pétitions, sont en quête d’une notoriété qu’ils pourront monnayer auprès des organismes qatariens, saoudiens iraniens chargés de distribuer de copieuses « bourses de recherches » aux charlatans occidentaux à leur service -l’Arabie à elle seule, a dispensé en 10 ans une manne de plus de 100 milliards de $ aux médias et universités, afin de répandre le wahabisme.
Et voici la fameuse tribune :
Appel de 127 intellectuels juifs aux députés français : « Ne soutenez pas la proposition de résolution assimilant l’antisionisme à l’antisémitisme »
TRIBUNE
Un collectif du monde entier appelle les élus à ne pas apporter leur soutien à ce texte, qui doit être débattu dès mardi.Publié le 02 décembre 2019 à 11h56, mis à jour hier à 06h17
[Les députés doivent se prononcer, mardi 3 décembre, sur une proposition de résolution visant à lutter contre l’antisémitisme, déposée par le député La République en marche (LRM) Sylvain Maillard. Controversé, ce texte propose que la France adopte, à la suite du Parlement européen, la définition de l’antisémitisme établie par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), en 2016. Celle-ci inclut « les manifestations de haine à l’égard de l’Etat d’Israël justifiées par la seule perception de ce dernier comme collectivité juive », rappelle le texte de M. Maillard. Lors du dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), le 21 février, le président de la République Emmanuel Macron s’était dit favorable à l’adoption de cette définition non contraignante, jugeant que l’antisionisme constitue « une des formes modernes de l’antisémitisme ».]
Tribune. Le 3 décembre, l’Assemblée nationale va débattre et voter une proposition de résolution sur la lutte contre l’antisémitisme. Cette résolution est hautement problématique.
Nous, universitaires et intellectuels juifs, d’Israël et d’ailleurs, dont beaucoup de spécialistes de l’antisémitisme et de l’histoire du judaïsme et de l’Holocauste, élevons notre voix contre cette proposition de résolution.
La montée de l’antisémitisme dans le monde, y compris en France, nous préoccupe profondément. Nous considérons l’antisémitisme et toutes les autres formes de racisme et de xénophobie comme une menace réelle contre laquelle il convient de lutter avec la plus grande fermeté, et exhortons le gouvernement et le Parlement français à le faire.
Tout en soulignant fermement notre préoccupation, nous nous opposons à la proposition de résolution sur l’antisémitisme pour deux raisons principales, et appelons les députés de l’Assemblée nationale à ne pas y apporter leur soutien.
Premièrement, l’exposé des motifs de la proposition de résolution associe l’antisionisme à l’antisémitisme. Il assimile même l’antisionisme à l’antisémitisme en précisant que « critiquer l’existence même d’Israël en ce qu’elle constitue une collectivité composée de citoyens juifs revient à exprimer une haine à l’égard de la communauté juive dans son ensemble ».
Pour les nombreux juifs se considérant antisionistes, cet amalgame est profondément injurieux
Avant de poursuivre notre argumentation, nous déplorons que l’exposé des motifs désigne Israël comme « une collectivité composée de citoyens juifs ». Environ 20 % de la population d’Israël sont des citoyens palestiniens, dont la plupart sont musulmans ou chrétiens. La désignation choisie occulte et nie leur existence. Nous considérons cette approche comme très problématique, compte tenu également de l’engagement de votre pays en faveur d’une définition de la citoyenneté française qui n’est pas basée sur l’ethnicité.
Nos opinions sur le sionisme peuvent être diverses, mais nous pensons tous, y compris ceux qui se considèrent comme sionistes, que cet amalgame est fondamentalement faux. Pour les nombreux juifs se considérant antisionistes, cet amalgame est profondément injurieux.
L’antisionisme est un point de vue légitime dans l’histoire juive, et il a une longue tradition, y compris en Israël. Certains juifs s’opposent au sionisme pour des raisons religieuses, d’autres pour des raisons politiques ou culturelles. De nombreuses victimes de l’Holocauste étaient antisionistes. Le projet de résolution les déshonore et offense leur mémoire, en les considérant rétroactivement comme antisémites.
Mouvement politique oppressif
Pour les Palestiniens, le sionisme représente la dépossession, le déplacement, l’occupation et les inégalités structurelles. Il est cynique de les stigmatiser comme antisémites parce qu’ils s’opposent au sionisme. Ils s’opposent au sionisme non par haine des juifs, mais parce qu’ils vivent le sionisme comme un mouvement politique oppressif. Agir ainsi témoigne d’une grande insensibilité et d’une politique de deux poids, deux mesures, sachant qu’Israël nie le droit de la Palestine à exister et mine son existence même.
Il n’y a aucun doute qu’il existe des antisémites parmi les gens qui s’opposent au sionisme. Mais il y a également beaucoup d’antisémites qui soutiennent le sionisme. Il est donc inapproprié et totalement inexact d’identifier de manière générale antisémitisme et antisionisme. En confondant ces deux phénomènes, l’Assemblée nationale compromettrait les efforts vitaux de lutte contre le véritable antisémitisme, qui est multidimensionnel et provient de différents secteurs de la société française.
Notre seconde objection est que la résolution approuve la définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA). Cette définition est hautement problématique. La résolution prétend que la définition « permet de désigner le plus précisément possible ce qu’est l’antisémitisme contemporain ». En réalité cependant, la définition est peu claire et imprécise, et par conséquent, n’est pas un instrument efficace de lutte contre l’antisémitisme. D’autre part, une législation visant à lutter efficacement contre l’antisémitisme et à le poursuivre existe déjà en France.
La résolution crée un double standard injustifiable en faveur d’Israël et contre les Palestiniens
L’exposé des motifs de la proposition de résolution indique que la définition de l’IHRA « ne reconnaît pas comme antisémite la critique des politiques de l’Etat d’Israël ». En réalité cependant, plusieurs « exemples contemporains d’antisémitisme » ont été joints à la définition qui associe intentionnellement la critique et l’opposition aux politiques de l’Etat d’Israël à l’antisémitisme. Ces exemples sont présentés et considérés comme partie intégrante de la définition.
D’après les exemples et la manière dont ils sont appliqués, il suffit de critiquer Israël d’une manière perçue comme différente de ce qui se fait pour d’autres pays, pour être considéré comme antisémite. Il suffit d’être en faveur d’une solution binationale ou démocratique au conflit israélo-palestinien, pour être considéré comme antisémite. Il en va de même, quand on blâme Israël pour son racisme institutionnalisé. On peut certainement ne pas être d’accord avec ces énoncés. Mais ces opinions sont considérées comme légitimes et protégées par la liberté d’expression dans tout autre contexte politique. Ainsi, la résolution crée un double standard injustifiable en faveur d’Israël et contre les Palestiniens.
La définition de l’IHRA est déjà utilisée pour stigmatiser et réduire au silence les critiques de l’Etat d’Israël, notamment les organisations de défense des droits humains et des experts respectés. Cette situation a été condamnée par d’éminents spécialistes de l’antisémitisme. L’avocat américain Kenneth Stern, l’un des rédacteurs originaux de la définition de l’IHRA, a également mis en garde contre l’utilisation de cette définition pour saper la liberté d’expression.
Instrumentalisation
La question-clé est la suivante : pourquoi tout cela se produit-il ? Nous ne pouvons pas considérer cela comme indépendant de l’agenda politique principal du gouvernement israélien visant à enraciner son occupation et son annexion de la Palestine et à faire taire toute critique à l’égard de cet agenda.
Depuis des années, le gouvernement israélien du premier ministre Benjamin Nétanyahou dénonce comme antisémite toute opposition à sa politique. Nétanyahou lui-même a défendu avec force l’assimilation de l’antisionisme à l’antisémitisme, ainsi que la définition de l’IHRA. Cela illustre la manière dont la lutte contre l’antisémitisme a été instrumentalisée pour protéger le gouvernement israélien.
C’est avec inquiétude que nous constatons que ces efforts du gouvernement israélien trouvent un soutien politique, jusqu’en France. Nous invitons ainsi l’Assemblée nationale à lutter contre l’antisémitisme et contre toutes les formes de racisme, mais sans aider le gouvernement israélien dans son programme d’occupation et d’annexion.
« Ne pas confondre racisme et critique légitime d’un Etat »
Cette proposition de résolution n’est pas un moyen crédible et efficace d’y parvenir. L’antisémitisme doit être combattu sur des bases universelles, au même titre que d’autres formes de racisme et de xénophobie, pour lutter contre la haine. L’abandon de cette approche universaliste conduira à une polarisation accrue en France, ce qui nuirait également à la lutte contre l’antisémitisme.
Dans ce contexte, nous notons que la proposition de résolution est également en contradiction avec la position de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Dans son rapport de 2018 sur la lutte contre le racisme, la CNCDH a averti que la définition de l’IHRA risque d’affaiblir l’approche universelle française de la lutte contre le racisme et a insisté « sur la vigilance pour ne pas confondre racisme et critique légitime d’un Etat et de sa politique ».
Nous prions l’Assemblée nationale de ne pas soutenir une résolution qui assimile à tort l’antisionisme à l’antisémitisme. Ne soutenez pas une résolution qui approuve la définition politisée de l’antisémitisme par l’IHRA, d’autant plus si elle le fait sans se distancier des exemples problématiques de la définition qui concernent Israël.
Il a tout dit : « critiquer l’existence-même d’Israel… »
Critiquer l’existence d’Israel est l’apanage d’inféodés aux états arabes qui entourent Israël .
C’est notre 5eme colonne ici.
Mais si c’est inacceptable , est-ce antisemite ?
Ils disent soutenir les palestiniens qui sont eux-mêmes des sémites .
Le souci est de prendre garde à ce que toute critique, fondée ou non , soit qualifiée d’anti sioniste et par amalgame , d’antisemite.
Quant à la « société ouverte », ma foi, Dieu reconnaîtra les siens.
Si Israël veut adopter le programme Schiappa (programme onusien ) ça le regarde.
La liberté d’expression ne doit pas avoir de frein.
Nous en avons l’exemple sous nos yeux, 5 jours par semaine.
Le nombre de debatteurs encensés qui refusent une confrontation avec Éric Zemmour. Pourquoi ? Pas d’arguments.
Regardez Face à l’info et comment il démolit les arguments fallacieux.
Il faut confronter les idées
Entre parenthèses , depuis son arrivée chez CNews, on a vu fleurir des caricatures que la propagande nazie n’aurait pas reniée .
Regardez les rechauffistes. Interdiction de tout débat , censure et représailles , jobs perdus , noms, adresses publiés pour représailles etc …
Cerise sur le gâteau , assimilation à l’antisémitisme.
Pourquoi ? Parce que ça interdit le débat . On ne débat pas avec les méchants etc …
Un texte de loi ne fait pas disparaître une opinion , il en muselle l’expression au moins apparemment.
Et cette apparence est dangereuse.
De toute façon , dans les faits, l’existence d’Israel n’est pas en danger. Trump et Poutine veillent au grain.
Rico évoquait certaines aberrations dont Israël et le 9/11.
Même si c’est inquiétant , l’inquiétude vient que la lumière n’a jamais été faite.
Que Trump a fait déclassifier des documents amplement caviardés , qu’il n’y croit pas non plus et que 2 cours de justice étudient les documents soutenant la thèse de mise à feu interne.
Personnellement, c’est ce que je pense également à la lecture des vidéos et rapports (1 partie, pas tout lu).
Mais quel rapport avec Israël ?
Qui croit vraiment que les juifs mangent les petits enfants ?
Soyons sérieux
On est plus au temps du fake des Protocoles.
Merci pour la règle des 3D, que je ne connaissais pas, et qui permet de bien comprendre le glissement de l’antisionisme vers l’antisémitisme.
Ce n’est pas un glissement, c’est exactement la même chose.
Les mêmes pourritures, dans des costumes différents.
Vous avez raison, désolée Rico, ma phrase était maladroite. Merci.
A propos de l’anti-sionisme, par Martin Luther King
From M.L. King Jr., « Letter to an Anti-Zionist Friend, »
Saturday Review_XLVII (Aug. 1967),
extrait :
…Pour quiconque chérit ce droit inaliénable de toute l’humanité, il devrait être si facile de comprendre, de soutenir le droit du Peuple Juif de vivre sur l’antique Terre d’Israël. Tous les hommes de bonne volont se réjouiront de la réalisation de la promesse de Dieu, que son Peuple retourne dans la joie sur la terre qui lui a été volée. C’est cela le Sionisme, rien de plus, rien de moins.
Et qu’est l’antisionisme ? C’est le déni au peuple juif d’un droit fondamental que nous réclamons à juste titre pour le peuple d’Afrique et accordons librement à toutes les nations de la terre. C’est de la discrimination envers les Juifs, mon ami, parce qu’ils sont Juifs. En un mot, c’est de l’antisémitisme…
Ne jamais oublier ce texte fondamental et la pensee de Martin Luther King
A propos, les 127 ne sont pas mal informes, ils sont de gauche et de mauvaise foi
RICO, Bravo!
Sacrée raclée! …
Rio Bravo et Rico John Wayne 🎵🎵🎵
Rico, merci pour toutes vos explications, j’en fais une copie pour mes petites filles.
Le sionisme était avant 1948 , le mouvement national en vue de créer un Etat juif sur leur terre ancestrale.
Depuis 1948, le sionisme veut simplement maintenir Israël comme Etat juif ; l’antisionisme visant simplement à la disparition d’Israël en tant qu’Etat juif.
Il est donc évident que l’antisionisme est de l’antisémitisme.
La critique d’Israël est très souvent de l’antisémitisme car celle-ci utilise des double standards, c’est à dire des critères différents pour juger Israël et les autres pays.
La critique d’Israël peut évidemment être légitime au même titre que celle qui vise d’autres pays si les critères sont communs.
Comment déterminer si des propos sont antisémites ? Grumberg l’a très bien expliqué. On se base sur les propos tenus et non sur ceux qui les expriment. Il y a donc effectivement des Juifs antisémites comme il y a aussi des médecins qui sont atteints d’une grave maladie.
Bravo [email protected]
J’ai envie de crier cocorico!
Ce suis admiratif devant cette démonstration!
La démagogie islamo-gauchiste mise en déroute!
«L’antisionisme est une introuvable aubaine, a remarqué Vladimir Jankélévitch dans son livre L’Imprescriptible (1986), car il nous donne la permission et même le droit et même le devoir d’être antisémite au nom de la démocratie! L’antisionisme est l’antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous. Il est la permission d’être démocratiquement antisémite.» Le philosophe poursuit: «Et si les Juifs étaient eux-mêmes des nazis? Ce serait merveilleux. Il ne serait plus nécessaire de les plaindre: ils auraient mérité leur sort.» Nous y sommes, quand les territoires occupés sont comparés aux camps de la mort, les Israéliens accusés de «génocide» et les Palestiniens présentés comme les nouveaux «damnés de la terre», victimes du racisme juif, comme le proclament haut et fort nombre d’antisionistes amateurs de déclarations de cet ordre.
Ce n’est pas d’hier que des oxymores aptoposistes vérolent la politique.
Ainsi à l’époque de la décadence romaine beaucoup de riches crétins souhaitaient la disparition de l’Empire, faisaient venir des Migrants afin d’étaler leurs luxe. Ces esclaves oisifs les décapitèrent le moment venu.
Il y eu des gauchistes de toutes farines qui soutinrent la révolution de Khoméni, et qui furent pendus par brochettes de 70; je ne les ai jamais plaint.
Enfin les sinistres waffen SS juives qui firent un mal immense, exterminés par les Allemands, les vrais Juifs et les Alliés.
Actuellement les saloperies socialalo-communistes déclarent aimer les Juifs et détester l’état d’Israel. Comme si je déclarais aimer les Français et souhaiter la vitrification de l’Hexagone et de ses habitants.
C’est donc les aimer que de les foutres tous dans le même sac et de jeter le tout en Seine!