Les preuves des crimes graves commis par le président Trump fondent au soleil. Les Démocrates grattent mais ne trouvent plus rien. Ils vont cependant voter la destitution, puis une autre, et encore une autre…
Tous les sondages confirment maintenant que les Américains ont perdu patience, et que le matraquage anti-Trump des médias ne suffit plus à convaincre les gens de soutenir la procédure de destitution –et croyez-moi, jamais dans l’histoire, les médias n’auront été aussi déchaînés, et aussi déconnectés du public et du monde de tous les jours.
Les Américains ne sont pas les abrutis que les anti-américains primaires décrivent, et ils tournent le dos à l’impeachment de Trump.
Suicide collectif
Les Démocrates sont piégés. Tandis que les sondages leur disent que non seulement ils n’ont pas convaincu un seul électeur Républicain, ce sont maintenant les indispensables Indépendants qui leur tournent le dos et les poussent à des décisions radicales.
La gauche ne peut plus faire marche arrière. Elle observe pétrifiée les résultats prémonitoires des élections britanniques, et voit le désastre des présidentielles de 2020 prendre forme sous ses yeux.
Pendant toute l’année 2016, le candidat Trump prédisait qu’il gagnerait l’élection, en se comparant au vote Brexit en Angleterre. Un second Brexit, un référendum encore plus violemment anti-establishment, s’est produit ce 12 décembre 2019.
Alors la gauche, sonnée, joue la fuite en avant. Les Démocrates rejouent la fin tragique de Thelma et Louise sous nos yeux. Ils parlent maintenant de faire “plus d’une destitution” de Trump– un vrai numéro de cirque.
Trump a déclaré que l’impeachment a commencé… le jour de son élection. Les médias ont ri
Avertissement : mes confrères voudraient me forcer à employer des mots politiquement corrects. Et ils savent que je n’obéis pas. Chercher à défaire une élection démocratique, cela s’appelle un coup d’Etat, en langage clair.
Durant toute l’année 2017 et 2018, Trump a répété que les Démocrates sont des timbrés, et qu’ils veulent le faire destituer depuis le jour de son élection.
Les médias se sont moqués de lui, l’ont traité d’fabulateur.
Les preuves qu’il disait vrai, avec un article du Washington Post daté du jour où le président Trump a prêté serment, ont été déterrées (3).
Les médias, organe de propagande des Démocrates, ont continué à jurer qu’ils n’avaient jamais, Ô grands dieux jamais, eu l’intention de faire destituer le président Trump. Notez bien ces mots, ils sont importants pour la suite de cet article.
Les preuves incontestables
- Mardi 8 novembre 2016 –Le Times écrit (1) : “Lors de l’une des élections américaines les plus choquantes de l’histoire politique moderne, Donald Trump a battu Hillary Clinton.” Notez le mot “choquante”. L’élection n’était pas choquante, elle était jubilatoire.
- Mercredi 9 novembre 2016, un groupe de gauche annonce (2) le début des procédures d’impeachment. Des manifestations d’urgence contre Donald Trump sont organisées dans six villes importantes. Dans les 24 heures qui ont suivi la déclaration de Trump à la présidence, des activistes se rassemblent à Chicago, Los Angeles, Sacramento, New York, San Francisco et Albuquerque. Ils annoncent que : “Donald Trump a été élu président, mais le peuple peut se lever et vaincre son programme d’extrême droite ! La Coalition ANSWER [Soros] se mobilise à travers le pays pour organiser et participer à des actions d’urgence.”
- Vendredi 20 janvier 2017, le président Trump prête serment, main sur la bible, devant le président de la Cour suprême John Roberts, en présence de sa femme Melania, et de ses cinq enfants, Donald Jr, Eric, Ivanka, Tiffany et Barron.
- Le même jour, vendredi 20 janvier 2017, le Washington Post (3) annonce que “les efforts pour faire destituer le président Trump sont déjà enclenchés”.
L’aveu
Cette semaine, la présidente Démocrate de la Chambre des Représentants, Nancy Pelosi, répondait à une question d’une journaliste de Politico lors d’une réunion publique.
Question : “L’une des plus grandes critiques du processus de destitution a été la vitesse à laquelle les Démocrates de la Chambre des représentants avancent, en fait.”
Réponse de Pelosi :
Ça fait vingt-deux mois que ça dure. Deux ans et demi en réalité.
L’intervieweur dit ensuite : “Il y a eu quelques critiques, cependant, à savoir si vous devriez aller de l’avant avant la fin de l’année ou attendre les décisions de la Cour [qui doit statuer pour savoir si John Bolton doit témoigner ou pas]. Pourquoi pensez-vous que c’est le moment d’agir ?”
Pelosi :
” Eh bien, je pense que nous n’avançons pas trop vite. N’était-ce pas il y a deux ans et demi que l’enquête Mueller a commencé…”, a-t-elle répondu.
Nancy Pelosi vient d’admettre ce que tous les Démocrates et les médias nient depuis deux ans. Ils ne présenteront aucune excuse.
Destituer Trump pour éviter de perdre en 2020
Les Démocrates sont régulièrement mis en cause sur leur opération de destitution, l’année même où une élection se déroule, et permettra au peuple, s’il considère que Trump est coupable, de lui infliger une défaite électorale.
Ils répondent, hypocrites comme pas un, et avec applomb, que leur démarche n’a rien à voir avec la politique, et qu’ils agissent dans le souci de protection de la Constitution.
Mais ils viennent de se trahir.
Hier soir, le président de la Commission judiciaire de la Chambre, Jerry Nadler, a admis (4) que les Démocrates poursuivaient la destitution parce qu’il est trop dangereux de simplement laisser le peuple américain choisir le prochain président en 2020.
Nadler :
Pourquoi est-ce nécessaire [de destituer] maintenant ? Pourquoi devons-nous destituer [maintenant] le président ? Pourquoi ne pas laisser les prochaines élections s’en occuper ? [Parce que] si nous ne réagissons pas aux abus de pouvoir du président Trump, les abus continueront.
https://abcn.ws/38vfMLJ
Destitutions en cascade
Si l’effort d’impeachment échoue – et il est déjà en train d’échouer – ne vous y trompez pas, les Démocrates trouveront une autre excuse pour lancer une autre procédure de destitution.
Le député Al Green l’a promis il y a une semaine :
Un président peut être destitué plus d’une fois. Il n’y a pas de limite au nombre de fois que le Sénat peut voter pour condamner ou non un président. Il n’y a aucune limite au nombre de fois que la Chambre peut voter pour destituer un président. Il pourrait y avoir d’autres occasions de faire d’autres choses plus tard.
https://www.youtube.com/watch?v=_83hqtBzUS8&feature=emb_title
L’impeachment ne s’est produit que trois fois en 243 ans, et ils veulent destituer encore et encore le même président, pendant son même mandat.
Que la saga ukrainienne traîne en longueur ou qu’elle ait échoué, peu importe. Demain, ils inventeront un autre délit d’impeachment. Et un autre, et un autre, et encore un autre…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://time.com/4563685/donald-trump-wins/
- https://www.foxnews.com/opinion/newt-gingrich-resistance-trump-impeachment
- https://www.washingtonpost.com/news/post-politics/wp/2017/01/20/the-campaign-to-impeach-president-trump-has-begun/
- https://abcnews.go.com/Politics/video/jerry-nadler-opening-remarks-impeachment-markup-67672489
Ce que j’espère, c’est que les européens vont se réveiller et voter notre nomenklatura dehors. Parce que si aux US c’est critique, en Europe c’est déjà le communécolislamisme avec Le PC (politiquement correct) et 1984 comme bible.
Ma femme me dit qu’elle n’aime pas Trump car moi bien présentable que l’obama.
Je lui ai simplement répondu qu’il y en a un qui dit la vérité avec des mots simples… que je puisse comprendre et que l’autre lui disait ce qu’elle voulait entendre.
Une petite prière pour Israël qui est dans les mêmes draps que les US avec une moins bonne constitution.
Votre femme trouve Obama présentable ? Obama qui dit que les gens qui ne sont pas d’accord avec lui, c’est parce qu’ils sont trop bêtes pour comprendre ? Obama qui nous a coûté très cher en frais de fonctionnement de la Maison Blanche et en voyages dans le monde entier avec tout un tas de gens ?
J’ai l’impression que votre femme et moi n’avons pas le même sens de ce qui est présentable (ou non).
Complètement cinglés ces democrates , que le diable les emporte .
Mais ils parlent bien !
le socialisme a foutu le bordel et des dizaines de millions de mort en Russie et en Chine ….. et les bien-pensant gauchiste veulent copier le modèle soviétique avec des sanders , warren donc oui la seul façon pour eux de gagner est de destituer Trump car avec des élections libre Trump va entrer encore plus fort en 2020
“L’impeachment ne s’est produit que trois fois en 243 ans, et ils veulent destituer encore et encore le même président, pendant son même mandat.” C’est bien. C’est même très bien. Ça sera non seulement une garantie pour la victoire de la prochaine élection mais aussi pour la suivante. Je leur dis: “Persistez! Il faut absolument per-sis-ter”.
Ils voterons la destitution tous les jours du second mandat.
C’est pas bête, il vaut mieux plusieurs fois qu’une seule
azoi,
Les Democrates vont perdre la Chambre des Representants dans tres exactement 326 jours. Ils pourront “deposer” des resolutions de destitution devant la Commission Judiciaire de la Chambre autant de fois qu’ils le desirent, jamais ces articles ne verront le jour en Assemblee pleiniere, il n’y aura jamais de vote.
A dire vrai, je doute meme que nous en soyons informes, si ce n’est pour l’anecdote.
O.
-326
Et à part chercher à destituer le président Trump, quel est le bilan des Démocrates pendant cette législature? Rien, nada, le néant et c’est avec des résultats pareils qu’ils veulent proposer une alternative à Trump?
Ne seraient-ils pas complètement idiots ou alors véritablement déconnectés de toutes réalités?
Les électeurs eux l’ont parfaitement compris et déjà sanctionné en novembre 2016, Hillary cristallisant tous ces défauts.
Ha si seulement le peuple français avait eu la même clairvoyance, mais tout comme corbeau de la fable jure aujourd’hui qu’on ne l’y reprendra plus, malheureusement j’en doute fortement car on ne lui laissera pas le choix.
Parce que menés par la peur, et la “perte de leurs privilèges” auprès des chefs d’Etat auxquels ils se sont vendus………..rires !
Les dems auront beau multiplier les procédures d’empeachment, ils devront malgré tout répondre de leurs mensonges et trahisons.
Cela va commencer en beauté avec le hoax russe dont les racines gluantes pourraient éclabousser hilary et hussein. Ensuite ce sera l’Ukraine avec en ligne de mire Adam Shiff et sa source “anonyme” qui fait partie de l’entourage de Biden…
Le vent tourne et Biden finira à la casserole que ce soit écrabouillé par un échange avec D. Trump ou rattrapé par sa corruption.
J’ose imaginer que les Américains éprouvent un dégout croissant pour la clique démocrate et les média propagandistes. Ce dégout devrait s’accentuer encore avec la mise à nu des tentatives de coup d’état contre un président légitime qui fait un boulot extraordinaire !
Et le président Trump n’attendrait-il pas le dernier moment pour sortir enfin les lourds dossiers de haute trahison actuellement bien au chaud dans sa poche?
En fait il a encore 11 mois pour le faire, mais j’ai comme l’impression que le printemps va être torride en 2020.
Je languis les résultats de novembre 2020, non pas qui (car on le sait tous), mais de combien ! Car voir les démocrates persister dans leur folie d’impeachment, qui ne peut qu’échouer (car le seul reproche qu’on peut faire à Trump est de trop vouloir le bien des américains, mais est-ce un reproche ? De la part des dems, oui !), revient à ce qu’un voleur en train de voler, au nez d’une caméra de surveillance, continue à nier qu’il vole… La gauche, devenue clairement satanique, se prend des volées de bois vert, aux USA, là en Angleterre ce matin… Et que ça continu. Mais vu qu’ils sont enragés et qu’ils veulent tout détruire, ils vont saper, user toute leur force pour faire le mal et aller à l’encontre des gens de bien. Des temps dur se préparent, même si des gens bien sont aux commandes (selon les pays….)
Les progressistes appellent cela du populisme. Se soucier du bien être de ses citoyens et par la même de son pays, c’est cela à leurs yeux le populisme.
Ce mot puant résume l’état de pourrissement de la conscience de ces petites personnes égoïstes que sont les leaders Démocrates et aussi les commissaires de l’union européenne, crapauds pustuleux du marigot bruxellois.
Il est plus que temps d’assainir tous ces marécages fangeux.
Arguons que D. Trump sera réélu en 2020 avec une ampleur écrasante comme les Conservateurs de B. Johnson, ampleur inattendue compte tenu du marécage islamo-gauchiste dans lequel la clique politico-médiatique britannique maintient bien enfoncée, là comme ailleurs en Europe, la conscience des sujets de sa majesté (bien silencieuse sur ce qu’est devenu son royaume depuis des années…).
Tant que D. Trump demeurera indéfectiblement fidèle à ses engagements de campagne, la main d’En-Haut sera sur lui et rien ne pourra lui nuire. Et ses ennemis verront leurs mensonges et manigances affichés publiquement en spectacle, ce qui les réduira durablement à néant.
D’ores et déjà, il est clair que l’opinion publique américaine en a plus que ras-le-bol des gesticulations “démocrates” anti-Trump. Leurs incessantes tentatives de lancer procédure de destitution sur procédure de destitution les couvrent toujours davantage de ridicule et sont totalement contre-productives politiquement parlant. 2020 en apportera à D. Trump la preuve sur un plateau d’argent…
Refaire la même chose inlassablement en espérant un résultat différent c’est la marque de la folie.
Il n’y aura pas une autorité judiciaire pour dire “stop” ?
La haine qui s’est manifestee des avant son election contre Tump n’est-elle pas egalement d’origine corporatiste ? Aux USA, le pouvoir est l’apanage des avocats, de la meme facon qu’en France il appartient aux anciens eleves de l’ENA ou, pour les seconds couteaux, de Sciences Po. Trump etant un homme d’affaires, la classe des avocats ne pouvait accepter ce manquement a ses prerogatives. Pour ceux qui suivent les affaires francaises: imagine-t-on, en France, un mandat de maire d’une tres grande ville detenu par un non-enarque, par exemple un homme de sciences ?