Tandis que les collèges, les universités, les syndicats, et certains partis politiques en Occident font la promotion du socialisme et du communisme surtout auprès des jeunes qui méconnaissent l’histoire récente, des survivants du socialisme/communisme derrière le Rideau de fer tracent un portrait peu enviable de la vie des gens du commun dans les pays socialistes.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Jayme Metzgar*, paru le 23 décembre sur le site du magazine The Federalist.
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Trois leçons à tirer de la chute du communisme roumain avec 30 ans de recul
J’ai passé ma vie d’adulte à travailler pour atténuer les dégâts du marxisme. Nous ne voulons pas de ça ici (aux USA).
Lorsque le communisme s’est effondré en Europe de l’Est en 1989, le processus a été rapide et étonnamment pacifique.
Des décennies de terreur et de tyrannie ont pris fin soudainement, à peine un coup de feu a-t-il été tiré : les gouvernements se sont retirés, les frontières se sont ouvertes, les murs sont tombés.
Un pays, cependant, s’est avéré être l’exception.
Il y a trente ans cette semaine, des citoyens roumains étaient tués par centaines alors qu’ils descendaient dans la rue pour demander leur liberté face à un régime communiste brutal. Les troubles qui avaient commencé le 16 décembre dans la ville de Timişoara, dans le sud-ouest du pays, se sont rapidement répandus dans toute la Roumanie, alimentés par la nouvelle que les manifestants étaient abattus par la police secrète.
Le dictateur Nicolae Ceauşescu, de retour d’un voyage à l’étranger avec sa femme Elena, a tenté de réprimer le chaos croissant dans un discours prononcé depuis son balcon à Bucarest le 21 décembre. Alors qu’il regardait la masse habituelle d’adoration obligatoire– les gens en rangs serrés portant des slogans marxistes et des portraits des Ceauşescu– le despote vieillissant avait à peine commencé à parler qu’il fut interrompu par un chœur de sifflements, de huées et de cris qui prenaient de l’ampleur.
C’était à la fois sans précédent et impensable. Les caméras de télévision diffusèrent momentanément le visage étonné de Ceausescu en direct à travers le pays, avant de le couper en hâte.
Pour la première fois, les gens avaient vu sa vulnérabilité. C’était le début de la fin.
Les Ceauşescu ont fui Bucarest le lendemain et ont été surpris par leurs propres gens sur le bord d’une route rurale roumaine. Le jour de Noël– un jour férié qui avait été longtemps supprimé par le régime athée de Ceauşescu– le dictateur et sa femme ont été jugés par un tribunal militaire improvisé. Ils ont été rapidement reconnus coupables, ont été conduits jusqu’à la cour et ont été sommairement abattus.
Mon introduction à la Roumanie
J’ai mis les pieds en Roumanie cinq ans plus tard, en tant que jeune diplômée du secondaire lors de mon premier long voyage loin de chez moi.
À mon arrivée, Ion Iliescu– le nouveau communiste qui avait pris le contrôle dans le chaos qui a suivi la chute de Ceauşescu– était toujours président. Les nouvelles cicatrices du communisme étaient évidentes : des villes remplies de structures de béton laides et grises ; des enfants en haillons mendiant au coin des rues ; un manque de commerce, de beauté et de vie civique.
En passant plus de temps en Roumanie– l’année 1997 et deux décennies suivantes à la tête d’une organisation non gouvernementale de prise en charge des orphelins– j’ai commencé à discerner les cicatrices moins visibles du communisme.
Elles sont omniprésentes et dévastatrices, en particulier pour les plus vulnérables de la société. Alors que beaucoup perçoivent le conservatisme comme un manque de compassion, je suis devenue une partisane encore plus ferme de la liberté et du capitalisme à l’Américaine, précisément en raison de mon bénévolat auprès des enfants abandonnés de la Roumanie.
Ce que j’ai appris, c’est qu’il y a une symétrie sinistre entre les promesses du marxisme et ses résultats dans le monde réel. Pour dire les choses simplement, l’idéologie marxiste promet des résultats spécifiques, mais elle livre exactement le contraire. (Aucun communiste n’arrive au pouvoir en promettant des files d’attente pour acheter du pain et des camps de prisonniers, je peux vous l’assurer).
Le résultat est une souffrance humaine qui devrait affliger toute personne de compassion. Permettez-moi de vous parler de seulement trois problèmes sociétaux à long terme dont j’ai été témoin.
1 Le marxisme promet l’appartenance mais offre l’isolement
Le désir d’appartenir à quelque chose de plus grand que soi est universel.
Le marxisme fait appel à ce désir en prêchant la collectivisation qui fait en sorte que les droits de l’individu sont subordonnés à la société dans son ensemble.
Sur papier, cela peut sembler bon et juste, surtout pour ceux qui ont besoin de donner un plus grand sens à leur vie. Ne devrions-nous pas mettre de côté nos intérêts individuels pour le bien du plus grand nombre ? Pourtant, ce que les communistes ont apporté en Roumanie, c’est une destruction totale de la cohésion de la communauté.
Non seulement ils ont détruit des villages au bulldozer– déplaçant de force les paysans dans de misérables appartements dans les villes– mais ils ont aussi, figurativement, détruit le sentiment de confiance et de dépendance des Roumains les uns envers les autres.
Les associations communautaires informelles sont toujours une menace pour les gouvernements communistes, qui ne peuvent permettre aucune loyauté supérieure à celle du parti. La Roumanie n’était pas différente à cet égard. Les espions et les informateurs ont infiltré presque toutes les relations et tous les rassemblements. Ceux qui étaient prêts à dénoncer leurs amis proches et leur famille obtenaient des faveurs spéciales.
N’ayant personne à qui faire confiance, les Roumains se sont retrouvés profondément isolés les uns des autres. Ce sentiment de méfiance mutuelle, profondément ancré, continue d’être un obstacle majeur au rapprochement des Roumains pour résoudre les problèmes de société.
2 Le marxisme promet l’égalité mais offre la rareté pour tous, sauf pour les élites
En plus d’être collectiviste, le marxisme est avant tout une idéologie de l’envie. La richesse et la prospérité sont à somme nulle, et nous sommes tous en compétition. Quiconque en a plus que moi me prend forcément quelque chose. Le gouvernement devrait s’assurer que nous sommes tous égaux, non seulement en termes de possibilités, mais aussi en termes de résultats.
En réalité, ce que le marxisme apporte, en Roumanie et ailleurs, c’est la rareté. En l’absence de la motivation nécessaire à l’avancement personnel qui alimente la plupart des réalisations humaines, les économies communistes d’Europe de l’Est se sont effondrées.
Tandis que le bloc soviétique tout entier souffrait économiquement, ce qui a incité Gorbatchev à promouvoir les réformes qui ont rapidement fait boule de neige et se sont transformées en révolutions, la souffrance de la Roumanie était particulièrement grave.
Mes amis roumains du même âge que moi, appartenant à la classe moyenne, se souviennent très bien de la première fois où ils ont aperçu une banane ou une orange (un ami ne savait pas quoi faire de la banane, alors il l’a mangée avec sa pelure). D’autres amis ont partagé leurs souvenirs d’avoir fait la queue pendant des heures chaque semaine pour recevoir de maigres rations alimentaires.
Pendant que je vivais en Roumanie lors de ces premières années postcommunistes, je me suis habituée à vivre sans épicerie, sans fruit en hiver ou sans compter sur de l’eau chaude. Si tous les citoyens étaient égaux sous le communisme, ils étaient également tous appauvris.
Mais la vérité est qu’ils n’étaient pas tous égaux.
Il y avait bel et bien une voie ouverte vers la richesse et la prospérité mais elle ne l’était que pour un très petit nombre : les élites du Parti communiste.
Tandis que les Roumains étaient au bord de la famine et qu’un demi-million d’enfants étaient privés de leur enfance dans des orphelinats, Ceauşescu s’est construit le plus grand palais du monde, d’une opulence stupéfiante.
C’est du balcon de ce palais qu’il prononça son dernier discours, entrecoupé d’hommages au socialisme et aux «travailleurs».
C’est une hypocrisie que le marxisme ne manque jamais d’apporter.
3 Le marxisme promet dignité et compassion, mais il apporte dégradation et cruauté
Partout où le communisme a fait son apparition, il se présente comme l’avocat du travailleur, le défenseur de l’homme du peuple contre la bourgeoisie rapace. Les jeunes qui se considèrent comme étant compatissants envers les opprimés sont généralement attirés par les idéologies de gauche.
Dans le monde réel, cependant, j’ai vu le communisme n’encourager que la cruauté, l’égoïsme et le manque d’empathie. Ces résultats sont le fruit naturel et amer d’une idéologie qui isole les gens les uns des autres, rivalisant pour obtenir les mêmes biens rares.
En Roumanie, même aujourd’hui, il est rare de trouver des fonctionnaires publics, élus ou nommés, qui voient dans leur poste autre chose qu’une plate-forme pour leur propre avancement et leur enrichissement par la corruption. (Alors que beaucoup voient les États-Unis comme correspondant de plus en plus à cette description– et pour cause !– notre corruption publique est encore bien inférieure à celle d’une nation comme la Roumanie).
Le dogme du marxisme « un pour tous » se transforme rapidement en « chacun pour soi ».
Les faibles et les vulnérables sont les premiers à souffrir. Une caractéristique commune des nations communistes a été la création d’orphelinats inhumains gérés par l’État.
La Roumanie est tristement célèbre pour ses orphelinats infernaux, mais sa révolution chaotique a simplement permis aux journalistes occidentaux d’entrer et de découvrir ce qui se passait partout dans le bloc soviétique. Même aujourd’hui, alors que les conditions de vie des enfants abandonnés se sont indéniablement améliorées, la mentalité communiste et le manque d’empathie des responsables gouvernementaux continuent de rendre difficile notre travail de défense des enfants.
Marxisme vs communisme vs socialisme
Enfin, un mot sur les termes : J’ai utilisé à plusieurs reprises le mot « marxisme » pour englober le socialisme et le communisme, qui sont tous deux des étapes de la théorie marxiste. Cependant, en parlant avec des amis roumains de leur système de gouvernement sous Ceauşescu, certains se sont opposés à mon utilisation du terme « communisme ».
« Non, non, nous n’étions pas une nation communiste, même si nous étions dirigés par le parti communiste », m’a dit un ami. « La Roumanie était un pays socialiste. Ils nous l’ont dit et répété, dans les écoles et partout. Nous travaillions en vue d’atteindre le communisme, mais nous n’y étions pas encore parvenus. »
En effet, en relisant le discours final de Ceauşescu, j’ai compté un total de huit mentions du « socialisme » ou de la « Roumanie socialiste », sans aucune mention du communisme.
En dehors des subtilités terminologiques, il est clair que les jeunes Américains sont de plus en plus à l’aise avec les idéologies du spectre marxiste. Même le terme de « communisme » ne semble pas porter le stigmate du « fascisme », bien qu’il soit une forme de tyrannie tout aussi sauvage et meurtrière.
À tout Américain enclin à croire les fausses promesses du marxisme plutôt que la réalité historique, à toute personne qui croit que cette idéologie est en quelque sorte humaine ou compatissante, je lance cet avertissement.
J’ai été témoin de la laideur, de la pauvreté et du désespoir qu’elle laisse derrière elle. J’ai parlé à ceux qui ont souffert dans les prisons marxistes et j’ai vu les monuments à la mémoire de ceux qui sont morts dans les rues en quête de liberté.
J’ai passé ma vie d’adulte à travailler pour atténuer les dommages causés aux enfants vulnérables– des dommages qui sont encore infligés chaque jour– par l’héritage maléfique du communisme. Nous ne voulons pas de cela ici. Prions Dieu que cela n’arrive jamais.
*Jayme Metzgar est collaboratrice principale de The Federalist. Elle est la fondatrice et présidente de Romania Reborn, une organisation chrétienne à but non lucratif qui travaille à trouver des familles pour les enfants abandonnés. Elle croit à la charité privée, aux marchés libres, à la liberté individuelle et à la cuisson avec du vrai beurre. Jayme et son mari vivent en Virginie occidentale avec leurs quatre enfants, qu’elle éduque à la maison.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Souce : The Federalist
C’etait la meme situation en Pologne dans les annees 60 (j’y suis alle en tant que jeune ado avec ma famille) et puis j’y suis retourne en 80 avec mon nepouse qui elle etait ne aux USA (pas comme moi qui suis ne en France). On ne trouvais rien a manger. Il fallait faire la queue pendant des heures pour trouver 4 knacks. Je payais un homme trop heureux de la faire. L’argent qu’il gagnait lui permettait de manger avec sa famille pour 2 ou 3 jours. Nous etions en Pologne pendant les jeux olympiques en plus. Meme dans les restaurants les serveurs s’excusaient: Dziesiej jest dzien bez miesny. Aujourd’hui est jour sans viande. C’etait aussi le debut de Solidarnosc. Je suis alle avec l’un d’entre une fois (il avait besoin d’une voiture pour se rendre au centre de tri ferroviare) et la d’autres opposants soudaient les portes des wagons plein de victuailles volees aux Polonais a destination de moscou et pour bien faire les choses ils soudaient egalement les roues aux rails. J”ai entendu dire pendant mon sejour que de nombreux soldats russes occupant Gdansk (Danzig) a ce moment la avait fini dans la Baltique. Mais bon ce n’etait qu’un ouie dire, je ne l’ai pas vu personnellement.
Une soir ou ma future ex-epouse et moi etions fatigues de manger du fromage ou des knacks a tous les repas, nous sommes alles au restaurant Orbis, le restau du parti: Saumoin fume de la Baltique , caviar , Cailles, steak de bison, le tout arrose de vodka. Clown sur scene, nanas faisant des strips et de la soldatesques de tres haut grade partout. Mais il fallait payer en devises: dollars francs suisse, deutchmark… ils ont refuse l’argent francais… pas assez lourd I s’pose.
C’est beau le marxisme socialiste.
il faudrait que Donald Trump diffuse ce texte pendant sa campagne !
Mme Magali Marc, merci pour votre excellent article qui montre bien que le socialisme est l’étape première vers le communisme. Ce que nous vivons en France est donc bien cela, pour nous mener vers une “dictature communiste”. Ce soulèvement actuel du Peuple Français, est une lutte sans merci pour retrouver sa Liberté, sa Dignité et surtout sa Démocratie.
Je vous trouve peu sévère pour cette idéologie ridicule et machiavélique qui a fait cent millions de morts de part le monde, soit deux fois plus que le régime nazi son frère ainé. Quand celle-ci sera-t-elle jugée et mise au ban de l’humanité comme le nazisme ? On attend. Il faudra bien un jour qu’il y ait un procès contre ce régime démoniaque et sanguinaire. C’est honteux que ce régime ait encore pignon sur rue avec tout le sang qu’il a sur les mains. Il y a encore en France un parti communiste et des salopards qui s’enorgueillissent d’en être. Mais c’est la gauche et tout ce qui est de gauche est bien, comme chacun sait et le sang des autres ne leur coute pas cher….
@ Magali Marc.
Chère Magali Marc, au temps du Communisme, j’ai voyagé et fait de courts séjours pour mon travail dans plusieurs pays sous le joug soviétique: la Pologne, l’Allemagne de l’Est… et la Roumanie.
Partout j’ai été surpris, désolé et révolté par la laideur, la tristesse ambiante, la saleté et la pauvreté qui régnaient dans ces pays. Venant de l’Occident, la différence était frappante.
Pourtant, en rentrant à l’Ouest, je ne rencontrais qu’incrédulité et méfiance quand je racontais ce que j’avais vu. Comme on dit, il n’est pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir; pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
Les avertissements n’avaient pourtant pas manqué: un certain Kravchenko, transfuge de lURSS avait dévoilé la vérité sur le ” Paradis Socialiste” dans un livre intitulé ” J’ai choisi la liberté”. Mais les élites de gauche, déja puissantes à l’époque, avaient hurlé au mensonge. Plus tard Solyénitsyne, avec son “Archipel du Goulag” avait lui aussi tenté d’ouvrir les yeux aux Occidentaux. Mais il n’avait pas non plus été entendu, sauf par une minorité.
Aujourd’hui les choses n’ont pas changé. A part quelques exceptions, la pensée de gauche domine toutes les facettes de la vie culturelle française. Regarder la télévision ou lire la presse en France est assister à une parade presque ininterrompue de vieux dinosaures du Bolchevisme ou de Trotskystes recyclés, qui avaient jadis encensé Staline, Mao et Pol Pot. Ces etres néfastes sont toujours aux commandes, ouvertement ou dans l’ombre.
Le pire, c’est que ces malfaisants dirigent le système éducatif qui chapeaute écoles, lycées, collèges et universités, et qu’ils distillent ou font distiller leur venin dans les jeunes cerveaux malléables de notre pays.
Le résultat est affligeant: endoctrinés sournoisement dès l’enfance,la jeunesse est formatée sans le savoir. Elle croit recevoir une éducation; elle reçoit surtout de la propagande.
Le problème est aigu dans toute l’Europe de l’Ouest et, il me semble, également aux USA et au Canada. D’après les enquêtes d’opinion, une bonne partie de la jeunesse de tous ces pays soutient le socialisme. C’est catastrophique.
En Orient il y a un proverbe bien connu qui dit ” Toute connaissance vient de l’Expérience”. Vous, Magali Marc, avez eu l’expérience vécue des résultats du Socialisme au pouvoir. C’est pour cela que votre témoignage est important et même essentiel. Cet article , je l’espère, sera lu et commenté largement. De mon coté, je vais lui faire toute la publicité possible.
Merci de votre fort intéressant témoignage, mais mon article est le témoignage d’une
collaboratrice de The Federalist, Jayme Metzgar que j’ai traduit de l’anglais comme je le signale au début.
Voyez en bas de l’article une brève bio de Mme Metzgar incluse. C’est elle qui a vécu en Roumanie, pas moi.
J’espère que les lecteurs de Dreuz feront surtout lire ce texte à tous les jeunes qu’ils connaissent.
@ Magali Marc
OK. Mise au point bien reçue. Toutes mes excuses.
“Vivant dans les théories abstraites indépendantes des lois économiques, les socialistes peuvent promettre aux foules les paradis dont elles sont avides. Limités par des nécessités économiques inflexibles, les adversaires du socialisme ne sauraient faire les mêmes promesses et posséder par conséquent le même prestige” (Gustave Le Bon.)
Je lisais un article sur Rubio (R FL) sur Breitbart quand j’ai lu un passage ecrit par Leo XIII qui vient de ” Rerum Novarum” un document qui a pour sujet principal les obligations du capital et des travailleurs:
“It is clear that the main tenet of socialism, community of goods, must be utterly rejected, since it only injures those whom it would seem meant to benefit, is directly contrary to the natural rights of mankind, and would introduce confusion and disorder into the commonweal.”
Il est clair que les sujets principes fondamentaux, les biens en commun, doivent etre completement rejete puisqu’ils ne font du mal que ceux a qui ils sont supposement beneficiaires, ils sont directement contraire aux droits naturels des etres humains et amenent la confution et le desordre dans le commonwealth
https://www.breitbart.com/politics/2019/12/28/pinkerton-marco-rubio-for-the-common-good-and-look-who-doesnt-like-it/
alors que la gauche française se repaît à présenter Rerum novarum comme un accord du pape avec l’idéologie de gauche
Les Républiques Socialistes Démocratiques et Populaires ne le sont que dans le titre, c’est bien connu.
Le Fascisme et le Nazisme sont issus du Communisme et du Socialisme. Mussolini, le Duce fasciste appartenait à l’Internationale Communiste avant de créer le Fascisme. Hitler, le Führer Nazi était un sous-prolétaire qui prônait un Socialisme nationale comme Mussolini.
Pour être juste le Communisme=Socialisme=Fascisme=Nazisme=Islamisme. Tous les dirigeants communistes, socialistes, fascistes, nazis et islamistes sont coupables de génocide et des crimes contre l’humanité envers les peuples innocents. Ils sont tous à bannir.
Nous avons qu`à voir la décrépitude dans certains quartiers ou villes (En occident!), d`où la gauche socialiste sévit, pour comprendre que cette tâche indélibile, certains l`entretiennent comme si cela était “LA VÉRITÉ“de la “justice “du vrai sociale!???
Pas étonnant ,que les gauchistes socialisre stupides, même l`hypocrite gauche caviard, ont une admiration sans borne pour le tiermondiste …. PITOYABLE!!
Il faudra bien un jour qu’il y ait un procès contre ce régime démoniaque et sanguinaire. C’est honteux que ce régime ait encore pignon sur rue avec tout le sang qu’il a sur les mains. Il y a encore en France un parti communiste et des salopards qui s’enorgueillissent d’en être. La même chose trotte dans la tête d’un parti politique québécois du NOM DE QUÉBEC SOLIDAIRE avec a sa tête mais eux personnellement vive au dessus de ce qu’ils n’ont jamais gagné de toute leur vie comme député SURPAYÉ a galvauder leur idéologie socialistes – communistes pur et dur et les bons citoyens ont acceptés cela sans mots dire. Mais c’est la gauche et tout ce qui est de gauche est bien, comme chacun sait et le sang des autres ne leur coute pas cher….
les 3 cancers du socialisme diagnostiqués dans l’article de Magali Marc sont bien présents dans la tête de nombreux Français contaminés par les médias, l’EN et le pouvoir financier. Combien d’années seront nécessaires pour guérir ce mal dont les microbes infectants, composés des 3 derniers présidents encore en vie et de leur cour rapprochée, propagent toujours ce fléau ?
Faudra t il que les ceausescu français soient jugés comme l’ont fait le peuple Roumains pour stopper définitivement cette grave hémorragie ?
Merci de ce texte si informatif. On a beau savoir par ouï-dire ,et malgré tous les reportages lus et entendus, l’analyse de quelqu’un qui y a vécu bien que ce soit pour y apporter de l’aide humanitaire, est justement du vécu parmi les victimes les plus souffrantes de cette société. Des amis à nous y sont allés pour aider dans les orphelinats, et leurs témoignages nous brisaient le coeur. Il faut que cette analyse soit répandue le plus possible, par le plus grand nombre possible, car effectivement, les générations qui nous suivent écoutent les gauchistes qui sont de bons propagandistes, et qui sont eux-mêmes ignorants des effets destructeurs de cette idéologie.
Je me souviens d’un autre temps, dans les années 70, toute une bade de jeunes de mon entreprise était partie en voyage dans les pays de l’Est sous la houlette du commité d’entreprise.
Un détail m’est resté, ils étaient conquis par une forme de restauration collective où il fallait être 12 à table. Cela permettait le mélange avec des gens inconnus rencontrés à table (on est con quand on est jeune).
Ils avaient pu goûter ainsi la cuisine des pays de l’Est d’alors. On était loin de la cuisine Lyonnaise de nos origines locales !
Il y avait juste un détail, important, détail qu’un seul avait retenu … (sans doute un sale mec de droite) : on ne vous servait QUE si la table de 12 était complète.
Autant dire que le 13e attendait longtemps vu la fréquentation des restaus en question !
On est con je vous dis quand on est jeune …
Et cela continue aujourd’hui cette promesse arnaque du “ideal” communiste avec par exemple la CGT, purement communiste, qui veut avantager “ses” adhérents au détriment des autres !!
Merci Madame Magali Marc pour la traduction de cette article de Madame Jayme Metzgar.
Je suis belge et j’ai vécu en Roumanie dans un petit village proche du 45ièm parralèle sur les derniers contreforts des Carpates pendant plus de 20 ans a partir de Septembre 1991. Il était prévu que ce village soit raser. Et je peux affirmer que tout ce qui est écrit dans cette article est la réalité avec un grand R, vécue par le peuple roumain sous le joug du socialisme et entendue par mes oreilles en tant que témoin.
Pendant 20 ans avec toutes les histoires tragiques des personnes que j’ai rencontré , j’ai expliqué a chaque fois que je rentrais en Belgique, voir quand je rencontrais des amis en France ou en Suisse la tragédie du peuple roumain sous le socialisme. A part un ami Français qui m’a dit un jour que je devrais écrire un bouquin sur tout ce que j’ai entendu, vécu et fait en Roumanie, j’ai depuis longtemps la triste impression que pour toutes les autres personnes a qui j’ai parlé de ces aberrations et ces horreurs, que cela tenaient du surréalisme, de l’histoire invraisemblable, voir de l’ imaginaire. J’ai l’impression que l’horreur générée par le socialisme, n’est pas assimilable par une majorité de personne élevée et éduquée en Europe occidentale par des socialistes……!!!!! C’est pas possible, c’est trop gros, ce n’est pas cela que l’on nous a expliqué du socialisme, en fait ce dont tu parles c’est du communisme pas du socialisme……!!!!!
Juste une petit anecdote pour finir. La famille de mon épouse qui est Roumaine était une famille de paysan (grand propriétaire terrien pour les socialistes) des gens qui travaillaient durement la vigne mais aussi des terres arables. Quand le socialisme a commencer avec Anna Pauker et Gheorghe Gheorghiu-Dej, après la seconde guerre mondiale c’est les paysans qu’ils ont commencé a détruire, car ils étaient a la fois une force politique (le parti paysan d’avant guerre était au pouvoir) mais aussi incarnaient plus que toutes autres Roumains la propriété privée……..L’arrière grand père de mon épouse qui continuait a travailler dans ces champs et dans son vignoble avec son équipe habituelle a été accuser d’exploitation du prolétariat et a été condamné a de la prison. Comme il était déjà assez âgé, son fils aîné ( le grand père de mon épouse) a décidé d’aller en prison a sa place. Ensuite les choses se sont rapidement dégradées : ceux qui ne voulaient pas donner leur terrain a la coopérative, ont été progressivement mis a genoux…..Bien sur que L’arrière grand père de mon épouse n’a pas voulu donner les terrains hérité de son père qu’il travaillait depuis toujours…..Pour le faire plié les socialistes sont un jours arrivé chez lui pour lui confisquer tout sont matériels agricoles…..Comme il n’a toujours pas plié, les socialistes sont revenus et lui ont confisqué tout ces animaux, poules, vache, cochon mais surtout ces deux chevaux avec lesquels il travaillaient la terre…….Mais problème, les chevaux ne voulaient pas partir avec les commissaires du peuple et se sont mis a rué…..Pour les sortir de la propriété les socialistes ont littéralement roué de coups les deux chevaux…… sous les yeux du grand-père de mon épouse qui leur étaient attaché comme seul un paysan peu l’être avec un animal qui partage son labeur quotidien…..A la fin ces terrains furent confisqué, car il a continué a refuser de les donner a la coopérative.
Cette histoire m’a toujours fait penser que même les animaux rejettent instinctivement le socialisme.
Je terminerez en répétant une nouvelle fois que je considère le peuple roumain comme le peuple européen le plus résistant et le plus obstiné que je connaisse car avant les 40 ans de résistances socialistes , ils ont résisté a 400 ans d’occupation Ottomanes. Je regrette juste qu’il n’ai pas eu un second Voïvod tel Vlad Tepes pour marquer les esprits sur la fin des socialistes, comme cela a été le cas pour les Ottoman. En fait les socialistes, les sous fifre de la Securitate de Ceaucescu ont pris le pouvoir et toutes le richesses de la Roumanie en 1989 et on retourné leur veste se transformant du jour au lendemain en capitaliste de connivence au main propre et au plus grand plaisir de Bruxelles. J’ai encore l’impression aujourd’hui avec le recul que ces socialistes Roumain ont pris un sale coup, mais que la fin de l’histoire n’est pas encore complètement achevée.
Bien a vous. Pierre
Merci pour ces informations sur la Roumanie et le courage des Roumains.